15-conse | consi-excel | excep-marqu | marte-recue | recul-verra | verre-yseul
              gras = Texte principal
     Partie   gris = Texte de commentaire

1 | 15 2 | 16 3 | 162 4 II| que vous arriveriez le 1er octobre à midi, ou le 15 5 | 24 6 XXXVIII| avec enchantement, et qu’a-t-elle besoin d’un bras pour s’ 7 VIII| prés dont je lui ai fait abandon, et, tel que jadis les chevaliers 8 XIII| que les deux jeunes gens s’abandonnaient à ces charmants entretiens, 9 XXIX| recueillement d’une âme qui s’abandonne tout entière ; l’indéfinissable 10 XI| l’avaient épuisée.~ ~ ~– Abandonnez-moi…, dit-elle ; je suis votre 11 XVIII| renversés, des murailles abattues, et, au milieu de ces ruines 12 XXVII| biens qui appartenaient aux abbayes, aux couvents, aux évêques, 13 I| Il dort comme un abbé !~ ~ ~ ~Hélas ! s’il rêvait 14 XIX| navire, qui s’ouvrit, s’abîma dans un tourbillon de vagues 15 I| réduit au silence, vaincu, abîmé ; mais la perversité de 16 XXVI| Et puis il y a de ces abîmes de fourberies dans lesquelles 17 XII| Cabeliau et de l’amener à abjurer ses erreurs.~ ~ ~– Ce serait 18 VI| effort de sa vaillance aux abois.~ ~ ~– Finissons ! dit Renaud 19 XXIII| et l’inconstance du jeu abondaient en tous temps ; il n’eut 20 XVIII| Dans le camp ennemi, abondamment pourvu de toutes choses, 21 XXVI| Jean de Werth n’osa pas l’aborder.~ ~ ~ ~Quand il fut devant 22 VI| Toutes ces émotions abrégeront mes jours ! dit-il.~ ~ ~ ~ 23 XXI| qui si longtemps l’avait abritée. Au point du jour, des serviteurs 24 XXII| sans cesse après de courtes absences. Le vieux gentilhomme voulait 25 XXVI| de la Guerche devait être absent pour trois jours, et vingt-quatre 26 I| représenter Armand-Louis. Renaud l’accablait d’arguments victorieux ; 27 IX| Armand-Louis, la chaleur a été accablante aujourdhui, nos chevaux 28 XXIV| plus fort de cet état d’accablement, la voix de Jean de Werth 29 IX| coquins n’ont pas tardé à m’accabler de questions. La Providence 30 XXII| dit-il.~ ~ ~ ~Thorwick accepta, remplit son verre jusqu’ 31 X| expéditions. Le bon Péters ayant accepté, il imagina en route de 32 VIII| à défaut du paradis, j’accepterais volontiers un logement à 33 XXIV| charger de cet adieu suprême, accepteriez-vous ?~ ~ ~– Je ne vous connais 34 XXXVIII| Souvigny est à ce prix. L’acceptez-vous ?~ ~ ~ ~Jean de Werth hésita.~ ~ ~– 35 XXXVIII| grands arbres, y donnait accès.~ ~ ~ ~Après s’être assuré 36 XXIII| que tu as si proprement accommodé ?~ ~ ~– Magnus ? je connais 37 XXXV| les saints et les anges s’accommoderaient de ce métier ?~ ~ ~ ~Il 38 IX| foi, monsieur, ma piété s’accommoderait fort de ce délabrement ! 39 VIII| le moment de son départ, accompagna le gentilhomme jusqu’à la 40 XXXVI| Point de cavalcade qu’il n’accompagnât pendant une heure ou deux. 41 XXXVIII| prisonnière ; Mlle de Pardaillan l’accompagne.~ ~ ~– Je le sais.~ ~ ~– 42 XXIII| couronné, et que nous avons accompagnée à Carlscrona, Marguerite 43 XXXVII| bouteilles au long col, accompagnées de flacons aux formes massives 44 XXXVI| quatre ou cinq serviteurs qui accompagnent cet écuyer et qui ne sont 45 XXIX| Diane et Mlle de Souvigny accompagneraient l’armée en Allemagne.~ ~ ~ ~ 46 XXVI| y trouve réuni, vous m’y accompagnerez et me donnerez bien trois 47 VIII| notre foyer. Votre devoir accompli, souvenez-vous que vous 48 XIII| plus aimable et la plus accomplie des femmes qu’il eût encore 49 IX| pies qu’il m’a été permis d’accomplir.~ ~ ~« C’est un Père de 50 XXVI| préférence qu’une femme lui accordait, et du même coup Adrienne 51 VI| rapière à mon côté.~ ~ ~– Accordé, répondit Renaud.~ ~ ~ ~ 52 XXXVIII| Cette dispense m’a été accordée par notre Saint-Père le 53 XXIV| tiens toujours cependant. Accordez-la moi, et je vous jure que 54 XXIX| Une foule innombrable, accourue de tous les points de la 55 XXXI| grand nombre de capitaines, accourus de tous les points de l’ 56 XXVII| dans leur pourpre. On s’accoutumait à ne plus croire à l’infaillibilité 57 XX| presque toujours seul, on s’accoutume à se prendre soi-même pour 58 XXXVII| tel que moi n’est point accoutumé, me rend songeur, répondit 59 XIV| l’heure de sa promenade accoutumée, il aperçut trois hommes 60 XXX| plier à bien des ruses, l’accoutumer à se faire un jeu des choses 61 I| pluie, hâlés par le vent, accoutumés à braver la bise et la neige, 62 XII| aiguillonnés par la terreur, ou s’accrochaient aux débris épars du bateau. 63 VIII| chez moi. Vos armes sont accrochées au portemanteau. Mais je 64 XVIII| noires. Le vieux soldat, accroupi à côté de cette mine improvisée, 65 XI| quelque âme charitable m’accueillera.~ ~ ~ ~Elle n’avait pas 66 V| gentilshommes. L’un d’eux, qui m’a accueilli, s’appelait M. de Pardaillan.~ ~ ~– 67 VIII| les méchantes langues vous accusent. On ne croit pas que vous 68 XXIV| Mais gardez-vous de m’accuser : un mot aurait suffi pour 69 XVI| broussailles du chemin, on ne m’accusera jamais de chercher une héritière 70 XIX| les yeux sur les voiles acharnées à flotter dans son sillage.~ ~ ~– 71 XXXII| entreprise noire, et qui s’acharnent après leur victime comme 72 XXVIII| presque engraissé, je m’acheminai vers Paris. On me fit bon 73 XII| autre auberge, les vendit et acheta cinq chevaux d’une robe 74 XXI| Il vidait ses coffres, il achetait des armes, des provisions. 75 X| épées furent promptement achetées ; quant au narcotique, je 76 X| coquins à qui j’avais affaire achevaient quelques brocs. Vous rappelez-vous 77 XVI| Pardaillan était là ; j’achevais de broder un nœud de rubans ; 78 XXXIX| avoine.~ ~ ~– Ce vieux coquin achevait de boucler leurs sangles, 79 XXVI| Souvigny. Cette lecture achevée, Mlle de Pardaillan froissa 80 IX| invitez le capitaine et son acolyte à grignoter quelques fruits 81 XIV| capitaine Jacobus et à ses acolytes son épée nue et son bras 82 XV| reconnaissance vous est acquise.~ ~ ~ ~Aurore reparut, portant 83 XXIV| et mon amitié vous sont acquises ; ordonnez.~ ~ ~– Merci.~ ~ ~ ~ 84 XI| Information prise, on acquit la certitude qu’aucun navire 85 VIII| de la selle. Le laquais s’acquitta de ce soin avec intelligence 86 XXXVII| même temps une dette que j’acquitte…~ ~ ~– Une dette ?~ ~ ~– 87 XX| emporter la tête avant d’avoir acquitté ma dette ?~ ~ ~– Je pleurerai 88 XV| envers lui ne me paraisse pas acquittée, pour des raisons qui me 89 XXXIV| déclara qu’il fallait s’adjoindre une bonne escorte de dragons, 90 III| sa théologie militante n’admettant pas de compromis de ce côté-là ; 91 XXIII| donnait à ceux qu’il voulait admettre auprès de sa personne en 92 IX| C’est clair, il a administré quelque drogue à ces pauvres 93 XXXVIII| jalouse.~ ~ ~– J’entends et j’admire jusqu’à quel point de raffinement 94 XXII| Et j’ai véritablement admiré avec quel art, après avoir 95 I| ne pouvait se lasser de l’admirer.~ ~ ~ ~ 96 VI| échapper ! L’ami Carquefou est admis à donner son avis.~ ~ ~ ~ 97 XIII| incontinent m’habituer à en adorer une autre. Ce sera ma pénitence.~ ~ ~– 98 XII| il l’accosta.~ ~ ~– Nous adorons tous deux le Dieu d’Israël, 99 II| demi comblés, les étables adossées contre les remparts, les 100 XXXIII| J’essaierai d’en adoucir les ennuis, reprit Thécla.