Partie

  1      III|          reprit-il, depuis quand, monsieur le marquis, vous permettez-vous
  2      III|        celui-ci. Connaissez-vous, monsieur le marquis, quelqu’un dans
  3       IV|     demanda un jour Renaud.~ ~ ~– Monsieur le marquis, ils ont des
  4       IV|        peur ?~ ~ ~– Au contraire, monsieur le marquis : c’est la peur
  5       IV|          me prévenir !~ ~ ~– Eh ! monsieur, si j’avais attendu seulement
  6       IV|         ai visé dans le tas. Ah ! monsieur, au moment où j’ai lâché
  7       IV|         peu, s’il te plaît.~ ~ ~– Monsieur le marquis, je ne suis pas
  8       IV|         déjà sur ses pieds.~ ~ ~– Monsieur le marquis, je vous adore,
  9        V|               Vous êtes mon hôte, monsieur le comte, un jour Dieu jugera
 10        V|          Personne ne tremble ici, monsieur le comte ! Celui qui vous
 11        V|           À quelle heure, demain, monsieur le comte, veut-il que j’
 12        V|            J’ai longtemps voyagé, monsieur. Plus tard, quand vous aurez
 13        V|        quatorze ans.~ ~ ~– Douze, monsieur.~ ~ ~– Douze si vous voulez.
 14        V|      visage d’Armand-Louis.~ ~ ~– Monsieur le comte !… s’écria-t-il.~ ~ ~–
 15        V|        vrai, ne nous fâchons pas, monsieur, croyez-moi, ajouta l’étranger.~ ~ ~ ~
 16        V|           qui se leva.~ ~ ~– Eh ! monsieur de la Guerche, s’écria le
 17        V|         ce me semble ?~ ~ ~– Oh ! monsieur le comte, ne craignez rien !
 18        V|       vois où tend cette logique, monsieur le marquis, dit-il ; vous
 19        V|     périsse d’effroi ?… Non, non, monsieur le marquis, je me traînerai
 20        V|           coups !~ ~ ~– Eh bien ! monsieur, nous partagerons ; j’ai
 21       VI|           tu refuses ?~ ~ ~– Eh ! monsieur le comte, j’ai fait la guerre
 22       VI|             Vous gâtez le métier, monsieur le comte ; en Moravie, nous
 23       VI|          veuves et les orphelins, monsieur le comte, les veuves surtout
 24       VI|          écus par trépassé.~ ~ ~– Monsieur le comte, à ce prix, la
 25       VI|         tu es un ange.~ ~ ~– Oui, monsieur le marquis, un ange trop
 26       VI|    Carquefou ! cria Renaud.~ ~ ~– Monsieur le marquis.~ ~ ~– As-tu
 27       VI|         les conduit à l’armée que monsieur le cardinal réunit contre
 28       VI|      volent tous les jours.~ ~ ~– Monsieur, il ne faut jamais croire
 29       VI|           ce pistolet.~ ~ ~– Eh ! monsieur, ce ne serait pas la peine ;
 30       VI|       écria Renaud.~ ~ ~– Hélas ! monsieur le marquis, on est bête,
 31       VI|       bras sur la poitrine.~ ~ ~– Monsieur, une explication seulement,
 32       VI|           poudre du chemin.~ ~ ~– Monsieur, dit Renaud, il ne faut
 33       VI|        Comment vous appelez-vous, monsieur ? dit-il alors.~ ~ ~– Le
 34       VI|                Ne vous gênez pas, monsieur le comte, bientôt moi-même
 35      VII|      tranquillement Armand-Louis, monsieur le comte va donc en chasse
 36      VII|         troupe.~ ~ ~– Bien joué ! monsieur, dit-il, tandis que sa main
 37      VII|          garde de son épée.~ ~ ~– Monsieur le comte, répondit M. de
 38      VII|                  Est-ce un ordre, monsieur ? je ne suis pas vaincu,
 39      VII|          son front livide :~ ~ ~– Monsieur le comte, dit-il, demain
 40      VII|           Allemagne.~ ~ ~– Alors, monsieur, nous allons déjeuner, dit
