Partie

 1        I|             saint. On avait donc six heures par jour pour s’aimer et
 2        I|             une feuille.~ ~ ~ ~À ces heures charmantes où l’aube s’éveille,
 3       II|         donnions encore vingt-quatre heures ? dit-il.~ ~ ~– Le voyage
 4       II|             ou le 15 novembre à huit heures ?~ ~ ~– Non certes !~ ~ ~–
 5       II|             elle employât toutes les heures et toutes ses dents à manger
 6       VI|          marqueterie qui sonnait les heures dans un coin ; bientôt après
 7       VI|   consultèrent la pendule.~ ~ ~– Dix heures ! reprit-il ; ils devraient
 8       VI|            aurai cent ; vingt-quatre heures me suffiront pour les rassembler.~ ~ ~–
 9       VI|                   À cheval et à neuf heures, bien.~ ~ ~– Si tu aperçois
10       VI|          adieux, dit-il.~ ~ ~ ~Peu d’heures après, trois lumières brillaient
11     VIII|            VOYAGE~ ~ ~ ~Vingt-quatre heures après cette scène, qui pouvait
12     VIII|        encore deux fois vingt-quatre heures, envoya Carquefou en éclaireur
13     VIII|             accepter en souvenir des heures que vous avez passées chez
14     VIII|    adolescence avait eu de si belles heures, résonnaient dans leur cœur.
15     VIII|            hors d’haleine. Voilà dix heures que je cours après toi !
16       IX|          clocher du bourg sonna huit heures ; Carquefou se frappa le
17       IX|       Mathéus dans la salle où peu d’heures auparavant on avait soupé.~ ~ ~–
18      XII|            Armand-Louis comptait les heures. Toutes les fois qu’il entendait
19     XIII|              leva.~ ~ ~ ~Une ou deux heures après, quand ils furent
20     XVII|             Ingrate, j’ai passé deux heures à rimer un sonnet que je
21    XVIII|        faisons que cela depuis trois heures ! s’écriait Renaud.~ ~ ~ ~
22       XX|         blanche où, pendant quelques heures, il avait vu Marguerite
23      XXI|     espérance au retour ; les seules heures où j’ai connu l’ivresse
24      XXI|          jeta à ses pieds. Combien d’heures n’avait-il pas autrefois
25     XXII|        Gothembourg à Carlscrona. Les heures semblaient comptées.~ ~ ~ ~
26    XXIII|          avait employé les dernières heures du jour.~ ~ ~– Eh ! ce n’
27     XXIV|            ai pas trop de toutes mes heures !~ ~ ~– Que comptes-tu faire ?~ ~ ~–
28     XXIV|          connais que depuis quelques heures, monsieur, cependant toute
29     XXIV|          alors ! reprit Arnold ; les heures sont comptées !~ ~ ~ ~Adrienne
30      XXV| Gustave-Adolphe avait dormi quelques heures à peine, enveloppé dans
31      XXV|         regard plein d’anxiété, sept heures vont sonner. Arriverons-nous
32     XXVI|           partirai dans vingt-quatre heures… je voudrais ne pas partir
33     XXVI|         trois jours, et vingt-quatre heures suffisaient à Jean de Werth
34     XXVI|            enfin compter le nombre d’heures qui le séparaient de son
35    XXXIV|          Guerche fredonnait dans ses heures de gaieté.~ ~ ~– Il chante,
36    XXXIV|            devons aller ! Voilà deux heures que je rumine, entassant
37    XXXVI|              reprit-il vivement, les heures, les minutes sont comptées ;
38    XXXVI|            votre maître ! Il y a des heures où pour l’avoir ce n’est