~ ~ ~ ~ 101 XIII| Si je me suis dès l’abord adressé à vous, c’est que je savais 102 XXIII| auprès du roi, eh bien ! adresse-toi au roi lui-même et montre-lui 103 XXXV| Igomer a besoin de coureurs adroits pour s’assurer des routes 104 XXX| vous savez ce qui est advenu de Christian de Brunswick 105 II| mais que les coups de l’adversité renversaient l’une sur l’ 106 XXIV| poignard ; de plus, son bras, affaibli par la blessure qu’il avait 107 XXIII| vêtements en désordre et l’air affairé de son complice donnèrent 108 XVIII| heure fatale où la garnison, affamée et décimée, défend bien 109 XI| dérobée Mlle de Souvigny qui affectait une contenance calme. Se 110 XII| leurs traces. Mais peut-être affectait-il dans son langage plus de 111 XXIII| répondit Jean de Werth en affectant un ton d’indifférence. Un 112 XIII| de Pardaillan lui serra affectueusement la main ; mais, comme son 113 I| débutait par des paroles affectueuses, on finissait par des coups 114 XIV| mais ce premier soupçon l’affermit dans sa volonté de rester 115 XXXIX| armant d’un poignard à lame affilée, il coupa une à une les 116 V| comme des aiguilles, mieux affilées que des couteaux de chasse ; 117 XXX| inépuisable.~ ~ ~ ~Les dragons affirmaient que c’était un cuirassier 118 XXXIII| Pardaillan ; sur sa réponse affirmative, il montra une grande joie.~ ~ ~– 119 XXIX| sous les grilles. D’autres affirment qu’elle s’est retirée en 120 XXVII| tête… ils sont là pour l’affirmer, et leur parole me suffit.~ ~ ~ ~ 121 XX| vous arrivez dans un jour d’affliction. Le Seigneur a détourné 122 VIII| Le départ de Renaud affligea M. de la Guerche, mais la 123 XXXIII| attendaient qu’une occasion pour s’affranchir du joug impérial ? C’était 124 XVII| Pourquoi me faire cet affront et cette douleur ? Qui vous 125 XX| hier, elle avait les nerfs agacés, en outre elle travaillait 126 XXI| Cabeliau fussent les plus agiles et les mieux équipés de 127 XXXVII| vous tenez parole !~ ~ ~– N’agiriez-vous point de même ?~ ~ ~– Sans 128 VI| cela !~ ~ ~– D’ailleurs, j’agis pour le compte d’un magnifique 129 XXVIII| affection excessive ; et, en agissant ainsi qu’il l’avait fait 130 XXIV| aux mains du ministre ; il agita une sonnette.~ ~ ~– Que 131 XXXII| front livide, les lèvres agitées par le frisson de la haine, 132 XVII| tout à coup. Les rideaux s’agitent sous une main impétueuse 133 XXXIX| visage de Frantz ; ses bras s’agitèrent dans le vide ; il voulut 134 IX| l’œil éteint, les flancs agités.~ ~ ~– Diable ! fit-il.~ ~ ~– 135 XXXIX| sous le flanc du cheval agonisant, et deux soldats tombèrent 136 XIII| murmura Renaud.~ ~ ~ ~Il agrafa lestement sa cape sur ses 137 XIII| faculté pour la Suède de s’agrandir du côté de la Pologne et 138 V| leurs capitaines et nous agrandirons nos domaines aux dépens 139 XIII| conséquence immédiate l’agrandissement de la Suède…~ ~ ~– Nous 140 XII| de tourner du côté de l’agresseur la gueule d’un canon qu’ 141 XXVII| nombreuse. Son armée était aguerrie, pliée à toutes les fatigues, 142 XIII| recrues contre des troupes aguerries et nombreuses ? Leur défense 143 XVI| de la baronne d’Igomer, l’aidaient à ne pas trop souffrir de 144 XXII| plus.~ ~ ~ ~Le sergent, aidé de deux soldats auxquels 145 XXXIX| hâtaient de se mettre en selle, aidées par Magnus dont Benko tenait 146 III| ignorer de ce qui pouvait l’aider à faire son chemin dans 147 VIII| grand convertisseur, m’y aidera. En avant !~ ~ ~– Monsieur 148 XII| dit-il en finissant ; m’aiderez-vous à la sauver ?~ ~ ~– Il ne 149 XXII| quelque aventure où ils aient contre eux, en pays catholique, 150 XXXI| tiens ma couronne de mon aïeul Gustave-Wasa et de l’amour 151 XVII| Je le sais, et mes aïeux me remercieraient d’ajouter 152 XXVI| Pardaillan sentit comme la lame aiguë d’un poignard entrer dans 153 V| D’autres épées sont là, aiguës comme des aiguilles, mieux 154 VI| dans la voie des aveux et aiguillonné par la terreur, il n’omit 155 XII| autres fendaient les flots, aiguillonnés par la terreur, ou s’accrochaient 156 VII| murmura Carquefou qui aiguisait une épée sur la manche de 157 XV| exercice qui a singulièrement aiguisé mon appétit.~ ~ ~– Eh ! 158 VII| que ceux qui ont peur s’en aillent.~ ~ ~ ~Personne ne bougea.~ ~ ~ ~ 159 XXXI| ces nouveaux venus. Ils aimaient la bataille pour la bataille 160 XXVIII| doutât que M. de Chaufontaine aimât sa fille, pour laquelle 161 XXXVIII| Toujours ; ne l’aimerais-je pas que je détesterais assez 162 XXXIX| déterminées à imiter leurs aînées, préparaient de la charpie, 163 XIX| ailes ouvertes, regagne son aire ; plus près et clouée sur 164 X| retentissaient contre les ais de la porte.~ ~ ~– Les reîtres 165 XV| d’Armand-Louis avec une aisance et une dignité que celui-ci 166 XXXII| comme un homme qui prend ses aises avant de commencer l’entretien. 167 III| Et que vous fait cela ? ajouta-t-elle.~ ~ ~– Je ne sais pas.~ ~ ~– 168 XV| si à ce menu gracieux on ajoutait quelque bonne langue fumée 169 XX| la ceinture de ducats ; ajoutez à ce mince capital un brin 170 XII| canot une paire de rames, l’ajusta sur les tolets et imprima 171 XIII| or à un palefrenier qui ajustait les rênes d’un cheval, il 172 XIV| répondit ; mais la balle, mal ajustée, se perdit dans le talus 173 XXXV| dentelle s’échappe de mon ajustement.~ ~ ~– Hum ! nos cheveux 174 V| le satin, et, parmi ces ajustements de grand prix, des flots 175 VI| fortes branches et de les ajuster en civière. On étendit le 176 XVII| négligemment le long de son corps alangui, oubliant d’agiter l’éventail 177 XVI| savez si je suis prompte à m’alarmer ; je croyais qu’un danger 178 XXIX| blanche ; il s’appelle le duc Albert-François de Saxe Lauenbourg.~ ~ ~– 179 XVIII| demanda-t-il.~ ~ ~– M. d’Albret est mort, répondit un cornette.~ ~ ~– 180 XVII| charmante, pour la belle Alcmène attendant Jupiter.~ ~ ~ ~ 181 VII| approcha respectueusement de l’alcôve devant laquelle pendaient 182 I| poiriers et les pommiers d’alentour.~ ~ ~– Qu’as-tu à répondre, 183 XXX| l’appellent aujourdhui Alfred le Grand.~ ~ ~– Monsieur 184 X| bouteilles d’un certain vin d’Alicante que l’hôte tient au plus 185 XXIV| une escorte de cavalerie s’alignait en dedans du cercle formé 186 V| son trouble, et donnait un aliment plus vif à son animadversion, 187 XX| votre sortie, et peut-être allais-je lui couper les oreilles 188 XXII| corps dispos et l’esprit allègre, ils découvrirent les remparts 189 XXX| encore galopé sur la terre allemande.~ ~ ~ ~On remarquait parmi 190 XXX| un reître des compagnies allemandes.~ ~ ~ ~Quant aux reîtres, 191 XXXIII| dans mon voisinage ; où allez-vous ? Mais si loin que vous 192 XXXII| dont vous sortiez en vous alliant à une princesse de la maison 193 X| disais-je, sera volontiers mon allié. Je l’avisai. « Vous n’aimez 194 VI| nuit.~ ~ ~– Si nous nous en allions ? dit Carquefou.~ ~ ~– Le 195 VI| est-il que de nouveau il allongea le pas. Une ou deux minutes 196 VI| lit improvisé.~ ~ ~– Où allons-nous à présent ? dit Carquefou.~ ~ ~– 197 VII| lumières que Votre Seigneurie allume sur sa fenêtre.~ ~ ~ ~Renaud 198 XXXII| pouvaient voir les feux de bivac allumés sur le front de l’armée 199 XXV| avait si bien l’habitude des allures rapides du roi qui, tour 200 XIII| perle, dit-il en faisant allusion à Diane, à présent vous 201 XXIII| rapide qu’eût été cette altercation, elle avait suffi à Jean 202 XXIV| journée s’écoula dans ces alternatives d’espérances vagues et de 203 V| nouveau il promena son regard altier de la jeune fille au jeune 204 XXXIII| de cette personne qui a l’amabilité de se souvenir de moi ? 205 I| chevaleresques épopées d’Amadis des Gaules.~ ~ ~ ~M. de 206 XII| barque à flot ; il coupa l’amarre d’un coup de dague et s’ 207 XIII| Paphlagonie voulait envoyer en ambassade chez un prince voisin, roi 208 XXXII| Guillaume ; mais voici que des ambassadeurs viennent, au nom du roi 209 XXXII| soit la récompense que tu ambitionnes, elle est à toi !