Chap.

 1        2|   rares cheveux blancs.~— Ma foi! dit Nana, qui apportait
 2        3|   croire.~C’était un acte de foi religieuse. Léonide elle-même
 3        3|       il avait des crises de foi d’une violence sanguine,
 4        3|       qui se débattait.~— Ma foi, il a une tête à ça, murmura-t-il.
 5        3|    de Vandeuvres. C’était ma foi vrai; jamais celui-ci ne
 6        4| autres sont encore venus. Ma foi, je les ai flanqués à la
 7        4|     aimer, continua-t-il. Ma foi, j’ai eu peur de m’embêter,
 8        6|    une fin en province.~— Ma foi, oui, si vous me trouvez
 9        6|    une façon pas honnête. Ma foi! elle rentrait dans le bon
10       10| toutes choses, il aurait une foi aveugle en elle. Et, quand
11       12|     reconquis; ses crises de foi, chaque jour, reprenaient
12       12|  parla de l’enfant, de bonne foi, comme s’il en était le
13       12|    un siècle d’honneur et de foi endormi sous les plafonds.~
14       13|   rachetait par des élans de foi, pleins d’une humilité dévote.
15       13|    force de l’amour et de la foi, dont le double levier soulève
16       13|    il continuait, brûlant de foi, et une oraison ardente