Partie

  1        I|              de la Marche, d’ennemis plus irréconciliables et tout
  2        I|             et tout à la fois d’amis plus intimes que le comte Armand-Louis
  3        I|           Ils fondaient ensemble les plus fameux héros de la mythologie
  4        I|            toujours le premier et le plus avant dans la mêlée, impétueux,
  5        I|             et n’oubliant jamais, au plus fort du combat, qu’il était
  6        I|         guerre ; mais, s’il comptait plus d’ennemis renversés, la
  7        I|            rien ne lassait.~ ~ ~ ~Le plus plaisant était que, si on
  8        I|      sourires ; quelquefois même, au plus beau de son improvisation,
  9        I|              On ne le voyait pas non plus éternellement occupé à battre
 10        I|          leurs jeux. Il ne répondait plus avec le même élan aux provocations
 11        I|   catholiques se réjouissaient de ne plus avoir affaire au terrible
 12        I|            de la Guerche, ne dormait plus guère. Le sortilège qui
 13       II|           Armand-Louis n’avait guère plus de huit ou dix ans. Mlle
 14       II|           mule fort paresseuse, mais plus maigre encore. On n’allait
 15       II|           est pour cela : un jour de plus, un jour de moins, qu’est-ce ?~ ~ ~ ~
 16       II|            regardait de ses yeux les plus caressants.~ ~ ~ ~Ce signal
 17       II|          outre, Adrienne ne quittait plus Armand-Louis, Armand-Louis
 18       II|         demain », s’endormit pour ne plus se réveiller.~ ~ ~ ~Au moment
 19       II|        déclara qu’elle ne s’en irait plus, et voilà comment une orpheline
 20       II|             au jeune Armand-Louis la plus brillante éducation militaire.
 21       II|          savaient à cette époque les plus habiles et les plus experts.
 22       II|              les plus habiles et les plus experts. Lui-même était
 23       II|             confié, et lui enseigna, plus encore par son exemple que
 24       II|             Il regardait en face les plus graves périls, se jetait
 25       II|          pâlir dans les rivières les plus furieuses, disparaissait
 26       II|            homme de cœur se tire des plus mauvais pas. Pas un étranger
 27       II|              armes qu’il enrégimenta plus tard les petits huguenots
 28      III|       atteint cet âge où le cœur bat plus vite, où une fleur qui s’
 29      III|              en rougissant paraît le plus précieux de tous les trésors,
 30      III|            eut vue, il n’osa presque plus la regarder, si ce n’est
 31      III|                Le combat recommença, plus long, plus obstiné, plus
 32      III|        combat recommença, plus long, plus obstiné, plus ardent, bras
 33      III|             plus long, plus obstiné, plus ardent, bras contre bras,
 34      III|         petit jour dans la partie la plus déserte du val au Moulin.~ ~ ~–
 35      III|        importe ? je ne la regarderai plus et, si tu le désires, personne
 36      III|        trouvait les couleurs du ciel plus brillantes, le parfum des
 37      III|     brillantes, le parfum des fleurs plus enivrant, le souffle de
 38      III|               le souffle de la brise plus caressant et plus doux.
 39      III|              brise plus caressant et plus doux. Bientôt il entendit
 40      III|       Adrienne.~ ~ ~– Ne le détestez plus ! il ne vous épousera jamais,
 41      III|           les bois : mais il n’était plus seul, et quand un soupir
 42      III|         choses qui poussent un homme plus avant dans le métier des
 43      III|           huguenot, il ne provoquait plus M. de la Guerche. Il ne
 44       IV|            combats recommençaient de plus belle.~ ~ ~ ~Ce Carquefou
 45       IV|            guère qu’un an ou deux de plus qu’Armand-Louis. Fils d’
 46       IV|              sa manière le garçon le plus original qui fût à dix lieues
 47       IV|            en vaut une autre, il n’a plus rien dit. Les parents des
 48       IV|             cervelle de l’orateur le plus bruyant, et j’ai joué de
 49       IV|            était temps, je ne tenais plus sur mes jambes… Ah ! vous
 50       IV|             Carquefou n’en démordait plus. Poltron il était, poltron
 51       IV|           Carquefou ; il vous serait plus facile de faire une brebis
 52       IV|        dit-il. À présent, ne me tuez plus, je suis à demi corrigé.~ ~ ~ ~
 53       IV|        nouvelles grâces, des charmes plus séduisants à Mlle de Souvigny.
 54        V|          offriraient une hospitalité plus riche et plus abondante,
 55        V|            hospitalité plus riche et plus abondante, aucun ne vous
 56        V|             inconnu qui la considéra plus attentivement.~ ~ ~– Et
 57        V|             J’ai rarement vu travail plus beau, ajouta-t-il, c’est
 58        V|        quelques pas dans la galerie, plus hautain qu’un empereur.~ ~ ~ ~
 59        V|          longtemps voyagé, monsieur. Plus tard, quand vous aurez âge
 60        V|            nouveaux, des étoffes les plus belles, les velours, le
 61        V|          voyait pas de pareilles aux plus fières châtelaines de la
 62        V|       Armand-Louis, qui détestait de plus en plus le comte Godefroy,
 63        V|             qui détestait de plus en plus le comte Godefroy, s’étonnait
 64        V|         grand seigneur, éblouissant, plus brillant qu’une châsse et
 65        V|       trouble, et donnait un aliment plus vif à son animadversion,
 66        V|                    Non, je ne pleure plus ! s’écria-t-il ; et, puisque
 67        V|       confesser ? lui cria Renaud du plus loin qu’il le vit.~ ~ ~–
 68       VI|             marche n’était jamais ni plus lente ni plus rapide ; quelquefois
