Partie

  1     XIII|            de Tilly.~ ~ ~ ~Le baron Jean de Werth rappelait le comte
  2     XIII|             et dix blessures.~ ~ ~ ~Jean de Werth avait le regard
  3     XIII|           réunies, chez le seigneur Jean de Werth, la superbe des
  4     XIII|       mauvaises, c’est que le baron Jean de Werth avait remarqué
  5     XIII|        gentilshommes français, dont Jean de Werth paraissait avoir
  6     XIII|           se remplir, les poches de Jean de Werth ne pouvaient pas
  7     XIII|           au château de Saint-Wast. Jean de Werth, qui semblait avoir
  8     XIII|           monsieur le marquis ? dit Jean de Werth en tournant la
  9     XIII|         coup passait de la poche de Jean de Werth dans la sienne.
 10     XIII|          pas s’en apercevoir.~ ~ ~ ~Jean de Werth riait et tirait
 11     XIII|           morte au champ d’honneur. Jean de Werth appuya ses deux
 12     XIII|            du château, introduisait Jean de Werth dans l’appartement
 13     XIII|                  Vous le voyez, dit Jean de Werth, vous savez ce
 14     XIII|             est tout un, poursuivit Jean de Werth. Puisque les propositions
 15     XIII|         celle de son royaume.~ ~ ~ ~Jean de Werth sourit.~ ~ ~– Croyez-vous
 16     XIII|             La comparaison flattait Jean de Werth.~ ~ ~– Alors, dit-il
 17     XIII|         croquer sur-le-champ.~ ~ ~ ~Jean de Werth fit deux pas vers
 18     XIII|        baron. Quitter un châteauJean de Werth étalait sa magnificence
 19      XIV|              À quoi songeait-elle ? Jean de Werth, l’exécré Jean
 20      XIV|             Jean de Werth, l’exécré Jean de Werth, était-il auprès
 21      XIV|            Adrienne mêlé à celui de Jean de Werth ne laissait pas
 22      XVI|                   Priez M. le baron Jean de Werth de monter chez
 23      XVI|               On entendit le pas de Jean de Werth, M. de Pardaillan
 24      XVI|            dit alors le vieillard à Jean de Werth, en lui montrant
 25      XVI|        vous-même l’enveloppe.~ ~ ~ ~Jean de Werth prit la dépêche
 26      XVI|             signature du roi.~ ~ ~ ~Jean de Werth froissa le papier
 27      XVI|   chancelait.~ ~ ~– Est-ce le baron Jean de Werth ? dit-il tout à
 28      XVI|           nœud de rubans ; le baron Jean de Werth parlait de guerre
 29      XVI|           pût donner. Seul le baron Jean de Werth se montrait plein
 30      XVI|           la vie. Voici M. le baron Jean de Werth, son fiancé.~ ~ ~ ~
 31      XVI|         monsieur le comte, répliqua Jean de Werth avec hauteur.~ ~ ~ ~
 32      XVI|            tiens pour bonne, reprit Jean de Werth, donc, je la garde.~ ~ ~ ~
 33      XVI| écria-t-elle.~ ~ ~– Madame, je suis Jean de Werth ; je vous aime,
 34      XVI|            cavalier croate, lorsque Jean de Werth, qui s’initiait
 35      XVI|                Soit ! » me répondit Jean de Werth, et le jour même
 36      XVI|        guerre les avaient séparés ; Jean de Werth, le catholique,
 37      XVI|      affaire avait plus tard ramené Jean de Werth en Suède ; fort
 38      XVI|               Espère, ami, dit-il ; Jean de Werth ne s’appelle pas
 39     XVII|            serai jamais la femme de Jean de Werth, jamais ! le mot
 40     XVII|             qu’il perdait. Le baron Jean de Werth parut en habits
 41    XVIII|         épaulement.~ ~ ~– Viens-tu, Jean Gautier ? demanda Armand-Louis
