Chap.

 1        3|    personne que le marquis menait parfois à la campagne. Peut-être
 2        3|          chez laquelle il passait parfois quelques jours, à Viroflay.
 3        5|       dont le souffle se gonflait parfois, éclatant en rumeurs, en
 4        6|      pouvoir la compromettre. Et, parfois, lorsqu’ils se trouvaient
 5        8|         accoutumée, empochait ça. Parfois, elle criait, le menaçait;
 6        8|         en fumant des cigarettes. Parfois, elles se payaient de l’
 7        8|           appliqua, réfléchissant parfois sur une phrase, la tête
 8        8|      gloire. Prullière et Fontan, parfois, renversés sur leur chaise,
 9       10|        bézigue à sa vieille amie; parfois, elle lisait le Figaro,
10       10|    mettait ses diamants, emmenant parfois Louise Violaine, Maria Blond,
11       10|           se fût rangé, il venait parfois, repris d’un besoin de vice,
12       11|   passaient sur la foule, lorsque parfois ils se retournaient, triomphants,
13       12| travaillaient sourdement. C’était parfois, chez elle, des nuits où
14       13|          il maigrissait, distrait parfois, une ombre de souffrance
15       13|          jalouse du passé, rêvant parfois de rédemption, de pardon
16       13|           copiaient ses chapeaux; parfois son landau, pour passer,
17       13|       voiture, elle s’amourachait parfois d’un souillon aperçu sur
18       13|         fermait la porte. Dehors, parfois, au grand air de la rue,
19       13|          dressant une muraille où parfois des ouvriers restaient comme