Partie

 1        I|        par la pluie, hâlés par le vent, accoutumés à braver la
 2       II|           quoi l’on partirait. Le vent eut le bon esprit de souffler
 3       IV|          marché.~ ~ ~ ~Renaud eut vent de cette extermination de
 4       VI|          arbres dormaient ; aucun vent, aucun bruit. Une chouette
 5     VIII|       maréchaussée de Guéret a eu vent de diverses peccadilles
 6     VIII|         qui roulaient comme si le vent les eût poussés vers lui.~ ~ ~ ~
 7     VIII|          qu’on a mis flamberge au vent un peu partout. Donc, je
 8        X|                 X~ ~ FLAMBERGE AU VENT~ ~ ~ ~Adrienne s’était jetée
 9        X|       lieues avec la vitesse d’un vent d’orage, rassurés par le
10       XI|          court avec la vitesse du vent… il atteint cette longue
11      XII|          se couvrit de voiles, le vent les gonfla, et il descendit
12      XIV|           aux bois voisins que le vent secouait. Les murmures du
13     XVII|          fenêtre est ouverte ; un vent léger se joue dans les plis
14    XVIII|          alors sous le souffle du vent ; partout sur le sol des
15      XIX|       jetait la sonde. Un coup de vent se leva, déchira le brouillard,
16      XIX|         hollandais, poussé par le vent, porta vers la terre.~ ~ ~ ~
17       XX|          du comte fuyait comme un vent d’orage… Le son de sa voix
18   XXVIII|           il venait de ce pays un vent de guerre qui me réconfortait.
19     XXIX|            n’attendait plus qu’un vent favorable pour mettre à
20     XXIX| embarquement fut enfin donné ; le vent soufflait du nord. Une foule
21     XXIX|           de quitter la terre. Le vent gonfla les mille voiles
22      XXX|     grains de sel que je jette au vent !~ ~ ~ ~En parlant ainsi,
23    XXXII|            le roi marche comme le vent.~ ~ ~– Eh bien ! nous reviendrons
24    XXXIV|         devra mettre flamberge au vent sans crier gare !~ ~ ~–
25   XXXVII|          Il ne faut qu’un coup de vent pour renverser un chêne ;
26  XXXVIII|   Saint-Rupert ! dit-il.~ ~ ~ ~Le vent apporta le son mourant d’
27  XXXVIII|          le nuage que poussait le vent et se frottait les mains.
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