 42    XVIII|             tout.~ ~ ~– Ah ! pauvre Jean Gautier, qu’ai-je dit ?
 43    XVIII|            s’écria-t-il.~ ~ ~ ~Mais Jean Gautier lui montra du doigt
 44    XVIII|               D’un geste énergique, Jean Gautier repoussa le cavalier
 45      XIX|            lui, M. de Pappenheim et Jean de Werth, deux ennemis implacables.
 46       XX|              Vous l’appelez ?~ ~ ~– Jean de Werth.~ ~ ~– Jean de
 47       XX|                Jean de Werth.~ ~ ~– Jean de Werth ! et vous n’en
 48       XX|           un homme tel que le baron Jean de Werth, on en parle toujours.~ ~ ~–
 49       XX|             vos gardes ! reprit-il. Jean de Werth est un homme expéditif.
 50     XXII|          Souvigny, et auprès d’elle Jean de Werth ; M. de Pardaillan
 51     XXII|        trompé dans ses prévisions ; Jean de Werth avait été informé
 52     XXII|        Guerche vivait encore.~ ~ ~ ~Jean de Werth conclut de ce fait
 53     XXII|           pas dans les habitudes de Jean de Werth, du moins fort
 54     XXII|            pressante sollicitation, Jean de Werth avait trouvé le
 55     XXII|         clairons sonnant la charge. Jean de Werth l’avait suivi en
 56     XXII|          foule chaque jour grossie, Jean de Werth ne pouvait-il pas
 57     XXII|          fille et Mlle de Souvigny, Jean de Werth se promit d’exercer
 58     XXII|       déguisement qu’il avait pris, Jean de Werth put se glisser,
 59     XXII|           chargées de jambon.~ ~ ~ ~Jean de Werth s’assit dans un
 60     XXII|                  Eh ! eh ! grommela Jean de Werth, il y a là un coquin
 61     XXII|          six pintes, plia bientôt : Jean de Werth crut remarquer
 62     XXII|            un pas tranquille.~ ~ ~ ~Jean de Werth le suivit. Quand
 63     XXII|           Ami, lui dit-il, j’ai nom Jean de Werth ; vous plaît-il
 64     XXII|         pièce écartée de la maison, Jean de Werth s’assit.~ ~ ~–
 65     XXII|         négliger les miennes…~ ~ ~ ~Jean de Werth ouvrit un coffret
 66     XXII|             seigneur, dit-il.~ ~ ~ ~Jean de Werth le mit tout de
 67     XXII|             longues explications de Jean de Werth.~ ~ ~– Aucune ;
 68     XXII|                  D’ailleurs, ajouta Jean de Werth d’un air de négligence,
 69     XXII|          voulu prouver à l’illustre Jean de Werth que, si humble
 70     XXII|             une sainte cause.~ ~ ~ ~Jean de Werth se leva et, d’un
 71     XXII|     pistoles que lui avait comptées Jean de Werth, il sortit d’un
 72    XXIII|         voulait mériter l’estime de Jean de Werth, s’était mis en
 73    XXIII|               L’œil exercé du baron Jean de Werth avait reconnu Armand-Louis
 74    XXIII|            êtes gentilhomme, et moi Jean de Werth, je vous couvre
 75    XXIII|      Cependant la nuit se faisait ; Jean de Werth venait de prendre
 76    XXIII|     altercation, elle avait suffi à Jean de Werth pour entraîner
 77    XXIII|           se fiait aux promesses de Jean de Werth, tira la sienne
 78    XXIII|       rendre plus leste, rejoignait Jean de Werth en quelques minutes
 79    XXIII|            dans notre marché.~ ~ ~ ~Jean de Werth glissa la main
 80    XXIII|             honnête homme, répondit Jean de Werth en jetant quelques
 81    XXIII|     aventurier compta les ducats de Jean de Werth et les fit sauter
 82    XXIII|             Allons, prends ! reprit Jean de Werth en vidant sa bourse
