Partie

 1    XXIII|    aussi vrai que je m’appelle Arnold de Brahé, parlez sans crainte.~ ~ ~–
 2    XXIII|    ensuite en se tournant vers Arnold de Brahé, je suis à vos
 3    XXIII|       suis à vos ordres.~ ~ ~ ~Arnold de Brahé s’approcha d’une
 4     XXIV|    prison de M. de la Guerche. Arnold de Brahé hésita d’abord
 5     XXIV|   parvenir à Mlle de Souvigny, Arnold de Brahé qui vous garde
 6     XXIV|        M. de la Guerche retint Arnold de Brahé.~ ~ ~– La cour
 7     XXIV|          Peu de minutes après, Arnold de Brahé se présentait chez
 8     XXIV| Mademoiselle de Souvigny ? dit Arnold en entrant.~ ~ ~– C’est
 9     XXIV|    sans savoir pourquoi.~ ~ ~ ~Arnold tira de sa poche la lettre
10     XXIV|   Hélas ! pas encore ! murmura Arnold.~ ~ ~ ~Mais, rappelée à
11     XXIV|  Adrienne s’empara des mains d’Arnold :~ ~ ~– Mais, monsieur,
12     XXIV|        qu’il se trompe !~ ~ ~ ~Arnold détourna la tête pour ne
13     XXIV|      Hâtez-vous alors ! reprit Arnold ; les heures sont comptées !~ ~ ~ ~
14     XXIV|        des sentinelles doublé. Arnold se promenait lentement le
15     XXIV|      faisait trembler sa voix, Arnold fut inflexible. Soldat,
16     XXIV|         il y a Dieu ! répondit Arnold.~ ~ ~ ~C’était bien plus
17      XXV|     revoir.~ ~ ~ ~En ce moment Arnold de Brahé entra chez M. de
18      XXV|       Mlle de Souvigny, reprit Arnold ; si c’est pour vous une
19      XXV|        M. de la Guerche.~ ~ ~ ~Arnold secoua la tête.~ ~ ~– Dieu
20      XXV|       mains libres, poursuivit Arnold, et celle aussi de garder
21      XXV|        Je vous la donne.~ ~ ~ ~Arnold sortit et se rangea sur
22     XXXI|  Gustave-Adolphe donna ordre à Arnold de Brahé d’amener auprès
23     XXXI|       la tira lentement.~ ~ ~– Arnold de Brahé, reprit le roi,
24     XXXI|  capitaine devinrent blanches. Arnold de Brahé prit l’épée, et,
25     XXXI|             Mais déjà l’épée d’Arnold de Brahé lui montrait le
26     XXXI|       la justice du roi ! cria Arnold, tandis que les rangs s’
27     XXXI|      du roi ! répéta la voix d’Arnold, laissez passer le capitaine