~ ~ ~– 210 XXI| disiez-vous un jour ; toutes les ambitions sont déchaînées, les provinces 211 XVII| Mlle de Pardaillan.~ ~ ~– Amen ! dit Carquefou tristement.~ ~ ~ ~ 212 XVI| par de nombreuses troupes amenées de tous les coins du royaume 213 XIV| retournerons à notre poste. Gotlieb amènera les chevaux auprès du bois, 214 VI| pas. Une ou deux minutes l’amenèrent par le travers de la corde. 215 XIX| peuples ?~ ~ ~ ~Un sourire amer plissa les lèvres du capitaine.~ ~ ~– 216 XII| troisième s’en allait en Amérique. Aucun ne songeait à partir 217 XIII| nouveau, mais plus âpres, plus amers, plus irritants. Chaque 218 III| ce sobriquet avait un son amical et quelque chose de caressant 219 XIV| leurs clartés. Le disque aminci de la lune courbait son 220 I| découvrait au nom de feu l’amiral Coligny ; l’autre tenait 221 XXVII| nouvelle.~ ~ ~ ~Les ruines s’amoncelaient : ce n’était que batailles, 222 XVIII| connaîtront ce que peut amonceler de ruines une poignée d’ 223 XVIII| d’une heure. Les morts s’amoncellent. On n’espère plus le salut, 224 IX| robe ne serait pas assez ample pour contenir les ducats 225 III| Renaud assure que c’est fort amusant », pensa-t-il.~ ~ ~ ~C’était 226 XXV| de serviteurs dévoués, d’anciens soldats qui avaient servi 227 XII| veille fait chasser sur ses ancres.~ ~ ~– La ceinture blanche ! 228 XXXIX| eux l’image du commerce anéanti, de la sécurité détruite. 229 V| Godefroy mêlait habilement les anecdotes aux récits de ses lointaines 230 XI| poussant devant eux des ânes, des charrettes, des chevaux 231 XXIII| bras, veillait à chacun des angles du bâtiment.~ ~ ~ ~Étonné 232 XX| Bohême sous le prince d’Anhalt. Reître ou lansquenet, il 233 V| un aliment plus vif à son animadversion, c’était que quelque chose 234 XXXI| religieuse et le patriotisme animaient ces nouveaux venus. Ils 235 XXXIX| corporations parcouraient la ville, animant leurs concitoyens à se bien 236 XXII| que la joie ou la colère l’anime, une voix généreuse et sonore, 237 XXXV| magnifique hospitalité soit animée contre vous et Mlle de Souvigny 238 XXXIX| plus faible. Des femmes animées d’un esprit belliqueux roulaient 239 VIII| principes d’honneur vous animent ; sans crainte je vous ai 240 XXIX| L’esprit du roi semblait animer tous les régiments. Chaque 241 XXI| vous suivre, dit-elle. Vous animerez de votre exemple les équipages 242 XIII| crier la valetaille ! L’animosité des gentilshommes français, 243 XXIV| cachet de la lettre : l’anneau glissa entre ses doigts.~ ~ ~– 244 XXVI| encore s’écoula sans que rien annonçât dans l’éloignement l’approche 245 XVIII| M. de la Guerche l’avait annoncé. Un peu avant midi, les 246 XXIX| salve d’artillerie venait d’annoncer que les bataillons du régiment 247 II| porte, dix laquais dans son antichambre, des dentelles sur sa robe ! 248 V| comme on en voit dans les antichambres des princes.~ ~ ~ ~On avait 249 XIX| pensée de me rendre m’est antipathique.~ ~ ~– J’approuve fort cette 250 I| de la mythologie et de l’antiquité. Le comte Armand-Louis et 251 XVI| d’une expression de joie anxieuse et troublée.~ ~ ~– Qu’avez-vous ? 252 XXII| bourgs. La figure sinistre aperçue un instant par Magnus avait 253 VI| gentilhomme ou le capitaine n’aperçut-il rien qui confirmât cette 254 XIX| poing l’homme au feutre noir aplatit sur la table le pot d’étain 255 XXIII| son corps d’armée, et l’aposta au coin d’un carrefour noir 256 XXXVII| rire.~ ~ ~– Ah ! le bon apôtre ! dit-il ; parle-t-il sérieusement 257 V| trois. Chaque matin, il apparaissait comme un astre, vêtu d’habits 258 XXXV| d’Igomer.~ ~ ~– C’est qu’apparemment les siens se portent mieux, 259 XX| ne faut pas juger sur les apparences ; elle n’était pas en train 260 XVI| longues années, et sans motif apparent, retenue au château de la 261 XXI| j’ai compris que je vous appartenais… mon âme s’était donnée 262 XX| serment, étant tout petit, d’appartenir à qui me mettrait le poignard 263 XXIV| il vive et ma main vous appartiendra.~ ~ ~– Comptez sur moi maintenant ! 264 XXIV| pu croire que, vivante, j’appartiendrais à celui que je hais ? Qu’ 265 XXXVIII| plus menaçant ne lui était apparu.~ ~ ~– Un de mes laquais ! 266 VIII| puis des visages inconnus apparurent le long du chemin ; puis 267 XXVII| les peuples, c’était un appel au droit d’examen et un 268 XXVII| les courtisans de Vienne appelaient, en se moquant, une majesté 269 VI| voici que l’aventure que j’appelais de tous mes vœux montre 270 XXVII| où les États de Suède l’appelèrent à succéder à son père, le 271 XXXVIII| le premier venu ! nous l’appellerons comte ou marquis, au gré 272 V| comte Godefroy, comme tu l’appelles, c’est une aventure à cheval, 273 XXXI| occasion aidant. Comment t’appelles-tu ?~ ~ ~– Maître Innocent, 274 XV| trois tranches d’un jambon appétissant qu’on entremêlerait de conserves, 275 XXVII| Bérail et M. d’Aigrefeuille, applaudirent.~ ~ ~– À présent, je vous 276 XIII| rênes d’un cheval, il lui appliquait presque aussitôt un terrible 277 XXXVI| cheval ! cria le messager en appliquant un furieux coup de poing 278 XI| lâcher. Le coup était bien appliqué ; mais notre lieutenant 279 XXVIII| cuit à point que Magnus apportait sur un plat fumant arrêta 280 X| infusait et que Péters m’apporte d’un air naïf. Ah ! je ne 281 XV| Aurore, dit Marguerite, apporte-nous à souper.~ ~ ~ ~L’air d’ 282 XXXIII| messager inconnu l’avait apportée.~ ~ ~ ~Cette lettre contenait 283 XIII| sache quelle réponse je dois apporter à Vienne. C’est pourquoi 284 XXXII| alors ! dit-il. Et si tu m’apportes la vengeance, quelle que 285 XIV| Les papiers que vous avez apportés sont dans son cabinet sur 286 XXXII| Quelles nouvelles apportez-vous, monsieur le duc ? demanda 287 XVIII| lesquelles un secrétaire apposait le sceau du roi.~ ~ ~– Monsieur, 288 I| lambeaux. Quelquefois même il apprenait par cœur certains passages 289 XXXII| interroge, j’écoute et j’apprends. Donc, sincèrement ou non, 290 III| est pas son parent.~ ~ ~– Apprenez que je ne le souffrirai 291 XXI| issue, je veux que mon père apprenne vos résolutions.~ ~ ~ ~Elle 292 XXVII| champs de bataille et s’apprêtaient à le verser encore. Le peuple 293 XXIV| roi ? demanda Magnus qui s’apprêtait à prendre son élan.~ ~ ~– 294 VII| la Guerche.~ ~ ~– Ils s’apprêtent, répondit Armand-Louis qui 295 XXXIX| éprouvée de leurs remparts, s’apprêtèrent fièrement à repousser les 296 XXVI| Werth. On voyait partout les apprêts de la cérémonie. Adrienne, 297 XXXIX| chose que je n’aurais pas apprise si l’écuyer n’était pas 298 XXVII| Un grand murmure d’approbation s’éleva du milieu de l’assemblée.~ ~ ~– 299 XXV| Armand-Louis.~ ~ ~ ~Tous s’approchaient insensiblement et silencieusement 300 XII| sa main.~ ~ ~– Eh ! ils approchent ! murmura-t-il.~ ~ ~ ~Il 301 XXXV| vers le sud ? Comme nous approchions du bourg, où nous devions 302 XXVII| la cour de Rome, et de s’approprier les immenses biens qui appartenaient 303 XVI| M. de Pardaillan approuva le projet d’Armand-Louis 304 XXXVII| qui ont le cœur tendre… m’approuvez-vous ?~ ~ ~– Tout à fait ! croyez 305 XXVII| entière confiance. Bien approvisionnée d’armes, de canons, de munitions 306 XXXI| Brahé prit l’épée, et, l’appuyant sous son pied, la rompit 307 XXXII| à Torquato Conti.~ ~ ~– Appuyé sur Stettin, le roi est 308 XIII| il n’est pas nécessaire d’appuyer, j’imagine, sur l’importance 309 XIII| éprouvait de nouveau, mais plus âpres, plus amers, plus irritants. 310 XII| commandant, le drapeau fut arboré à la poupe du navire, et 311 XXIII| adresser à Dieu qu’à ses archanges.