Partie

  1       II|     encore vingt-quatre heures ? dit-il.~ ~ ~– Le voyage est bien
  2       II|             Est-ce pour demain ? dit-il en regardant l’écuyer.~ ~ ~ ~
  3       II|     aimez-la comme votre enfant, dit-il.~ ~ ~ ~Ce furent ses dernières
  4      III|               Chère cousine, lui dit-il, vous m’avez demandé hier
  5       IV|          de loups.~ ~ ~– Ça, lui dit-il, tu n’as donc pas eu peur ?~ ~ ~–
  6       IV|          marquis, je vous adore, dit-il. À présent, ne me tuez plus,
  7        V|        au bord.~ ~ ~– Messieurs, dit-il, je vous souhaite la bienvenue
  8        V|    Cacher mon nom, et pourquoi ? dit-il ; il est de ceux qu’on peut
  9        V|          Dieu jugera entre nous, dit-il.~ ~ ~ ~Les deux glaives
 10        V|       hier Mlle de Souvigny, lui dit-il, il m’a semblé que ce nom
 11        V|        plaît de vous en assurer, dit-il, voyez !~ ~ ~ ~M. de Pappenheim
 12        V|         un signe :~ ~ ~– Assez ! dit-il.~ ~ ~ ~Le regard du comte
 13        V|        qu’on apprend aux écoles, dit-il ; il vous manque ce qu’on
 14        V|    logique, monsieur le marquis, dit-il ; vous flairez une aventure
 15        V|      Renaud.~ ~ ~– Sérieusement, dit-il, d’un air inquiet, es-tu
 16       VI|        ce que j’attends de toi ? dit-il alors.~ ~ ~– À peu près,
 17       VI|       asseyant :~ ~ ~– Je crois, dit-il, que nous finirons par nous
 18       VI|          et l’épée sont à vous ! dit-il.~ ~ ~– Combien as-tu d’hommes ?~ ~ ~–
 19       VI|            Il faut tout prévoir, dit-il, on t’a vu causer deux ou
 20       VI|      cours, précipite ta fuite ! dit-il, si profondément que tu
 21       VI|                 Tu avais raison, dit-il.~ ~ ~ ~Et il lui raconta
 22       VI|          une odeur de bois vert, dit-il. Je demande à être enfermé
 23       VI|       joues.~ ~ ~– Ma princesse, dit-il, voici deux jeunes seigneurs
 24       VI|              Causons, mon brave, dit-il.~ ~ ~ ~Et soulevant le verre
 25       VI|        rôdent autour de lui ? Ne dit-il pas qu’il les conduit à
 26       VI|        nous courions à la mort ? dit-il en s’adressant au marquis.~ ~ ~–
 27       VI|           On chuchote et on rit, dit-il à voix basse.~ ~ ~ ~Cela
 28       VI|         appelez-vous, monsieur ? dit-il alors.~ ~ ~– Le marquis
 29       VI|        la Guerche me remplacera, dit-il.~ ~ ~ ~M. de Pappenheim
 30       VI|        je vous ferai mes adieux, dit-il.~ ~ ~ ~Peu d’heures après,
 31       VI|  émotions abrégeront mes jours ! dit-il.~ ~ ~ ~
 32      VII|      vous avez confiance en moi, dit-il, pour l’amour de Dieu, levez-vous
 33      VII|       plus.~ ~ ~– C’est si vrai, dit-il, que ce brave capitaine
 34      VII|            Bien joué ! monsieur, dit-il, tandis que sa main tourmentait
 35      VII|               Monsieur le comte, dit-il, demain je partirai pour
 36     VIII|    reverrons, monsieur le comte, dit-il avec un accent tout particulier.~ ~ ~–
 37     VIII|         au revoir, mademoiselle, dit-il.~ ~ ~ ~Son regard glissa
 38     VIII|   Monsieur, vous êtes libre, lui dit-il d’un air poli.~ ~ ~ ~Le
 39     VIII|          subite :~ ~ ~– Allons ! dit-il, ce n’est pas à l’auberge
 40     VIII|              Ah ! un mot encore, dit-il ; la maison rouge est vide.
 41     VIII|        jours en train de mourir, dit-il ; or, comme il m’a semblé