 83    XXIII|                En quittant le baron Jean de Werth, Frantz pensait
 84    XXIII|       hasard, Frantz se rendit chez Jean de Werth. En cas d’événement,
 85    XXIII|                   Que sais-je ? fit Jean de Werth. Tu es un homme
 86    XXIII|           ce n’est pas si mal ! dit Jean de Werth. Que penses-tu
 87    XXIII|           trente pistoles, répondit Jean de Werth en affectant un
 88    XXIII|        Frantz Kreuss se fut retiré, Jean de Werth respira profondément.~ ~ ~–
 89     XXIV|             Diane de Pardaillan, et Jean de Werth, qui comptait,
 90     XXIV|           était donc en Suède ? dit Jean de Werth d’un air innocent.~ ~ ~ ~
 91     XXIV|             vous y aiderai ! ajouta Jean de Werth.~ ~ ~– Hâtez-vous
 92     XXIV|            Diane n’avait pas quitté Jean de Werth des yeux.~ ~ ~–
 93     XXIV|      Pardaillan ne rentrait pas, ni Jean de Werth non plus.~ ~ ~–
 94     XXIV|             accablement, la voix de Jean de Werth la fit tressaillir :
 95     XXIV|           sans répondre au salut de Jean de Werth.~ ~ ~– Patience !
 96     XXIV|           Mlle de Souvigny leva sur Jean de Werth des yeux suppliants ;
 97     XXIV|            nous expliquer, répondit Jean de Werth ; je ne suis pas
 98     XXIV|              mademoiselle, continua Jean de Werth, que votre main
 99     XXIV|            ne vous aime pas !~ ~ ~ ~Jean de Werth se leva.~ ~ ~–
100     XXIV|        Voulez-vous être la femme de Jean de Werth, oui ou non ? tout
101     XXIV|                    Par pitié !…~ ~ ~Jean de Werth tourna les yeux
102     XXIV|               s’écria-t-elle.~ ~ ~ ~Jean de Werth se retourna.~ ~ ~–
103     XXIV|              vous ne connaissez pas Jean de Werth ! je ne pardonne
104     XXIV|             de Souvigny, qui saisit Jean de Werth par le bras.~ ~ ~–
105     XXIV|            moi maintenant ! s’écria Jean de Werth.~ ~ ~ ~Et, posant
106     XXIV|           le rejoindre.~ ~ ~ ~Comme Jean de Werth traversait une
107     XXIV|            de fièvre.~ ~ ~– J’ai vu Jean de Werth, dit Mlle de Pardaillan,
108     XXIV|       promesse, et, ma main donnée, Jean de Werth n’aura qu’un cadavre.~ ~ ~–
109     XXVI|          faisait cependant le baron Jean de Werth, tandis que ces
110     XXVI|      paysans cheminaient lentement. Jean de Werth s’assit sous un
111     XXVI|         livrée du roi, parut enfin. Jean de Werth courut à sa rencontre
112     XXVI|    désastreuses pour les projets de Jean de Werth.~ ~ ~ ~Il s’élança
113     XXVI|            perdre une minute.~ ~ ~ ~Jean de Werth était de ces hommes
114     XXVI|         cortège du roi y parvenait. Jean de Werth aperçut Gustave-Adolphe,
115     XXVI|             que, malgré son audace, Jean de Werth n’osa pas l’aborder.~ ~ ~ ~
116     XXVI|             main du roi, un instant Jean de Werth, qui n’était plus
117     XXVI|       Adrienne perdue pour lui ; et Jean de Werth l’aimait alors
118     XXVI|           fruit de tant d’efforts ? Jean de Werth ne pouvait pas
119     XXVI|             mots firent tressaillir Jean de Werth, qui n’en avait
120     XXVI| satisfaction souleva la poitrine de Jean de Werth ; apercevant alors
121     XXVI|            gauche M. de la Guerche, Jean de Werth saisit la main
122     XXVI|       portes de Carlscrona que déjà Jean de Werth se présentait devant
123     XXVI|          bourreau !~ ~ ~ ~Un mot de Jean de Werth la rappela au sentiment
