Par.

 1        I|                          I – LES REÎTRES~ ~ ~ ~Non loin d’Étampes,
 2        I|       cavaliers allemands nommés reîtres11 qui venaient offrir leurs
 3        I|     était assis le capitaine des reîtres. C’était un grand et gros
 4        I|        montait. Le trompette des reîtres se leva du banc sur lequel
 5        I|           assez bas pour que les reîtres ne l’entendissent point :~ ~ ~—
 6        I|       protestants ?~ ~ ~— Et des reîtres, par-dessus le marché, continua
 7        I|         a parlé bien souvent des reîtres, et des belles charges qu’
 8        I|  sévèrement que le capitaine des reîtres.~ ~ ~— Ah ! je vois que
 9        I|          les têtes endurcies des reîtres, tout cela lui donnait alors
10        I|      chanson de guerre, dont les reîtres entonnèrent le refrain à
11        I|           papaux.~ ~ ~ ~Tous les reîtres, échauffés par le vin, commencèrent
12       II|        brisés, adressez-vous aux reîtres, c’est leur affaire. Reste
13       II|         et protection.~ ~ ~— Les reîtres, les reîtres ! dit-il… voir
14       II|                 Les reîtres, les reîtres ! dit-il… voir de leur argent,
15       II|         demander à messieurs les reîtres protestants, répondit l’
16       II| attraperait probablement pas les reîtres ce jour-là ; que son cheval
17       IV|       demande deux compagnies de reîtres… et… il m’appela lâche !~ ~ ~ ~
18       XX|    Bertrand, qu’une compagnie de reîtres valait mieux qu’un escadron
19       XX|         la place leurs chiens de reîtres allemands.~ ~ ~— Si cela
20    XXIII|          huit jours. Mes pauvres reîtres… mon cornette… sont dans
21    XXIII|       bas Mergy au capitaine des reîtres.~ ~ ~ ~Dietrich lui serra