IntraTextIndex | Mots: Alphabétique - Fréquence - Inversions - Longueur - Statistiques | Aide | Bibliothèque IntraText |
Émile Zola Nana Concordances (Hapax Legomena) |
gras = Texte principal Chap. gris = Texte de commentaire
1503 5| bureau de bienfaisance, nu et délabré, badigeonné de jaune, avec 1504 6| voiture, une immense calèche délabrée qui roulait lentement avec 1505 9| les portes ouvertes, le délabrement de la vaste pièce, honteuse 1506 4| de la calmer. Bordenave, délaissé par Rose et par Lucy, se 1507 5| hâte, le souffleur, pour délasser ses jambes, se promenait 1508 9| exigences d’avare et d’infinies délicatesses. Et cet amour l’avait envahi 1509 11| de profil, tout petits, délicats, sur les lointains verdâtres 1510 1| Gaga?... Elle a fait les délices des premières années du 1511 13| jetait aux imaginations délirantes de la chair. Les anciennes 1512 1| surprend sa femme en flagrant délit, parut dans le fond de la 1513 1| de la comédie. Alors, on délivrait Vénus. Vulcain obtenait 1514 7| respirait fortement, d’un air de délivrance. Ah! ce monstre nu, stupide, 1515 11| pleuraient pour qu’on les délivrât. Une échalote trouvée et 1516 2| cuisine. Et elle se sauva, délivrée des hommes enfin, heureuse, 1517 11| leva, ce fut un brusque déluge, des gouttes énormes, des 1518 2| nombre de personnes qui demandaient son adresse depuis le matin. 1519 13| peut-être plus. N’importe, je demanderai à la voir. Je veux l’embrasser.~ 1520 11| Clarisse, très pincées, demandèrent à la Faloise s’il se fichait 1521 11| évasivement; sans doute des demandes s’étaient produites. Elle 1522 1| chapeau.~— Ah! vous m’en demandez trop! cria Bordenave qu’ 1523 3| femme pour demain. Si nous demandions à Steiner?~— Oh! Steiner, 1524 9| avait à chaque minute des démangeaisons d’interrompre, qu’il réprimait. 1525 2| pendant que madame Lerat déménageait la bouteille de cognac, 1526 9| pendeloques, faisait songer à un déménagement, à un départ du public pour 1527 13| ce fut comme un vent de démence qui passa et grandit peu 1528 10| comme Muffat voulait un démenti, elle reprit avec tranquillité:~— 1529 11| dans les plaisanteries, les démentis, le brouhaha d’un pêle-mêle 1530 1| de têtes, agrandissaient démesurément l’étroite salle, avec ses 1531 6| Aussi, une après-midi, demeura-t-elle stupéfaite et très contrariée, 1532 14| murmurait Rose Mignon, demeurée la dernière.~Elle partit, 1533 5| tranquille, les paupières demi-closes, sous les regards que l’ 1534 8| verser du vin fin à une demi-douzaine de ménages, rêvant de les 1535 1| le petit jour du lustre à demi-feux. Une ombre noyait la grande 1536 14| la figure... Toutes les demi-heures, il se traîne jusqu’ici 1537 12| propriété, estimée à un demi-million, qu’un oncle venait de léguer 1538 9| pareil à un chantier de démolitions, à une nef éventrée, encombrée 1539 12| de sa voix faible, elle démontra le scandale inutile d’un 1540 13| aux bras de Georges. Toute dénégation était impossible. Il eut 1541 8| redoutait davantage les dénonciations; son pâtissier s’était montré 1542 7| mieux sentir. Puis, elle dénoua les mains, les abaissa le 1543 13| des connaissances, qui se dénouaient ailleurs. C’était la grande 1544 7| chignon de cheveux jaunes dénoué lui couvrait le dos d’un 1545 13| des chevelures rousses dénouées, couvrant à demi la grande 1546 12| ces héroïsmes ignorés, qui dénouent les vulgaires tragédies 1547 13| nettoyait un homme d’un coup de dent. D’abord, elle eut Foucarmont 1548 11| découvertes, gesticulant comme des dentistes, avec leurs cotes près d’ 1549 5| entêtaient là, sur les chaises dépaillées de madame Bron, dans cette 1550 4| compléter les douzaines dépareillées dans tous les bazars. Cela 1551 11| Il y eut encore deux faux départs. Enfin, le starter, rassemblant 1552 6| des toits de pavillon qui dépassaient, des rideaux de peupliers 1553 3| nous battra... Oh! celle-là dépasse tout!~On riait, en effet, 1554 6| ambitions se trouvaient dépassées. Elle était ramenée aux 1555 12| du comte se réfugiaient, dépaysés, éblouis. Ils formaient 1556 4| quart, tellement elle avait dépêché le troisième acte de la 1557 9| donner, reprit-elle; ça ne dépend pas de toi, et c’est pour 1558 9| disais toi-même que ça ne dépendait~pas de moi.