Partie

 1      III|     longue suite de rêves que le souvenir et le nom d’Adrienne remplissaient.
 2        V|        de vous l’offrir comme un souvenir de votre passage dans ce
 3        V| Grande-Fortelle sans emporter un souvenir.~ ~ ~– Quel souvenir ?~ ~ ~–
 4        V|          un souvenir.~ ~ ~– Quel souvenir ?~ ~ ~– Eh ! parbleu ! Mlle
 5     VIII|          vous prie d’accepter en souvenir des heures que vous avez
 6     VIII|     surmonté aucun obstacle ? Le souvenir de M. de Pappenheim lui
 7       IX|         prétends vous laisser un souvenir de mon passage à la « Croix
 8      XII|      quelque chose, rendez-le en souvenir de moi à ceux qui vers vous
 9      XIV|      matin Armand-Louis à qui le souvenir d’Adrienne mêlé à celui
10      XIV|      Mlle de Souvigny !~ ~ ~ ~Ce souvenir le détermina à ne pas quitter
11      XVI|      monde occupait moins que le souvenir d’Adrienne, sortit là-dessus,
12    XXIII|         procédés à son égard. Ce souvenir le fit se diriger du côté
13    XXIII|        un ton d’indifférence. Un souvenir d’amour, sans doute, quelque
14     XXIV|        retira pleine de sang. Le souvenir de ce qui s’était passé
15     XXIV|     ville.~ ~ ~ ~Il venait de se souvenir subitement d’Abraham Cabeliau
16    XXVII|      amour-propre national et un souvenir de la France perdue, ils
17    XXVII|   assemblée battit des mains. Le souvenir de ce que M. de la Guerche
18   XXVIII|      mais, vois mon malheur ! le souvenir de Mlle de Pardaillan me
19   XXVIII|         en suis sûr, combattu ce souvenir par le jeûne et la macération ?~ ~ ~–
20     XXXI|        du camp suédois.~ ~ ~ ~Un souvenir parut tout à coup illuminer
21   XXXIII|         Quelquefois cependant le souvenir de Jean de Werth faisait
22   XXXIII|    vaillant homme de guerre ; ce souvenir avait réveillé celui du
23   XXXIII|          qui a l’amabilité de se souvenir de moi ? dit Mlle de Pardaillan.~ ~ ~–
24   XXXIII|        que vous emportiez un bon souvenir de ma bicoque, dit-elle
25    XXXIX|          qui tremblait encore au souvenir des périls qu’il avait courus.~ ~ ~ ~