 42     VIII|      Renaud.~ ~ ~– Tu as raison, dit-il en riant, il faut voir le
 43     VIII|         de Pardaillan m’a écrit, dit-il ; un homme est venu tout
 44     VIII|        auprès de vous, mon père, dit-il.~ ~ ~– Bien, mon enfant ;
 45     VIII|       Jacob, Dieu tout-puissant, dit-il, Tu vois ces deux êtres
 46     VIII|        je vois partir l’enfant ! dit-il.~ ~ ~ ~Adrienne pleurait,
 47     VIII|          toit qui t’a vu naître, dit-il ; puisses-tu y rentrer quelque
 48     VIII|         battants :~ ~ ~– Allez ! dit-il.~ ~ ~ ~Quelques minutes
 49     VIII|         du Ciel, sois avec eux ! dit-il.~ ~ ~ ~Et lui-même, suivi
 50     VIII|         Qu’il vienne, à présent, dit-il à voix haute, l’épée ne
 51     VIII|                Dieu me pardonne, dit-il, si je ne savais pas que
 52     VIII|        peut perdre cinq minutes, dit-il.~ ~ ~ ~Adrienne posa la
 53     VIII|                 Une hôtellerie ! dit-il, voyez là-bas cette fumée
 54       IX|      paraît étrangère à ce pays, dit-il, et vous cherchez, j’imagine,
 55       IX|           abominable parpaillot, dit-il, on t’aspergerait d’eau
 56       IX|      Vous êtes presque chez moi, dit-il.~ ~ ~ ~Et se découvrant
 57       IX|      Machabée pour la vaillance, dit-il, mais c’est en même temps
 58       IX|    terreur échauffe mon cerveau, dit-il, permettez-moi de me nommer
 59       IX|       Nous sommes tous mortels ! dit-il simplement.~ ~ ~– Alors,
 60       IX|    inspirez une telle sympathie, dit-il, que je prétends vous laisser
 61       IX|    tendit la main.~ ~ ~– Donnez, dit-il.~ ~ ~– Oh ! pas encore,
 62       IX|               Ah ! vous partez ! dit-il, et Mlle de Souvigny part
 63       IX|         qui croyez-vous parler ? dit-il.~ ~ ~ ~Don Gaspard ne remua
 64       IX|       Pas de bruit, jeune homme, dit-il, je parle à des étourdis !
 65       IX|       passage.~ ~ ~– Trop tard ! dit-il.~ ~ ~– Monsieur, dit alors
 66        X|           cette arme, la voilà ! dit-il.~ ~ ~ ~Mathéus ouvrit les
 67        X|          plus qu’il ne méritait, dit-il.~ ~ ~– Ah ! c’est pour vous !
 68        X|          que je sois tranquille, dit-il ; mais il faut donner à
 69       XI|           Eh ! ventre mahom ! se dit-il, c’est Péters !~ ~ ~ ~Le
 70       XI|       pas faible et tout tordu ? dit-il avec un regard d’une indicible
 71       XI|       Dieu ! c’est fait de moi ! dit-il.~ ~ ~ ~Un coup de feu l’
 72       XI|      Carquefou :~ ~ ~– Regarde ! dit-il.~ ~ ~ ~Et d’un doigt rigide,
 73      XII|             Monsieur le marquis, dit-il, j’ai coudoyé un homme,
 74      XII|       bras.~ ~ ~– À genoux ! lui dit-il.~ ~ ~ ~La clochette qui
 75      XII|       pense à Mlle de Souvigny ! dit-il.~ ~ ~ ~L’homme noir disparut,
 76      XII|         Faisons comme le lièvre, dit-il, quittons le gîte.~ ~ ~ ~
 77      XII|        péchés nous soient remis, dit-il ; un grand péril me menace
 78      XII|       Une femme m’a été confiée, dit-il en finissant ; m’aiderez-vous
 79      XII|      vôtres vous m’êtes sacrés ! dit-il.~ ~ ~– Je n’ai plus qu’une
 80      XII|    découvrir :~ ~ ~– Hâtez-vous, dit-il, le seigneur Mathéus n’est
 81      XII|                Ferme à présent ! dit-il.~ ~ ~ ~Armand-Louis, Dominique
 82      XII|         eux.~ ~ ~– Rien encore ! dit-il.~ ~ ~ ~Cependant sous l’
