Partie

 1     VIII|      lieutenant, un joli garçon, ma foi, s’y est arrêté un matin,
 2       IX|        rubis de mille pistoles ! et foi de capitaine, cette babiole
 3       IX|             de contrition.~ ~ ~– Ma foi, monsieur, ma piété s’accommoderait
 4     XIII|            la cour de Stockholm, la foi passe avant l’intérêt politique.~ ~ ~ ~
 5       XV|   approchant du vainqueur.~ ~ ~– Ma foi, non ! j’ai fait ce que
 6       XV|       couvert et disparut.~ ~ ~– Ma foi ! dit Armand-Louis en s’
 7      XVI|          poing, en confessant notre foi. Si Mlle de Souvigny, ma
 8     XVII|     délibéré en lui-même :~ ~ ~– Ma foi, tant pis ! dit-il encore,
 9       XX|         pour la défense de la vraie foi !… Merci de vous être souvenu
10       XX|        Magnus.~ ~ ~– Un ennemi ? ma foi, non.~ ~ ~– Cherchez bien.~ ~ ~–
11      XXI|            pour la défense de notre foi. Mon sang et mon or sont
12    XXVII| chevaleresque, sa constance dans la foi jurée, l’habileté qu’il
13    XXVII|             le même esprit, la même foi, le même dévouement.~ ~ ~ ~
14   XXVIII|             éclairer le paysage. Ma foi, quand on m’eut appris que
15   XXVIII|             du dénouement, il avait foi dans la Providence. Elle
16     XXIX|            allait combattre pour sa foi et pour la Suède. On priait
17     XXIX|            sentir aux ennemis de sa foi le poids des armes suédoises.
18      XXX|        observait toujours.~ ~ ~– Ma foi, messieurs, cette guerre
19     XXXI|            D’autres passions que la foi religieuse et le patriotisme
20    XXXVI|            me répond de votre bonne foi ? dit-il tout à coup en
21    XXXIX|          riant ; vieille souris, ma foi, à qui l’âge n’a pas appris
22    XXXIX|           pointe du jour ?~ ~ ~– Ma foi, vous avez raison, camarade.