Partie

  1       II|           fortune, un carrosse à sa porte, dix laquais dans son antichambre,
  2      III|          entrait dans la vie par la porte radieuse de l’amour.~ ~ ~ ~
  3        V|            de cavaliers frappa à la porte de la Grande-Fortelle en
  4        V|         sifflet, fendit l’air ; une porte basse, cachée au pied d’
  5       VI|       enlever une fille, forcer une porte, escalader un mur ; peut-être
  6       VI|             le comte, sortez par la porte du guet ; excès de prudence
  7       VI|          coquins sont sortis par la porte du guet ! »~ ~ ~Armand-Louis
  8       VI|        priez pour moi.~ ~ ~ ~Sur la porte du cabaret, Carquefou trouva
  9       VI|       Presque aussitôt il poussa la porte du cabinetmaître Hans,
 10       VI|        courtine et en sortez par la porte du guet ; la route est mal
 11       VI|             tourna les yeux vers la porte, elle était close, et la
 12       VI|           une petite maison dont la porte rouge s’ouvre à une demi-lieue
 13       VI|         déjà maître Hans ouvrait la porte et se glissait dehors.~ ~ ~–
 14       VI|      murmura Armand-Louis.~ ~ ~ ~La porte rouge de la maison isolée
 15       VI|           bras droit libre. Puis la porte se referma, la lumière s’
 16      VII|  Armand-Louis gratta doucement à la porte de la chambredormait
 17      VII|             tourelle dont la lourde porte était défendue par quatre
 18      VII|         quelques pas vers la grande porte du château et regarda dans
 19      VII|            de se glisser jusqu’à la porte, n’y tint plus.~ ~ ~– C’
 20     VIII|                    Sur le pas de la porte, il se tourna vers Armand-Louis :~ ~ ~–
 21     VIII|           le gentilhomme jusqu’à la porte du château. Elle se reprochait
 22     VIII|          une main forte poussant la porte aux deux larges battants :~ ~ ~–
 23       IX|          pieds, ferma prudemment la porte, regarda autour de lui et
 24       IX|       achète deux rapières ; je les porte à mes gens et leur dis que
 25       IX|             saura bien en ouvrir la porte. Avez-vous remarqué un certain
 26       IX|           Renaud se dirigea vers la porte, en poussa le verrou et
 27       IX|             enfoncera bientôt cette porte ; comment voulez-vous que
 28       IX|             ombre se mouvait, et la porte qu’une main invisible ébranlait.~ ~ ~ ~
 29       IX|             côté du corridor, et la porte fut ébranlée par le choc
 30       IX|          gardaient la fenêtre et la porte, l’épée au poing. Aucune
 31        X|             de Carquefou, ouvrit la porte de l’hôtellerie. Derrière
 32        X| retentissaient contre les ais de la porte.~ ~ ~– Les reîtres sont
 33        X|     indiscrets, nous barricadons la porteMonsieur, il faut savoir
 34        X|          fenêtre, l’autre devant la porte de la salle dans laquelle
 35        X|           Charge-toi de celui de la porte, lui dis-je ; moi, je vais
 36       XI|               mais notre lieutenant porte toujours une casaque de
 37       XI|    silencieusement, au-dessus de la porte, un large écusson sur lequel
 38      XII|             monterait la garde à la porte de l’hôtellerie, tandis
 39      XII|              et lui ouvrira quelque porte secrète du paradis.~ ~ ~ ~
 40     XIII|    furtivement, se glissait vers la porte.~ ~ ~ ~Le refrain d’une
 41     XIII|             et se trouva près de la porte en même temps que son ami.~ ~ ~–
 42     XIII|          Werth fit deux pas vers la porte ; arrivé là, il se retourna.~ ~ ~–
 43      XIV|          tour du jardin. Près d’une porte qui s’ouvrait sournoisement
 44      XIV|         échappée, on distinguait la porte pratiquée dans la haie et
 45      XIV|     immobiles.~ ~ ~ ~Tout à coup la porte s’ouvrit violemment, et
 46       XV|           au climat de la Suède. La porte qui donnait sur le perron
 47       XV|            Oui, comme le cheval qui porte le ministre est chargé du
 48       XV|           et silencieuse parut à la porte.~ ~ ~– Aurore, dit Marguerite,
 49       XV|           la livrée du roi est à la porte ; voici ce qu’il m’a remis
 50      XVI|           les marches, et poussa la porte du cabinet de M. de Pardaillan.~ ~ ~–
 51      XVI|       montra à M. de la Guerche une porte pratiquée dans l’angle de
 52      XVI|         blason son éclat perdu ! Je porte une hermine dans mon écu…
 53     XVII|           son cheval et franchit la porte d’un élan terrible.~ ~ ~ ~