 69       VI|              jamais ni plus lente ni plus rapide ; quelquefois seulement
 70       VI|             homme de guerre, n’a pas plus d’importance que le pillage
 71       VI|              Maître Hans ne te verra plus.~ ~ ~– Qui m’instruira de
 72       VI|          bruit se fit entendre, mais plus loin.~ ~ ~« Ah ! pensa-t-il,
 73       VI|             que déjà il ne le voyait plus. Mais si fugitif qu’eût
 74       VI|             est malsain le soir ; de plus, vous entrez dans le château
 75       VI|             bouche ; c’était même le plus sûr moyen qu’il eût trouvé,
 76       VI|              si fort, que tu n’auras plus occasion de boire du petit
 77       VI|            un conseil, ne t’aventure plus du côté de l’auberge des «
 78       VI|          prends à témoin que je n’ai plus une goutte de sang dans
 79       VI|             le bras qui la tient est plus solide ; il y aura des trous
 80       VI|             trop pointu : rien n’est plus dangereux pour un homme
 81      VII|          autour d’Adrienne une grâce plus alerte et plus vive. L’or
 82      VII|             une grâce plus alerte et plus vive. L’or coulait de ses
 83      VII|        Armand-Louis.~ ~ ~ ~Mais, pas plus que Renaud, il ne perdait
 84      VII|            cœurs. Ils choisirent les plus déterminés, leur distribuèrent
 85      VII|          faire escorte, trois de ses plus braves serviteurs, et tandis
 86      VII|          reposait ce qu’il aimait le plus au monde. Il aurait voulu
 87      VII|           peut-être dans une heure ; plus un mot à présent.~ ~ ~ ~
 88      VII|               Armand-Louis en compta plus de cent.~ ~ ~ ~Une joie
 89      VII|              ne croyait pas en avoir plus de vingt à combattre.~ ~ ~ ~
 90      VII|          soir, et depuis lors il n’a plus eu occasion de voir les
 91      VII|           jusqu’à la porte, n’y tint plus.~ ~ ~– C’est si vrai, dit-il,
 92     VIII|              Souvigny, qui respirait plus à l’aise depuis que M. de
 93     VIII|            parti. Il ne vous induira plus à mal.~ ~ ~ ~Le capitaine
 94     VIII|         Quand les hiboux ne trouvent plus ni rats ni souris dans un
 95     VIII|         ainsi ont fait vos gens. Les plus fidèles, et c’est un soin
 96     VIII|              qui s’ennuyait, n’ayant plus personne à massacrer, s’
 97     VIII|              faut voir le médecin au plus vite, tu as la fièvre.~ ~ ~–
 98     VIII|            bien, hélas ! qu’il n’y a plus de géants grands comme des
 99     VIII|            qui font sérieusement les plus grandes folies. Deux jours
100     VIII|             harnacher solidement. Le plus doux devait être pour Mlle
101     VIII|            pour Mlle de Souvigny, le plus robuste pour Dominique,
102     VIII|             un parent qui a sur vous plus de droits que moi ; mais,
103     VIII|          reprit-il ; qu’elle te soit plus douce et plus heureuse qu’
104     VIII|           elle te soit plus douce et plus heureuse qu’à moi !~ ~ ~ ~
105     VIII|          suivi de ses serviteurs les plus résolus, il partit le soir
106     VIII|          passant, rien ne leur était plus familier.~ ~ ~ ~L’inconnu,
107     VIII|         haute, l’épée ne s’échappera plus de mon bras.~ ~ ~ ~Adrienne
108     VIII|     abat-jour sur ses yeux pour voir plus loin.~ ~ ~ ~Le nom d’Armand-Louis,
109     VIII|        Carquefou parmi les hôtes les plus gras de la basse-cour.~ ~ ~–
110       IX|               Armand-Louis ne serait plus seul à braver les dangers
111       IX|        avouait qu’il n’avait presque plus peur, et souhaitait à demi
112       IX|            bien qu’il se déclarât le plus humble des serviteurs de
113       IX|            Gaspard les pria avec les plus vives instances d’accepter
114       IX|           Souvigny. Jamais dentelles plus riches n’avaient caressé
115       IX|              poignets, jamais bijoux plus éclatants n’avaient mêlé
116       IX|           prochain, ce que j’aime le plus au monde, c’est le cheval.
117       IX|            voyageurs ; on ne pouvait plus songer à partir le lendemain.~ ~ ~–
118       IX|          occasion de paraître encore plus bête que je ne suis ; j’
119       IX|          passer quelques instants de plus avec des gentilshommes tels
120       IX|             au bord des liqueurs les plus fines. Mathéus, toujours
121       IX|                      Ce n’était déjà plus le même homme, ni le même
122       IX|         noble, elle est belle, et de plus le pan de sa robe ne serait
123       IX|           sinon, vous sortirez d’ici plus froids que le marbre et
124       IX|             un coquin qui ne me fera plus peur !~ ~ ~ ~Il n’avait
125        X|              don Gaspard ne comptait plus que sur son épée. La question
126        X|            et fleuri n’annonçait pas plus de vingt ans, lui avait
127        X|              front, puis il ne remua plus.~ ~ ~– Mort ! dit froidement
128        X|              comme un soldat ! C’est plus qu’il ne méritait, dit-il.~ ~ ~–
129        X|              répondit Renaud ; donc, plus de regrets !~ ~ ~– En route
130        X|         seigneur Mathéus distribuait plus de coups de pied que de
131        X|         Alicante que l’hôte tient au plus profond de sa cave, dans
132        X|         écurie où il choisissait les plus beaux chevaux, les meilleurs,
133        X|             et la même activité. Les plus gourmands avaient presque
134        X|              et nous suit. Vingt pas plus loin, nous remarquons deux
135       XI|           ceux-là très loin, ceux-ci plus près, d’autres autour du
136       XI|          avis, à présent : ne tombez plus entre les mains du seigneur