~ ~ ~ ~Malheureusement pour 312 XXVII| vastes territoires, des archevêques, des séditions sans nombre, 313 XVI| demeure. Il en admirait l’architecture imposante, et jurait ses 314 XXVI| comprenait qu’une fièvre ardente consumait la victime. Ces 315 XIV| Adrienne ! Les sons d’une voix argentine arrivaient parfois à son 316 VII| voix timide dont les notes argentines faisaient battre le cœur 317 IX| introduirai dans la gorge un argument d’acier long de six pouces, 318 XXIV| haletait, sa gorge était aride et brûlante ; le souffle 319 XIII| enfonce dans les sables arides du désert, Armand-Louis 320 XXVII| tourmentée par des guerres qui armaient les villes contre les villes, 321 I| discours, Armand-Louis s’armait d’une gaule.~ ~ ~ ~Il savait 322 III| Hélène.~ ~ ~– Faisons mieux : arme-toi d’une cotte de mailles, 323 XXI| directions pour presser l’armement des navires qu’il fallait 324 XIX| les guerres d’ambition qui arment tout le monde contre tout 325 IX| aux ordres de Carquefou, armez-vous seulement.~ ~ ~– Eh ! camarade, 326 XXVIII| oublié dans les jardins d’Armide qu’il portait une épée ; 327 XXXI| dont le pavillon en queue-d’aronde flottait à l’une des extrémités 328 VIII| retour d’une douzaine d’arpents de prés dont je lui ai fait 329 XXIV| comptées !~ ~ ~ ~Adrienne s’arracha des bras de M. de Pardaillan.~ ~ ~– 330 XXVIII| la jeunesse qui les lui arrachait. Jamais de flatterie à M. 331 XXVI| main que j’étends vers vous arrache de votre flanc ce nœud que 332 XI| Se pouvait-il qu’elle fût arrachée de ses bras, et, qu’à peine 333 XV| vases renversés, des fleurs arrachées de leurs tiges indiquaient 334 XXIV| soit éloignée, et peut-être arracherai-je M. de la Guerche à la mort ; 335 XXIV| traître et félon ! vous ne m’arrachez pas ce qui me reste de vie ! 336 XXXVIII| compte.~ ~ ~ ~Mme d’Igomer arrangea les plis moelleux de sa 337 XXXVIII| pied à terre comme pour arranger la gourmette et la bride 338 XXII| scrupules devant lesquels s’arrêtent les petites gens. Élevé 339 XXX| j’espère bien qu’il ne s’arrêtera qu’à Vienne ! ajouta un 340 VIII| au-devant du ligueur.~ ~ ~– T’arrêteras-tu enfin, parpaillot du diable ? 341 XXIV| justice et en casser les arrêts ? Tel n’était pas l’avis 342 XXXVI| écus d’or qui seront les arrhes de notre convention.~ ~ ~– 343 XIX| capitaine donna ordre d’arrimer fortement quatre caronades 344 XXXIII| vainqueur du roi de Pologne ; n’arrivait-il pas en Allemagne bien plus 345 XIX| plus fort.~ ~ ~– Et cela arrive-t-il quelquefois ?~ ~ ~– Jamais.~ ~ ~– 346 XXXVI| un amas de cailloux, je n’arriverai plus. C’est vingt écus d’ 347 XXXIX| lui un adversaire qu’on n’arriverait pas à vaincre sans efforts.~ ~ ~ ~ 348 II| promis, j’imagine, que vous arriveriez le 1er octobre à midi, ou 349 XXV| sept heures vont sonner. Arriverons-nous à temps !~ ~ ~– Sire ! laissez-moi 350 XX| de M. de la Guerche, vous arrivez dans un jour d’affliction. 351 XIX| nagez ferme ; si nous n’y arrivons pas, recommandez votre âme 352 XV| vigoureusement un jambon rose, et l’arrosa d’un vin de Xérès velouté, 353 I| un morceau de pain qu’ils arrosaient fraternellement d’un peu 354 IX| grignoter quelques fruits arrosés de liqueurs fines. Mlle 355 II| grande salle : c’était un arsenal. Quant aux professeurs, 356 XXIV| heure… là, le fer trouve l’artère, et…~ ~ ~ ~Il s’arrêta et 357 XXIV| lèvres blanches ne purent articuler aucun son.~ ~ ~– Cependant, 358 VII| avaient rien perdu de leur ascendant sur leurs anciennes cohortes, 359 IX| parpaillot, dit-il, on t’aspergerait d’eau bénite, et nous perdrions 360 XVIII| pressés de toutes parts et assaillis coup sur coup par des régiments 361 XXVIII| et dans les Pays-Bas pour assainir mon âme éprise d’une hérétique. 362 XII| Allemagne, a été traîtreusement assassiné par deux Français assistés 363 IV| pris la résolution de les assassiner pour éviter d’attraper la 364 XII| quiconque s’emparera des assassins, morts ou vifs ! ajouta 365 VII| Et de son poing fermé il assena un coup si terrible sur 366 VI| Armand-Louis et Renaud s’asseyaient aux deux côtés de la table ; 367 III| lui répondait. Avec quelle assiduité ne suivait-il pas les leçons 368 XVIII| du cardinal fut que les assiégeants avaient reçu des renforts 369 XVIII| son honneur que la ville assiégée. Armand-Louis et Renaud 370 XXII| Gustave-Adolphe. Les portes en étaient assiégées par une foule d’officiers, 371 IX| file, coquin !~ ~ ~ ~Une assiette jetée sur le dos de Péters 372 XXII| remplis de bière et des assiettes chargées de jambon.~ ~ ~ ~ 373 II| les remparts, les granges assises sur des débris de voûtes. 374 XVIII| Armand-Louis, qui assistait de loin à ce spectacle comme 375 XXVII| dans l’esprit de tous les assistants ; sa jeunesse seulement 376 XVIII| Armand-Louis :~ ~ ~– Que Dieu t’assiste ! mon fils, sois béni ! 377 XXVI| Il n’aurait pas du moins assisté à cette immolation d’une 378 XII| assassiné par deux Français assistés de leurs laquais, dans une 379 XXXVI| moine avec lequel il ne s’assît sous un arbre ou devant 380 XXXVII| obtenir l’admiration d’un associé qui traitait si bien ses 381 IV| il regardait dans l’azur assombri les grands vols d’oiseaux 382 I| dont les ondes luisantes assombrissaient les yeux sauvages et le 383 IV| émoulues contre Carquefou qu’il assommait dévotement et consciencieusement 384 III| herbe, Armand-Louis presque assommé, Renaud presque rompu.~ ~ ~– 385 XXXIX| une à une les sangles qui assujettissaient les selles sur le dos des 386 XXIII| de ce riche seigneur lui assuraient une protection, et de plus 387 IV| Aussi les malins du village assuraient-ils que ce nom de Carquefou 388 XVI| chose là-dedans ?~ ~ ~– Assurément, madame.~ ~ ~– Alors, avant 389 XXX| combattu sous ses ordres assurent qu’il mérite ce nom glorieux.~ ~ ~– 390 XIII| message à Gothembourg. On s’assurerait de sa discrétion en ne lui 391 XVI| de Charnailles, dit-il, assurez-le que Mlle de Souvigny, fussé-je 392 V| il apparaissait comme un astre, vêtu d’habits toujours 393 XIII| visage, une expression d’astuce mélangée de violence qui 394 III| tuer Renaud.~ ~ ~ ~Les deux athlètes épuisés tombèrent sur l’ 395 XXIV| lentement, promena un regard atone autour de lui, et porta 396 XIV| qu’il ne raisonnait pas attachait M. de la Guerche au beau 397 XXXVI| Sa Seigneurie vous attache à mon service.~ ~ ~– Je 398 XXXIII| Pardaillan et Mlle de Souvigny, attachées à la personne de Sa Majesté 399 XXXVI| Werth, dit-elle, je vous attacherais volontiers au mien.~ ~ ~– 400 XV| ou si je dors !~ ~ ~ ~Il attaqua vigoureusement un jambon 401 III| ami que déjà Armand-Louis attaquait Renaud. La lutte fut longue, 402 XVIII| de temps à perdre ! Et, attaquant son ennemi par le flanc, 403 XVIII| Quelques mois se sont écoulés ; attaquée du côté de terre, bloquée 404 XIV| faisait pour résister à des attaques multipliées ; des gouttes 405 VI| Armand-Louis et Renaud atteignaient le cabaret de la mère Frisotte. 406 XXXIV| messager, et, s’il ne l’atteignait pas, de battre le Brandebourg, 407 XXXIV| des routes voisines, qu’on atteignît le messager, qu’on le rouât 408 XXXIX| Mille ducats à qui l’atteindra le premier ! cria Jean de 409 XV| Là-bas ? Oh ! je l’atteindrai ! s’écria le nouveau venu.~ ~ ~ ~ 410 XIV| il rencontra une voiture attelée de deux vigoureux chevaux, 411 XXV| rendent à Elfsnabe, et qu’on y attende de nouveaux ordres. Je pars.~ ~ ~– 412 XVIII| mitrailles, pointèrent et attendirent.~ ~ ~ ~Au moment où les 413 XXIX| semblait que la victoire l’attendît à l’autre bout de l’horizon.