~Elle l’interrompit 1559 8| question d’argent. Est-ce qu’il dépensait six francs, lui, quand il 1560 2| jour de ce que les hommes dépensent en fleurs pour les femmes, 1561 9| dédaigneux, la laissa à son dépit de femme. Il dit à Bordenave, 1562 4| cabotins étaient toujours déplacés, lorsqu’ils se trouvaient 1563 4| la Faloise, en face, lui déplaisait. Il ricanait, il lançait 1564 8| la table, avec un grand déploiement de plume, d’encre et de 1565 13| la supplier, pour qu’elle déposât en faveur de son fils. En 1566 10| nuque, et maintenant des dépôts se formaient dans ses oreilles, 1567 7| blanches, dominant le jardin dépouillé, semblaient mettre des Vénus 1568 1| bien attendre.~C’était une députation de mortels, que Ganymède 1569 9| Quant à Clarisse, elle ne dérageait pas depuis une semaine. 1570 5| air fâché d’un homme qu’on dérange.~— Vous avez été bien aimable 1571 4| Mais un bruit singulier les dérangea, quelqu’un ronflait dans 1572 9| désoeuvré, croyant souffrir du dérangement de ses habitudes. D’ailleurs, 1573 9| pas, se traînant:~— «Ne dérangez pas votre maîtresse, Isabelle; 1574 5| des fards, pris du désir déréglé de cette jeunesse peinte, 1575 1| sous une couronne immense, dérida un instant le public, lorsqu’ 1576 6| une autre grille encore déroula devant eux une avenue immense, 1577 11| trouvaient des boxes vides; et, désappointée, elle y découvrit seulement 1578 12| parbleu!~Elle eut une moue de désapprobation.~— Ça, ce n’est pas fort... 1579 12| sa petite-fille, dont il désapprouvait d’ailleurs le mariage, avec 1580 10| toute-puissance. Et elle ne désarma pas encore: on aurait beau 1581 1| le public riait, comme désarmé et ne songeant plus à siffler; 1582 5| par terre, les carreaux, descellés, faisaient des bosses, dans 1583 13| voulut absolument qu’ils descendissent Georges évanoui dans sa 1584 2| On sonna Zoé pour qu’elle descendît la lettre à un commissionnaire. 1585 1| répondit Fauchery. Nous descendrons ensuite.~Mais il n’était 1586 8| fois, elle avait conté les descentes que les agents faisaient 1587 14| bientôt les connurent, sur les descriptions qui couraient, sans que 1588 9| étages. On sentait les loges désertes, les corridors vides, pas 1589 8| heures; le long des trottoirs déserts, dans la paix aristocratique 1590 6| allongeait. Quelques-unes, désespérant d’arriver au bout, parlaient 1591 13| jours. Du coup, elle fut désespérée; il lui semblait qu’elle 1592 13| les membres. Et, les mains désespérément tendues, il balbutia:~— 1593 12| il murmurait:~— Pourquoi désespérer? Dieu se manifeste, lorsque 1594 5| pied de l’étroit escalier, désespérés d’attendre depuis si longtemps, 1595 10| donc! viens donc!~Nana se déshabilla dans le cabinet de toilette. 1596 5| sans-gêne de deux femmes se déshabillant, se débarbouillant en commun, 1597 13| et quatre heures, madame déshabillée, épluchée, racontée, avec 1598 10| Nana, qui n’avait pu se déshabituer de s’asseoir à terre pour 1599 11| es une misérable, tu nous déshonores, va-t’en!» Et ça s’est fait, 1600 11| crânerie.~Nana l’écoutait, désillusionnée. Et elle ne trouva que cette 1601 5| joui de la scène. Il se désintéressait trop pour s’amuser lui-même 1602 2| Maloir, qui écoutait d’un air désintéressé, n’ayant jamais sur elle 1603 12| paupières, comme pour se désintéresser, il se perdit de nouveau 1604 4| comtesse, consommé à la Deslignac, murmuraient les garçons, 1605 10| fit une scène, pour avoir désobéi et s’être arrêté derrière 1606 9| laissé conduire chez Rose, désoeuvré, croyant souffrir du dérangement 1607 4| mort. Louise Violaine se désola. Elle le disait bien que 1608 12| sachant bien que les grands désordres jettent aux grandes dévotions. 1609 7| elle-même, corrompant et désorganisant Paris entre ses cuisses 1610 13| femme le possédait avec le despotisme jaloux d’un Dieu de colère, 1611 5| jeunes. Celle-là s’était desséchée dans l’air embrasé des loges, 1612 9| insolente.~Bordenave n’avait pas desserré les lèvres. Glissé complètement 1613 2| sonneries, pendant que Zoé desservait enfin la table, rapportant 1614 11| en un pouf énorme, ce qui dessinait les cuisses d’une façon 1615 10| incrustation d’argent ou d’ivoire, détachant le luisant d’une baguette 1616 5| traînées de gaz couraient, pour détacher une barre de roches noires. 1617 5| Bordenave.~En scène, Rose détaillait si finement une phrase de 1618 11| instructions exactes et détaillées, était allé justement lui 1619 11| les toilettes semblaient déteindre. Mais Nana s’amusait surtout 1620 10| abandonnant, la chair et l’esprit détendus, recommençait ses doléances.~— 1621 13| elle se mit à pleurer. Une détente nerveuse la rendait molle 1622 6| savante tactique de Nana, déterminait à la longue de terribles 1623 14| souviens comme elles se détestaient; deux vraies furies! Eh 1624 11| partaient avec de faibles détonations, emportées par le vent; 1625 7| salon, tout en satin rouge, détonnait, trop orné et trop plein. 