137       XI|             si on ne les poursuivait plus, rien encore n’était sauvé.
138       XI|            et Armand-Louis n’étaient plus en France. Les terres de
139       XI|      toujours pensé qu’on se cachait plus aisément dans une foule
140       XI|      tomberez, je tomberai.~ ~ ~– Le plus simple, d’ailleurs, est
141       XI|             nous cacher où il y a le plus de monde, dit Carquefou.
142       XI|           Renaud. Je ne sais rien de plus mauvais que de coucher à
143      XII|        affectait-il dans son langage plus de confiance qu’il n’en
144      XII|             face et sous sa forme la plus terrible. Carquefou, qu’
145      XII|            vous guettent : partez au plus vite. Adieu.~ ~ ~ ~D’un
146      XII|             resterons pas un jour de plus.~ ~ ~ ~Il rendit tout d’
147      XII|          traversa l’esprit, et, sans plus réfléchir, il l’accosta.~ ~ ~–
148      XII|                dit-il.~ ~ ~– Je n’ai plus qu’une fille au monde, répondit
149      XII|            auberge et on prit par le plus court pour gagner les bords
150      XII|            tolets et imprima un élan plus vif au canot.~ ~ ~ ~Une
151      XII|               Ses yeux ne quittaient plus Adrienne. La sueur ruisselait
152      XII|                 Armand-Louis n’avait plus de souffle. Dominique râlait ;
153      XII| Gustave-Adolphe, madame, ne tremblez plus ! dit-il.~ ~ ~ ~Adrienne
154      XII|             Mathéus Orlscopp n’était plus qu’à une courte distance
155      XII|              humiliation étaient les plus forts. Tout à coup il s’
156      XII|        serviteur. Le cœur ne battait plus. Abraham Cabeliau se découvrit :~ ~ ~–
157      XII|            du canon.~ ~ ~– Ils n’ont plus d’armes, c’est assez, répondit
158     XIII|       considérable qu’il devait bien plus à son mérite qu’à son nom
159     XIII|               Armand-Louis ne voyait plus qu’un vide sombre et sans
160     XIII|               Alors rien ne m’étonne plus ; je n’imiterai pas M. le
161     XIII|                    Armand-Louis, pas plus que Renaud, ne songea à
162     XIII|              nombre, il n’en restait plus guère au fond de leur poche,
163     XIII|            de Saint-Wast. Ce n’était plus comme à la Grande-Fortelle,
164     XIII|             les parties d’hombre les plus désastreuses ne coûtaient
165     XIII|        désastreuses ne coûtaient pas plus d’un petit écu. De plus,
166     XIII|              plus d’un petit écu. De plus, M. de Pardaillan, qui avait
167     XIII|             n’était pas la cause des plus gros soucis de M. de la
168     XIII|    Pardaillan, couverte des mets les plus abondants, et les plus délicats,
169     XIII|           les plus abondants, et les plus délicats, il n’était pas
170     XIII|                 En outre, il n’était plus seul auprès d’elle. Saint-Wast
171     XIII|           certainement le château le plus fréquenté qui se pût voir
172     XIII|         regardaient Mlle de Souvigny plus longtemps qu’il n’est besoin
173     XIII|              elle était en effet, la plus aimable et la plus accomplie
174     XIII|         effet, la plus aimable et la plus accomplie des femmes qu’
175     XIII|            par un rayon de soleil et plus abondants que les longs
176     XIII|           éprouvait de nouveau, mais plus âpres, plus amers, plus
177     XIII|            nouveau, mais plus âpres, plus amers, plus irritants. Chaque
178     XIII|              plus âpres, plus amers, plus irritants. Chaque jour il
179     XIII|           yeux à n’en pas trouver de plus beaux. On lui perçait le
180     XIII|          sait, n’avait pas tardé non plus à remarquer de quels avantages
181     XIII|            veux mettre à profit sans plus tarder.~ ~ ~– Voyons l’idée.~ ~ ~–
182     XIII|          mieux, le châtiment en sera plus complet.~ ~ ~ ~Armand-Louis
183     XIII|       rendrait la punition de Renaud plus radicale. Tandis qu’il cherchait
184     XIII|          répliquait Renaud.~ ~ ~ ~Le plus triste était qu’ils faisaient
185     XIII|       sentiment, l’excitait à rendre plus excessives ses prodigalités.~ ~ ~ ~
186     XIII|             là, peut-être serez-vous plus heureux, dit le baron qui
187     XIII|           bourse des profondeurs les plus secrètes de son haut-de-chausses.~ ~ ~ ~
188     XIII|            souleva ; elle ne rendait plus aucun son. La bourse était
189     XIII|         Guerche l’arrêta.~ ~ ~– Non, plus aujourdhui ! dit M. de
190     XIII|             Suède !~ ~ ~– C’est bien plus drôle ! répliqua M. de Chaufontaine.~ ~ ~ ~
191     XIII|            arbres. Le son d’un luth, plus doux encore, se fit entendre.~ ~ ~–
192     XIII|         Pardaillan.~ ~ ~ ~Ce n’était plus le même homme au sourire
193     XIII|           renferme des papiers de la plus haute importance : j’y joins
194      XIV|            Mais Armand-Louis n’avait plus l’âge heureux d’un page.
195      XIV|            jardin ne leur sembla pas plus difficile à franchir.~ ~ ~–
196      XIV|         fenêtre sur la mer.~ ~ ~ ~Le plus grand des trois déboucla
197      XIV|             pas mauvais, répondit le plus grand, nous y dormirons ;
198      XIV|             il pouvait n’être pas le plus fort, s’ensuivrait nécessairement.
199      XIV|           qui jeta sur le carreau le plus proche des assaillants.~ ~ ~ ~
200      XIV|                On n’entendit bientôt plus que le froissement du fer ;
201      XIV|            combat recommençait alors plus âpre et plus ardent ; la
202      XIV|      recommençait alors plus âpre et plus ardent ; la rapière de M.
203      XIV|              Le capitaine ne pensait plus aux cinq cents écus d’or,