~ ~ ~ ~ 414 XX| sont encore de ce monde, attendons, répondit Armand-Louis.~ ~ ~– 415 XXXIII| séduite, et Adrienne, bientôt attendrie, lui demandèrent la cause 416 XXXII| efforts, que de larmes pour attendrir ce cœur impitoyable ! avec 417 II| était le dernier : cela attendrissait l’écuyer.~ ~ ~ ~Le temps 418 VI| vont criant misère… cela m’attendrit !… Et puis un homme mort, 419 XXXIX| vengeance depuis si longtemps attendue. Enivrée d’une joie fiévreuse, 420 IV| reçu, après huit jours d’attente, aucun horion, il déclarait 421 XXII| bavarois.~ ~ ~ ~Un examen plus attentif lui inspira bientôt la conviction 422 XXIX| plutôt que toute autre, attira-t-elle ses regards ? Quelque chose, 423 XXVIII| de Mireval, vers lequel t’attiraient deux beaux yeux ? dit M. 424 XXXII| et les yeux en éveil ; il attirait et repoussait également : 425 XXXIII| ses compagnes et en les attirant auprès d’une table servie 426 VI| quand je la vois. Je me suis attiré les bonnes grâces du maître 427 XXII| sillonnaient la Suède, attirés par le frisson de la guerre 428 XXII| Frantz Kreuss :~ ~ ~– Ne vous attirez point une méchante affaire 429 IX| courir les routes à tant d’attraits, je vous prends sous ma 430 IV| assassiner pour éviter d’attraper la fièvre.~ ~ ~– Il fallait 431 XXXV| les manants des villages s’attroupaient pour en voir le défilé comme 432 XII| le bordage du frêle canot au-dessous de la ligne de flottaison.~ ~ ~– 433 XXXVII| un excellent pâté, dont l’aubergiste a mis à part, à ma prière, 434 XXXIX| tomba sur le front de l’audacieux qui roula mort à terre, 435 XXVII| un pas hors du cercle des auditeurs.~ ~ ~– Quand le temps change, 436 XXXV| que de nouveaux serviteurs augmentaient chaque jour la troupe de 437 XXX| Peut-être même jusqu’à Munich ou Augsbourg ! poursuivit un autre.~ ~ ~– 438 VI| étala sur la table deux aunes de bonne corde de chanvre, 439 XXXIII| Souvigny, dit-elle ; peut-être aurai-je le regret de les perdre 440 XXVIII| adressant à Gustave-Adolphe, n’auraient-ils pas eu l’air de faire payer 441 XXI| Moscovite, l’Autrichien, aurais-je un seul jour déserté cet 442 XXIX| penserais-je ?~ ~ ~– Par hasard aurais-tu peur ?~ ~ ~– Presque ! Carquefou 443 I| l’eût suivi, peut-être l’aurait-on vu graver deux lettres sur 444 IX| ne partions bientôt, vous auriez le régal d’entendre assez 445 XXXIV| faire pénitence, nous n’aurions pas cette méchante affaire 446 XV| qu’à coup sûr la morale austère du vieux capitaine calviniste 447 XXVI| mais, descendue de l’autel, je vous le jure, je serais 448 XXIII| pas douter quel était l’auteur de cette tentative.~ ~ ~– 449 XXXV| Rien de positif encore ne m’autorise même à penser que la baronne 450 XXI| Danois, le Moscovite, l’Autrichien, aurais-je un seul jour 451 XXXI| le cri d’une sentinelle autrichienne l’arrêta.~ ~ ~– Jésus et 452 XXVIII| Saxons, des Croates, des Autrichiens, des Polonais, des Hongrois, 453 XXII| pouvait-il pas trouver des auxiliaires dévoués à ses projets ? 454 XXXIX| chimères. Combien déjà n’avaient-ils pas traversé de bourgs, 455 XXIV| Mlle de Pardaillan.~ ~ ~– Avais-tu donc pu croire que, vivante, 456 XXXIII| Pourquoi tout d’un coup ne l’avait-on plus vue ? Pourquoi, après 457 XVIII| troupe sortit comme une avalanche. Avant que les sentinelles 458 XIV| et frappant du poing en avalant un verre d’eau-de-vie :~ ~ ~– 459 VII| tour, M. de Chaufontaine s’avança :~ ~ ~– Maintenant, s’il 460 XXV| champ. À mesure qu’il s’avançait, chaque troupe se repliait 461 VI| mon ami ; à cette heure avancée de la nuit, j’ai pour coutume 462 XXVII| dragons qui marcherait à l’avant-garde de l’armée. Par un sentiment 463 XIII| plus à remarquer de quels avantages la nature s’était plu à 464 XX| que cette laide vertu des avares qu’on nomme économie. Baliverne 465 XII| d’une cheville répara l’avarie, mais la distance qui séparait 466 XIII| qu’il ait souffert tant d’avaries !~ ~ ~ ~Renaud ouvrit la 467 IX| tranchant et pointu à l’avenant. Je réponds après de sa 468 VI| mère Frisotte, une brune avenante et rondelette, qui souriait. 469 XXXV| pas alors où se trouvait l’aventureux capitaine, et un bon nombre 470 XXIII| silencieusement les sombres avenuespersonne ne se montrait 471 XXXII| éprouvait un sentiment d’aversion spontanée.~ ~ ~ ~Il était 472 XXXIX| personne ne le voyait pour avertir Adrienne et Diane qu’elles 473 VI| jours encore ; mon écuyer t’avertira du moment où il faudra agir ; 474 XXI| serviteurs envoyés par son père l’avertirent que tout était prêt pour 475 VII| Jacobus se présentaient, avertis par quelque message secret, 476 XIV| cavalier, quelque chose l’en avertissait, ce sentiment indéfinissable 477 XXIV| blessure sur ses yeux et l’aveuglait, boucla son ceinturon avec 478 VI| quand on pleure, je suis aveugle ; quand on résiste, je frappe !~ ~ ~– 479 XXVI| indifférent, qu’était-ce aveuglé par la passion ?~ ~ ~– Monsieur, 480 XII| toujours ! dit Renaud, je vais aveugler la voie d’eau.~ ~ ~ ~Un 481 VI| lancé dans la voie des aveux et aiguillonné par la terreur, 482 III| eu peur devant une hache avide de sang ; le regard d’une 483 XII| des bastingages suivaient avidement la lutte de vitesse engagée 484 X| tressaillait encore dans cette âme avilie, lui défendait d’en faire 485 XXIII| principaux du royaume. L’un d’eux avisa M. de la Guerche au moment 486 X| volontiers mon allié. Je l’avisai. « Vous n’aimez pas beaucoup, 487 XXVIII| inspiré par le diable, je m’avise de soupirer le nom de Diane 488 IX| Dominique est un garçon avisé qui sait prendre la fuite 489 IX| Armand-Louis.~ ~ ~– Ne va pas t’aviser de dire à ce saint personnage 490 V| jeunes années.~ ~ ~– Vous avisez-vous quelquefois de manier ces 491 III| Armand-Louis baissa les yeux et avoua qu’il avait failli perdre 492 IX| monotonie ; Carquefou même avouait qu’il n’avait presque plus 493 IX| de se reposer.~ ~ ~– Je l’avoue, répondit Armand-Louis, 494 IX| foi de capitaine, cette babiole ferait mieux sur cette main 495 XXXVII| voilà mon crime.~ ~ ~– Une bagatelle ! murmura Magnus, qui vidait 496 XXXI| choix d’un grand cheval bai brun capable de le porter 497 XVI| jaillirent de ses yeux et baignèrent son visage qui rayonnait 498 XXXIX| Frantz étouffa un léger bâillement.~ ~ ~– On ne dira pas que 499 IX| regard presque toujours baissé, et sous un nez crochu une 500 VI| sont toujours pudiquement baissées… le galop d’un cheval la 501 XXII| services, force visages balafrés embellissaient ce séjour 502 VI| corde et de ce nœud qui se balançaient à la hauteur de son cou, 503 XXIV| que ce sang entre dans la balance où votre justice pèsera 504 IX| son chapeau dont la plume balaya le sol, et sautant de selle, 505 XI| que futailles, caisses et ballots. Un homme écrivait sur ses 506 XVIII| Au loin, sur le front de bandière du camp, le cardinal de 507 XXXIX| Le lendemain mille bannières flottaient dans la campagne, 508 XI| genoux, à l’ombre d’une baraque.~ ~ ~ ~Armand-Louis l’aborda 509 XXVII| infériorité relative. Les barbes grises ne savaient pas si 510 XXVIII| pauvre ami, quels hommes bardés de fer n’ai-je pas rencontrés 511 XVIII| contre l’épaulement trois barils de poudre sur lesquels il 512 XXXVI| vêtus d’habits magnifiques bariolés de vert et de rouge.~ ~ ~ ~ 513 XXXIV| et à cloîtrer toutes les baronnes ; Armand-Louis, les sourcils 514 XXXIV| rendre visite à toutes les baronnies d’Allemagne.~ ~ ~– Surtout 515 IX| Armand-Louis lui barra le passage.~ ~ ~– Trop tard ! 