 83      XII|       madame, ne tremblez plus ! dit-il.~ ~ ~ ~Adrienne s’agenouilla
 84      XII|         de l’imiter.~ ~ ~– Feu ! dit-il.~ ~ ~ ~Sept ou huit balles
 85      XII|      devoir ! Dieu ait son âme ! dit-il.~ ~ ~ ~Mais déjà le calviniste
 86      XII|    menaçante :~ ~ ~– Au revoir ! dit-il.~ ~ ~ ~Bientôt après, il
 87     XIII|      fille, Diane de Pardaillan, dit-il, aimez-la comme une sœur.~ ~ ~ ~
 88     XIII|       Mlle de Souvigny ma nièce, dit-il le sourcil froncé et les
 89     XIII|             Monsieur le marquis, dit-il, vous avez peut-être vu
 90     XIII|            Vous aviez une perle, dit-il en faisant allusion à Diane,
 91     XIII|      adorable !… c’est une fée ! dit-il.~ ~ ~– Est-ce d’aujourd’
 92     XIII|        cierges n’y peuvent rien, dit-il ; il faut donc que je me
 93     XIII|      angoisse.~ ~ ~– Ma bourse ? dit-il.~ ~ ~– Parbleu ! celle que
 94     XIII|          sa poche.~ ~ ~– Voilà ! dit-il en tirant sa bourse des
 95     XIII|          plaît-il de continuer ? dit-il ; j’accepte la bourse pour
 96     XIII|      Jean de Werth.~ ~ ~– Alors, dit-il d’un ton radouci, que ne
 97     XIII|      concernent personnellement, dit-il, rien n’est changé, n’est-ce
 98     XIII|    Souvigny.~ ~ ~– Je partirai ! dit-il avec effort.~ ~ ~ ~M. de
 99     XIII|    sourire :~ ~ ~– On m’a conté, dit-il, l’histoire d’un philosophe
100     XIII|             Porte-le à l’écurie, dit-il, et quand le bâton sera
101     XIII|         est à votre disposition, dit-il, et comme on peut manquer
102      XIV|        le marquis de Pardaillan, dit-il ; et M. de Pardaillan attend
103      XIV|                Affaire manquée ! dit-il ; mais j’ai reçu la somme,
104      XIV|         une récompense, je paye, dit-il.~ ~ ~ ~Le laquais se baissa
105      XIV|      reconnu.~ ~ ~– Encore toi ! dit-il ; ah ! maudit ! cette fois,
106      XIV|                 Au revoir donc ! dit-il.~ ~ ~ ~Et il partit à fond
107       XV|           Marguerite, où es-tu ? dit-il.~ ~ ~ ~Une femme tout enveloppée
108       XV|       confiance seule, monsieur, dit-il, peut reconnaître de tels
109       XV|    moustaches.~ ~ ~– Je vois là, dit-il, des flacons pleins d’un
110       XV|          maître de notre secret, dit-il alors. Ce que vous avez
111       XV|       son hôte :~ ~ ~– Parbleu ! dit-il, entre nous la reconnaissance
112       XV|     français à qui je dois tout, dit-il vivement.~ ~ ~– Eh bien !
113       XV|          Oui, je les ai perdues, dit-il froidement.~ ~ ~ ~Un instant
114       XV|     comment le connaissez-vous ? dit-il, en s’adressant à M. de
115       XV|     remis pour Votre Seigneurie, dit-il.~ ~ ~ ~Le valet s’inclina
116       XV|         faire dire au courrier ? dit-il.~ ~ ~– Dis-lui que je pars,
117       XV|   Marguerite, et vive Adrienne ! dit-il.~ ~ ~ ~Et, lâchant la bride
118      XVI|        eh ! monsieur le marquis, dit-il en riant, deux commissions
119      XVI|        qui vous a remis ce pli ? dit-il.~ ~ ~– Non, monsieur le
120      XVI|     traits.~ ~ ~– Voyez, lisez ! dit-il avec un élan qu’il ne sut
121      XVI|         le baron Jean de Werth ? dit-il tout à coup.~ ~ ~– Ah !
122      XVI|          de France.~ ~ ~– Lisez, dit-il à Mlle de Souvigny, et lisez
