Par.

 1        V|           colonel :~ ~ ~« C’est ma sœur, dit-il, que je n’aurais
 2        V|          avec vous aujourdhui… Ma sœur…~ ~ ~– Eh ! où diable voulez-vous
 3        V|          grande satisfaction de sa sœur, comme il était facile de
 4        V|           bien, mademoiselle votre sœur choisira pour vous. »~ ~ ~
 5        V|          crainte sans doute que sa sœur ne dît ou ne fît quelque
 6        V|   soustraire à une question que sa sœur lui adressait mentalement
 7        V|       régnait entre le frère et la sœur, demanda avec sa franchise
 8        V|       dispositions poétiques de sa sœur. Il eut beau jurer que rien
 9        V|       obligé à la fin de dire à sa sœur :~ ~ ~« Eh bien, improvise
10        V|        écria Orso en embrassant sa sœur avec une émotion qui contrastait
11       VI|        abord, sur une lettre de sa sœur, il avait cru les Barricini
12       VI|        partager les préjugés de sa sœur. Cependant, toutes les fois
13       VI|     innocents, mais pour marier sa sœur et vendre ses petites propriétés,
14      VII|           Soit que l’arrivée de sa sœur eût rappelé à Orso avec
15      VII| franchement, que pensez-vous de ma sœur ?~ ~ ~– Elle me plaît beaucoup,
16      VII|            la résignation de votre sœur, elle vous donne l’exemple.~ ~ ~–
17      VII|          sommes une race rusée. Ma sœur comprend qu’elle ne me tient
18      VII|        Nevil, vous calomniez votre sœur.~ ~ ~– Non, vous l’avez
19      VII|       bonne, si indulgente pour ma sœur !… Nous revenions, le colonel
20      VII|            Vous l’avez promis à ma sœur.~ ~ ~– Et si nous manquions
21     VIII|         Orso devait partir avec sa sœur de très bon matin, et la
22     VIII|            miss Lydia suivie de sa sœur. Elle s’était levée à cinq
23     VIII|          matin, dit Orso. C’est ma sœur sans doute qui vous aura
24     VIII|          moment à voix basse. « Ma sœur, dit Orso à miss Nevil,
25     VIII|          le temps n’efface pas. Ma sœur me dit que vous avez regardé
26     VIII|           Lydia vit le frère et la sœur monter à cheval. Les yeux
27       IX|   Cependant Orso cheminait avec sa sœur. Le mouvement rapide de
28       IX|           la sorte, le frère et la sœur arrivèrent à un petit village,
29       IX|         rapprochés d’Orso et de sa sœur pour être en mesure de leur
30       IX|        maison du maire, lorsque sa sœur l’avertit et l’engagea à
31        X|            inquiétude vague que sa sœur lui inspirait, et par dessus
32       XI|            descendit et demanda sa sœur.~ ~ ~« Elle est à la cuisine
33       XI|           y a de l’affectation, ma sœur, à garder le deuil si longtemps.~ ~ ~–
34       XI|       pendant le repas il dit à sa sœur que sa malle contenait un
35       XI|            dernières paroles de sa sœur retentissaient sans cesse
36       XI|       songeait aux reproches de sa sœur, et ce qui restait de corse
37       XI|             de moi et de ma petite sœur. Avant que maman fût malade,
38       XI|            parlé. Mais c’est votre sœur surtout qui est bonne pour
39       XI|          mon ami Brandolaccio, une sœur à moi qui avait fait des
40      XII|      enhardi par l’air calme de sa sœur, lui raconta sa rencontre
41      XII|          brilla sur le front de sa sœur.~ ~ ~« Oui, poursuivit Orso,
42      XII|          Je n’aime point à voir ma sœur se donner ainsi en spectacle
43      XII|          âge, et… je t’en prie, ma sœur.~ ~ ~– Mon frère, j’ai promis.
44      XII|       fléchir et se rendit avec sa sœur à la maison de Pietri. Le
45      XII|          Orso, il s’approcha de sa sœur, lui prit le bras et l’entraîna
46      XII|          et escortèrent Orso et sa sœur jusqu’à la porte de leur
47     XIII|       amitiés à mademoiselle votre sœur. J’ai pour vous une lettre
48     XIII|           et de mademoiselle votre sœur. »~ ~ ~Orso s’inclina. «
49     XIII|           parle mademoiselle votre sœur, – il se nommait, je crois,
50     XIII|         les… suppositions de votre sœur. »~ ~ ~Orso, après quelques
51     XIII|            pas chez eux !~ ~ ~– Ma sœur !~ ~ ~– Non, mon frère,
52      XIV|       Chilina montait auprès de sa sœur.~ ~ ~« Mon père a été un
53      XIV|           guère à discuter avec sa sœur les griefs vrais ou faux
54      XIV|       attendu quelque temps que sa sœur redescendît, et ne la voyant
55       XV|          descendit et demanda à sa sœur si le préfet ne l’avait
56       XV|     reproches qu’il adressait à sa sœur ; mais les fils du maire
57       XV|          être entendu.~ ~ ~– Si ma sœur me jouait de ces tours,
58       XV|            air de modération de sa sœur.~ ~ ~– La lettre contrefaite,
59       XV|          ouvrir cette porte. Votre sœur aura peut-être à rendre
60       XV|          et je suis heureux que ma sœur n’ait pas un poignet de
61       XV|          préfet, vous rendrez à ma sœur la justice de croire que
62      XVI|         bon coup ? Croyez-en votre sœur, Orso ; les robes noires
63      XVI|            stupéfait, regardait sa sœur avec une admiration mêlée
64      XVI|       brider le cheval. Orso et sa sœur le suivirent de près et
65      XVI|              Souviens-toi bien, ma sœur, poursuivit Orso, que si
66      XVI|     renouvelé ses injonctions à sa sœur et aux bergers restants,
67    XVIII|      écrire, et qu’il chargeait sa sœur de supplier une dame qui
68    XVIII|      verrai plus : mais dites à ma sœur que j’ai encore votre estime,
69      XIX|              J’ai accompagné votre sœur, dit miss Lydia… pour qu’
70      XIX|      lui-même le doux appui que sa sœur venait de lui donner, et,
71      XIX|         sur le front : « Ma petite sœur, dit-elle bien bas, me pardonnez-vous ?~ ~ ~–
72      XIX|          le faut bien, ma terrible sœur », répondit Lydia en lui
73       XX|      séparèrent alors : Orso et sa sœur prirent le chemin de Cardo,
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