Partie

 1        I|            le marquis Renaud bon catholique. Celui-ci se découvrait
 2        I|                Le huguenot et le catholique avaient presque même taille ;
 3      III|              Eh ! eh ! ajouta le catholique en riant, la voilà bientôt
 4      III|      huguenote, moi qui suis bon catholique ?… As-tu seulement réfléchi
 5       IV|   adversaire intime, quoique bon catholique.~ ~ ~ ~Un mathématicien
 6       VI| mansuétude, et telle qu’un pieux catholique serait heureux de l’avoir
 7     XIII|     oublie un jour qu’il est bon catholique ? Je le suis aussi, par
 8      XVI|      séparés ; Jean de Werth, le catholique, avait pris parti pour l’
 9     XVII|           je suis gentilhomme et catholique, je vais rejoindre l’armée
10    XVIII|          la porte de la batterie catholique fut à moitié franchie. Quelques
11    XVIII|          meilleur ami, aussi bon catholique qu’il est enragé huguenot !
12     XXII|          bien douce pour une âme catholique de malmener quelqu’un de
13     XXII|        aient contre eux, en pays catholique, la maîtresse ou le confesseur
14    XXVII|          dans la vieille société catholique du Moyen Âge un élément
15    XXVII|          orateur.~ ~ ~– C’est un catholique ! cria l’un.~ ~ ~– Un de
16    XXVII|     arrêtèrent à quelques pas du catholique.~ ~ ~– Je suis catholique,
17    XXVII|        catholique.~ ~ ~– Je suis catholique, c’est clair, et je ne m’
18    XXVII|       vingt capitaines à l’armée catholique. Lequel d’entre vous a fait
19    XXVII|    continua-t-il. J’ai beau être catholique de la tête aux pieds, je
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