204       XV|            objets ravis aux pays les plus lointains : coffrets d’ébène
205       XV|              pas choisi une retraite plus charmante pour sa favorite ;
206       XV|             maintenant que je l’aime plus que la vie, dit le comte
207       XV|              succédant au coloris le plus vif, s’étendait sur son
208       XV|              À présent qu’il n’avait plus à combattre le capitaine
209       XV|             Eh ! que ne parliez-vous plus tôt ? dit gaiement le gentilhomme
210       XV|                   Marguerite n’avait plus la même expression de joie
211       XV|                  Albert était devenu plus pâle qu’un mort.~ ~ ~ ~Une
212       XV|       minutes après, il n’apercevait plus les clochers de Gothembourg.~ ~ ~ ~
213      XVI|               Non, jamais !~ ~ ~ ~Et plus bas, de la même écriture :
214      XVI|      écriture : Moi le roi.~ ~ ~ ~Et plus bas encore, le nom de Gustave-Adolphe.~ ~ ~ ~
215      XVI|          peut-être il ne reviendrait plus, mais qu’il se sentirait
216      XVI|              mais qu’il se sentirait plus hardi contre la mort et
217      XVI|             tout. Oui, j’aime, et du plus profond de mon cœur, j’aime,
218      XVI|              parlait pas. C’était la plus grande preuve de chagrin
219      XVI|            Suède ; une affaire avait plus tard ramené Jean de Werth
220      XVI|              la pièce, en proie à la plus violente agitation.~ ~ ~–
221      XVI|                que n’avez-vous parlé plus tôt ? reprit-il. Que n’avez-vous
222     XVII|       rigueur ; je n’ai pas accroché plus de quatre vers ; les voici.~ ~ ~–
223     XVII|            sinon… Ah ! je ne réponds plus du feu qui brûle dans mon
224     XVII|            il peut me précipiter aux plus terribles entreprises. Il
225     XVII|          peut-être je ne la reverrai plus ? dit-il.~ ~ ~ ~L’angoisse
226     XVII|             ce cœur, il n’en sortira plus que du fiel et du venin.
227     XVII|   physionomie que les sentiments les plus terribles et les plus violents
228     XVII|            les plus terribles et les plus violents bouleversaient.
229     XVII|             de Pardaillan. Je l’aime plus que la vie. Renoncez noblement
230     XVII|           épée, je ne renoncerai pas plus à elle que je ne rendrai
231    XVIII|              et décimée, défend bien plus son honneur que la ville
232    XVIII|       embrassés.~ ~ ~– N’épargne pas plus les catholiques que je n’
233    XVIII|          rapière au flanc prenait le plus court, en compagnie de Carquefou,
234    XVIII|          dont tu sors.~ ~ ~ ~Rien de plus terrible et de plus navrant
235    XVIII|          Rien de plus terrible et de plus navrant que l’aspect de
236    XVIII|             amoncellent. On n’espère plus le salut, on cherche l’occasion
237    XVIII|               pour moi je veux faire plus.~ ~ ~– Parle.~ ~ ~– Je viens
238    XVIII|             des soldats qui n’auront plus bientôt d’autre patrie qu’
239    XVIII|               cette batterie ne sera plus qu’un monceau de décombres.
240    XVIII|        Saint-Louis. On ne nous croit plus en état de rien tenter hors
241    XVIII|             on n’avait pas vu visage plus sombre dans La Rochelle.~ ~ ~ ~
242    XVIII|       Armand-Louis se rapprochait de plus en plus du piquier. Chaque
243    XVIII|            se rapprochait de plus en plus du piquier. Chaque homme
244    XVIII|                     Derrière lui, et plus près de la porte de Cogne,
245    XVIII|         Chaufontaine qui n’entendait plus. Regarde là-bas, derrière
246    XVIII|            un ennemi qui m’a roué de plus de coups que je n’ai de
247    XVIII|              mais, parbleu, j’aurais plus tôt fait d’aller voir si
248    XVIII|           Renaud, qui ne pensait pas plus à La Rochelle et à la porte
249    XVIII|              comte de la Guerche, le plus brave soldat qui ait jamais
250    XVIII|             Son Éminence ne souriait plus. Le ministre tourna lentement
251    XVIII|         moment après, on n’entendait plus dans la batterie que le
252    XVIII|            conduis-moi vers lui sans plus tarder : il y aura un écu
253    XVIII|               Carquefou ne respirait plus ; tous deux marchaient derrière
254    XVIII|         celui que le hasard a mis le plus en évidence ces jours-ci.
255    XVIII|              est terrassée, il n’y a plus en France ni catholiques
256    XVIII|       souriant, quelle citadelle est plus forte que toi ? Je n’entreprendrai
257    XVIII|            sûr.~ ~ ~ ~Renaud soupira plus fort.~ ~ ~– Ah ! c’est impossible !
258    XVIII|       railles ! Les Juifs ne peuvent plus rien prêter sur la bicoque,
259    XVIII|              les prés sont tondus et plus chauves que la tête d’un
260    XVIII|             moine, les moulins n’ont plus ni blé ni meules ! Non,
261      XIX|          jours où, entre la femme la plus aimée et l’ami le plus fidèle,
262      XIX|            la plus aimée et l’ami le plus fidèle, il saluait d’un
263      XIX|         joyeuse de Renaud n’éclatait plus à son oreille ; le regard
264      XIX|             de Souvigny ne cherchait plus ses yeux. Carquefou, suivi
265      XIX|            Dominique, n’interrogeait plus l’horizon pour voir s’il
266      XIX|             pas ébranlée, il n’avait plus du moins cette première
267      XIX|            en fut de même pendant la plus longue partie de la navigation.
268      XIX|        fendit l’eau peut-être un peu plus rapidement qu’il ne l’avait
269      XIX|            aussi ?~ ~ ~– Ce sont les plus dangereux.~ ~ ~– Ah diable !~ ~ ~–
270      XIX|             Ah diable !~ ~ ~– Et les plus nombreux !~ ~ ~ ~Armand-Louis
271      XIX|             à moins qu’on ne soit le plus fort.~ ~ ~– Et cela arrive-t-il