1626 8| timidement, d’une façon détournée. Alors, il y avait eu de 1627 2| Muffat le regarda; puis, ils détournèrent les yeux. Ils se gênaient, 1628 1| mots inoffensifs étaient détournés de leur sens par les exclamations 1629 7| sans cesse compliqué de détours. Enfin, au coude d’une rue, 1630 13| chambre close. Une luxure les détraquait, les jetait aux imaginations 1631 11| soufflait, allumant les visages, détraquant les gestes; tandis que les 1632 13| administration de l’hôtel était détraquée, au point que Muffat n’osait 1633 11| vivant de petites figures détraquées, les bras tordus, avec les 1634 4| des caprices d’estomacs détraqués. Près de Nana, le vieux 1635 10| jupes sales, avec un chapeau détrempé par les pluies. Tout d’un 1636 2| imaginez pas une pareille détresse: des enfants sans pain, 1637 13| pas un de solide, en les détruisant tous. Une lueur s’allumait 1638 7| lui empoisonné, sa famille détruite, un coin de société qui 1639 13| davantage, pour des billets, des dettes criardes; et Philippe, nommé 1640 6| lendemain, ils croyaient la devancer! Seul, Georges resta les 1641 3| pourra pas venir. Quelle déveine!... Mais j’ai racolé tout 1642 6| vingt fenêtres de façade, du développement des trois ailes dont les 1643 7| elle ouvrit les bras pour développer son torse de Vénus grasse, 1644 5| Dites donc, cria-t-il, devenant familier, nous allons faire 1645 1| marquis de Chouard étaient devenus deux yeux de chat, phosphorescents, 1646 6| nouvelle voisine que vous devez connaître.~Et elle nomma 1647 7| femmes comme il faut.~— Que deviens-tu? demanda-t-elle amicalement.~— 1648 1| grasse, tout son corps se devinait, se voyait sous le tissu 1649 1| laisser en plan, furieuse, devinant une rivale. Et, pour l’affiche, 1650 3| retint.~— Jamais vous ne devineriez de quelle invitation elle 1651 3| marquis? Est-ce que nous ne devions pas le~voir?~— Mais si, 1652 7| linge sale, sortaient et le dévisageaient, il revenait se planter 1653 14| ici... 405, 403... Nous devons y être... Ah! enfin, 401!... 1654 10| front contre une vitre, dévoré d’incertitude. Elle demanda 1655 13| comme si elle avait voulu le dévorer; et même elle lui mordillait 1656 13| vague souvenir des saints dévorés de poux et qui mangeaient 1657 12| Pourtant, elle baisait dévotement la médaille, toute tiède 1658 13| Les anciennes épouvantes dévotes de leur nuit d’insomnie 1659 3| disparu exhalant une odeur de dévotion.~Cependant, en face du fauteuil 1660 12| désordres jettent aux grandes dévotions. La Providence aurait son 1661 10| avait bien Zoé, cette fille dévouée à sa fortune, qui depuis 1662 8| restait sur la brèche, par dévouement pour madame. Plus tard, 1663 8| Louis. Sans doute, elle se dévouerait, elle garderait quand même 1664 3| Vous travaillez trop. Vous devriez vous reposer... A nos âges, 1665 13| donc!... Tu es le cheval... Dia, hue! sale rosse, veux-tu 1666 5| de piété, les possessions diaboliques qui avaient bercé son enfance. 1667 14| large de deux doigts, un diadème de reine surmonté d’un brillant 1668 4| mon vieux, bois un coup... Diantre! il a soif, ce piano!... 1669 10| affichée, moi!~Il obtint difficilement son pardon. Au fond, il 1670 2| merci, répondit la vieille dignement, il ne me gêne pas, je mange 1671 12| de tête officiel du grand dignitaire. Lorsqu’il abaissa enfin 1672 3| charge à la cour, de ses dignités et de ses vertus, qu’il 1673 11| XI~Ce dimanche-là, par un ciel orageux des 1674 10| souvent, Nana réservait ses dimanches pour la famille; et ces 1675 12| ridicule, quelque chose qui la diminuait et dont on l’aurait plaisantée. 1676 9| un tort considérable, une diminution pour l’artiste. Non, non, 1677 10| toute une cohue d’hommes, dînant souvent en ville, se couchant 1678 6| choux, en cas que madame ne dînât pas à Orléans, avant de 1679 2| Je vous emmène... Nous dînons ensemble... De là, vous 1680 3| Joncquoy, dont le frère, un diplomate, avait rempli une mission 1681 4| eût présidé un congrès de diplomates. Vandeuvres semblait être 1682 7| peut-être le glaçait. Que dirait-il? Des doutes lui revenaient, 1683 9| le terrain de l’art: que dirait-on, si l’on voyait enlever 1684 9| signature des traités avec ses directeurs et ses amants. Et elle ne 1685 9| tournèrent au drame, ils dirent qu’à sa place ils auraient 1686 9| simplement.