123      XVI|     auprès de M. de Charnailles, dit-il, assurez-le que Mlle de
124      XVI|      chez moi ; c’est mon hôte ! dit-il.~ ~ ~– Voilà encore un homme
125      XVI|       frappa du pied.~ ~ ~– Ah ! dit-il, pourquoi m’a-t-il sauvé
126      XVI| Armand-Louis.~ ~ ~– Espère, ami, dit-il ; Jean de Werth ne s’appelle
127     XVII|     religion et les calvinistes, dit-il ; je suis gentilhomme et
128     XVII|        de trop, ma chère Thécla, dit-il.~ ~ ~– Et pourquoi ne parlerais-je
129     XVII|      menace, madame la baronne ? dit-il.~ ~ ~ ~Mais Thécla, subitement,
130     XVII|         je ne la reverrai plus ? dit-il.~ ~ ~ ~L’angoisse de la
131     XVII|       les hommes, j’ai mon épée, dit-il ; contre les femmes, l’oubli.~ ~ ~ ~
132     XVII|     reviens pas, priez pour moi, dit-il.~ ~ ~ ~Adrienne tira une
133     XVII|         le ruban, à moi le cœur, dit-il.~ ~ ~– À vous le cœur, à
134     XVII|               Monsieur le comte, dit-il, je préfère la dame au gentilhomme.
135     XVII|               Ma foi, tant pis ! dit-il encore, puisque tu vas défendre
136    XVIII|          Je mourrai content, lui dit-il, je sais maintenant que
137    XVIII|          qui tombent là dedans ! dit-il ; mais je vaincrai la ville
138    XVIII|        son lit :~ ~ ~– Eh bien ? dit-il.~ ~ ~– Tout est perdu !
139    XVIII|         à Mlle de Souvigny ? lui dit-il.~ ~ ~– Il n’est pas de minute
140    XVIII|            mon fils, sois béni ! dit-il.~ ~ ~ ~Les choses se firent
141    XVIII|  compteras ceux qui reviendront, dit-il.~ ~ ~ ~Le visage du piquier
142    XVIII|         reviendront m’oublient ! dit-il.~ ~ ~ ~Et il frappa la terre
143    XVIII|          écartèrent.~ ~ ~– Feu ! dit-il.~ ~ ~ ~Un jet de flammes
144    XVIII|      secoua la tête.~ ~ ~– Non ! dit-il, si la retraite n’était
145    XVIII|         Chapeau bas ! messieurs, dit-il aux gentilshommes qui se
146    XVIII|        ait son âme ! il a vécu ! dit-il.~ ~ ~ ~Derrière lui, et
147    XVIII|      après un aussi long temps ! dit-il.~ ~ ~ ~Et il le serra contre
148    XVIII|     Armand-Louis.~ ~ ~– Allons ! dit-il, si l’on donne l’assaut,
149    XVIII|                C’était bien lui, dit-il, mon ami, M. le comte de
150    XVIII|          toujours bien conduit ? dit-il.~ ~ ~– Moi, du mal ?… à
151    XVIII|         À présent, que veux-tu ? dit-il à M. de Chaufontaine.~ ~ ~–
152    XVIII|           je tâcherai de l’être, dit-il.~ ~ ~ ~Et secouant la poussière
153    XVIII|        France et de Navarre, lui dit-il, nomme-moi capitaine des
154    XVIII|          honneur de gentilhomme, dit-il ; vivant, vous présenterez
155      XIX|             À la grâce de Dieu ! dit-il, tandis que son cheval dévorait
156      XIX|         donc pas bonne par ici ? dit-il.~ ~ ~– La mer n’est sûre
157      XIX|    vagues :~ ~ ~– C’est la côte, dit-il, si nous y touchons, nagez
158      XIX|      Voici le feu, voici l’eau ! dit-il. Si Dieu n’étend pas Sa
159      XIX|         pense-t-il à se rendre ? dit-il.~ ~ ~ ~Personne ne répondit.~ ~ ~ ~
160      XIX|         Adrienne.~ ~ ~– Allons ! dit-il, je puis lutter encore !~ ~ ~ ~
161      XIX|       embrasser une jolie fille, dit-il, voici comment je m’y prendrais,
162      XIX|                Mademoiselle, lui dit-il, un étranger, que la fortune
163      XIX|         abord, soyons polis, lui dit-il gaiement.~ ~ ~ ~Les buveurs