 41     VIII|          que nous nous reverrons, monsieur le comte, dit-il avec un
 42     VIII|           tout particulier.~ ~ ~– Monsieur le maréchal, je le désire,
 43     VIII|          capitaine Jacobus.~ ~ ~– Monsieur, vous êtes libre, lui dit-il
 44     VIII|       boucla son ceinturon.~ ~ ~– Monsieur le marquis, je vais de ce
 45     VIII|           Je vous demande pardon, monsieur, il y a là-bas un cheval
 46     VIII|           de rejoindre l’armée de monsieur le cardinal. Donc il a mis
 47     VIII|         écria Armand-Louis.~ ~ ~– Monsieur, on ne meurt qu’une fois !~ ~ ~–
 48     VIII|         savez…~ ~ ~– Croyez-vous, monsieur le comte, que rien de ce
 49     VIII|          vous irez jusqu’au bout. Monsieur de la Guerche, je remets
 50     VIII|                  Vous l’ordonnez, monsieur ?~ ~ ~– Oui, il le faut.~ ~ ~ ~
 51     VIII|          aidera. En avant !~ ~ ~– Monsieur le marquis, si c’est votre
 52       IX|      asseyant, il se signa.~ ~ ~– Monsieur, c’est vendredi ! s’écria
 53       IX|     cédait point à sa soif.~ ~ ~– Monsieur, dit le seigneur Mathéus,
 54       IX|         contrition.~ ~ ~– Ma foi, monsieur, ma piété s’accommoderait
 55       IX|          Hein ? fit Renaud.~ ~ ~– Monsieur le marquis, parlons bas.
 56       IX|       Comment, drôle !~ ~ ~– Eh ! monsieur le marquis, on sait de par
 57       IX|            l’épée au poing.~ ~ ~– Monsieur le marquis, je m’évanouirais
 58       IX|         Trop tard ! dit-il.~ ~ ~– Monsieur, dit alors Renaud à Mathéus,
 59        X|       viennent de fournir ?~ ~ ~– Monsieur le marquis, je n’en sais
 60        X|            bon gré mal gré.~ ~ ~– Monsieur, je ne sais pas si c’est
 61        X|        nous barricadons la porteMonsieur, il faut savoir se mettre
 62        X|       bien jusque-là !~ ~ ~– Oui, monsieur ; tout allait assez bien ;
 63       XI|  remplirent de larmes.~ ~ ~– Eh ! monsieur, que pourriez-vous faire
 64      XII|           pour la Hollande.~ ~ ~– Monsieur le marquis, n’oublions pas
 65      XII|        prit à part Renaud :~ ~ ~– Monsieur le marquis, dit-il, j’ai
 66      XII|      Carquefou.~ ~ ~– Cette fois, monsieur, ai-je le droit d’avoir
 67     XIII|             Vous ne répondez pas, monsieur ? reprit-il d’un air de
 68     XIII| Armand-Louis s’était remis.~ ~ ~– Monsieur le marquis, dit-il, vous
 69     XIII|      Entrez, beau cousin, entrez, monsieur, reprit-il gracieusement.~ ~ ~ ~
 70     XIII|               Vous ne pariez pas, monsieur le marquis ? dit Jean de
 71     XIII|                Vous vous trompez, monsieur le baron, reprit-il d’un
 72     XIII|           idée.~ ~ ~– Excellente, monsieur le marquis. Ainsi, c’est
 73     XIII|        partirai. » Vous plaît-il, monsieur le marquis, que j’envoie
 74       XV|               La confiance seule, monsieur, dit-il, peut reconnaître
 75       XV|           peut-être ! Votre main, monsieur !~ ~ ~ ~Celle qu’Armand-Louis
 76       XV|      lumineuses.~ ~ ~– Votre nom, monsieur, dit-elle, pour qu’il soit
 77       XV|     Armand-Louis s’inclina.~ ~ ~– Monsieur de la Guerche ? dit à son
 78       XV|         vivement.~ ~ ~– Eh bien ! monsieur, demanda M. de la Guerche
 79       XV|       soupçonner ? Le savez-vous, monsieur le duc ?~ ~ ~– Non, dit
 80       XV|                  Dieu vous garde, monsieur, dit-elle d’une voix douce
 81      XVI|           si bien fournies.~ ~ ~– Monsieur, disait-il à Renaud, c’est