~Il marcha, il se dirigea vers la porte. Mais, comme 1687 2| prétexte, ils saluèrent, en se dirigeant vers la porte. Mais, au 1688 12| désorganisation des classes dirigeantes par les honteux compromis 1689 13| appels d’épouvante l’avaient dirigée. Puis, en haut, un homme 1690 1| monsieur.~Fauchery se décida à diriger sa jumelle vers l’avant-scène. 1691 14| recommencèrent, ces dames se dirigèrent vers l’escalier, avec un 1692 13| agitation.~— Eh bien! non, ils diront ce qu’ils voudront, ce n’ 1693 2| en vient toujours.~— Bah! dis-leur d’attendre. Quand ils auront 1694 8| chagrins, pour oublier, disaient-elles; sans descendre, sans même 1695 10| ils avaient dû frapper, disaient-ils. Lorsque Muffat se fit annoncer, 1696 3| Mais leurs voix demeuraient discrètes, de légers rires par moments 1697 3| que les hommes les plus discrets laissent échapper à de certains 1698 5| ménage qu’une publicité discutable, avait imaginé de se venger 1699 3| le feu.~Alors, ces dames discutèrent. Mais leurs voix demeuraient 1700 4| pommes.~— Oh! que je vous dise! cria brusquement la petite 1701 1| trouva peu convenable et disgracieux. Des oh! oh! s’élevaient 1702 13| essoufflé la rédaction, disloqué l’administration, elle contenta 1703 12| tard, après une nouvelle disparition, Muffat se présenta dans 1704 13| apprenant la maladie de Satin, disparue depuis quinze jours, et 1705 12| des sommes considérables disparues, fondues, données peut-être, 1706 8| jamais avant six heures, elle disposait de son après-midi, elle 1707 1| chantaient un choeur en disposant les sièges des dieux pour 1708 12| Est-ce qu’on n’aurait pas dû disposer de soi à sa fantaisie, sans 1709 4| en riant que Fauchery se disputait en bas, parce que le concierge 1710 11| chiffres, comme s’ils s’étaient disputé Nana aux enchères. La Faloise 1711 3| rendez-vous; pendant que les dissertations sentimentales des dames 1712 13| espérant les remettre, dissimulant le déficit par de fausses 1713 12| elle fit tout au monde pour dissimuler sa grossesse. Ses peurs 1714 12| préfecture. Lui, s’était un peu dissipé, peut-être. On le prétendait 1715 13| loque humaine, gâtée et dissoute par soixante ans de débauche, 1716 11| maintenant, Valerio II était distancé, elle tenait la tête avec 1717 11| roulait de plus en plus distinct:~— Les voilà! les voilà!... 1718 13| sur la blancheur seule distincte d’un grand jupon élargi, 1719 14| cachait la porte; et elles ne distinguaient toujours que le comte Muffat, 1720 4| épaules au vieux monsieur distingué, assis à trois places de 1721 8| connu que des personnes distinguées... Justement, nous causions 1722 3| Muffat de Beuville, pour la distinguer de la mère du comte, morte 1723 10| toujours semblables.~Sa grosse distraction était d’aller aux Batignolles 1724 6| avant sept heures. Ça le distraira toujours.~Mais elle s’interrompit 1725 2| loueur de voitures; ça les distrairait, ces gens. Seulement, craignant 1726 13| Pourtant, il maigrissait, distrait parfois, une ombre de souffrance 1727 12| haussant les épaules.~Puis, il distribua des poignées de main à ces 1728 3| comme un mot d’ordre qu’il distribuait, de son air aisé. La phrase 1729 9| cette dernière n’était pas distribué, le père Cossard s’était 1730 5| sales, madame Bron venait de distribuer les derniers bouquets; seule 1731 10| palais, une fantaisie de distribution intérieure, des commodités 1732 5| Fauchery. Seulement, pourquoi dites-vous que les comédiens sont vaniteux?~— 1733 3| confusion de jugements où les divers éléments du salon, les bonapartistes 1734 5| disait-il. Naturellement, ce jeu divertissait fort les artistes. Mais, 1735 7| idée brusque d’un secours divin, d’une consolation surhumaine, 1736 6| implorer la miséricorde divine. Il ne l’entendait pas, 1737 4| que Lili entrait dans sa dix-neuvième année. Gaga devint à ses 1738 6| maison, bâtie vers la fin du dix-septième siècle, s’élevait au milieu 1739 13| en fiche!»~Il se montrait docile jusqu’à reproduire son accent.~— «... 1740 7| répondit-elle lentement, d’un air doctoral.~Elle professait, elle hochait 1741 11| des tribunes; puis, des dog-cart, des victorias, des landaus 1742 3| racoler... Ces jeunes gens doivent connaître des petites filles.~ 1743 10| détendus, recommençait ses doléances.~— Si tu la mariais? dit-elle 1744 1| ardeurs. Le choeur, sur un ton dolent et naïf, coupé de silences 1745 3| un lambeau de ses vastes domaines de Picardie.