Partie

  1        I|         maniait aussi lestement l’épée, le poignard de merci, la
  2       II|       bons livres autant que de l’épée. Il façonna donc à son image
  3       II|          avaient que la cape et l’épée, n’hésitaient pas à demander
  4       II|           conquérant son trône, l’épée au poing, remplissait d’
  5      III|      cotte de mailles, prends une épée, une hache, un poignard ;
  6      III|  promptement, sinon je me passe l’épée que voici au travers du
  7      III|      corps.~ ~ ~ ~Renaud tira son épée du fourreau, et tel qu’autrefois
  8      III|       Renaud, si jamais je tire l’épée contre un la Guerche, et
  9        V|           fauve ; la garde de son épée et celle de son poignard,
 10        V|          vu des connétables, et l’épée des connétables de France
 11        V|         Pappenheim au bout de mon épée. »~ ~ ~Quand l’heure sonna
 12        V|           d’Armand-Louis.~ ~ ~ ~L’épée de M. de la Guerche échappa
 13        V|          baissait, et ramassant l’épée que la main engourdie de
 14        V|        peau de buffle, une grande épée à fourreau de fer battait
 15       VI|         froissait la garde de son épée ou tordait la longue moustache
 16       VI|        sur le lourd pommeau d’une épée à fourreau de cuir fauve.
 17       VI|        Allemagne de commettre son épée contre quelques valets de
 18       VI|       inclina.~ ~ ~– La main et l’épée sont à vous ! dit-il.~ ~ ~–
 19       VI| serviteurs, des amis… s’il tire l’épée, la bataille sera peut-être
 20       VI|          de lui : trois hommes, l’épée nue à la main, lui barraient
 21      VII|       Carquefou qui aiguisait une épée sur la manche de son pourpoint.~ ~ ~ ~
 22      VII|         en costume de bataille, l’épée au flanc, le poignard à
 23      VII|        comme la foudre, il tira l’épée.~ ~ ~ ~Ses cinquante cavaliers
 24      VII|         il donna en s’armant de l’épée, dix hommes parurent sur
 25      VII|       tourmentait la garde de son épée.~ ~ ~– Monsieur le comte,
 26      VII|         baissant la pointe de son épée :~ ~ ~– La partie, d’ailleurs,
 27      VII|           dit, Renaud brandit son épée et attendit.~ ~ ~ ~M. de
 28      VII|       avance. Repoussant donc son épée dans le fourreau et soulevant
 29     VIII|       caressait le pommeau de son épée.~ ~ ~ ~Il attendit encore
 30     VIII|          courtaud l’attendait ; l’épée, la dague, les pistolets
 31     VIII|   pouvait-il longtemps garder son épée au fourreau, quand de toutes
 32     VIII|   Charnailles arma son fils d’une épée et de pistolets qu’il avait
 33     VIII|            dit-il à voix haute, l’épée ne s’échappera plus de mon
 34     VIII|                 Gardez bien votre épée, je garderai bien mon cœur,
 35       IX|           un habit tout noir, une épée et un poignard à manches
 36       IX|        ouvrons-nous un passage, l’épée au poing.~ ~ ~– Monsieur
 37       IX|         force sur la garde de son épée.~ ~ ~– À présent, prêtez-moi
 38       IX|      écria Armand-Louis qui mit l’épée à la main.~ ~ ~ ~Renaud
 39       IX|         la fenêtre et la porte, l’épée au poing. Aucune autre issue.
 40        X|         comptait plus que sur son épée. La question était pour
 41        X|         de Mathéus, il saisit son épée de la main droite et glissa
 42        X|       attaque et se découvrit ; l’épée d’Armand-Louis partit comme
 43       XI|           montait le piqua de son épée. Une imprécation terrible
 44       XI|      frappe la terre du pied, une épée nue à la main ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~–