 82      XVI|          d’attendrissement.~ ~ ~– Monsieur, reprenait-il alors, il
 83      XVI|        poche vide. Il faut prier, monsieur, et se réconforter en attendant
 84      XVI|       Pardaillan.~ ~ ~– Eh ! eh ! monsieur le marquis, dit-il en riant,
 85      XVI|          pli ? dit-il.~ ~ ~– Non, monsieur le marquis.~ ~ ~– Son capitaine
 86      XVI|      plaisir de courir pour vous, monsieur le marquis, vous ne vous
 87      XVI|          Je l’avais toujours dit, monsieur, cela ne pouvait pas durer !
 88      XVI|               Si bon vous semble, monsieur le comte, répliqua Jean
 89      XVI|       court à tout ceci : Sachez, monsieur, que j’aime M. le comte
 90     XVII|           d’une voix âpre :~ ~ ~– Monsieur de Chaufontaine, vous ne
 91     XVII|         lui-même :~ ~ ~– Écoutez, monsieur le baron, reprit-il, vous
 92     XVII|        les lèvres du baron.~ ~ ~– Monsieur le comte, dit-il, je préfère
 93     XVII|        sur sa selle.~ ~ ~– Alors, monsieur, aussi vrai que je m’appelle
 94    XVIII|                  Ah ! vous voilà, monsieur de Chaufontaine, répondit
 95    XVIII|        main à Renaud.~ ~ ~– Vous, monsieur, qui avez, m’a-t-on dit,
 96    XVIII|    galopait à ses trousses.~ ~ ~– Monsieur le marquis, disait le valet
 97    XVIII|          assaut !~ ~ ~– Je viens, monsieur, je viens, mais c’est à
 98    XVIII|           Si le cœur vous en dit, monsieur, M. de la Guerche est encore
 99    XVIII|   commençait à s’obscurcir.~ ~ ~– Monsieur, c’est possible, répondait
100    XVIII|   apposait le sceau du roi.~ ~ ~– Monsieur, je suis à vous, dit le
101    XVIII|      France était inclinée.~ ~ ~– Monsieur, reprit le cardinal, je
102    XVIII|                Vous vous trompez, monsieur. Vous avez agi en vaillant
103    XVIII|                En homme d’Église, monsieur.~ ~ ~– Soit, mais en vous
104    XVIII|         vaincre votre résistance, monsieur. Un capitaine dont le bras
105    XVIII|                  Allez à présent, monsieur ; et si jamais la fortune
106      XIX|        lèvres du capitaine.~ ~ ~– Monsieur, vous avez la barbe blonde,
107      XIX|        inspire aucune. Remarquez, monsieur, qu’en vous faisant tout
108       XX|         nuage de poussière.~ ~ ~– Monsieur le comte, dit Magnus en
109       XX|           main, se couvrit.~ ~ ~– Monsieur le comte, reprit-il d’une
110       XX|         ce me semble ?~ ~ ~– Non, monsieur le comte, et je m’en vante.
111       XX|     estime à sa valeur ; et puis, monsieur le comte, c’est affaire
112       XX|                C’est mon opinion, monsieur le comte.~ ~ ~ ~Causant
113       XX|          Armand-Louis.~ ~ ~– Oh ! monsieur le comte, Magnus sait par
114       XX|       citadelle à l’ennemi. Vous, monsieur le comte, ne connaissez-vous
115       XX|          est un homme tout en or, monsieur !~ ~ ~ ~Magnus prit une
116       XX|                  Il y est encore, monsieur le comte ; gardez-vous d’
117       XX|       ruelle obscure. Maintenant, monsieur le comte, ce baron, dont
118       XX|           une pièce à conviction, monsieur le comte.~ ~ ~ ~Il chargea
119    XXIII|        bosquet voisin.~ ~ ~– Ah ! monsieur le comte, vous êtes perdu !
120    XXIII|        Guerche.~ ~ ~– Votre épée, monsieur ; au nom du roi, je vous
121    XXIII|            dit-il précipitamment, monsieur s’est élancé sur moi comme
122    XXIII|      épaule d’Armand-Louis.~ ~ ~– Monsieur le comte, dit-il, la mort,
