Chap.

 1        1|          fraîcheur de la nuit la rendait toute blanche.~— Tiens!
 2        2|     sourire, tandis qu’une ombre rendait le comte plus grave. Nana
 3        3|          faisaient le thé. Il se rendait souvent en Angleterre, où
 4        4|      trop; quant à Fontan, il se rendait insupportable en société,
 5        4|         délicat, un satin qui le rendait fou. Par moments, Nana,
 6        5|          visage que l’oeil fermé rendait si provocant, troué de fossettes,
 7        5|       que ce coin de malpropreté rendait naturelle et comme élargie.~— 
 8        5|       baiser reçu en haut, qu’il rendait là. Nana, furieuse, levait
 9        6|         quand elle buvait, ça la rendait si amoureuse, qu’elle en
10        6|         après le déjeuner, on se rendait au bout du parterre, sur
11        7|          de la campagne, elle le rendait fou, quand elle le baisait
12        8|          grasse. Par moments, il rendait un baiser, en homme qui
13        8|        de l’étrangler, ce qui la rendait souple. Le plus souvent,
14        8| souplesse de linge fin; et ça la rendait délicate de peau, rose et
15        8|         telles querelles, il lui rendait la vie si dure sous le premier
16        8|   héroïsme de sa toquade, qui la rendait très grande et très amoureuse
17        8|         Elle était touchée, elle rendait à Satin ses caresses. Lorsque
18       10|     Fontan, une saleté dont elle rendait tous les hommes responsables.
19       13|       qui l’attendaient. Elle se rendait chez la Tricon, avec l’aisance
20       13|          Une détente nerveuse la rendait molle et dolente, très attendrie,
21       13|        ancienne, dont elle ne se rendait pas bien compte. Il était
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