272      XIX|            On ne distinguait presque plus la voile ennemie ; elle
273      XIX|          effaçait. Bientôt on ne vit plus rien.~ ~ ~ ~Tout en fumant,
274      XIX|             à tire-daile le port le plus voisin, et je n’y penserai
275      XIX|           voisin, et je n’y penserai plus que pour remercier le Seigneur
276      XIX|            Le hollandais ne marchait plus que sous ses basses voiles ;
277      XIX|             noire des récifs n’était plus qu’à quelques encablures
278      XIX|        hollandais, qui ne gouvernait plus, et le poussa violemment
279      XIX|              entier se leva. Un flot plus terrible saisit le vaisseau
280      XIX|           flots, Armand-Louis ne vit plus autour de lui que des débris
281      XIX|             delà duquel la mer était plus calme et déferlait tranquillement
282      XIX|         ouvertes, regagne son aire ; plus près et clouée sur les récifs,
283      XIX|             hollandais ne présentait plus qu’un informe amas de débris
284      XIX|            Quelques pas le portèrent plus loin. Entre deux rochers
285      XIX|             ciel. Le cœur ne battait plus.~ ~ ~– Pauvre David ! murmura
286      XIX|           autour d’eux. On ne fumait plus, on ne buvait plus.~ ~ ~–
287      XIX|            fumait plus, on ne buvait plus.~ ~ ~–  ! bel étourneau,
288      XIX|           fureur de Magnus ne connut plus de bornes, et, tête baissée,
289       XX|            équiper et prendre par le plus court pour chercher le roi
290       XX|            quitta le cabaret. Jamais plus douce aurore n’éclaira la
291       XX|           têtu.~ ~ ~ ~Magnus n’était plus l’homme querelleur qu’on
292       XX|     peut-être à mon service y a-t-il plus de coups à gagner que de
293       XX|              puisse rendre.~ ~ ~– De plus, je ne sais pas trop où
294       XX|              était pas de son côté : plus tard, et pour une meilleure
295       XX|       partout de bons souvenirs ; de plus, son maître a vu tant de
296       XX|              de ceux qui ont la tête plus remplie de rêves que la
297       XX|                Que ne le disiez-vous plus tôt ! Ce n’est point à Stockholm
298       XX|            villes de l’Allemagne. Au plus épais des bois il ne se
299       XX|          engendrent pas toujours les plus longs voyages ; elles étaient
300       XX|          côté d’Armand-Louis, par la plus absolue confiance, et du
301       XX|             du côté de Magnus par le plus profond respect.~ ~ ~ ~Mais
302       XX|             de Gothembourg n’ont pas plus de secrets que les chemins
303       XX|          pour un gentilhomme qui n’a plus que son épée ?~ ~ ~– Les
304       XX|       rendrez cette somme à d’autres plus pauvres que vous… Prenez.~ ~ ~ ~
305       XX|                     Nous allons sans plus tarder retourner à l’auberge
306       XX|                  Alors, n’en doutons plus, c’est lui qui a dépêché
307       XX|         dit-elle. Serait-elle encore plus propice que je ne le suppose ?
308       XX|        pardonne, ah ! je vous devrai plus que la vie !~ ~ ~– Que Dieu
309      XXI|                 Ah ! ne m’aimez-vous plus ? dit-il tout à coup, tandis
310      XXI|        depuis quand un père n’est-il plus le maître de juger sa fille ?
311      XXI|             j’avais ces biens que le plus humble de mes sujets connaît
312      XXI|              voulu que le roi ne fût plus libre, Marguerite, son âme
313      XXI|        ailleurs, mon cœur ne battait plusCroyez la voix qui vous
314      XXI|            voilà que vous ne m’aimez plus !~ ~ ~– Ah ! je vous aime
315      XXI|       Marguerite est morte, il n’y a plus ici que la fille d’Abraham
316      XXI|         Marguerite ne lui avait paru plus belle et plus touchante,
317      XXI|             avait paru plus belle et plus touchante, mais il la connaissait
318      XXI|                     Marguerite n’est plus !… Aux armes ! Sire.~ ~ ~–
319      XXI|            tirée, je ne la rentrerai plus !~ ~ ~ ~Marguerite, le visage
320      XXI|                     Sire, je ne suis plus pour Votre Majesté qu’une
321      XXI|             le soleil ne vous trouve plus ici !… et, pour que le sacrifice
322      XXI|              dit-il ; j’en équiperai plus encore pour la défense de
323      XXI|             celui qu’il ne connaîtra plus…~ ~ ~ ~Elle se soutenait
324      XXI|         Abraham Cabeliau fussent les plus agiles et les mieux équipés
325      XXI|              jours qu’elle ne devait plus revoir ! Elle salua des
326      XXI|           retourna la tête et ne vit plus la maison blanche. Elle
327     XXII|        avance qui ne leur permettait plus de l’atteindre.~ ~ ~– Qu’
328     XXII|              au galop qui oblige les plus humbles recrues à pousser
329     XXII|           battus que j’ai juré de ne plus marcher que sous ses drapeaux.
330     XXII|         corps ; je ne m’en porte pas plus mal, mais vous comprenez
331     XXII|            chance d’arriver en Suède plus vite et plus sûrement que
332     XXII|        arriver en Suède plus vite et plus sûrement que le navire du
333     XXII|            facile de les prévoir. Le plus simple bon sens suffisait.
334     XXII|           Suède pour une dernière et plus pressante sollicitation,
335     XXII|    Gustave-Adolphe n’avait multiplié plus rapidement les courses et
336     XXII|            bavarois.~ ~ ~ ~Un examen plus attentif lui inspira bientôt
337     XXII|             à l’heure et que je n’ai plus.~ ~ ~ ~Le sergent, aidé
338     XXII|                   C’est mon désir le plus vif.~ ~ ~– Vous déplairait-il
339    XXIII|            Kreuss qui ne le quittait plus, tandis que M. de la Guerche