124     XXVI|           nulle pitié à attendre de Jean de Werth. Si on ne parvenait
125     XXVI|           orgueil gonfla le sein de Jean de Werth, mais ce n’était
126     XXVI|   vingt-quatre heures suffisaient à Jean de Werth pour quitter la
127     XXVI|           Adrienne de ses dédains ! Jean de Werth était de cette
128     XXVI|        comme un ours à demi dompté, Jean de Werth s’éloigna du moins
129     XXVI|             magnifiques parures que Jean de Werth mettait à ses pieds,
130     XXVI|                Non, mais il tuerait Jean de Werth.~ ~ ~ ~Mlle de
131     XXVI|           pousse à donner sa main à Jean de Werth. Et s’il vous demande
132     XXVI|            mariage d’Adrienne et de Jean de Werth. On voyait partout
133     XXVI|       appartenant à la terre.~ ~ ~ ~Jean de Werth était vêtu d’habits
134     XXVI|      soupçon traversait son esprit. Jean de Werth était-il véritablement
135     XXVI|            Guerche et Magnus.~ ~ ~ ~Jean de Werth, cette fois, ne
136     XXVI|           qu’il comptait en esprit. Jean de Werth, radieux, saluait
137     XXVI|         premier coup de midi sonna. Jean de Werth s’inclina et lui
138     XXVI|             côté M. de la Guerche ; Jean de Werth pâlit.~ ~ ~– Ah !
139     XXVI|       venait de rencontrer celui de Jean de Werth.~ ~ ~– Qui ? demanda-t-il.~ ~ ~–
140     XXVI|        détournaient avec horreur de Jean de Werth.~ ~ ~– Lui ! s’
141     XXVI|             j’arrive à temps.~ ~ ~ ~Jean de Werth était devenu plus
142     XXVI|        alors Gustave-Adolphe.~ ~ ~ ~Jean de Werth fit un pas. Gustave-Adolphe
143     XXVI|          devant moi, j’imagine, que Jean de Werth osera soutenir
144     XXVI|          front livide et hautain de Jean de Werth ne s’abaissa pas.~ ~ ~–
145     XXVI|           roi, vous ne devez rien à Jean de Werth. Cette main qu’
146     XXVI|          libre ! reprit-elle.~ ~ ~ ~Jean de Werth se tourna tout
147     XXVI|         Diane.~ ~ ~– Deux ans ! dit Jean de Werth, c’est plus de
148     XXVI|          avaient fait un pas.~ ~ ~ ~Jean de Werth, que jamais la
149     XXVI|        Quant à vous, Sire, continua Jean de Werth, il y a des champs
150   XXXIII|            cependant le souvenir de Jean de Werth faisait passer
151   XXXIII|    Allemagne, et c’était le pays de Jean de Werth.~ ~ ~– Ah ! tu
152   XXXIII|           Werth.~ ~ ~– Ah ! tu vois Jean de Werth partout ! dit Diane.~ ~ ~–
153     XXXV|           était chargé de découvrir Jean de Werth. La baronne ne
154    XXXVI|            reconnaître les armes de Jean de Werth brodées sur la
155    XXXVI|         vous aurait donnés le baron Jean de Werth, reprit-il, et
156    XXXVI|            la lettre de monseigneur Jean de Werth.~ ~ ~– Vous dites
157    XXXVI|            négligence à monseigneur Jean de Werth. Le connaissez-vous ?~ ~ ~–
158    XXXVI|          ami ; il peut se faire que Jean de Werth me demande de vos
159    XXXVI|             les secrets desseins de Jean de Werth, et parviendrait
160    XXXVI|                Monseigneur le baron Jean de Werth me mande qu’il
161    XXXVI|        merveille.~ ~ ~– Monseigneur Jean de Werth a toujours remarqué
162    XXXVI|           le service de monseigneur Jean de Werth, dit-elle, je vous
163   XXXVII|             prochaine apparition de Jean de Werth, et sa présence