516 XXV| plus noire que celle de Barrabas. Un frisson d’horreur parcourait 517 VI| épée nue à la main, lui barraient le passage ; il porta la 518 XII| qui tenait toujours la barre du gouvernail, cherchait 519 X| contre les indiscrets, nous barricadons la porteMonsieur, il faut 520 I| un ne connaissait pas de barrière qui pût l’arrêter, l’autre 521 XXXIX| belliqueux roulaient des barriques pleines d’eau le long des 522 XXIV| avec leurs pièces sur les bas-côtés de la route, et le roi, 523 XXIV| tombèrent sur les joues basanées du vieux soldat.~ ~ ~– Console-toi, 524 VIII| hôtes les plus gras de la basse-cour.~ ~ ~– Ah ! disait-il, quoique 525 XIX| marchait plus que sous ses basses voiles ; à toute minute, 526 XIII| prochain départ.~ ~ ~– Se bat-on où tu vas ? demanda Renaud 527 III| armure du blessé ; exécrable batailleur que je suis, je n’ai donc 528 IX| dix compagnons encore qui battent les environs ; ils m’ont 529 X| terre. Deux fois ses mains battirent le carreau, deux fois il 530 XXI| nul ne vous remplacera, battra toujours au nom de Gustave-Adolphe !~ ~ ~ ~ 531 III| disputerai-je ?… Contre qui me battrai-je ?… Veux-tu que je m’assomme 532 XXVII| comte de Thurn, Mutsenfal, Baudissen, Kniphausen et d’une foule 533 XXXV| subite du général des troupes bavaroises devait faire courir aux 534 IX| tout confit en sourires béats. De sa main droite, il jouait 535 IV| mouton a eu l’imprudence de bêler ; les bandits à quatre pattes 536 XIX| traverser la Flandre et la Belgique pour ne rien donner au hasard : 537 IV| agneaux, et j’ai peur que les béliers ne me croquent ! répondit-il 538 XVIII| viens vous demander votre bénédiction. Dans une heure, je serai 539 V| chagrin ensuite, c’est tout bénéfice. Et voilà où l’aventure 540 IX| on t’aspergerait d’eau bénite, et nous perdrions un gîte 541 XXII| zèle.~ ~ ~ ~Frantz sourit benoîtement.~ ~ ~– D’ailleurs, ajouta 542 XIV| les murmures des sapins berçaient son rêve. Il y avait non 543 VI| reprit-il ; le loup est dans la bergerie.~ ~ ~ ~La route que le capitaine 544 IV| l’Anjou, la Marche et le Berry, personnage dont la conduite 545 V| temps derniers pour mes besoins particuliers. Je les invoque 546 VI| guerre en Transylvanie avec Bethléem Gabor, en Allemagne avec 547 XX| Europe : en Transylvanie avec Bethlem Gabor ; en Pologne avec 548 III| il prit un volume dans la bibliothèque de M. de Charnailles, au 549 VII| sourire, je vais courir une biche et j’attends mes piqueurs.~ ~ ~ ~ 550 VIII| cette séparation comme un bienfait de la Providence. Mlle de 551 XXVII| vallée de larmes et que bienheureux sont ceux qui en sortent. 552 IX| inconnu qui montrait tant de bienveillance.~ ~ ~– Au point de vue de 553 XIX| vermeilles.~ ~ ~– Soyez le bienvenu en Suède, dit-elle alors, 554 XXXVI| en tirer. À la première bifurcation de la route, il prit la 555 IX| caressé ses poignets, jamais bijoux plus éclatants n’avaient 556 XXIV| arracherai M. de la Guerche au billot.~ ~ ~– Ah ! de quel droit 557 I| accoutumés à braver la bise et la neige, à coucher sur 558 V| souche et, tirant de son bissac une croûte de pain et un 559 XXXII| pouvaient voir les feux de bivac allumés sur le front de 560 XX| soldats de fortune ; la bizarrerie de son allure plut, en outre, 561 XXII| conviction que ce joueur à mine blafarde appartenait à cette confrérie 562 XVII| nacrée de ses épaules, la blancheur laiteuse de ses bras, la 563 XIX| mais la voile qu’on voyait blanchir au déclin du soleil couchant 564 XIX| la voile ennemie ; elle blanchissait quelquefois au-dessus des 565 XXII| prudente et froide grondait, blasphémait, buvait et continuait.~ ~ ~ ~ 566 XXII| contrition, voilà un mécréant qui blasphème le saint nom de Dieu ; il 567 XXII| Jouons honnêtement et sans blasphémer, dit l’homme aux passementeries.~ ~ ~– 568 XVIII| les moulins n’ont plus ni blé ni meules ! Non, te dis-je, 569 XV| Tu n’as rien, tu n’es pas blessée au moins ? parle, rassure-moi ! 570 VI| élan si rapide que, la face bleue et les yeux injectés de 571 XXXIX| élevant aux endroits où les blocs de fer avaient frappé indiquèrent 572 VII| campagne baignée d’une lumière blondissante.~ ~ ~ ~Armand-Louis le suivit.~ ~ ~– 573 XVIII| attaquée du côté de terre, bloquée du côté de la mer par une 574 XIV| blanche ; bientôt après ils se blottirent dans le petit bois voisin 575 XXX| déjà le duc de Poméranie, Bogislas XIV, qui traite.~ ~ ~– Il 576 XXXVI| pas de colporteur ou de bohémien qu’il ne fît parler ; pas 577 IX| cria le chef de la bande, bois-moi ça ! » Là-dessus il m’offre 578 XXXII| La vengeance est boiteuse, monseigneur, laissez-lui 579 IX| Douze sacripants faisaient bombance autour d’une table : quelles 580 I| poursuivait d’arguments et bombardait de citations avec une véhémence 581 XVIII| Rochelle. Les boulets et les bombes du cardinal y ont opéré 582 XXXIX| chapeau en l’air, et, faisant bondir son cheval par-dessus le 583 X| bandit ! s’écria-t-il.~ ~ ~ ~Bondissant alors avec la souplesse 584 XVIII| Cependant, un petit bonhomme à la mine éveillée et triste, 585 XXXVI| voulez pas de mes services, bonsoir !~ ~ ~ ~Tout en parlant 586 XII| balle avait traversé le bordage du frêle canot au-dessous 587 XIX| faisant voler en éclats les bordages. Quelques paquets de mitraille 588 XXXIV| s’assurer des places qui bordent le fleuve ; le général Tott 589 XI| un manteau de drap gris à bordure écarlate et prenait des 590 VI| rouge passait entre deux bordures de chênes épais ; Carquefou 591 XXII| maisons noires et des tavernes borgnes où les batteurs d’estrade 592 XIX| Magnus ne connut plus de bornes, et, tête baissée, il se 593 XXIV| parut au sommet du perron, botté et éperonné.~ ~ ~ ~Magnus 594 XXXVII| qu’il eut fait sauter le bouchon de la première bouteille, 595 XXXVI| un matin, au moment où il bouclait son portemanteau sur la 596 XXXIX| vieux coquin achevait de boucler leurs sangles, reprit-il ; 597 I| blond, avec des cheveux bouclés à reflets d’or tombant sur 598 XIV| entourant de sa cape comme d’un bouclier, M. de la Guerche sortit 599 XXXVIII| Igomer sourit.~ ~ ~– Dans un boudoir, je prêterais une oreille 600 XVIII| de la Guerche n’avait pas bougé. Le cardinal le montra de 601 VII| aillent.~ ~ ~ ~Personne ne bougea.~ ~ ~ ~Après le départ de 602 XVI| Sachez que le dernier boulevard de la religion réformée 603 XVIII| le prince devant qui vos boulevards se sont écroulés s’appelle 604 XVII| terribles et les plus violents bouleversaient. C’était un autre visage, 605 XXII| événements que la guerre qui bouleversait l’Allemagne pouvait précipiter.~ ~ ~ ~ 606 XXVI| s’écria-t-il, le visage bouleversé par une incommensurable 607 XXXI| Guerche qui, dans cette figure bouleversée, venait de reconnaître l’ 608 XXIV| pas continuer ; mais le bouleversement de ses traits parlait pour 609 II| confins de la Marche et du Bourbonnais, un petit castel démantelé 610 XXXVIII| ni moi n’en entendrons le bourdonnement ! grommela Magnus, tandis 611 XII| ordonné et ordonnons aux bourgmestres, échevins et loyaux habitants 612 I| redoublait ; et, la mémoire bourrée de citations, la bouche 613 XXIV| Renversant tout autour de lui, bousculant la sentinelle qui l’avait 614 XXV| gardes.~ ~ ~– Qu’on sonne le boute-selle dans une heure, dit-il, 615 XXXIX| tirés tout à coup de leurs boutiques traînaient des canons qu’ 616 XIII| figure auprès du seigneur brabançon. Comment lutter contre un 617 XIII| jeune seigneur originaire du Brabant, contre lequel Armand-Louis 618 IX| temps ! s’écria-t-il en brandissant en l’air un poignard rouge 619 VII| Cela dit, Renaud brandit son épée et attendit.