340    XXIII|              personne ne se montrait plus, Frantz, que sa blessure
341    XXIII|             blessure semblait rendre plus leste, rejoignait Jean de
342    XXIII|            mort !~ ~ ~– Magnus n’est plus un enfant, reprit le soldat
343    XXIII|              cet accent. Il n’hésita plus, et bien qu’il lui répugnât
344    XXIII|           mon frère, ne sait rien de plus que toi.~ ~ ~– Alors Magnus
345    XXIII|        négligeait pas de s’en venger plus tard. M. de la Guerche lui
346    XXIII|            arriva, en passant par le plus court, au moment où l’escorte
347    XXIII|              de l’escorte sans faire plus de bruit qu’un serpent qui
348    XXIII|        Frantz, qui déjà ne respirait plus.~ ~ ~ ~Mais Magnus songeait
349    XXIII|           Magnus songeait alors bien plus au danger qui menaçait Armand-Louis
350    XXIII|          salut et de roi. Il vit, de plus, passer des mains d’Armand-Louis
351    XXIII|             lui échappa. Il ne douta plus que ce ne fût une mission
352    XXIII|            pour déterminer trois des plus malheureux à se joindre
353    XXIII|          ouvert sa ceinture ; rester plus longtemps auprès de ce corps
354    XXIII|     assuraient une protection, et de plus il avait l’espoir de tirer
355    XXIII|           santé ! dit-il, je ne dors plus. À quoi pensez-vous que
356     XXIV|         pommeau de son poignard ; de plus, son bras, affaibli par
357     XXIV|              bien ?~ ~ ~– Je ne l’ai plus, et je ne suis pas mort !~ ~ ~ ~
358     XXIV|            de M. de la Guerche, mais plus enraciné encore, si c’est
359     XXIV|          Mais déjà Magnus n’écoutait plus ; Gustave-Adolphe n’emportait-il
360     XXIV|           Magnus frissonna et courut plus vite. Sa poitrine haletait,
361     XXIV|            Le cortège du roi n’était plus qu’un tourbillon roulant
362     XXIV|               Abraham était l’un des plus riches marchands de la Suède.
363     XXIV|            ou pour un être qui m’est plus cher que la vie… mais il
364     XXIV|            délit était constaté ; de plus, M. de la Guerche était
365     XXIV|              oblige à vous porter le plus rude coup.~ ~ ~– Ah ! diable !
366     XXIV|            ne put pas continuer, les plus horribles pensées traversaient
367     XXIV|     chancelier Oxenstiern ! c’est le plus puissant des ministres :
368     XXIV|         heure fatale, je ne prendrai plus conseil que de mon désespoir :
369     XXIV|              ne lui laissait presque plus la faculté de penser. Chaque
370     XXIV|            pas, ni Jean de Werth non plus.~ ~ ~– Ah ! je le verrai
371     XXIV|           Arnold.~ ~ ~ ~C’était bien plus un cadavre qu’une femme
372     XXIV|               pensait-elle.~ ~ ~ ~Au plus fort de cet état d’accablement,
373     XXIV|              lieues d’ici, peut-être plus loin, et au premier coup
374     XXIV|           que je suis cruel, féroce, plus dur que le marbre, plus
375     XXIV|              plus dur que le marbre, plus farouche qu’un tigre, soit !
376      XXV|        comptera un brave officier de plus !~ ~ ~ ~La voix tremblait
377      XXV|              du bourreau avait l’âme plus noire que celle de Barrabas.
378      XXV|     fermaient toutes les issues, les plus hardis ne conservaient aucun
379      XXV|      embrassé sa fille et ne pensait plus la revoir.~ ~ ~ ~En ce moment
380      XXV|             fois, elle ne le reprend plus.~ ~ ~– La verrai-je encore ?
381      XXV|        criminel l’obtient ! Il n’y a plus de justice ! murmura Frantz.~ ~ ~ ~
382      XXV|              rang. Ils n’attendaient plus pour agir que l’instant
383      XXV|               de Pardaillan n’y tint plus. Il se jeta en avant, et,
384      XXV|           place. Mais la chose était plus difficile qu’il ne le pensait.
385     XXVI|           Jean de Werth, qui n’était plus alors au premier rang, perdit
386     XXVI|              proie, et avec d’autant plus d’ardeur, qu’on la lui disputait.
387     XXVI|             l’empereur Ferdinand n’a plus rien à faire en Suède ;
388     XXVI|             anneaux étaient rivés au plus profond de son cœur.~ ~ ~–
389     XXVI|              pu briser cette chaîne, plus forte que sa volonté.~ ~ ~ ~
390     XXVI|           homme qu’elle détestait le plus ? Mieux valait mille fois
391     XXVI|              que j’aime Armand-Louis plus que ma vie et que le désespoir
392     XXVI|            Guerche qu’il arrive sans plus tarder ; il faut qu’il soit
393     XXVI|                 Et je ne le reverrai plus ! dit-elle en tombant entre
394     XXVI|               cette fois, ne doutait plus du succès. L’heure fatale,
395     XXVI|           était venue. Il n’en était plus séparé que par un petit
396     XXVI|         écria Diane qui ne respirait plus et qui, le corps penché
397     XXVI|           Jean de Werth était devenu plus blanc qu’un linceul : il
398     XXVI|            donc chez vous, et par le plus court chemin… Ce n’est pas
399     XXVI|             dit Jean de Werth, c’est plus de temps qu’il n’en faut
400     XXVI|              père !~ ~ ~ ~Ce n’était plus l’aventurier qui parlait,
401    XXVII|       réforme prêchée par Luther, et plus tard par Calvin, avait jeté
402    XXVII|       pourpre. On s’accoutumait à ne plus croire à l’infaillibilité
403    XXVII|              par laquelle toutes les plus grandes puissances du continent
404    XXVII|             dangereux qui ne donnait plus à ses frontières aucune
405    XXVII|             en faire le souverain le plus remarquable du vieux continent.
406    XXVII|              à vaincre, soumise à la plus sévère discipline. Elle
407    XXVII|         avait dans son jeune chef la plus entière confiance. Bien
