Chap.

 1        1|         Mignon. Le banquier, le sang au visage, avait de petits
 2        2|         de la cuisse. Un peu de sang parut aux joues terreuses
 3        4|    Georges. Quelques gouttes de sang parurent. Une tomba sur
 4        5|      Alors, le comte Muffat, le sang aux joues, examina la loge.
 5        5|       son beau-père. Un flot de sang lui était monté à la face.
 6        7|      générations d’ivrognes, le sang gâté par une longue hérédité
 7        8|        la faisait se gratter au sang. D’ailleurs, lorsqu’on mange
 8        8|     dormait encore, maladif, le sang pauvre. Et, lorsque Nana
 9        9|    autres s’étaient fait du bon sang, au fond, sur le banc et
10       10|      elle le voyait si pâle, le sang gâté, avec sa chair molle,
11       11|        était sa fille, son vrai sang.~Le cercle grandissait.
12       11|     suprême, les yeux pleins de sang, crevant d’apoplexie.~— 
13       12|      cette violence de coups de sang, qui le laissaient comme
14       12|         terre, dans une mare de sang, comme si on l’avait assassinée...
15       12|       son visage bouleversé, le sang qui rougissait ses yeux,
16       13|        son frère, un peu de son sang, un autre moi dont le plaisir
17       13|  presque pas, à peine un peu de sang, dont la tache mince se
18       13| ramassant les ciseaux tachés de sang pour refaire le geste de
19       13|       pour enlever une tache de sang, pendant que c’était frais.~— 
20       13|      chambre, comme un trait de sang qui barrait la porte.~— 
21       13|         moins godiches, dont le sang bouillait dans les veines.
22       13|    était arrêté par le trait de sang qui barrait la porte. Zoé
23       13|         Muffat, que le trait de sang préoccupait comme Zoé, l’
24       13|         famille, léguée avec le sang. Puis, le chambellan déshabillé,
25       14| charnier, un tas d’humeur et de sang, une pelletée de chair corrompue,