Partie

  1        I|            de ses premiers ans, Mlle Adrienne de Souvigny. On peut presque
  2       II|         années déjà, Armand-Louis et Adrienne habitaient, sur les confins
  3       II|             les guerres de religion. Adrienne y était arrivée à une époque
  4       II|          vicomte de Souvigny, père d’Adrienne, était mort, laissant une
  5       II|           double ration aux chevaux. Adrienne pleura beaucoup à la pensée
  6       II|             céda.~ ~ ~ ~Le lendemain Adrienne ne manqua pas de se coucher
  7       II|            il avait à fournir.~ ~ ~ ~Adrienne fit encore le lendemain
  8       II|              dans la cheminée.~ ~ ~ ~Adrienne lui sauta au cou. La neige
  9       II|          sage, répliqua l’écuyer, qu’Adrienne regardait de ses yeux les
 10       II|              se contenter. En outre, Adrienne ne quittait plus Armand-Louis,
 11       II|          trépasser, il fit approcher Adrienne qui pleurait, et l’embrassant :~ ~ ~–
 12      III|             un matin sur la beauté d’Adrienne qui, en ce moment, traversait
 13      III|             Mlle de Souvigny !~ ~ ~– Adrienne ?~ ~ ~– Oui, Adrienne.~ ~ ~ ~
 14      III|                Adrienne ?~ ~ ~– Oui, Adrienne.~ ~ ~ ~Armand-Louis écumait
 15      III|               Mlle de Souvigny n’est Adrienne que pour deux personnes,
 16      III|          dans une boîte à coton, ton Adrienne, ça n’empêchera pas quelque
 17      III|             yeux.~ ~ ~– Moi, épouser Adrienne ?… non, mille fois non !…
 18      III|            Parce qu’il vous appelait Adrienne et qu’il assurait que vous
 19      III|             sais pas.~ ~ ~– Ah ! fit Adrienne.~ ~ ~ ~Si la terre s’était
 20      III|     Armand-Louis évita de rencontrer Adrienne jusqu’à la fin du jour.
 21      III|              le souvenir et le nom d’Adrienne remplissaient. Mais ce secret
 22      III|              entendit le pas léger d’Adrienne ; il s’arma de courage,
 23      III|              sur le front charmant d’Adrienne ; elle cueillit des fleurs
 24      III|             ah ! je le déteste ! dit Adrienne.~ ~ ~– Ne le détestez plus !
 25      III|              que je ne fasse ?~ ~ ~ ~Adrienne leva les yeux : une flamme
 26      III|            Il ne put pas continuer : Adrienne venait de s’enfuir, laissant
 27      III|               son espérance, c’était Adrienne. Pour l’obtenir, pour la
 28        V|             regard rencontra celui d’Adrienne. Soudain un sourire plissa
 29        V|                    Vaincu, et devant Adrienne, Armand-Louis aurait désiré
 30        V|          avenue, le fit tressaillir. Adrienne était devant lui.~ ~ ~–
 31        V|            mains les petites mains d’Adrienne, et les pressant sur ses
 32        V|            ta cousine.~ ~ ~– Enlever Adrienne ?~ ~ ~– Eh ! oui, puisqu’
 33      VII|             il faisait voir autour d’Adrienne une grâce plus alerte et
 34      VII|           objets qui appartenaient à Adrienne et que sa main effleurait
 35     VIII|          Baisant alors la main nue d’Adrienne, il se redressa d’un air
 36     VIII|            de la chambre qu’habitait Adrienne.~ ~ ~– Je comprends ! ajouta
 37     VIII|       semblait encore assez peuplée, Adrienne y demeurant. Il ne voulait
 38     VIII|       murmura-t-il.~ ~ ~– La place d’Adrienne est en effet auprès de ce
 39     VIII|             à genoux Armand-Louis et Adrienne, et levant les mains au
 40     VIII|             l’enfant ! dit-il.~ ~ ~ ~Adrienne pleurait, suspendue à son
 41     VIII|             M. de Charnailles pressa Adrienne sur son cœur.~ ~ ~– Non !
 42     VIII|       volonté soit faite ! dit alors Adrienne qui laissa tomber ses bras.~ ~ ~ ~