 45       XI|          mon père, qui est mort l’épée au poing ? De telles propositions
 46      XII|          main sur la garde de son épée, l’autre sur le pommeau
 47     XIII|         visites nouvelles, gens d’épée et gens de robe, magistrats,
 48     XIII|         lui planterais-je pas mon épée au travers du corps ! répliquait
 49      XIV|           abord il s’assura que l’épée jouait aisément dans le
 50      XIV|        Armand-Louis s’approcha, l’épée nue à la main ; son autre
 51      XIV|           le huguenot qui mit son épée sous le nez du cheval.~ ~ ~ ~
 52      XIV|          Armand-Louis d’un coup d’épée enfoncée en plein corps,
 53      XIV|        troisième était sur lui, l’épée haute. La lumière de la
 54      XIV|     Jacobus et à ses acolytes son épée nue et son bras gauche roulé
 55      XIV|     annonçait que la pointe d’une épée avait déchiré un lambeau
 56      XIV|         disait-il en essuyant son épée dans des touffes de bruyère.~ ~ ~ ~
 57      XVI|        mourrons en braves gens, l’épée au poing, en confessant
 58      XVI|           je suis jeune, j’ai mon épée ! vienne la fortune, et
 59      XVI|        main sur le pommeau de son épée, tremblait de colère. Il
 60      XVI|          prise, et si un jour mon épée me faisait conquérir une
 61     XVII|       Contre les hommes, j’ai mon épée, dit-il ; contre les femmes,
 62     XVII|      était fixé à la garde de son épée. Sa main dégantée en caressait
 63     XVII|           là, au pommeau de cette épée, je ne renoncerai pas plus
 64     XVII|        connais mes principes… une épée d’or ou rien.~ ~ ~ ~Il soupira,
 65    XVIII|           des champs de bataille, épée contre épée, ils se sont
 66    XVIII|          de bataille, épée contre épée, ils se sont embrassés.~ ~ ~–
 67    XVIII|           rentré sous sa tente, l’épée rouge. Il avait payé sa
 68    XVIII|           qu’un tombeau ou qu’une épée. Hier, cette batterie redoutable
 69    XVIII|          la hâte, qui portaient l’épée et le mousquet.~ ~ ~ ~Les
 70    XVIII|          un essaim d’officiers, l’épée haute, en couronna les travaux
 71    XVIII|          fois, d’un revers de son épée, il précipita le cavalier
 72    XVIII|          gagner, courut sur lui l’épée haute.~ ~ ~– Viens çà que
 73    XVIII|          face à face, il jeta son épée et l’enveloppa de ses bras.~ ~ ~–
 74    XVIII|           la ville du bout de son épée, et changeant de ton :~ ~ ~–
 75    XVIII|          l’assaut, j’y monterai l’épée au fourreau.~ ~ ~ ~Ils échangèrent
 76    XVIII|           qui ait jamais tenu une épée ou manié un cheval.~ ~ ~–
 77    XVIII|          plaît-il de ramasser son épée ?~ ~ ~– Merci, monseigneur ;
 78    XVIII|          je n’ai que la cape et l’épée, et, en sus, Carquefou ;
 79      XIX|         il frappa la garde de son épée et piqua le flanc de son
 80      XIX|          pour moi Adrienne et mon épée, rien n’est perdu !~ ~ ~ ~
 81      XIX|     poudre commence. J’ai porté l’épée autrefois, ce qui fait que
 82      XIX|          coq, de vous munir d’une épée.~ ~ ~ ~Déjà la rapière du
 83      XIX|          jeta sur Armand-Louis, l’épée haute.~ ~ ~ ~La servante,
 84      XIX|            Une troisième fois son épée vola au plafond.~ ~ ~– Mon
 85      XIX|           aux enfants à tenir une épée ; faut-il vous y conduire ?~ ~ ~ ~
 86      XIX|     releva lentement, chercha son épée, s’en empara, et la glissant
 87       XX|           robuste et léger, d’une épée avec laquelle il coupa force
 88       XX|          la fièvre ou d’un coup d’épée.~ ~ ~– Vous n’êtes pas modeste,
 89       XX|  gentilhomme qui n’a plus que son épée ?~ ~ ~– Les voici, répondit
 90      XXI|          main sur la garde de son épée.~ ~ ~ ~Abraham Cabeliau,
 91      XXI|        femme, vos amours ! Haut l’épée, Sire, et défendez-la !
 92      XXI|           Dieu sauve la Suède ! L’épée tirée, je ne la rentrerai
 93    XXIII|         résolut de demander à son épée le résultat que la maladresse
 94    XXIII|           et que quiconque tire l’épée dans une résidence royale
 95    XXIII|          main sur la garde de son épée en homme qui veut décharger
 96    XXIII|    science de l’escrime maniait l’épée comme un maître ; malheureusement
