Chap.

 1        2|            à Nana; elle lui tenait société et l’accompagnait. La présence
 2        4|           rendait insupportable en société, avec ses éclats de voix
 3        6|   viendraient d’Orléans prendre la société après le déjeuner, et la
 4        6|            conduisaient Nana et sa société aux ruines de Chamont, s’
 5        6| brusquement arrêtées. Surprise, la société descendit dans un endroit
 6        6|            promenade charmante. La société accepta.~— Fichtre! Irma
 7        7|       famille détruite, un coin de société qui craquait et s’effondrait.
 8        7|            qu’il n’y avait plus de société possible, avec ces moeurs
 9        8|            deux chaises. Enfin, la société ne se sépara que vers une
10       12|           ces complaisances qu’une société va aux abîmes.~Le bal s’
11       12|            liaisons d’un jour, une société où se coudoyaient de grands
12       13|           ce qu’elle pensait de la société! C’était sa revanche, une
13       13|             ce n’est pas juste! La société est mal faite. On tombe
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