Partie

 1       II|           que tous les biens de la terre ne sont rien en comparaison
 2      III|          fit Adrienne.~ ~ ~ ~Si la terre s’était entrouverte devant
 3       IV|             il y en avait deux par terre qui se débattaient, un troisième
 4        V|  Armand-Louis aurait désiré que la terre s’entrouvrît sous ses pieds ;
 5       VI|            élevait à six pouces de terre ; la ligne blanche qu’elle
 6       VI|        ennemi tomba lourdement par terre.~ ~ ~ ~Sans perdre une seconde,
 7       VI|       écurie.~ ~ ~– Cours ventre à terre, et que Renaud soit ici
 8      VII|          lourdement la face contre terre.~ ~ ~– Premier grêlon !
 9     VIII|               Renaud salua jusqu’à terre.~ ~ ~ ~À quelque temps de
10     VIII|         les éloignaient du coin de terre où leur adolescence avait
11        X|            il tomba la face contre terre. Deux fois ses mains battirent
12       XI|  Armand-Louis voulut mettre pied à terre ; Péters l’arrêta d’un geste.~ ~ ~–
13       XI|           Renaud le fit rouler par terre, puis sautant sur le cavalier
14       XI|                Celui qui frappe la terre du pied, une épée nue à
15      XII| Armand-Louis le retenait cloué par terre.~ ~ ~– Sommes-nous seuls ?
16      XII|        reître qu’il avait jeté par terre et tenu sous son genou sur
17      XII|           a envoyé son Fils sur la terre pour que nos péchés nous
18      XII|        comme des bêtes fauves ; la terre était peut-être fermée pour
19     XIII|        cœur aurait souhaité que la terre entière n’eût d’yeux que
20      XIV|       quelle grâce dans ce coin de terre inconnu, si subitement Mlle
21      XIV|          fit rouler son ennemi par terre.~ ~ ~– Au troisième à présent !
22       XV|             qu’il appartenait à la terre. Bientôt ses yeux furent
23       XV|         inclina de nouveau jusqu’à terre et présenta à M. de la Guerche
24    XVIII|      écoulés ; attaquée du côté de terre, bloquée du côté de la mer
25    XVIII|             il se mit à creuser la terre au pied de l’épaulement.~ ~ ~ ~
26    XVIII|      dit-il.~ ~ ~ ~Et il frappa la terre à coups redoublés.~ ~ ~ ~
27    XVIII|          de fumée et d’éclairs. La terre trembla sous les pieds des
28    XVIII|          debout, les pieds dans la terre humide ; le ministre prit
29    XVIII|         prit une pelletée de cette terre et la jeta sur le cercueil
30    XVIII|     murmura Carquefou.~ ~ ~– Et la terre de Chaufontaine avec ses
31    XVIII|           d’amour pour elle sur la terre d’exil.~ ~ ~– Et dans le
32      XIX|            HASARDS D’UN VOYAGE PAR TERRE ET PAR MER~ ~ ~ ~Il reprit
33      XIX|         par le vent, porta vers la terre.~ ~ ~ ~Le flot déferlait
34      XIX|         abordait en naufragé cette terre de Suède où une première
35       XX|        déposé sain et sauf sur une terre amie, et ce qu’il lui restait
36     XXII|      morceaux, les bancs jetés par terre. Thorwick, qui avait bu
37    XXIII|      cherchait son feutre jeté par terre du même coup.~ ~ ~– Chanson
38    XXIII|           une souche et il tomba à terre. M. de la Guerche lui sauta
39    XXIII|           entendit résonner sur la terre le pas robuste de Magnus.~ ~ ~–
40     XXIV|           la bague n’était pas par terre, il se dirigea à grandes
41     XXIV|            disparu du milieu de la terre !~ ~ ~ ~Une partie de la
42     XXVI|          créature appartenant à la terre.~ ~ ~ ~Jean de Werth était
43   XXVIII|         Renaud manqua rentrer sous terre en entendant la voix de
44     XXIX|     bataillon venait de quitter la terre. Le vent gonfla les mille
45     XXIX|              dit-il en montrant la terre ; maintenant je suis Gustave-Adolphe !~ ~ ~–
46     XXIX|            armée à la vue de cette terre où elle était appelée à
47      XXX|         point encore galopé sur la terre allemande.~ ~ ~ ~On remarquait
48   XXXIII|          Comme elle mettait pied à terre, ainsi qu’Adrienne, à la
49    XXXIV|        expédia Carquefou, ventre à terre, vers la demeure du roi,
50    XXXIV|         maître frappant du pied la terre et levant un poing crispé
51    XXXVI|         que sa monture frappait la terre d’un pied élastique et régulier,
52    XXXVI|            venait de mettre pied à terre se soutenait à peine.~ ~ ~–
53   XXXVII|         côté. Débarqué seul sur la terre d’Allemagne, j’ai vécu tant
54   XXXVII|         banc, et du banc tomba par terre ; il s’endormit sans plus
55  XXXVIII|    approcha vivement et mit pied à terre comme pour arranger la gourmette
56    XXXIX|         audacieux qui roula mort à terre, la tête fendue jusqu’au
57    XXXIX|              la balle égratigna la terre derrière les fugitifs qu’
58    XXXIX|      croupe du cheval et roula par terre.~ ~ ~ ~Toute la troupe s’
59    XXXIX|         reculé.~ ~ ~ ~Il frappa la terre du pied :~ ~ ~– Elle m’échappe
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