 43     VIII|              dernière fois, il serra Adrienne entre ses bras ; puis lui-même
 44     VIII|             après, M. de la Guerche, Adrienne et Dominique disparaissaient
 45     VIII|       Quelque temps, Armand-Louis et Adrienne chevauchèrent silencieusement
 46     VIII|            et, quand Armand-Louis et Adrienne regardèrent autour d’eux,
 47     VIII|              plus de mon bras.~ ~ ~ ~Adrienne l’entendit et devina quelle
 48     VIII|          cinq minutes, dit-il.~ ~ ~ ~Adrienne posa la main en abat-jour
 49     VIII|             de Chaufontaine ! reprit Adrienne.~ ~ ~– Et Carquefou ! s’
 50       IX|              qui venait d’apercevoir Adrienne et l’avait examinée en dessous,
 51       IX|              galant et empressé pour Adrienne, beau causeur et fort homme
 52       IX|           Souvigny.~ ~ ~– Merci, dit Adrienne en écartant le bijou.~ ~ ~–
 53       IX|              échangea un regard avec Adrienne.~ ~ ~ ~Bientôt après, il
 54       IX|             mordu par un loup.~ ~ ~ ~Adrienne regarda ce pauvre hère ;
 55       IX|        décocha une œillade du côté d’Adrienne et sortit avec le seigneur
 56       IX|             au coin d’un bois.~ ~ ~ ~Adrienne se pressa contre Armand-Louis.~ ~ ~–
 57       IX|         horions ?~ ~ ~– Péters ? dit Adrienne.~ ~ ~– Oui, madame, ou je
 58       IX|             et comptant les minutes, Adrienne prit un luth et chanta ;
 59       IX|             don Gaspard au momentAdrienne cessait de chanter.~ ~ ~–
 60       IX|          jeta un regard insolent sur Adrienne :~ ~ ~– Ma belle enfant,
 61       IX|               demain vous serez doña Adrienne d’Albacète y Buitrago !~ ~ ~ ~
 62        X|              FLAMBERGE AU VENT~ ~ ~ ~Adrienne s’était jetée à genoux dans
 63        X|              la Guerche, qui souleva Adrienne chancelante dans ses bras.~ ~ ~–
 64        X|                cria Carquefou.~ ~ ~ ~Adrienne, effarée, se suspendit au
 65       XI|              Renaud, Armand-Louis et Adrienne furent prêts en un instant.~ ~ ~–
 66       XI|          Mieux montés, Armand-Louis, Adrienne et Dominique avaient alors
 67       XI|              ajouta Carquefou.~ ~ ~ ~Adrienne pâlit à ce nom.~ ~ ~– Madame,
 68       XI|    Armand-Louis tourna les yeux vers Adrienne.~ ~ ~ ~Elle fit un effort
 69       XI|             des gens de cœur ?~ ~ ~ ~Adrienne tendit ses mains à tous
 70      XII|           autres veillaient autour d’Adrienne.~ ~ ~ ~Chaque matin et chaque
 71      XII|          levait gravement et saluait Adrienne toutes les fois qu’elle
 72      XII|                   Une fille ? répéta Adrienne émue.~ ~ ~– J’en avais deux,
 73      XII|  Armand-Louis se chargea de prévenir Adrienne. Quant à Renaud, qui nourrissait
 74      XII|      soliloque.~ ~ ~– Reste auprès d’Adrienne, dit M. de la Guerche ;
 75      XII|             voisine du port, saluait Adrienne. Une femme pleurait à ses
 76      XII|       déshonorés ! dit Renaud.~ ~ ~ ~Adrienne se coucha au fond du bateau.
 77      XII|              yeux ne quittaient plus Adrienne. La sueur ruisselait sur
 78      XII|             poitrine haletait.~ ~ ~ ~Adrienne s’assit, et du doigt montra
 79      XII|             pont.~ ~ ~ ~La première, Adrienne y posa le pied. Le capitaine
 80      XII|        tremblez plus ! dit-il.~ ~ ~ ~Adrienne s’agenouilla sur le pont
 81     XIII|           lequel la fortune poussait Adrienne, habitait un vaste château
 82     XIII|             ses bras autour du cou d’Adrienne :~ ~ ~– Le voulez-vous ?
 83     XIII|            et à toute heure auprès d’Adrienne ? ne lui semblait-elle pas
