Partie

 1        I|              Renaud souriait de pitié. Les petits catholiques
 2     XIII|       pauvre parpaillot, elle a pitié de mon martyre, elle consent
 3      XVI|       disait-il à Renaud, c’est pitié de voir une maison si pleine
 4      XVI|         Si Dieu ne prend pas en pitié ses serviteurs, nous succomberons
 5     XVII|        ont le secret.~ ~ ~– Par pitié, ne pars pas ! reste ! ce
 6      XXI| suspendue à son cou ; mais, par pitié, fuyez !~ ~ ~– Fuir ! et
 7     XXIV|     enfin le sauver ?… Oh ! par pitié, je vous en prie !~ ~ ~ ~
 8     XXIV|         écouterais peut-être la pitié si je n’étais le ministre
 9     XXIV|         l’aurez tué !~ ~ ~– Par pitié !…~ ~ ~Jean de Werth tourna
10     XXVI|   présent qu’il n’y avait nulle pitié à attendre de Jean de Werth.
11     XXVI|         pleins de douleur et de pitié. Il regrettait alors de
12   XXVIII|        de la Guerche, c’est une pitié… mes os ne tiennent plus
13   XXVIII|         s’appelait Aurore – eut pitié de mon martyre. Cette nouvelle
14      XXX|    Armand-Louis. La guerre sans pitié, la guerre implacable qu’
15   XXXVII|   gagnée pour nous. C’était une pitié de voir une si jolie fille,
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