 54    XVIII|    renverser la batterie qui bat la porte de Cogne. C’est un adieu
 55    XVIII|        Beaulieu, qui fait face à la porte de Cogne, est insuffisamment
 56    XVIII|       défendait les approches de la porte de Cogne. Chacun des cavaliers
 57    XVIII|            distance qui séparait la porte de la batterie catholique
 58    XVIII|            qui battait en brèche la porte de Cogne. Elle était alors
 59    XVIII|             lui, et plus près de la porte de Cogne, ceux qui restaient
 60    XVIII|          plus à La Rochelle et à la porte de Cogne que si les remparts
 61    XVIII|             couloir, il y avait une porte, et derrière cette porte,
 62    XVIII|            porte, et derrière cette porte, que l’enfant poussa, une
 63    XVIII|           ouvre pas toute grande la porte du paradis, par sainte Estocade
 64    XVIII|        mousquetaire de service à la porte de Son Éminence.~ ~ ~ ~Un
 65    XVIII|    capitaine des chasses.~ ~ ~ ~Une porte s’ouvrit, et M. de la Guerche
 66       XX|              Un coq, debout sur une porte, battit de l’aile et chanta.~ ~ ~«
 67       XX|       ornement d’aucune espèce. Une porte s’ouvrit, et Abraham Cabeliau
 68       XX|             ai revu mon coquin à la porte du digne chrétien qui s’
 69      XXI|        effarée se promenaient de la porte à la fenêtre.~ ~ ~– Ah !
 70      XXI|        faire entendre du côté de la porte. Marguerite voulut entraîner
 71      XXI|          une pièce voisine, mais la porte s’ouvrit tout à coup et
 72      XXI|         lèvres d’Abraham lorsqu’une porte voisine s’entrouvrit et
 73     XXII|           sur le corps ; je ne m’en porte pas plus mal, mais vous
 74    XXIII|          Magnus, arrivait devant la porte basse d’une prison trapue,
 75    XXIII|     officier, avant de passer cette porte, me permettez-vous de vous
 76    XXIII|          pont-levis s’abaissa ; une porte s’ouvrit, et Magnus vit
 77    XXIII|       ruelle voisine et frappa à la porte d’un cabaret borgne où les
 78     XXIV|           longs détours, devant une porte de fer qui s’ouvrait sans
 79     XXIV|             et fit deux pas vers la porte. Un geste d’Armand-Louis
 80     XXIV|             prison. Au moment où la porte allait se refermer sur lui,
 81     XXIV|    Pardaillan venaient de forcer la porte du chancelier.~ ~ ~ ~Du
 82     XXIV|          quelques pas du côté de la porte.~ ~ ~ ~Adrienne tomba à
 83      XXV|            rangea sur le côté de la porte.~ ~ ~ ~Armand-Louis comprit
 84      XXV|          tirèrent leurs sabres ; la porte de la prison s’ouvrit, et
 85     XXVI|             dans la rue ; la grande porte de l’hôtel roula sur ses
 86     XXVI|            cria : « Le roi ! » ; la porte de la galerie s’ouvrit à
 87     XXVI|            ce nœud de rubans que je porte là. Alors seulement, moi
 88    XXVII|             batterie qui battait la porte de Cogne. C’est une journée
 89   XXVIII|    gémissement se fit entendre à la porte.~ ~ ~– Tiens ! Carquefou !
 90   XXVIII|            Armand-Louis frappa à la porte du calviniste et lui conta
 91   XXXIII|             ainsi qu’Adrienne, à la porte du château, une femme parut
 92   XXXIII|      comblées de caresses.~ ~ ~ ~La porte refermée, elle sourit :~ ~ ~–
 93    XXXVI|           Comme il allait passer la porte, Adrienne ouvrit ce morceau
 94  XXXVIII|         heure où l’on s’arrêta à la porte d’une espèce de maison de
 95  XXXVIII|    dépendait d’une aile isolée. Une porte, ouverte sur un jardin planté
 96  XXXVIII|            arbre, l’œil fixé sur la porte.~ ~ ~ ~La nuit commençait
 97  XXXVIII|       pavillon. Un homme parut à la porte du jardin, enveloppé d’un
 98  XXXVIII|          manteau sur le seuil de la porte, lui prit la main, et tous
 99    XXXIX|          bridés, seraient devant la porte du pavillon. Magnus se chargeait
100    XXXIX|                Un jour entra par la porte de l’écurie et en éclaira
101    XXXIX|   sentinelle se promenait devant la porte du pavillon.~ ~ ~– Tout
102    XXXIX|          écuyer, un autre ouvrit la porte de la grande cour.~ ~ ~ ~
103    XXXIX|              qui venait d’ouvrir la porte de sa chambre, de s’approcher
104    XXXIX|     Souvigny se dirigeaient vers la porte, toute grande ouverte, et
105    XXXIX|           une selle, courut vers la porte et fit feu ; la balle égratigna
106    XXXIX|           et les poussèrent vers la porte ; Jean de Werth les imita,
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