 84     XIII|       Guerche. Il voyait bien encore Adrienne, et Adrienne n’était pas
 85     XIII|             bien encore Adrienne, et Adrienne n’était pas changée à son
 86     XIII|        encore vues, si on en excepte Adrienne ; un petit nez fin, des
 87     XIII|           avoir l’occasion d’enlever Adrienne et de disparaître avec elle.~ ~ ~ ~
 88     XIII|           huguenote comme ta cousine Adrienne, mon cher parpaillot ! Je
 89     XIII|          personne n’avait dansé avec Adrienne, et que Renaud, après avoir
 90     XIII|              magnificence aux yeux d’Adrienne, n’était pas une fête pour
 91      XIV|               Cette lumière, c’était Adrienne, à laquelle il pensait toujours.
 92      XIV|          pensait que la vie auprès d’Adrienne y serait belle.~ ~ ~ ~Deux
 93      XIV|             le gazon. Que n’était-ce Adrienne ! Les sons d’une voix argentine
 94      XIV|     Armand-Louis à qui le souvenir d’Adrienne mêlé à celui de Jean de
 95       XV|             Marguerite qui s’appelle Adrienne. Les jours loin d’elle ont
 96       XV|           Adieu, Marguerite, et vive Adrienne ! dit-il.~ ~ ~ ~Et, lâchant
 97      XVI|          pressentiment avait conduit Adrienne à sa fenêtre ? M. de la
 98      XVI|              moins que le souvenir d’Adrienne, sortit là-dessus, laissant
 99      XVI|              de la Guerche cherchait Adrienne ; Adrienne le cherchait
100      XVI|         Guerche cherchait Adrienne ; Adrienne le cherchait aussi.~ ~ ~ ~
101      XVI|  Armand-Louis ne pouvait pas parler. Adrienne avait les yeux humides et
102      XVI|          auquel votre main a touché, Adrienne ?~ ~ ~– Il l’a pris du moins,
103      XVI|       pardonnez-vous, Armand ?~ ~ ~– Adrienne, m’aimez-vous toujours ?~ ~ ~–
104      XVI|       Souvigny, et lisez haut.~ ~ ~ ~Adrienne jeta les yeux sur le papier ;
105      XVI| Hercule-Armand de CHARNAILLES.~ ~ ~ ~Adrienne leva son front pâle. La
106      XVI|              chez M. de Pardaillan ; Adrienne, rentrée dans sa chambre,
107      XVI|          passaient du rose au blanc. Adrienne était comme la statue de
108      XVI|            pieds d’Armand-Louis et d’Adrienne les auraient moins terrifiés.~ ~ ~–
109      XVI|            Werth avec hauteur.~ ~ ~ ~Adrienne se leva.~ ~ ~– J’ai idée
110      XVI|       Armand-Louis allait répliquer, Adrienne passa devant lui, et s’adressant
111      XVI|            venu vous dire : « J’aime Adrienne, je suis digne d’elle, voulez-vous
112     XVII|          mains unies comme les âmes, Adrienne et Armand-Louis échangeaient
113     XVII|             ses lèvres sur la main d’Adrienne.~ ~ ~– Si je ne reviens
114     XVII|              pour moi, dit-il.~ ~ ~ ~Adrienne tira une bague de son doigt
115    XVIII|            que veux-tu que je dise à Adrienne ?~ ~ ~– Que j’ai fait mon
116      XIX|             l’espace ; j’ai pour moi Adrienne et mon épée, rien n’est
117      XIX|          jeta dans la mer. L’image d’Adrienne passa devant ses yeux, et
118      XIX|         brillait la bague donnée par Adrienne.~ ~ ~– Allons ! dit-il,
119      XIX|          vallons. Au bout du chemin, Adrienne l’attendait… Tout à coup
120     XXII|          comprendre que là où serait Adrienne, là irait Armand-Louis.
121     XXII|        suffisait. Si la résistance d’Adrienne était telle qu’elle tenait
122    XXIII|             qu’il n’avait pu joindre Adrienne l’animait d’une rage extraordinaire.~ ~ ~ ~
123    XXIII|               Il venait d’apercevoir Adrienne, elle l’aimait et il avait
124     XXIV|              loyale : il verra cette Adrienne que vous aimez. Mais moi,
125     XXIV|              moi, monsieur, répondit Adrienne, qui se sentit pâlir sans