~— Je vous conseille 1746 13| avec l’acharnement d’une domesticité oisive, qui crevait de bien-être. 1747 13| peuple de cousins nourris à domicile de viandes froides et de 1748 13| l’horizon du vice, elle domina la ville de l’insolence 1749 8| sordide éclataient. Nana, dominée, effarée, se hâta de prendre 1750 11| comme dans une foire. Pour dominer la foule, ils se haussaient 1751 3| qu’on observât le repos dominical. Il est vraiment honteux 1752 8| elle le baisait dans un don absolu de toute sa personne; 1753 2| moi ces fleurs?~— Oui.~— Donne-les donc, nigaud!~Mais, comme 1754 12| considérables disparues, fondues, données peut-être, sans qu’elle 1755 12| dit-elle vivement. Reste. Je te donnerai peut-être un bon conseil. 1756 7| pas des dindes, elles se donneraient pour vous garder la peine 1757 7| rassuré et triste.~— Eh bien! donnez-moi le bras, reprit Nana avec 1758 11| est pas un sou... Nous le donnons...~Mais Nana l’interrompit 1759 9| nous avons fait la paix, donnons-nous une poignée de main, et 1760 11| ainsi, le coup de soleil dorait la pouliche alezane d’une 1761 4| de lui, le soignant, le dorlotant, veillant à son verre et 1762 9| après-midi, où les filles dorment. Pourtant, comme il arrivait 1763 6| Maria. Quant à Steiner, il dormirait sur le divan du salon. Au 1764 6| suite elle voulut qu’il dormît près d’elle, dans la chambre 1765 8| aime pas qu’on m’embête... Dormons, ou ça va mal tourner.~Et 1766 6| pièce qu’on transforma en dortoir, avec quatre lits pour Lucy, 1767 1| montraient le plâtre sous la dorure. Il faisait déjà chaud. 1768 1| avant-scènes, enveloppèrent les dorures des galeries; et cette salle, 1769 6| gendarmes, il l’avait simplement doublée, le soir; même que la doublure, 1770 13| bousculait, avalant les morceaux doubles, voulant en finir plus vite 1771 7| ça qui est bon pour les douleurs!~Et, quand elle se fut tournée, 1772 7| venir là, dans le grondement douloureux de son cerveau, lorsqu’en 1773 8| ses pigeons, bien qu’elle doutât de leur fraîcheur. Alors, 1774 6| en vérité, qui se serait douté des histoires de la veille? 1775 5| coins sombres, les dessous douteux des figurantes. Dans le 1776 4| on pouvait compléter les douzaines dépareillées dans tous les 1777 1| poignée de main à un critique dramatique, dont le feuilleton avait 1778 10| matière de livres et de drames, Nana avait des opinions 1779 1| avant-scènes restaient vides, drapées de lambrequins à longues 1780 1| le rideau, dont la lourde draperie de pourpre avait une richesse 1781 1| bonne enfant, la femme se dressait, inquiétante, apportant 1782 13| mer de quartiers de roche, dressant une muraille où parfois 1783 4| le maître d’hôtel avait dressé la table dans le salon, 1784 4| salle à manger, on venait de dresser une table de jeu, où s’étaient 1785 14| moi qui aurais mis quelque drogue dans son verre.~Mais Blanche, 1786 1| salle, des nappes de têtes, droites et attentives, montaient 1787 7| hanche à la flamme, une drôlerie lui vint, et elle se blagua 1788 6| eux, tout en n’étant pas dupes des raisons qui les réunissaient. 1789 13| Seulement, l’entente ne durait guère, Satin était fêlée, 1790 7| mille francs lui avaient duré dix-huit mois. Il voulait 1791 8| nièce, ça ne pouvait pas durer. A la vérité, Fontan avait 1792 10| auprès de ces dames étaient dus à la douceur de sa voix, 1793 9| mille francs, bien qu’ils ne dussent pas sortir de sa poche, 1794 7| Nana était toute velue, un duvet de rousse faisait de son 1795 4| La Havane, ils font une eau-de-vie avec une baie sauvage; on 1796 13| faisait son tour du lac, ébauchant là des connaissances, qui 1797 12| se réfugiaient, dépaysés, éblouis. Ils formaient un petit 1798 11| bras croisés; elle était éblouissante, toute en satin blanc, rayé 1799 12| toutes, faites à ces cohues éblouissantes, gardant leur grâce. Cependant, 1800 11| blague et de dédain. Nana l’éblouit, il accourut, se tint sur 1801 8| dans la rue, en peignoir, ébouriffée, traînant des savates. Mais 1802 8| avec ses cheveux filasse ébouriffés et ses yeux en trou de vrille, 1803 4| monde riait, en effet. Cela ébranla le jeune homme ahuri, qui 1804 8| chacun des coups dont elle ébranlait la porte. Puis, voyant qu’ 1805 10| qui portait son crédit ébranlé. A chaque exigence de Nana, 1806 11| dernière dans cette fortune ébranlée, nettoyant la place. On 1807 8| les marches, des portes ébranlées à coups de poing, des querelles 1808 13| spasmes de ses muscles et les ébranlements délicieux de son intelligence, 1809 13| ingénieurs, elle venait d’ébranler Paris et de bâtir cette 1810 10| solidement. Zoé les avait ébranlés, en prenant des oranges.