~ ~ ~ ~ 620 XIX| pirate peut passer à dix brasses de nous sans nous voir ; 621 XXXI| avait souvent dans sa vie bravé des dangers plus grands 622 XXXIX| vers midi, la ville refusa bravement d’ouvrir ses portes.~ ~ ~ ~ 623 V| armes ou laquais.~ ~ ~– Bravo ! s’écria M. de Chaufontaine 624 XVIII| Chaque mur chancelle ; les brèches s’élargissent, le travail 625 V| déteste, on se bat même ; bref, on s’amuse. Il y a toujours 626 XIX| hasard : il prit par la Bretagne et la Normandie, atteignit 627 VI| pressés un cheval sellé et bridé dans l’écurie.~ ~ ~– Cours 628 VI| Et il lui raconta brièvement ce qui s’était passé la 629 IX| souhaitait à demi un petit brigand qui fît diversion, lorsqu’ 630 X| et d’une lame d’acier qui brilla à deux pouces de son visage. 631 III| les couleurs du ciel plus brillantes, le parfum des fleurs plus 632 XIX| Nous le saurons quand brillera le soleil ! dit le capitaine. 633 XX| ajoutez à ce mince capital un brin d’amour dans le cœur, et 634 XIX| tomba sur le hollandais, brisant et broyant tout, les mâts, 635 XXXIX| enlevèrent, mais les sangles se brisèrent sous le poids des cavaliers, 636 V| belles, les velours, le brocart d’or et d’argent, le satin, 637 VIII| ai quelquefois tourné la broche devant le feu du « Canard 638 I| livraient bataille aux brochets d’un étang et l’invitaient 639 XVI| rubans pareil à celui que je brodais.~ ~ ~– Et vous lui avez 640 XXXVI| les armes de Jean de Werth brodées sur la manche du messager ; 641 XVI| était là ; j’achevais de broder un nœud de rubans ; le baron 642 V| châsse et tout couvert de broderies ! Ce qui augmentait son 643 XVII| magnifiques. Un nœud de rubans brodés de fils d’or était fixé 644 XXXVI| Magnus soutint sans broncher le regard que lui jeta Mlle 645 XVIII| belles pièces de canons de bronze sans compter des bombardes 646 XXXIV| cuivré, la chevelure en brosse, armé d’une cuirasse et 647 XIX| le hollandais, brisant et broyant tout, les mâts, les vergues, 648 XXIV| son fut emporté dans mille bruits retentissants.~ ~ ~ ~Il 649 XXXI| passant la main sur son front brûlant. Se croire perdu, sans ressources, 650 XXIV| sa gorge était aride et brûlante ; le souffle allait lui 651 II| dessèche et meurt un jeune épi brûlé par le soleil.~ ~ ~ ~Toute 652 XXXIV| Renaud ne pensait qu’à brûler tous les châteaux et à cloîtrer 653 I| âme ! Vade retro ! Si tu brûles, in secula seculorum, ce 654 I| pleine liberté des champs, brûlés par le soleil, battus par 655 XVII| que dans ce camp où vous brûlez de combattre, ce soit avec 656 VI| comte ; en Moravie, nous brûlions les couvents ; dans le Palatinat, 657 V| hautaine, une forêt de cheveux bruns. Le français lui semblait 658 XXVIII| bien assuré que vouloir brusquer les événements c’était évidemment 659 XIII| percer les traces d’une brutalité que l’habitude des Cours 660 XXVIII| quittant Paris, je me rendis à Bruxelles. Je ne sais quel fil mystérieux 661 IV| cervelle de l’orateur le plus bruyant, et j’ai joué de mon couteau 662 XXXIX| danger les appelait. De bruyantes acclamations s’élevaient 663 XIX| sec comme une racine de buis, vigoureux et basané. Une 664 XXXVI| Dans un village voisin de Burgstall, à l’enseigne des « Trois 665 V| France que j’aie jamais bus. C’est M. de Pardaillan 666 VI| fenêtre ?~ ~ ~– Il y a la butte aux Corbeaux.~ ~ ~– Bon. 667 XXX| notre armée ; messieurs, buvons à notre premier succès, 668 XXXIX| par un simple licol.~ ~ ~– Ç’a été jusqu’à présent la 669 VI| et muette ! répondit la cabaretière.~ ~ ~ ~Carquefou se planta 670 XXV| couverts de longs manteaux, ils cachaient des armes sous leurs vêtements. 671 XXXVIII| galanterie de cette réponse cacherait-elle le désir que vous avez de 672 VI| si profondément que tu te caches, j’aurai ton secret !~ ~ ~ ~ 673 XXIII| est pas étrangère. Ne me cachez rien ; si ce n’est pour 674 XVII| ville hérétique ; j’en ferai cadeau à M. le cardinal de Richelieu, 675 XI| les quais, que futailles, caisses et ballots. Un homme écrivait 676 XVIII| cadavres rompus, noircis, calcinés. La batterie était comme 677 XXXI| Ainsi qu’il l’avait calculé, la nuit était venue. Le 678 IV| logarithmes ne pourrait pas calculer le nombre de coups, taloches, 679 XIX| navire dépouillé du pont à la cale. Après ?~ ~ ~– Ils lui envoient 680 XXXIII| Tout cela fut dit d’un air câlin, avec mille inflexions de 681 XXII| promenaient de Stockholm à Calmar et de Gothembourg à Carlscrona. 682 XIV| troisième qui avait le nez camard et les yeux de travers.~ ~ ~– 683 VI| Le capitaine Jacobus campa son poing sur sa hanche, 684 XIX| parvint à s’engager dans un canal au delà duquel la mer était 685 XIX| une oie flanquée de deux canards, et tout autour des tables, 686 XIII| marquis, que j’envoie ma canne à votre écuyer ?~ ~ ~ ~M. 687 XVIII| firent main basse sur les canonnières.~ ~ ~– En avant ! cria-t-il 688 I| cornouiller, les bergers du canton savaient que les deux inséparables 689 II| enragée ou de bandit en armes capables de le faire reculer.~ ~ ~ ~ 690 XX| ducats ; ajoutez à ce mince capital un brin d’amour dans le 691 XXX| Il fait mieux : il capitule.~ ~ ~– En êtes-vous bien 692 VI| soldat.~ ~ ~– C’est mon caprice d’épargner tout… une fois 693 XXXIX| Adrienne et Diane, captivées par l’émotion de ce spectacle, 694 XXXIX| Peut-être l’une des deux captives avait-elle réussi à faire 695 IV| Jamais on ne vit Montaigu et Capulet, Guelfe et Gibelin, vivre 696 XIX| clouée sur les récifs, la carcasse du navire hollandais ne 697 XXXVI| profondément ; ses doigts caressaient un pli qu’il portait sous 698 XVII| ailleurs, reprit-il d’une voix caressante et en portant à ses lèvres 699 XXXIII| mille inflexions de voix caressantes, un sourire baigné de larmes 700 II| regardait de ses yeux les plus caressants.~ ~ ~ ~Ce signal promis, 701 IX| dentelles plus riches n’avaient caressé ses poignets, jamais bijoux 702 XXXVII| garnie de mets propres à caresser la vue et l’odorat. Des 703 XII| fois qu’il entendait le carillon de la cathédrale, il lui 704 XIX| Il pointa lui-même une caronade, visa longtemps et fit feu.~ ~ ~– 705 IV| tiers ; il fallait supprimer Carque et laisser fou.~ ~ ~ ~Au 706 XI| armée de Tilly. Carquefou se carrait dans un manteau de drap 707 IX| réflexion, formons un bataillon carré, tombons sur ces coquins 708 XXXII| la nuit, il donna libre carrière à sa haine.~ ~ ~– La mort 709 XXII| cuivre ou de fer, force casques usés par d’obscurs services, 710 XI| qui le poursuivait et lui cassa la tête d’un coup de pistolet. 711 XXII| nombre de gens dépenaillés cassaient des pots en battant les 712 XIV| continua-t-il.~ ~ ~– Hein ? si je cassais la tête à ce raisonneur ? 713 XXVIII| Veille à ce qu’on ne me le casse pas, dit Renaud.~ ~ ~– C’ 714 XIX| capitaine.~ ~ ~ ~Une vergue cassée et un lambeau de voile pendaient 715 IX| poursuivit Carquefou, on te cassera peut-être un peu.~ ~ ~ ~ 716 XXXI| roi, prenez cette épée, et cassez-la comme l’épée d’un lâche 717 I| I~ ~ CASTOR ET POLLUX~ ~ ~ ~À l’époque 718 XXXIX| frissonnèrent à la pensée des catastrophes que leur promettait le siège 719 XII| voyage tout le loisir de catéchiser Abraham Cabeliau et de l’ 720 XIII| Quand d’aventure il causait avec un seigneur de passage 721 IX| empressé pour Adrienne, beau causeur et fort homme du monde. 722 XVI| y a quelques jours, nous causions, M. de Pardaillan était 723 VI| épaule lestement.~ ~ ~– Causons, mon brave, dit-il.~ ~ ~ ~ 724 XIII| regard hautain et la parole caustique, et, dans le visage, une 725 XXXIX| de couvents, rencontré de cavalcades ! Des sylphes et des esprits 726 II| encore tout en dormant, et céda.