Par.

 1        I|    Naples. Au dessert, les deux hommes, restés seuls avec des bouteilles
 2       II|      que votre père et tous les hommes de votre famille. »~ ~ ~
 3       II|        tué je ne sais combien d’hommes et de chevaux. La retraite
 4       II|   montra de la main à un de ses hommes. J’entendis quelque chose
 5       II|      Orso et disparut. Les deux hommes causèrent alors chasse et
 6       IV|   Ajaccio. Vers six heures, les hommes revenaient chargés de gibier ;
 7       IX|       découvrirent sept ou huit hommes armés de fusils, les uns
 8       IX|        au centre de ce groupe d’hommes à cheval parlant tous ensemble
 9       XI|     demeure dans la mémoire des hommes, cette offrande singulière
10       XI|         le maquis. Bientôt deux hommes mal vêtus, mais bien armés,
11       XI|         le plus âgé de ces deux hommes. Eh quoi ! vous ne me reconnaissez
12       XI|      conversation avec ces deux hommes, dont chacun avait au moins
13      XII|        autre étaient rangés les hommes, debout, tête nue, l’œil
14      XII|      tout haut et deux ou trois hommes qui, dans l’occasion, auraient
15      XII|      improvisatrice ; plusieurs hommes jetaient des regards farouches
16     XIII|        rusé, le plus fourbe des hommes. Je vous en conjure, ne
17      XIV| introduisit dans sa maison deux hommes de fort mauvaise mine ;
18      XIV|       manger. Ce qu’étaient ces hommes, on le saura tout à l’heure.~ ~ ~ ~
19      XVI|     suspendu le maire, tous les hommes d’ici sont pour nous. Nous
20      XVI|     répondrions pas ! Êtes-vous hommes ?~ ~ ~– Vengeance ! répondirent
21     XVII|        aurait pu croire que ces hommes sur qui il venait de tirer
22    XVIII|         au colonel :~ ~ ~« Deux hommes si adroits ! si terribles !…
23    XVIII|    femmes, les imprécations des hommes redoublèrent lorsqu’on se
24    XVIII|    Êtes-vous Corses ? êtes-vous hommes ? Misérables qui ne savez
25      XIX|         étroits du maquis, deux hommes armés jusqu’aux dents se
26       XX|         Peu après parurent deux hommes barbus, le fusil sous le