~— 1811 9| un pouce, méconnaissable, ébréché, cassé, entassé. Et une 1812 5| par l’usage, des cuvettes ébréchées, des peignes de corne édentés, 1813 9| avec une débandade de pots ébréchés, une toilette grasse, une 1814 11| que la nappe d’or, dans l’ébrouement des chevaux, dans la débandade 1815 1| collège, ses beaux yeux écarquillés, sa face blonde enflammée 1816 13| par s’attendrir. Elle l’écarta doucement.~— Voyons, mon 1817 5| marquis s’était retiré là. Il écartait les pieds, parce qu’un seau 1818 3| Alors, les dames s’étant écartées, on aperçut, au fond d’une 1819 3| la spécialité des procès ecclésiastiques; il s’était retiré avec 1820 11| désastre, un écroulement; l’échafaudage de son crédit, les hautes 1821 10| Elle est sèche comme un échalas, cette petite. Mais puisque 1822 11| les trois jeunes gens s’échappaient, pour faire de la propagande, 1823 11| du ciel. Labordette, en s’échappant, venait de lui annoncer 1824 7| tour, la peur que Nana ne s’échappât derrière son dos lui fit 1825 2| cuisine, et monsieur Octave s’échappe.~— Ah! elle est bonne, par 1826 6| calculait sournoisement qu’il s’échapperait le lendemain, vers deux 1827 12| des couples s’enfonçaient, échappés à l’étouffement du grand 1828 1| égrillards, que le public s’échauffa. Le mari et Steiner, coude 1829 2| les joues. L’article les échauffait. Nana, jusque-là endormie, 1830 14| mettre en tas et piétinant, s’échauffant d’une même fièvre. Mais 1831 1| homme, qui sortait très échauffé, l’emmena enfin, dans l’ 1832 7| même donné, avant le petit échauffement des premières messes. Alors, 1833 9| avec Bordenave, que deux échecs successifs venaient de mettre 1834 6| disparaître en haut de l’échelle raide des greniers. Merci! 1835 9| nef éventrée, encombrée d’échelles, de châssis, de décors, 1836 6| s’arrêtaient également, échelonnés le long du chemin. Ce fut 1837 1| se mit à pincer un cancan échevelé, Simonne, qui jouait la 1838 5| une pièce très sale, une échoppe de perruquier de faubourg, 1839 1| avait qu’une grosse dame, échouée sur le velours de la rampe. 1840 11| voitures, isolées, comme échouées dans l’herbe, un pêle-mêle 1841 13| office, qui la guettait et l’éclaboussait d’une blague ordurière. 1842 9| murs et au plafond, était éclaboussé jusqu’en haut de gouttes 1843 7| de la porte, les jambes éclaboussées. Personne ne passait plus. 1844 7| crudité de leurs paroles, éclaboussés, salis par ces coquines, 1845 7| blanchies de reflets, un violent éclairage, une coulée de clartés, 1846 5| flammes de gaz brûlaient, éclairant crûment cette misère, dégageant 1847 13| pareil à un soleil levant qui éclaire un champ de carnage, elle 1848 12| la houle des têtes, des éclairs de bijoux, un frémissement 1849 13| qu’il aimait; on aurait éclaté de rire. Jamais il n’avait 1850 8| était encore stupéfait de l’éclipse totale de Nana. On la réclamait, 1851 2| Saint-Denis, de tempérament économe, et un Valaque, un prétendu 1852 7| citait comme un modèle d’économie. Depuis un mois, ce voleur 1853 11| ils crient comme si on les écorchait.~— C’est qu’il faudrait 1854 13| en compagnie de messieurs écorchant le français, payant pour 1855 11| par des coins de toiture, écornait la foule assise d’un angle 1856 10| heures. Bijou, le griffon écossais, la réveillait en lui léchant 1857 10| Hein? le quart d’heure est écoulé? Non, à peine dix minutes. 1858 1| attendant que la foule se fût écoulée, la comtesse Muffat, toute 1859 13| d’un mot il l’arrêta.~— Ecoute, je sais que tu vas épouser 1860 6| sa chaise, Estelle avait écouté ce qu’on disait de Nana, 1861 9| violemment. Assieds-toi,~écoute-moi.~Et, comme s’il eût craint 1862 7| jusqu’aux seins, qu’elle écrasa d’une étreinte nerveuse. 1863 13| le vestibule; et ce luxe écrasant, les meubles dorés, les 1864 9| sortaient d’une besogne écrasante.~— Eh bien! continuons, 1865 12| rue entrant librement, un écrasement sans lequel la soirée semblait 1866 13| donne tout ce que j’ai, je n’écraserais pas une mouche... Ce sont 1867 8| ce rôle-là, ma fille, t’écraserait... Vrai, tu es comique!~ 1868 2| Tant pis! dit-elle, je lui écrirai cette après-midi... Et, 1869 2| lettre. Ça l’ennuyait d’écrire, puis elle n’était pas sûre 1870 6| première fois.~— Non, non, n’écris pas, dit Georges très inquiet. 1871 7| la femme, au monstre de l’Écriture, lubrique, sentant le fauve. 