164      XIX|     vaincu.~ ~ ~– Est-ce assez ? dit-il.~ ~ ~ ~Magnus ouvrit ses
165      XIX|          Sans rancune au moins ? dit-il.~ ~ ~ ~Magnus saisit la
166      XIX|       coup.~ ~ ~– Mon capitaine, dit-il, vous ne connaissez pas
167      XIX|         autant l’un que l’autre, dit-il.~ ~ ~ ~Et assurant son feutre
168       XX|        franchise pour franchise, dit-il ; tout gentilhomme que je
169       XX|         maille et sans couronne, dit-il encore ; c’est pourquoi
170       XX|   Armand-Louis.~ ~ ~– J’imagine, dit-il, que vous êtes de ceux qui
171       XX|    vêtements noirs.~ ~ ~– Frère, dit-il en prenant la main de M.
172       XX|          du « Saumon couronné », dit-il.~ ~ ~– Retournons ! répondit
173      XXI|           ne m’aimez-vous plus ? dit-il tout à coup, tandis que
174      XXI|         au ciel :~ ~ ~– Le roi ! dit-il.~ ~ ~ ~Marguerite regarda
175      XXI|        vieillesse est souillée ! dit-il ; mais la honte de mes cheveux
176      XXI|          le voulez, Marguerite ! dit-il en soupirant.~ ~ ~– Marguerite
177      XXI|        guerre contre les Danois, dit-il ; j’en équiperai plus encore
178     XXII|       soif que toi ; partageons, dit-il.~ ~ ~ ~Thorwick accepta,
179     XXII|        horreur.~ ~ ~– J’accepte, dit-il.~ ~ ~ ~La partie s’engagea.~ ~ ~ ~
180     XXII|     troisième.~ ~ ~– J’ai gagné, dit-il.~ ~ ~ ~Soudain, Thorwick
181     XXII|       Justice, seigneur sergent, dit-il d’un air de contrition,
182     XXII|        de Frantz.~ ~ ~– Ami, lui dit-il, j’ai nom Jean de Werth ;
183     XXII|          l’heure, maître Frantz, dit-il, car c’est bien ainsi qu’
184     XXII|          en pays de parpaillots, dit-il, c’est une joie bien douce
185     XXII|              Ordonnez, seigneur, dit-il.~ ~ ~ ~Jean de Werth le
186     XXII|   méchante affaire sur les bras, dit-il ; un habile homme comme
187    XXIII| résidence royale est mis à mort, dit-il. C’est un édit que la sagesse
188    XXIII|          que j’aperçois là-bas ? dit-il. Plaise à Dieu qu’il ne
189    XXIII|              Soyez sans crainte, dit-il, mon plan est fait… c’est
190    XXIII|       frappa du pied.~ ~ ~– Ça ! dit-il, est-ce une querelle qu’
191    XXIII|   contorsions.~ ~ ~– Je passais, dit-il précipitamment, monsieur
192    XXIII|      pouvez avoir raison, l’ami, dit-il ; mais ce gentilhomme a
193    XXIII|  expédition.~ ~ ~– Quel combat ! dit-il ; il faut sûrement que votre
194    XXIII|       mains des soldats du roi ? dit-il.~ ~ ~– Dans leurs mains
195    XXIII|               Monsieur le comte, dit-il, la mort, qui parfois arrive
196    XXIII|       son front.~ ~ ~– Monsieur, dit-il à l’officier, avant de passer
197    XXIII|                 Sauve qui peut ! dit-il.~ ~ ~ ~Et toute la bande
198    XXIII|             Qu’y a-t-il encore ? dit-il.~ ~ ~ ~Frantz sourit, et
199    XXIII|   Seigneurie détruira ma santé ! dit-il, je ne dors plus. À quoi
200    XXIII|   éclaira.~ ~ ~– Marché conclu ! dit-il.~ ~ ~ ~Après que Frantz
201    XXIII|          puis dormir tranquille, dit-il ; M. de la Guerche est un
202     XXIV|    partie.~ ~ ~– Le sot coquin ! dit-il, il croit qu’on tue Magnus
203     XXIV|               Monsieur le comte, dit-il, frappez-moi, méprisez-moi,
204     XXIV|             Dieu est le maître ! dit-il.~ ~ ~– Et vous ne me maudissez