408    XXVII|              approchant des contrées plus chaudes du Midi !~ ~ ~ ~
409    XXVII|             en revue, entouré de ses plus fidèles et meilleurs généraux :
410    XXVII|            fourreau ne l’y remettait plus.~ ~ ~ ~Le métier des armes
411    XXVII|           par sa valeur, et d’autant plus désireux de courir à la
412    XXVII|            cavalerie serait donné au plus brave, à celui que le nombre
413    XXVII|               quelques-uns parmi les plus notables se montraient sensibles
414    XXVII|              pas, je mets au défi le plus vaillant de le faire.~ ~ ~ ~
415    XXVII|                    On se tut, et les plus impérieux, étonnés de ce
416    XXVII|           répondront : Personne ! De plus, et voilà peut-être ce que
417    XXVII|            tait ! Que voulez-vous de plus ? poursuivit Renaud.~ ~ ~ ~
418    XXVII|             épée sont catholiques ni plus ni moins que moi, je le
419    XXVII|       rencontré où la mêlée était la plus sanglante, et M. de Bérail
420   XXVIII|        Renaud.~ ~ ~ ~Carquefou entra plus maigre, plus sec, plus dévasté,
421   XXVIII|         Carquefou entra plus maigre, plus sec, plus dévasté, plus
422   XXVIII|         entra plus maigre, plus sec, plus dévasté, plus long et plus
423   XXVIII|              plus sec, plus dévasté, plus long et plus blême encore
424   XXVIII|           plus dévasté, plus long et plus blême encore qu’au temps
425   XXVIII|            pitié… mes os ne tiennent plus à mon corps que par des
426   XXVIII|          hôtellerie où l’on comptait plus de coquins autour des brocs
427   XXVIII|        sainte Estocade, je ne serais plus vivant. C’est dans ces occasions
428   XXVIII|          recommande ; il a l’estomac plus creux qu’il n’a les bras
429   XXVIII|          malice de l’esprit noir. Au plus fort de la cure, voilà qu’
430   XXVIII|            ne lui déplurent pas ; de plus, il avait dans l’air du
431   XXVIII|        circonvenir le père d’une des plus riches héritières de la
432   XXVIII|               Il ne faisait rien non plus pour surprendre son cœur,
433   XXVIII|          haute ; et par là, il entra plus avant dans les bonnes grâces
434   XXVIII|             avait mieux servi que la plus extrême habileté. Il fallait
435   XXVIII|              Pardaillan ; il n’avait plus la force de lui parler.
436   XXVIII|              armer, et c’était là le plus difficile. Armand-Louis,
437   XXVIII|           aventurier, ne l’avait pas plus ronde. Les huguenots groupés
438   XXVIII|         groupés autour d’eux étaient plus riches en noblesse et en
439   XXVIII|             semblait tout d’abord le plus simple ; mais le roi devait
440   XXVIII|         pouvait rien lui refuser. De plus, les huguenots, en s’adressant
441   XXVIII|              Diane.~ ~ ~ ~Magnus non plus ne se préoccupait pas du
442   XXVIII|             les abandonner.~ ~ ~ ~Au plus fort de sa détresse, Armand-Louis
443   XXVIII|      quelquefois de l’or.~ ~ ~ ~Sans plus attendre, Armand-Louis frappa
444     XXIX|             de la Suède, n’attendait plus qu’un vent favorable pour
445     XXIX|           expédition. Nous ne serons plus séparés que par deux armées
446     XXIX|             les jeunes officiers les plus répandus dans le monde brillant
447     XXIX|              roses : ces nez-là, pas plus que ces lèvres, ne se mettent
448     XXIX|              pas ce que je désire le plus.~ ~ ~– Il y a des pénitences
449     XXIX|            peut-être le moyen de n’y plus penser !~ ~ ~ ~Le 24 juin
450     XXIX|              Gustave-Adolphe n’était plus le cavalier que M. de la
451     XXIX|         confiance pénétrât les âmes. Plus d’un, parmi les bourgeois
452     XXIX|         femme.~ ~ ~ ~Quand il ne fut plus qu’à quelques pas du tertre
453     XXIX|              avec respect ; mais non plus celle que vous avez connue
454     XXIX|            champs de bataille encore plus glorieux que ceux qu’il
455      XXX|      Armand-Louis et Renaud, que les plus jeunes et les plus brillants
456      XXX|           que les plus jeunes et les plus brillants officiers de l’
457      XXX|             qu’il y eût un capitaine plus magnifique dans l’armée.
458      XXX|            le comte Éberart écoutait plus qu’il ne parlait. Cependant
459      XXX|         guerre, celui-là, messieurs. Plus tard, je l’ai revue dans
460      XXX|          moment, personne ne prenait plus garde au comte Éberart.
461      XXX|          faire un jeu des choses les plus saintes et les plus respectées ;
462      XXX|              les plus saintes et les plus respectées ; mais le germe
463     XXXI|             de noms, il ne m’importe plus d’en connaître aucun.~ ~ ~ ~
464     XXXI|           pendre comme un chien à la plus haute branche d’un chêne.~ ~ ~ ~
465     XXXI|            et son épée.~ ~ ~– Rien ! plus rien ! poursuivit-il, ni
466     XXXI|            sans ressources, tombé au plus profond de l’abîme, et trouver
467     XXXI|            Jacobus ! Mais d’abord au plus pressé.~ ~ ~ ~Il saisit
468     XXXI|                 Le capitaine respira plus à l’aise quand il se sentit
469     XXXI|             sa vie bravé des dangers plus grands pour des causes moins
470    XXXII|          chose que vous souhaitez le plus au monde, c’est de le voir
471    XXXII|         frères ; mais un jour, et au plus fort de cette intimité si
472    XXXII|            le capitaine Jacobus, que plus tard, et à l’instigation
473    XXXII|          soufflet retentit encore au plus profond de votre cœur ;
474    XXXII|              parles ainsi ?~ ~ ~– Et plus tard (car vous allez voir,
475    XXXII|             pensé à donner un lustre plus éclatant à la race dont