1872 1| de journalistes, quelques écrivains, des hommes de Bourse, plus 1873 6| Écoute, Zizi, veux-tu que j’écrive à ta maman? Elle a l’air 1874 10| se venger, madame Robert écrivit aux amants de sa rivale 1875 8| Nana adorait qu’on lui écrivît, surtout de grandes phrases 1876 6| avec une moitié de tour écroulée. Vrai, ça ne valait pas 1877 1| parmi des tas de vêtements écroulés. Fauchery et la Faloise 1878 8| pluie où les bottines s’éculaient, soirées chaudes qui collaient 1879 10| qui trottait, les bottines éculées, les jupes sales, avec un 1880 13| du terrible bonhomme qui écumait la place de Paris depuis 1881 10| gaillard. Mais il avait eu un eczéma sur la nuque, et maintenant 1882 10| couturée, avec le trou édenté de la bouche et les meurtrissures 1883 5| ébréchées, des peignes de corne édentés, tout ce que la hâte et 1884 3| capitonnée avait une mollesse d’édredon. C’était le seul meuble 1885 7| eux, sans s’interrompre, s’effaçaient contre les murs, tranquilles, 1886 5| bouton de la porte; puis, s’effaçant:~— Si Son Altesse veut bien 1887 6| contraire, semblait plus effacée encore, muette et gauche.~ 1888 1| des groupes, il fallait s’effacer, se glisser en jouant des 1889 12| accident, au milieu de l’effarement de l’hôtel, elle montrait 1890 11| pendant que les laquais effarés couraient aux capotes. Mais 1891 2| humide encore, souriante, effarouchée au milieu de ses dentelles.~— 1892 5| tirer de nouveau, au moindre effarouchement.~— Oui, j’ai été surprise, 1893 4| de son corsage s’étaient effeuillées; il ne restait que les queues. 1894 6| La roue de la victoria l’effleura presque, sans qu’elle fit 1895 13| l’odeur des autres, des effluves de blonds et de bruns, des 1896 7| en raisonnant ainsi, il s’efforçait de rester froid. C’était 1897 11| de petites flammes, qui l’effrayaient la nuit, lorsqu’il parlait 1898 5| voir, là-bas.~Le comte, effrayé de sa brutalité d’homme 1899 13| l’office, un gaspillage effréné, un coulage féroce, qui 1900 7| tout de suite, dans cette effroyable crise, où craquait et s’ 1901 12| riait, il lui témoignait une effusion de tendresse, comme si elle 1902 1| deux actrices en lettres d’égale grosseur. Il ne fallait 1903 8| comme un malhonnête à l’égard de madame Maloir, qu’il 1904 8| ouvrit la fenêtre, de l’air égaré d’une folle qui va se précipiter. 1905 10| charmant, ces messieurs s’égayaient à se servir eux-mêmes. Mais 1906 6| pleines à rompre les essieux, égayées par un tapage de toilettes 1907 3| frottant l’un contre l’autre, égayés, allumés. Près d’eux, ils 1908 4| jeunes gens; mais, ayant égoutté dans le piano jusqu’au fond 1909 7| dalles, mouillées par l’égouttement des parapluies, les pas 1910 2| satisfaite de cette allusion égrillarde qu’elle était seule à comprendre. 1911 1| pleine de sous-entendus égrillards, que le public s’échauffa. 1912 7| Léa raconte son voyage en Égypte. C’est d’un drôle! Il y 1913 8| pas possible.~Lui-même s’élança, bouscula le secrétaire, 1914 11| encolure légères, dans l’élancement nerveux et fin de sa longue 1915 13| qu’il rachetait par des élans de foi, pleins d’une humilité 1916 11| trouées d’un bleu intense s’élargissaient d’un bout à l’autre de l’ 1917 10| ayant d’instinct toutes les élégances. Enfin, elle ne gâta pas 1918 3| jugements où les divers éléments du salon, les bonapartistes 1919 9| mimait, avec des grâces d’éléphant; pendant que Fauchery ricanait, 1920 4| parlait avec fierté, était élève à l’école de marine. Alors, 1921 11| herbe, sur les banquettes élevées des four-in-hand et des 1922 13| abominables, décomposaient d’elles-mêmes tout ce qu’elles avaient 1923 10| Et elle se lança dans un éloge extraordinaire de Daguenet. 1924 9| questionnant, quêtant des éloges, pendant que Mignon écoutait 1925 1| allumaient des cigares, s’éloignaient en fredonnant: Lorsque Vénus 1926 11| taire. Mais, comme il s’éloignait, Maréchal, pris d’un souvenir, 1927 5| marquis. Bordenave s’était éloigné avec Barillot, auquel il 1928 7| traînant les pieds, pour s’éloigner davantage. C’était fini, 1929 9| brusquer l’affaire, il s’emballa sur le rôle de la cocotte.~— 1930 2| sortir, l’après-midi, elle emballait ça, et rondement. Mais madame 1931 8| troupeau de femmes, brutalement emballées par trois agents, sous la 1932 9| Fontan, comprenez bien l’emballement de Tardiveau; il faut vous 1933 2| quand madame paraissait s’emballer avec sa mauvaise tête.~— 1934 6| les deux vieux étaient emballés! Lorsqu’elle put le rejoindre, 1935 1| alors une Vénus. Lui, ne s’embarrassait pas longtemps d’une femme; 1936 5| sur le cou et des sourires embarrassés.~— Allez donc, puisqu’on 1937 3| petit bruit fiévreux de cet embauchage.~— Non, ne parlez pas de 1938 8| oeil, qu’elle avait encore embelli. Aussi Prullière s’enrageait-il 1939 13| pas plaisir du tout. Ça m’embêtait, parole d’honneur!... Alors, 1940 8| couvrit de caresses. Bosc, embêté, parlait de se mettre à 1941 11| placée!... Assez donc! nous embête-t-il, celui-là, avec son Frangipane! 