123    XXIII|         main sur son front.~ ~ ~– Monsieur, dit-il à l’officier, avant
124    XXIII|             que ce soit pour moi, monsieur le comte, qui vous suis
125    XXIII|          la main de Magnus.~ ~ ~– Monsieur, reprit-il ensuite en se
126     XXIV|         son front sanglant.~ ~ ~– Monsieur le comte, dit-il, frappez-moi,
127     XXIV|           depuis quelques heures, monsieur, cependant toute mon estime
128     XXIV|         entrant.~ ~ ~– C’est moi, monsieur, répondit Adrienne, qui
129     XXIV|      entre ses doigts.~ ~ ~– Ah ! monsieur, voyez ! dit-elle.~ ~ ~ ~
130     XXIV|      mains d’Arnold :~ ~ ~– Mais, monsieur, c’est impossible !… il
131     XXIV|         fallait se retirer.~ ~ ~– Monsieur le chancelier, dit-il, M.
132     XXIV|   dit-elle.~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Ah ! monsieur, reprit-elle les mains jointes,
133      XXV|         quitter la France il a vu monsieur le cardinal de Richelieu,
134      XXV|        levant son chapeau :~ ~ ~– Monsieur le comte, dit-il, le roi
135      XXV|         sourit.~ ~ ~– Votre main, monsieur, dit-il, et tenez-moi pour
136      XXV|      Armand-Louis, Son Excellence monsieur le cardinal de Richelieu,
137     XXVI|         la Suède.~ ~ ~– Eh bien ! monsieur l’ambassadeur, veuillez
138     XXVI|           de son hôte.~ ~ ~– Ah ! monsieur le marquis, que je suis
139     XXVI|    aveuglé par la passion ?~ ~ ~– Monsieur, ma parole est donnée, je
140     XXVI|            Donnez-moi deux jours, monsieur, et je serai prête ; un
141     XXVI| flamboyant.~ ~ ~– Je suis étonné, monsieur le baron, reprit-il, de
142     XXVI|           La guerre est déclarée, monsieur, retournez donc chez vous,
143     XXVI|     donnée. La vôtre est engagée, monsieur, et je ne vous la rends
144     XXVI|       brodée par Adrienne :~ ~ ~– Monsieur le comte, s’écria-t-il,
145     XXVI|     répondit Armand-Louis. Ainsi, monsieur, vous promettez de rendre
146    XXVII|         La Rochelle parmi ceux de monsieur le cardinal !~ ~ ~ ~Quelqu’
147   XXVIII|           contre les loups.~ ~ ~– Monsieur, dit-il en s’adressant à
148   XXVIII|           Quand vous me reverrez, monsieur le marquis, j’aurai donné
149   XXVIII|        reprit Armand-Louis.~ ~ ~– Monsieur, c’est quelquefois de l’
150      XXX|           Éberart. À votre santé, monsieur le marquis !~ ~ ~ ~Cette
151      XXX|           avez l’esprit railleur, monsieur le marquis, dit-il ; cependant
152      XXX|       Éberart :~ ~ ~– Par hasard, monsieur, douteriez-vous de la victoire ?
153      XXX|        suis moins jeune que vous, monsieur, et quoique mon expérience
154      XXX|              J’en ai trente-cinq, monsieur.~ ~ ~– L’âge du roi Gustave-Adolphe.~ ~ ~–
155      XXX|        jardin, il l’aborda.~ ~ ~– Monsieur le comte de Pappenheim,
156      XXX|         au péril que vous courez. Monsieur le grand maréchal, vous
157      XXX|        hui Alfred le Grand.~ ~ ~– Monsieur le comte de Pappenheim veut-il
158    XXXII|          nouvelles apportez-vous, monsieur le duc ? demanda M. de Pappenheim
159   XXXIII|         sont chez moi. Au revoir, monsieur le marquis de Chaufontaine !~ ~ ~ ~
160    XXXIV|          les dents serrées.~ ~ ~– Monsieur, dit tranquillement le vieux
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2009. Content in this page is licensed under a Creative Commons License