476    XXXII|                  Le duc ne déchirait plus le mouchoir que tordaient
477    XXXII|         disparais ! Cet homme est le plus fort ! » Alors vous pensiez
478   XXXIII|             les attendaient à Berlin plus qu’aux batailles que devait
479   XXXIII|    arrivait-il pas en Allemagne bien plus en libérateur qu’en conquérant ?
480   XXXIII|              de la Guerche, aie donc plus de courage !~ ~ ~ ~Et, poussant
481   XXXIII|                 hélas ! je n’y crois plus, et cependant je l’ai connu
482   XXXIII|              ses joues, la rendaient plus charmante. Diane, déjà séduite,
483   XXXIII|              d’un coup ne l’avait-on plus vue ? Pourquoi, après avoir
484   XXXIII|             ce que le désespoir a de plus affreux… un jour je vous
485   XXXIII|              de Thécla une séduction plus touchante. On aurait dit
486   XXXIII|         quinze jours qu’elle n’y est plus !~ ~ ~– Quinze jours ! s’
487    XXXIV|             autre partie du camp. Le plus simple était d’attendre ;
488    XXXIV|          ramener M. de la Guerche au plus vite.~ ~ ~– Et si dans une
489    XXXIV|            bientôt dit !~ ~ ~– C’est plus vite fait encore !~ ~ ~–
490    XXXIV|            bien prouver que l’œil le plus fin et le plus exercé ne
491    XXXIV|              l’œil le plus fin et le plus exercé ne peut pas reconnaître
492    XXXIV|      surveillance de l’ennemi, et de plus nous observons quatre routes.
493    XXXIV|             c’est ainsi qu’on arrive plus rapidement à découvrir ses
494    XXXIV|              un point central, où le plus favorisé du hasard enverra
495     XXXV|      fatalité. C’était une chance de plus pour Armand-Louis et Renaud,
496     XXXV|          parvenue, on partirait sans plus tarder.~ ~ ~ ~On se mit
497     XXXV|            dans la nuit, qu’on était plus loin de Stralsund qu’au
498     XXXV|          abord, mais nous arriverons plus sûrement.~ ~ ~ ~Chaque soir
499     XXXV|           cousines sur sa vie, n’eut plus autour de lui que quatre
500    XXXVI|         pensent que ceux qui vont le plus loin ne sont pas ceux qui
501    XXXVI|            sont pas ceux qui vont le plus vite. Tandis que sa monture
502    XXXVI|            mais il en avait tenté de plus difficiles, et, avec l’aide
503    XXXVI|             cailloux, je n’arriverai plus. C’est vingt écus d’or que
504    XXXVI|    Seigneurie a le bras long, l’épée plus longue encore ; quand elle
505    XXXVI|            de Werth, et parviendrait plus aisément à les déjouer ;
506    XXXVI|           avec les prisonnières ? Le plus important était de les découvrir
507    XXXVI|    manqueront point, ni les bras non plus. Il disparaîtra.~ ~ ~– Vous
508    XXXVI|            Et M. de Chaufontaine non plus alors ! répondit Diane.~ ~ ~ ~
509   XXXVII|              perplexe. Il ne pouvait plus douter de la prochaine apparition
510   XXXVII|              était de mise.~ ~ ~ ~Au plus fort de ses méditations,
511   XXXVII|        honnête Frantz, qu’il n’avait plus eu l’occasion de rencontrer
512   XXXVII|             homme qu’il détestait le plus au monde.~ ~ ~– Vous semblez
513   XXXVII|              feu de la jeunesse bien plus que le désir de mal faire,
514   XXXVII|             mon génie m’appelait aux plus hautes fonctions… J’avais,
515   XXXVII|            Il m’a fallu en partir au plus vite et laisser sur les
516   XXXVII|            lui percerait pas le cœur plus cruellement. Je me connais
517   XXXVII|          sérieusement des choses les plus drôles !~ ~ ~– C’est que
518   XXXVII|           terre ; il s’endormit sans plus remuer qu’une souche.~ ~ ~–
519  XXXVIII|              pâle. Ils n’échangèrent plus un mot jusqu’à l’heure520  XXXVIII|                Les cloches sonneront plus haut que cela bientôt !
521  XXXVIII|             les yeux ? Jamais visage plus farouche et plus menaçant
522  XXXVIII|              visage plus farouche et plus menaçant ne lui était apparu.~ ~ ~–
523  XXXVIII|           son nom, je veux qu’un nom plus grand, plus redouté, me
524  XXXVIII|           veux qu’un nom plus grand, plus redouté, me prête l’appui
525    XXXIX|             Magnus ne dormit pas non plus ; il allait et venait lentement
526    XXXIX|           vit passer Jean de Werth ; plus rapide et plus menaçant
527    XXXIX|            de Werth ; plus rapide et plus menaçant qu’un fantôme,
528    XXXIX|              il s’éloigna sans faire plus de bruit qu’un renard qui
529    XXXIX|             pas appris qu’il ne faut plus rôder, l’heure du couvre-feu
530    XXXIX|           ses doigts, Magnus n’avait plus devant lui qu’un corps inerte
531    XXXIX|              Mme d’Igomer ne dormait plus ; le jour était venu où
532    XXXIX|           des fugitifs. On ne voyait plus qu’un nuage blanc roulant
533    XXXIX|           apercevoir au sommet de la plus haute tour le drapeau de
534    XXXIX|              venait de commencer, le plus grand nombre, confiants
535    XXXIX|              spectacle du tumulte le plus extraordinaire.~ ~ ~ ~On
536    XXXIX|             la défense paraissait le plus faible. Des femmes animées
537    XXXIX|             incendie pouvait être le plus facilement allumé ; elles
538    XXXIX|              commune, tandis que les plus jeunes, pâles, émues, tremblantes,
539    XXXIX|             Chaufontaine, c’était la plus terrible des chimères. Combien
540    XXXIX|       esprits follets eussent laissé plus de marques de leur passage
541    XXXIX|             avait rien découvert non plus, et qui tremblait encore
542    XXXIX|            compagnon n’avait pas été plus heureux.~ ~ ~ ~Ces deux
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