1942 10| Oh! que les hommes m’embêtent!~Une après-midi, comme elle 1943 11| et Frangipane second! ça embêterait sa patrie! Labordette, qu’ 1944 8| qu’il les avait joliment embêtés, elle et son pâtissier, 1945 4| des Russes, à cause de son embonpoint. Puis, rapidement, Daguenet 1946 9| flamme de gaz prise à l’embranchement de la rampe, et dont un 1947 5| était desséchée dans l’air embrasé des loges, au milieu des 1948 8| madame Lerat voulut que Nana embrassât tout de suite Louiset, parce 1949 5| gaieté.~— Voyons, Clarisse, embrasse le monsieur, répéta Fauchery. 1950 2| qu’elles ne s’étaient pas embrassées; et elles se posèrent de 1951 8| un geste superbe. Mais l’embrassement tiède de cette femme qui 1952 3| continuèrent l’entretien, dans l’embrasure d’une fenêtre. Fauchery, 1953 4| Est-ce qu’elle savait! On l’embrouillait toujours.~Ça se gâtait, 1954 2| glissé, ses cheveux dénoués, embroussaillés, roulaient sur ses épaules.~— 1955 4| les bougies très hautes s’éméchaient à peine, faisaient un jour 1956 1| hui... J’en suis revenu émerveillé.~— On assure qu’on ne sera 1957 6| en s’exclamant, Zoé dut s’émerveiller sur la beauté de l’évier 1958 10| incendiaires, des commencements d’émeute à la suite d’appels aux 1959 13| qui disparaissaient, comme émiettés au fond des tiroirs; des 1960 10| rayonnait. C’était un dernier emménagement en plein gâchis de la vie 1961 10| vous, Zoé, êtes-vous folle? Emmenez-le! Gardez-le en bas, je vais 1962 1| fais-tu donc là, Satin?~— Je m’emmerde, répondit Satin tranquillement, 1963 8| parce qu’il y a un tas d’emmerdeurs.~Dès lors, quand Nana s’ 1964 1| comtesse Muffat, toute droite, emmitouflée de fourrures, regardait 1965 6| des rougeurs subites, un émoi qui la laissait frissonnante, 1966 1| fille. La vue de Gaga l’émotionnait, ses yeux ne la quittaient 1967 1| la mère très digne, l’air empaillé.~— Tu viens avec nous, je 1968 10| année de séparation; il s’emparait de ses mains, fouillait 1969 6| Elle s’était tout de suite emparée du cocher, un petit vieux 1970 12| nourrissant l’idée de s’emparer du jeune ménage comme du 1971 1| blonde dont le joli visage s’empâtait, arrivait en compagnie d’ 1972 2| un meuble, avec une plume empâtée de rouille. La lettre était 1973 8| quarantaine, énormes, avec des empâtements de chair, des bouffissures 1974 8| pour trente sous. Et ça empaumait des chefs de bureau par 1975 11| si vous voulez, ça ne m’empêchera pas de croire ce que je 1976 2| ma lettre, demain vous l’empêcherez d’entrer.~Cependant, Zoé 1977 4| autres rois, les autres empereurs qu’on attendait. Toutes 1978 7| ses cabinets d’aisances empestés, sa fontaine, le fourneau 1979 5| lettres, des journaux s’empilaient. Sur la table, il y avait 1980 1| sur laquelle elle avait empilé des vêtements.~— Mais je 1981 5| de rabot aux décors, un empilement de barrières de bois, qu’ 1982 12| sens. C’était une folie d’empiler cinq cents personnes dans 1983 10| et des cloisonnés chinois emplis de fleurs, des divans recouverts 1984 1| voulait passer, tandis que les employés du contrôle se multipliaient. 1985 8| claques. Elle, accoutumée, empochait ça. Parfois, elle criait, 1986 8| être grugée à ce point et n’empocher que des gifles!... Tu poses 1987 6| mais, décidément, ça les empoignait. Quelle force, cette Irma! 1988 14| le lendemain, et elle s’empoigne avec la tante, à propos 1989 1| certainement il n’était pas encore empoigné. Mignon jurait que la pièce 1990 1| messieurs en gants blancs, empoignés eux aussi par le galbe de 1991 7| un éclat de pierreries, empoisonnait les hommes rien qu’à se 1992 5| coupaient par instants l’empoisonnement des haleines. En passant, 1993 14| Le cadavre commençait à empoisonner la chambre. Ce fut une panique, 1994 13| se dégoûtaient, le sucre empoissant les verres, le gaz brûlant 1995 9| les reins... Pardon, je m’emporte.~Il se tut, un silence régna. 1996 8| répondre!~— Ah! si tu t’emportes! dit Nana. Le calcul est 1997 13| d’avarice même, furent emportés, il donna tout, jusqu’à 1998 13| c’est fini, prenez-moi, emportez-moi, que je ne voie plus, que 1999 4| Dieu! grognait-il, est-on empoté tout de même!... Ah! mes 2000 1| directeur dont la face s’empourprait. Est-ce qu’une femme a besoin 2001 1| embarrassées, mais Labordette s’empressa d’aller leur chercher une 2002 4| la table. Les garçons s’empressaient. Après les relevés, les 2003 12| Hugon avec ses fils, s’était empressé de lui offrir le bras; et