Par.

 1        I|     un homme assez sot pour croire à toutes les fadaises que
 2        I|    Français, vous ne voulez croire à rien. Mais que diriez-vous
 3       IV|   été la mienne… Qui ? moi… croire aux sermons hypocrites de
 4       IV|    doute ! et il vaut mieux croire au purgatoire, à la confession,
 5       IV|     parts. Je ne sais point croire ce que ma raison me montre
 6       IV|    je n’ai pu et je ne puis croire. Croire est un don précieux
 7       IV|    pu et je ne puis croire. Croire est un don précieux qui
 8        X|    heure, je veux bien vous croire, répondit-il ; mais, quand
 9        X|  Pompignan. Vous ne sauriez croire, monsieur de Mergy, la différence
10       XI|     rougissant beaucoup, de croire à ces reliques de papistes ;
11      XIV|     lieues. S’il fallait en croire les mauvaises langues, la
12      XIV|     épée.~ ~ ~— J’aime à le croire ; mais il se pourrait que
13      XIV|   un pressentiment, faisait croire qu’elle n’avait pas plus
14    XVIII|     catholiques vous voulez croire à tout prix, sans vous mettre
15    XVIII|  amour puisse m’empêcher de croire que deux et deux font quatre ?~ ~ ~—
16      XXI|  mourir pour vous, mais non croire à de certaines choses.~ ~ ~ ~
17      XXI|   ans, jamais on ne me fera croire qu’un morceau de pain sans
18     XXIV|     protestants, pouvait-on croire encore aux promesses de
19    XXVII| ennemis.~ ~ ~— Il faut bien croire à quelque chose, dit le