164   XXXVII|       entendu parler de monseigneur Jean de Werth, mon très honoré
165   XXXVII|         Sans doute.~ ~ ~– Eh bien ! Jean de Werth et Mlle de Souvigny,
166   XXXVII|          voulait pas se marier avec Jean de Werth, qu’elle aimait
167   XXXVII|       consoler en Bavière.~ ~ ~– Où Jean de Werth se propose de l’
168   XXXVII|             j’ai prononcé le nom de Jean de Werth, mon maître bien-aimé.~ ~ ~–
169   XXXVII|             avais été à monseigneur Jean de Werth, elle s’est ouverte
170   XXXVII|     bouteille pleine.~ ~ ~– Puisque Jean de Werth n’est pas loin,
171   XXXVII|            hirondelles ! Que dirait Jean de Werth si Mlle de Souvigny
172  XXXVIII| scintillement des armes.~ ~ ~« Ah ! Jean de Werth ! » pensa-t-il.~ ~ ~ ~
173  XXXVIII|                    La baronne reçut Jean de Werth, car c’était lui,
174  XXXVIII|           séduire.~ ~ ~ ~Elle salua Jean de Werth, et d’un geste
175  XXXVIII|         mignon lui montra un siège. Jean de Werth, ébloui, prit cette
176  XXXVIII|         Votre lettre est là, reprit Jean de Werth qui s’assit.~ ~ ~–
177  XXXVIII|      couvent de Saint-Rupert.~ ~ ~ ~Jean de Werth regarda Mme d’Igomer.~ ~ ~–
178  XXXVIII|         Diane que je déteste.~ ~ ~ ~Jean de Werth frissonna ; malgré
179  XXXVIII|            de mes laquais ! murmura Jean de Werth.~ ~ ~– Oh ! le
180  XXXVIII|          paume de la main, jeta sur Jean de Werth un regard métallique.~ ~ ~–
181  XXXVIII|         renommée, et qu’à l’abri de Jean de Werth la baronne d’Igomer
182  XXXVIII|             L’acceptez-vous ?~ ~ ~ ~Jean de Werth hésita.~ ~ ~– Songez,
183  XXXVIII|            le bras de Frantz.~ ~ ~ ~Jean de Werth tordit ses moustaches.~ ~ ~–
184  XXXVIII|           ce n’est pas tout encore, Jean de Werth.~ ~ ~–  !  !
185  XXXVIII|            ne vous suffit pas ! dit Jean de Werth avec une nuance
186  XXXVIII|      soustraire à ma prière ?~ ~ ~ ~Jean de Werth comprit la signification
187    XXXIX|            arbre, Magnus vit passer Jean de Werth ; plus rapide et
188    XXXIX|             ces hommes ?… La vue de Jean de Werth, qui montait les
189    XXXIX|         elle fit de la main signe à Jean de Werth, qui venait d’ouvrir
190    XXXIX|     obéissez donc ! cria à son tour Jean de Werth qui comprit tout.~ ~ ~ ~
191    XXXIX|       fendue jusqu’au menton.~ ~ ~ ~Jean de Werth poussa un hurlement
192    XXXIX|      sombres de Saint-Rupert.~ ~ ~ ~Jean de Werth venait de tomber
193    XXXIX|         atteindra le premier ! cria Jean de Werth.~ ~ ~ ~Les soldats
194    XXXIX|                   Malédiction ! dit Jean de Werth.~ ~ ~ ~Il enleva
195    XXXIX|        poussière enveloppait.~ ~ ~ ~Jean de Werth brisa la crosse
196    XXXIX|          poussèrent vers la porte ; Jean de Werth les imita, et tous
197    XXXIX|          Les cavaliers, excités par Jean de Werth, avaient à peine
198    XXXIX|            épaula et fit feu, comme Jean de Werth lui-même l’avait
199    XXXIX|  particulière aux hommes de guerre, Jean de Werth comprit que le
200    XXXIX|        cavaliers qui accompagnaient Jean de Werth, une balle s’enfonça
201    XXXIX|      retentirent encore, tandis que Jean de Werth s’efforçait de
202    XXXIX|      mortellement atteints. Lorsque Jean de Werth se trouva debout,
203    XXXIX|          perdue pour moi, malheur à Jean de Werth ! s’écria M. de
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