205     XXIV|        roi.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, dit-il, encore trois minutes !~ ~ ~ ~
206     XXIV|             Oui, je pleure, leur dit-il, parce que mon maître est
207     XXIV|       frère, un mari, un fiancé, dit-il, priez Dieu pour un jeune
208     XXIV|   laquelle je viens de paraître, dit-il, met-elle un temps bien
209     XXIV|        me présenter devant vous, dit-il, mon devoir m’oblige à vous
210     XXIV|         le roi peut faire grâce, dit-il.~ ~ ~– Ah ! si le roi était
211     XXIV|   arrestation me soient remises, dit-il en se levant.~ ~ ~ ~M. de
212     XXIV|          Monsieur le chancelier, dit-il, M. de la Guerche est un
213     XXIV|        ministre.~ ~ ~– Ma fille, dit-il enfin, remettez votre âme
214     XXIV|        vie, je vous l’offrirais, dit-il ; cette fois, il s’agit
215     XXIV|         Chaque minute qui passe, dit-il, c’est la vie de M. de la
216      XXV|         la rejetant :~ ~ ~– Non, dit-il, M. de la Guerche n’a pas
217      XXV|      boute-selle dans une heure, dit-il, que les deux régiments
218      XXV|               Monsieur le comte, dit-il, le roi vous a rencontré,
219      XXV|       Guerche.~ ~ ~– Ah ! Sire ! dit-il.~ ~ ~ ~Il venait alors de
220      XXV|            Votre main, monsieur, dit-il, et tenez-moi pour votre
221     XXVI|          le sauver ?~ ~ ~– Sire, dit-il en soupirant bien bas, je
222     XXVI| Rassurez-vous, mademoiselle, lui dit-il, M. de la Guerche vit, il
223     XXVI|           J’ai tenu ma promesse, dit-il, j’ai pu voir le roi et
224     XXVI|       Prenez deux jours, madame, dit-il.~ ~ ~ ~Il pouvait donc enfin
225     XXVI|     Gustave-Adolphe.~ ~ ~– Sire, dit-il, il faut que je parte, il
226     XXVI|     courez ! je pars avec vous ! dit-il.~ ~ ~ ~Un moment après,
227     XXVI|         ici le moment de savoir, dit-il d’un voix brève, si un gentilhomme
228    XXVII|         de nous mettre d’accord, dit-il : ne nommons ni l’un ni
229   XXVIII|       les loups.~ ~ ~– Monsieur, dit-il en s’adressant à M. de la
230   XXVIII|        vers Magnus.~ ~ ~– Voilà, dit-il, en lui montrant Carquefou,
231   XXVIII|         J’ai lu dans l’histoire, dit-il hardiment devant M. de Pardaillan,
232   XXVIII|         menées à bonne fin ? lui dit-il en souriant.~ ~ ~– Je ne
233   XXVIII|   Adrienne ; je lui devrai tout, dit-il.~ ~ ~– Voilà ce que j’appelle
234   XXVIII|      hommes, tous de race noble, dit-il ; ils m’ont mis à leur tête,
235   XXVIII|         la Guerche.~ ~ ~– Allez, dit-il, il n’est aucun marchand
236   XXVIII|         ai cherché, j’ai trouvé, dit-il.~ ~ ~– Alors pense à Carquefou ;
237     XXIX|          Mon cœur est resté là ! dit-il en montrant la terre ; maintenant
238      XXX|      finirez par la rencontrer ! dit-il.~ ~ ~– Dieu vous entende !
239      XXX|         un peu loin, messieurs ! dit-il.~ ~ ~– Bah ! le comte de
240      XXX|   railleur, monsieur le marquis, dit-il ; cependant on a vu des
241      XXX|  douteriez-vous de la victoire ? dit-il.~ ~ ~ ~Le comte Éberart
242      XXX|       lui faire perdre son nom ! dit-il.~ ~ ~ ~Armand-Louis se leva.
243      XXX|         Au roi Gustave-Adolphe ! dit-il, à sa victoire ! à l’humiliation
244      XXX|     comte de Pappenheim, un mot, dit-il.~ ~ ~ ~Le comte releva la