126     XXIV|         Guerche et…~ ~ ~ ~De nouveau Adrienne ne put pas continuer, les
127     XXIV|             d’un air innocent.~ ~ ~ ~Adrienne s’empara des mains d’Arnold :~ ~ ~–
128     XXIV|         laisser voir qu’il pleurait. Adrienne courut vers M. de Pardaillan :~ ~ ~–
129     XXIV|         heures sont comptées !~ ~ ~ ~Adrienne s’arracha des bras de M.
130     XXIV|              arrivé.~ ~ ~ ~Cependant Adrienne et M. de Pardaillan venaient
131     XXIV|                     Du premier élan, Adrienne tomba aux pieds du puissant
132     XXIV|              serais-je ici ? s’écria Adrienne.~ ~ ~ ~Le vieux ministre
133     XXIV|              je vous en prie !~ ~ ~ ~Adrienne était suspendue aux mains
134     XXIV|             braves officiers ? »~ ~ ~Adrienne n’osait pas interroger M.
135     XXIV|             et de crainte menaçante. Adrienne y laissait le peu de force
136     XXIV|             moins ! cria tout à coup Adrienne. Et elle courut vers la
137     XXIV|              ne sortait aucun bruit, Adrienne, les mains jointes, se traîna
138     XXIV|             est donc perdu ! s’écria Adrienne.~ ~ ~– Après le roi, il
139     XXIV|                    Laisse-moi ! cria Adrienne à Diane.~ ~ ~ ~Diane hésita.~ ~ ~–
140     XXIV|              murmura le baron.~ ~ ~ ~Adrienne, qui tout à l’heure ne pouvait
141     XXIV|                     De moi ! s’écria Adrienne qui chancela.~ ~ ~– Écoutez-moi
142     XXIV|              lieu du supplice.~ ~ ~ ~Adrienne ouvrit la bouche, mais ses
143     XXIV|         donnant, voilà ma loi.~ ~ ~ ~Adrienne sentit son cœur trembler :
144     XXIV|              côté de la porte.~ ~ ~ ~Adrienne tomba à genoux.~ ~ ~– Ah !
145     XXIV|          lèvres sur la main glacée d’Adrienne, il se précipita dehors.~ ~ ~ ~
146     XXIV|            entra précipitamment chez Adrienne.~ ~ ~ ~Elle la trouva les
147     XXIV|           Guerche.~ ~ ~– Lui !~ ~ ~ ~Adrienne répondit par un signe de
148     XXIV|              tu as pu ?… Ah ! pauvre Adrienne !~ ~ ~– Je veux qu’il vive,
149     XXIV|            aura qu’un cadavre.~ ~ ~– Adrienne ! s’écria Diane.~ ~ ~ ~Mais
150     XXIV|              écria Diane.~ ~ ~ ~Mais Adrienne se dégagea des bras de Mlle
151     XXVI|        Armand-Louis délivré, c’était Adrienne perdue pour lui ; et Jean
152     XXVI|           bien voulu courir auprès d’Adrienne, se jeter à ses pieds, lui
153     XXVI|           Werth se présentait devant Adrienne. À son approche, elle se
154     XXVI|   rayonnement alors dans le visage d’Adrienne ! On l’avait vue morte,
155     XXVI|           nue et debout devant elle. Adrienne savait à présent qu’il n’
156     XXVI|            ne pas partir seul.~ ~ ~ ~Adrienne chancela.~ ~ ~– Donnez-moi
157     XXVI|           accordait, et du même coup Adrienne de ses dédains ! Jean de
158     XXVI|               Diane n’osait parler à Adrienne qui la fuyait. Adrienne,
159     XXVI|              Adrienne qui la fuyait. Adrienne, appelée à toute heure à
160     XXVI|            ce que je redoutais ! dit Adrienne.~ ~ ~ ~Elle hésita, puis
161     XXVI|            lettre de son maître pour Adrienne. Mlle de Pardaillan l’ouvrit
162     XXVI|             que voulait-il ? demanda Adrienne.~ ~ ~– Il m’a dit que M.
163     XXVI|          jour fixé pour le mariage d’Adrienne et de Jean de Werth. On
164     XXVI|             apprêts de la cérémonie. Adrienne, couverte de vêtements blancs,
165     XXVI|               de Pardaillan couvrait Adrienne de regards pleins de douleur
166     XXVI|       semblait avoir la fièvre comme Adrienne ; seulement ses joues, au
167     XXVI|      Souvigny. Quelle force permit à Adrienne de se tenir droit en ce
