Chap.

 1        2|       voir sa nièce; car, dans la famille, on l’accusait de se perdre
 2        3|          ancienne propriété de sa famille, près d’Orléans, conservait
 3        4|         était pas tous de la même famille, au théâtre? Puis, il cligna
 4        4|     méfiance, pour l’envoyer à ma famille, pour me compromettre.~Cependant,
 5        6|          un brusque respect de la famille. Même elle lui fit jurer
 6        7|       ferment, lui empoisonné, sa famille détruite, un coin de société
 7        8|     étions tous très bien dans la famille.~Nana ne protestait pas,
 8       10|   sonnaient les mots d’enfant, de famille, d’honneur. Dans l’anxiété
 9       10|         âge et de l’honneur de ta famille. Oh! moi, je comprends ces
10       10|   réservait ses dimanches pour la famille; et ces jours-là, si Muffat
11       10|          si vous avez honte de ma famille...~Tous protestèrent. Qu’
12       10|     chercher là! on respectait sa famille. Mais elle continuait:~— 
13       10|          Si vous avez honte de ma famille, eh bien! laissez-moi, parce
14       10|        Nana, pour ces affaires de famille, se montrait toujours pleine
15       11|           rendre le bonheur à une famille... Très poli d’ailleurs,
16       12|          aime beaucoup... Oh! une famille des plus honorables.~Et
17       12|   toujours à l’honorabilité de la famille. Elle était très lasse,
18       12|          ailleurs, elle est de la famille.~Les fils Hugon passaient,
19       12|        solennités se passaient en famille; aujourd’hui, il fallait
20       12|           retourne, ces scènes de famille.~Estelle s’était approchée.
21       13| cria-t-elle, c’est donc un mal de famille?... Mais, jamais! en voilà
22       13|     étaient donc fous, dans cette famille! Elle ne se débattait plus,
23       13|           rancune inconsciente de famille, léguée avec le sang. Puis,
24       13|        perdait une personne de sa famille. Mon Dieu! qu’allait-elle
25       14|        était pour elle affaire de famille.~— Laissez donc, ma chère,