Partie

 1        V|         avez soif, buvez ; si vous êtes fatigué, reposez-vous. Ce
 2        V|      plissa ses lèvres.~ ~ ~– Vous êtes mon hôte, monsieur le comte,
 3       VI|          le rappelant :~ ~ ~– Vous êtes entrés tous deux, je crois,
 4       VI|        pour la demander ?… Si vous êtes des gentilshommes, je vous
 5       VI|           je vous plains ; si vous êtes des bandits, que vous faut-il ?~ ~ ~ ~
 6      VII|           n’a pas coulé, donc vous êtes mon hôte encore, l’hôte
 7     VIII|      Jacobus.~ ~ ~– Monsieur, vous êtes libre, lui dit-il d’un air
 8     VIII|           nouvelles fatigues. Vous êtes jeune, et, pour l’amour
 9     VIII|             souvenez-vous que vous êtes gentilhomme. Mlle de Souvigny
10     VIII|         Souvigny est riche et vous êtes pauvre : M. de Pardaillan
11       IX|            de Souvigny.~ ~ ~– Vous êtes presque chez moi, dit-il.~ ~ ~ ~
12       IX|            cria Armand-Louis, vous êtes aux ordres de Carquefou,
13       IX|     cessait de chanter.~ ~ ~– Vous êtes un homme de goût, dit Renaud ;
14       IX|        vous étiez chez moi, vous y êtes ; mais M. le comte de Pappenheim,
15       IX|      affaire, comptons bien : vous êtes deux, nous sommes vingt ;
16       IX|           sa moustache.~ ~ ~– Vous êtes des enfants, ajouta-t-il ;
17       XI|          du seigneur Mathéus. Vous êtes accusé de meurtre et d’assassinat ;
18      XII|          vous et les vôtres vous m’êtes sacrés ! dit-il.~ ~ ~– Je
19      XII|      chapeau à la main.~ ~ ~– Vous êtes chez le roi Gustave-Adolphe,
20       XV| reconnaître de tels services. Vous êtes fatigué sans doute, blessé
21       XV|          elle comme chez lui. Vous êtes sans doute le comte Armand-Louis
22       XV|            m’a parlé de vous. Vous êtes chargé d’une mission, je
23       XV|            de Wasaborg.~ ~ ~– Vous êtes maître de notre secret,
24      XVI|         indignation.~ ~ ~– Et vous êtes gentilhomme ! s’écria-t-elle.~ ~ ~–
25     XVII|       éclair de bonheur quand vous êtes près de moi ! Tenez, ce
26    XVIII|         cardinal, je sais qui vous êtes, d’où vous venez et ce que
27    XVIII|         parmi vos ennemis, et vous êtes vainqueur. En dernier lieu,
28      XIX|        joues couleur de rose. Vous êtes la première femme qu’il
29       XX|          coup d’épée.~ ~ ~– Vous n’êtes pas modeste, ce me semble ?~ ~ ~–
30       XX|          aime beaucoup.~ ~ ~– Vous êtes un homme de goût, maître
31       XX|          imagine, dit-il, que vous êtes de ceux qui ont la tête
32       XX|      espoir de la revoir, car vous êtes gai ; mais d’autres soins
33       XX|            Frappez et entrez, vous êtes ici chez Abraham ; moi,
34       XX|          me faire oublier que vous êtes chez moi, vous que j’ai
35       XX|          tout à Abraham, mais vous êtes sa fille… ordonnez !~ ~ ~ ~
36      XXI|            de me rappeler que vous êtes l’oint du Seigneur. La maison
37      XXI|      pouvez en sortir comme vous y êtes entré. Souvenez-vous seulement,
38    XXIII|           garde d’oublier que vous êtes ici dans le jardin du roi,
39    XXIII|    maladroit vous provoquait, vous êtes gentilhomme, et moi Jean
40    XXIII|            monsieur le comte, vous êtes perdu ! murmura Magnus qui
41    XXIII|            de la croix.~ ~ ~– Vous êtes un honnête homme, répondit
42    XXIII|            chez laquelle vous vous êtes rendu en quittant le Saumon
43      XXV|         roi vous a rencontré, vous êtes libre.~ ~ ~ ~Un immense
44     XXIX|      aurait pas crues. À vous, qui êtes son ami, je les dirai. Il
45      XXX|            savez qui je suis, vous êtes Armand-Louis de la Guerche,
46    XXXII|           si bien, qu’un jour vous êtes venu en personne, déguisé,
47    XXXII|           écria le capitaine. Vous êtes d’une maison souveraine,
48    XXXIV|            costume de voyage. Vous êtes bien résolus, n’est-ce pas,
49     XXXV|     ajouta-t-il, qu’à présent vous êtes entièrement à la discrétion
50   XXXVII|     songeur, répondit Magnus. Vous êtes sans doute l’homme de confiance
51  XXXVIII|            qui s’assit.~ ~ ~– Vous êtes toujours dans l’intention