 97    XXIII|           la Guerche.~ ~ ~– Votre épée, monsieur ; au nom du roi,
 98    XXIII|           dit l’officier.~ ~ ~ ~L’épée tomba des mains d’Armand-Louis
 99    XXIII|         gentilhomme a été saisi l’épée au poing, il venait de répandre
100    XXIII|          interdisaient de tirer l’épée dans les dépendances des
101    XXIII|            il avait été surpris l’épée nue à la main, devant un
102     XXIV|          je les tiendrai sous mon épée un jour ! Mais vous, vous !~ ~ ~ ~
103     XXIV|         soldat à barbe grise et l’épée au flanc pleurer comme un
104     XXIV|           avait tiré le premier l’épée ; l’arrêt était donc écrit
105     XXIV|      Suède, peut tenir encore une épée, et dussé-je m’exposer à
106     XXIV|        lui qui ne tirait jamais l’épée que pour la défense du bon
107      XXV|        était en grand uniforme, l’épée nue à la main. Il s’arrêta
108      XXV|       celle aussi de garder votre épée.~ ~ ~– Merci ! s’écria M.
109      XXV|        silencieux : il boucla son épée à son ceinturon et sortit
110      XXV|         tête, les mains libres, l’épée au flanc, marchait Armand-Louis.~ ~ ~–
111      XXV|     Frantz.~ ~ ~ ~La vue de cette épée, dont il avait pu mesurer
112     XXVI|      frappant sur la garde de son épée où l’on voyait pendre la
113     XXVI|       main sur la dragonne de son épée.~ ~ ~ ~
114    XXVII|     royaume au sénat, et tirant l’épée, déclara qu’il partait pour
115    XXVII|         parce qu’on promenait son épée de l’un à l’autre camp.
116    XXVII|       toujours ; qui avait tiré l’épée du fourreau ne l’y remettait
117    XXVII|         fendu la tête d’un coup d’épée ! reprit un autre qui le
118    XXVII|               Je m’en souviens… l’épée et le pistolet sont encore
119    XXVII|        Renaud, sans toucher à son épée, fit signe de la main qu’
120    XXVII|          lesquels je vais tirer l’épée sont catholiques ni plus
121   XXVIII|          Armide qu’il portait une épée ; j’ai toujours cet exemple
122     XXIX|      saluant Gustave-Adolphe de l’épée, que ce jeune roi, à l’œil
123     XXIX|           rivage ; il inclina son épée devant elle et partit.~ ~ ~ ~
124     XXIX| enflammèrent quiconque tenait une épée, et l’armée établit son
125      XXX|             Je lui ai vu manier l’épée et tenir les cartes, reprit-il :
126      XXX|           et pas un pauvre coup d’épée !… J’en pleure ! Cependant
127     XXXI|           tous passés au fil de l’épée.~ ~ ~– Tous ? les blessés
128     XXXI|        toi, capitaine Moloch, ton épée !~ ~ ~ ~Le capitaine hésitait,
129     XXXI|       reprit le roi, prenez cette épée, et cassez-la comme l’épée
130     XXXI|        épée, et cassez-la comme l’épée d’un lâche et d’un mécréant.~ ~ ~ ~
131     XXXI|            Arnold de Brahé prit l’épée, et, l’appuyant sous son
132     XXXI|         dit-il.~ ~ ~ ~Mais déjà l’épée d’Arnold de Brahé lui montrait
133     XXXI|         le matin, sa dague et son épée.~ ~ ~– Rien ! plus rien !
134     XXXI|            Ah ! je puis avoir une épée, une dague, un cheval !
135     XXXI|          fléchir, et d’une longue épée à lame plate qui convenait
136     XXXI|       sentit sur un bon cheval, l’épée au flanc et la dague à la
137    XXXII|           gants et posa sa lourde épée sur un meuble, comme un
138    XXXII|           un enfant qui portait l’épée ; mais c’était l’héritier
139    XXXII|             Le capitaine boucla l’épée à sa ceinture ; le feutre
140    XXXIV| tranquillement le vieux reître, l’épée qui doit couper Magnus en
141    XXXIV|          à cheval ! et tu tiens l’épée au fourreau ! Il s’agit
142    XXXIV|       tourmentait la garde de son épée et cherchait quelque résolution
143    XXXIV|           un prisonnier, j’ai mon épée ! Parlez !~ ~ ~– Voilà un
144    XXXVI|      Seigneurie a le bras long, l’épée plus longue encore ; quand
145   XXXVII|          et à laquelle un homme d’épée tel que moi n’est point
146   XXXVII|          Frantz ; la pointe d’une épée déchirant les chairs ne
147  XXXVIII|     reconnais à présent l’homme d’épée qui avait naguère armé le
148    XXXIX|           cheval par la bride ; l’épée de Magnus tournoya dans
149    XXXIX|         de tomber dans la cour, l’épée entre les dents.~ ~ ~– Aux