Partie

 1        I|     marquis Renaud bon catholique. Celui-ci se découvrait au nom de
 2      III|             la belle idée ! reprit celui-ci. Connaissez-vous, monsieur
 3      III|                  Finissons-en, dit celui-ci brusquement : demain je
 4        V| Armand-Louis.~ ~ ~ ~Sans répondre, celui-ci sauta sur une rapière, et
 5     VIII|              pourquoi l’arrivée de celui-ci parut-elle d’un fâcheux
 6     XIII|            demi vers Renaud.~ ~ ~ ~Celui-ci, dont les mains tourmentaient
 7       XV|         aisance et une dignité que celui-ci n’avait encore vues à personne,
 8     XVII|        pied de M. de Chaufontaine. Celui-ci les ramassa lestement. Une
 9      XIX|            Abraham Cabeliau. Comme celui-ci, il professait la religion
10    XXIII|            la Guerche au moment où celui-ci se montra dans Gothembourg,
11    XXIII|          Armand-Louis aussitôt que celui-ci, conduit par Magnus, avait
12    XXIII|           de M. de la Guerche, que celui-ci ne se rendait pas compte
13     XXIV|      interroger M. de Pardaillan ; celui-ci n’osait pas parler : il
14   XXVIII|        Chaufontaine avant même que celui-ci en eût conscience. Le trouble,
15   XXVIII|          de son embarras à Renaud, celui-ci tordait innocemment ses
16      XXX|        lèvres.~ ~ ~– Eh ! eh ! dit celui-ci d’une voix brève, ce ne
17     XXXI|        assez promptement d’accord. Celui-ci fit choix d’un grand cheval
18    XXXIV|            par M. de Chaufontaine, celui-ci se promenait de long en
19    XXXIV|          pas toi, camarade, reprit celui-ci : tu es un poltron trop
20    XXXVI|                 Voyons, poursuivit celui-ci, entre camarades, il faut
21    XXXVI|            répondit tranquillement celui-ci ; donc si vous vous croyez
22    XXXVI|       blessé aux mains de Magnus ; celui-ci étouffa le profond soupir
23   XXXVII|            boire à maître Frantz ; celui-ci, étonné et qui se sentait