168     XXVI|             À la vue d’Armand-Louis, Adrienne poussa un grand cri :~ ~ ~–
169     XXVI|             pas à le nommer ! reprit Adrienne dont les yeux se détournaient
170     XXVI|           son orgueil ne pliait pas. Adrienne ne voyait qu’Armand-Louis.
171     XXVI|              Guerche qui enveloppait Adrienne de ses bras.~ ~ ~– Cet homme
172     XXVI|         avait volée est libre.~ ~ ~ ~Adrienne poussa un cri de joie :~ ~ ~–
173     XXVI|              cauchemar qui la tuait, Adrienne avait retrouvé toute sa
174     XXVI|        pendre la dragonne brodée par Adrienne :~ ~ ~– Monsieur le comte,
175   XXVIII|           lui dois la vie et celle d’Adrienne ; je lui devrai tout, dit-il.~ ~ ~–
176   XXXIII|              un nuage sur le front d’Adrienne ; elle le savait un vaillant
177   XXXIII|            bientôt les inquiétudes d’Adrienne, et les deux cousines poursuivaient
178   XXXIII|     embrasser ! s’écria Diane.~ ~ ~ ~Adrienne voulut la retenir. Que savait-on
179   XXXIII|       mettait pied à terre, ainsi qu’Adrienne, à la porte du château,
180   XXXIII|              baronne d’Igomer.~ ~ ~ ~Adrienne eut un léger frisson, mais
181   XXXIII|          Saint-Wast !~ ~ ~ ~Diane et Adrienne avaient suivi la baronne
182   XXXIII|              Diane, déjà séduite, et Adrienne, bientôt attendrie, lui
183   XXXIII|            pervenches lumineuses. Si Adrienne avait pu conserver quelque
184   XXXIII|                s’écrièrent à la fois Adrienne et Mlle de Pardaillan.~ ~ ~–
185   XXXIII|           éloignée de sa Cour.~ ~ ~ ~Adrienne et Diane se regardèrent.~ ~ ~–
186   XXXIII|         embrassa de nouveau Diane et Adrienne et appela. L’écuyer qu’elle
187   XXXIII|          baronne conduisit elle-même Adrienne et Diane à leur appartement,
188    XXXIV|              cependant de Diane et d’Adrienne ! Partons, te dis-je, et
189    XXXIV|             qui lui permît de sauver Adrienne ou de mourir.~ ~ ~ ~Magnus
190     XXXV|         prétextes à retenir Diane et Adrienne chez elle pendant quatre
191     XXXV|           dont je me méfie, répondit Adrienne.~ ~ ~ ~Le jour d’après,
192     XXXV|              qu’au moment du départ. Adrienne en parla résolument à Mme
193     XXXV|              la grande Ourse, ajouta Adrienne.~ ~ ~ ~Mme d’Igomer surprit
194     XXXV|              bas en se tournant vers Adrienne, que penses-tu de tes folles
195    XXXVI|             la suivait, passa devant Adrienne et la regardant avec une
196    XXXVI|             petit morceau de papier. Adrienne le ramassa, tandis que le
197    XXXVI|              allait passer la porte, Adrienne ouvrit ce morceau de papier
198   XXXVII|             les craintes conçues par Adrienne depuis longtemps, redoublaient
199  XXXVIII|           son visage n’avait remué ; Adrienne était un peu pâle. Ils n’
200  XXXVIII|      comprendre.~ ~ ~– Je vous donne Adrienne que vous aimez, vous me
201  XXXVIII|          exemple, qui n’a pas oublié Adrienne.~ ~ ~ ~En prononçant le
202    XXXIX|            ne le voyait pour avertir Adrienne et Diane qu’elles eussent
203    XXXIX|         brûlait dans l’appartement d’Adrienne. Un homme sortit bientôt
204    XXXIX|         traître !~ ~ ~ ~En ce moment Adrienne et Diane, qui venaient de
205    XXXIX|      vieilles maisons de Magdebourg, Adrienne et Diane coururent sur un
206    XXXIX|              passait au galop.~ ~ ~ ~Adrienne et Diane, captivées par
207    XXXIX|                Y penses-tu ? s’écria Adrienne, comment traverseront-ils
208    XXXIX|        apparence d’un mort.~ ~ ~– Si Adrienne est perdue pour moi, malheur
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