245      XXX|          sais ! Livrez-moi donc, dit-il.~ ~ ~ ~Un mouvement d’indignation
246      XXX|     Guerche.~ ~ ~– Voilà un mot, dit-il, dont j’aurais à vous demander
247      XXX|          qui défendait son pays, dit-il, entra un jour déguisé en
248      XXX|          dont je me souviendrai, dit-il.~ ~ ~ ~Et cette fois l’éclair
249     XXXI|           Sire, vous avez tort ! dit-il.~ ~ ~ ~Mais déjà l’épée
250     XXXI|     regarda.~ ~ ~– Oui, Jacobus, dit-il, et celui-là n’oublie rien !~ ~ ~ ~
251     XXXI|           une dague, un cheval ! dit-il.~ ~ ~ ~Il réfléchit une
252     XXXI|       armurier et un maquignon ? dit-il.~ ~ ~ ~Le tavernier cligna
253     XXXI|         vous moissonnez par ici, dit-il en souriant, veuillez m’
254     XXXI|         l’étrier.~ ~ ~– Au fait, dit-il, on peut avoir besoin de
255     XXXI|         M. le duc de Lauenbourg, dit-il ; où puis-je le trouver ?~ ~ ~ ~
256     XXXI|          camp.~ ~ ~– Hâtez-vous, dit-il, le duc partira peut-être
257    XXXII|         presque un enfant alors, dit-il ; le roi l’était aussi.~ ~ ~–
258    XXXII|            Parle, parle, alors ! dit-il. Et si tu m’apportes la
259    XXXII|               Ah ! je comprends, dit-il ; Votre Seigneurie va prendre
260   XXXIII|         je vous cherche, madame, dit-il ; ma maîtresse, qui a eu
261    XXXIV|          ici, je vous massacre ! dit-il les dents serrées.~ ~ ~–
262    XXXIV|    Surtout ne nous séparons pas, dit-il en finissant.~ ~ ~ ~Renaud
263    XXXIV|              Mes seigneurs, leur dit-il d’une voix forte et d’un
264    XXXVI|      parut hésiter.~ ~ ~– Soit ! dit-il enfin.~ ~ ~ ~Le messager
265    XXXVI|      répond de votre bonne foi ? dit-il tout à coup en fixant un
266    XXXVI|                Voici la dépêche, dit-il ; songez que si vous ne
267   XXXVII|             Ah ! le bon apôtre ! dit-il ; parle-t-il sérieusement
268  XXXVIII|        cabrer et poussez un cri, dit-il.~ ~ ~ ~Deux minutes après,
269  XXXVIII|         obéir en toute occasion, dit-il à voix basse ; quand vous
270  XXXVIII|       Les bois de Saint-Rupert ! dit-il.~ ~ ~ ~Le vent apporta le
271  XXXVIII|          avec le frère Hilarion, dit-il.~ ~ ~ ~Magnus frissonna.
272  XXXVIII|         a-t-on rien recommandé ? dit-il.~ ~ ~– J’ai ordre de vous
273  XXXVIII|        avais jamais vue, madame, dit-il, cette grâce dont je subis
274  XXXVIII|         décida.~ ~ ~– J’accepte, dit-il.~ ~ ~– À la bonne heure !
275  XXXVIII|                Ah ! vous savez ? dit-il.~ ~ ~– Une femme qui vit
276  XXXVIII|        jour, choisissez l’heure, dit-il.~ ~ ~– Nous partirons pour
277    XXXIX|                Si j’échoue, leur dit-il, je ne verrai pas mon échec.~ ~ ~ ~
278    XXXIX|         des « Trois Mages », lui dit-il. Quand les grands font chère
279    XXXIX|         ou deux, je veux savoir, dit-il encore, si ce vieux coquin
280    XXXIX|          que j’ai perdu ma nuit, dit-il, j’ai bien le droit d’aller
281    XXXIX|      pour dent, coup pour coup ! dit-il en entassant des bottes
282    XXXIX|  habillée.~ ~ ~– Hâtez-vous, lui dit-il, et prévenez Mlle de Pardaillan,
283    XXXIX|        Malheur à qui me touche ! dit-il d’une voix haute.~ ~ ~ ~
284    XXXIX|          Elle m’échappe encore ! dit-il.~ ~ ~ ~Les reîtres mis en
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