~ ~ ~ ~Le lendemain Adrienne 727 XXXVI| Magnus qui ne voulait pas, en cédant mal à propos, éveiller les 728 XVI| contrainte qui me fassent céder !~ ~ ~– Il y a le temps, 729 VI| les briser, les cordes ne cédèrent pas.~ ~ ~– Je comprends 730 XXXVII| bourse d’or pour réparer sa cellule, n’a pas le loisir d’écouter 731 XVIII| sur le sol une traînée de cendres noires. Le vieux soldat, 732 XVIII| Les canons, saisis par une centaine de bras vigoureux, tournèrent 733 XXXIX| une distance de quelques centaines de pas, lorsqu’ils virent 734 XXXIV| présent choisir un point central, où le plus favorisé du 735 XXVII| un torrent furieux sur le centre de l’Europe. On avait pu 736 XVIII| je les lui ai rendus au centuple, mais il s’obstine à n’en 737 XIX| traçaient dans l’azur mille cercles rapides ; Armand-Louis sauta 738 VIII| pays à la poursuite des cerfs et des sangliers, j’ai quelquefois 739 I| citations, la bouche pleine de cerises, il prenait à témoin de 740 XVI| France, La Rochelle, est cerné par de nombreuses troupes 741 XXXV| pouvait se défendre d’une certaine préoccupation, s’étonnait 742 XXVI| aventuriers qui en veulent à certaines femmes de l’amour qu’elles 743 I| latin les Commentaires de César, M. de Chaufontaine, à quinze 744 XXI| pas trahie et n’a jamais cessé d’être à vous !… Votre image 745 XIII| de Souvigny ; mort, je ne cesserai pas de l’aimer ! s’écria 746 VIII| commisération, Cupidon a forgé des chaînes autour de ton cœurTel, 747 XIV| poignard de merci. L’un des chaînons était cassé.~ ~ ~ ~Armand-Louis 748 XXIV| meubles que cette table, une chaise et un lit ; une bible était 749 XIX| arrête ?~ ~ ~– Il envoie une chaloupe à bord avec bon nombre de 750 XXXVI| il en visitait toutes les chambres ; s’il demandait l’hospitalité 751 IX| dans la liqueur dorée de la Champagne et des coteaux du Rhin ; 752 XVI| de Mlle de Souvigny qui chancelait.~ ~ ~– Est-ce le baron Jean 753 X| Guerche, qui souleva Adrienne chancelante dans ses bras.~ ~ ~– C’est 754 II| ferme, dont les murailles chancelantes occupaient le sommet d’un 755 VIII| Le désespoir avait fait chanceler M. de la Guerche ; comme 756 XIII| et Adrienne n’était pas changée à son égard, mais il la 757 VII| Les proportions étaient changées. Le comte allemand démasquait 758 XXVIII| mortifier son corps par le changement. Mme de Sérioles était une 759 XXII| avait quitté la Suède, des changements étaient survenus. La guerre 760 XI| justice. Les cinq cavaliers changèrent trois ou quatre fois de 761 XXXVII| gentilhomme français ?~ ~ ~– Chansons que tout cela ! vous comprenez 762 XIII| une chanson se mêlait au chant du rossignol et soupirait 763 XXX| qui allaient au combat en chantant des psaumes se tinrent à 764 V| Charnailles, et qui, le soir, a chanté si doucement en s’accompagnant 765 XXIX| bien faire son devoir. Des chants religieux et le bruit des 766 X| de chœur sur les pas d’un chapelain.~ ~ ~– Tu es un héros, ami 767 X| terribles exécutions : « Charge-toi de celui de la porte, lui 768 IV| armé jusqu’aux dents et chargeant un imbécile de mouton sur 769 XXII| de bière et des assiettes chargées de jambon.~ ~ ~ ~Jean de 770 XXIV| Brahé qui vous garde s’en chargera ; il est jeune, les choses 771 XIII| Gothembourg. Le pli que je vous chargerai de porter renferme des papiers 772 XXIV| secoua la tête.~ ~ ~– Alors chargez-en un autre ! J’ai dit que 773 XXII| mû par un sentiment de charité fraternelle, vida sa cruche 774 XXVII| II, le rêve magnifique de Charles-Quint, les divisions nées de la 775 III| coloris parut sur le front charmant d’Adrienne ; elle cueillit 776 II| un gentilhomme qui ne fût charmé de sa politesse. Son air 777 XXIII| sous les ténèbres d’une charmille.~ ~ ~ ~Cependant la nuit 778 XXXIX| aînées, préparaient de la charpie, du linge, des couvertures 779 XI| devant eux des ânes, des charrettes, des chevaux chargés de 780 XXIV| XXIV~ ~ CHARYBDE ET SCYLLA~ ~ ~ ~Frantz Kreuss 781 V| éblouissant, plus brillant qu’une châsse et tout couvert de broderies ! 782 XII| descendante avaient la veille fait chasser sur ses ancres.~ ~ ~– La 783 XVIII| nomme-moi capitaine des chasses.~ ~ ~ ~Une porte s’ouvrit, 784 XXXI| dépouillés de leurs armes et chassés du camp ! que leurs chevaux 785 XV| attendrissement, il lui rendit son chaste baiser, et Marguerite disparut 786 V| pareilles aux plus fières châtelaines de la province. Armand-Louis, 787 XXIII| Tu vas voir comme je châtie un imbécile qui fait l’insolent ! 788 XXIII| jouer le ressort d’un petit chaton, et vit dans l’intérieur 789 XXXIX| Je suis comme les chats, je guette, répondit Frantz. 790 XXXI| impériales. L’affaire avait été chaude ; la compagnie revenait 791 XXVII| approchant des contrées plus chaudes du Midi !~ ~ ~ ~Quand il 792 III| moins pour te tirer de la chaudière !~ ~ ~ ~Le lendemain, les 793 XXXVII| Souvigny appartient aux chaudières de l’enfer, nous faisons 794 II| attendrai, dit le bon écuyer qui chauffait ses vieilles jambes dans 795 XVIII| à poignées, des forêts à chauffer une ville, des châteaux 796 XVIII| prés sont tondus et plus chauves que la tête d’un moine, 797 XXVI| au loin. Quelques paysans cheminaient lentement. Jean de Werth 798 XXXIX| la baronne d’Igomer ne me cherchera pas querelle, poursuivit 799 XXIV| pendant un instant ses yeux cherchèrent sur le sol.~ ~ ~– Ah ! les 800 XX| présent, s’il vous plaît, et cherchons le roi : quand on a un homme 801 VIII| Tu vois ces deux êtres chéris, ces deux enfants de mon 802 IX| On vit accourir un valet chétif et maigre, pâle et contrefait, 803 I| aventures de don Galaor et les chevaleresques épopées d’Amadis des Gaules.~ ~ ~ ~ 804 XVIII| tu lui diras qu’un pauvre chevalier se meurt d’amour pour elle 805 I| qui ne les eût rencontrés chevauchant de compagnie sur quelque 806 VIII| Armand-Louis et Adrienne chevauchèrent silencieusement l’un près 807 XXXIV| balafré, le teint cuivré, la chevelure en brosse, armé d’une cuirasse 808 XII| peu de drap autour d’une cheville répara l’avarie, mais la 809 I| franchissait un ravin comme un chevreuil. Ils luttaient contre les 810 XIII| choses, est suédois.~ ~ ~– Ne chicanons pas sur les mots, ambitieux 811 XXXI| te ferais pendre comme un chien à la plus haute branche 812 III| souriait.~ ~ ~– Vingt est un chiffre, ce n’est pas un nom !~ ~ ~– 813 VI| C’est une question de chiffres, monseigneur.~ ~ ~– Tu auras 814 XXXIX| était la plus terrible des chimères. Combien déjà n’avaient-ils 815 X| Gaspard comme un enfant de chœur sur les pas d’un chapelain.~ ~ ~– 816 VI| Carquefou se laissa choir, et, rampant sur le sol, 817 VIII| flanqué de deux poulardes choisies par Carquefou parmi les 818 VII| tous ces jeunes cœurs. Ils choisirent les plus déterminés, leur 819 X| travaillait dans l’écurie où il choisissait les plus beaux chevaux, 820 XVI| autre, et les pénitences ne chômaient pas.~ ~ ~ ~Un matin, Armand-Louis 821 II| château de la Guerche, aimée, choyée, entourée de ces mille tendresses 822 XXI| les devoirs sacrés de la chrétienne, la pudeur de la fille, 823 XXVII| Gustave-Adolphe confia sa fille Christine et l’administration du royaume 824 VI| rayon de lumière.~ ~ ~– On chuchote et on rit, dit-il à voix 825 XXVII| dans l’assemblée, puis des chuchotements, puis des cris.~ ~ ~– Voilà 826 XII| parut devant eux.~ ~ ~– Chut ! fit Renaud.~ ~ ~– Si tu 827 | ci 828 XVIII| tout exprès pour servir de cible.~ ~ ~ ~Renaud s’appuya sur 829 XIII| Les neuvaines et les cierges n’y peuvent rien, dit-il ; 830 XXV| larmes suspendues à ses cils descendirent lentement sur 831 XXVIII| gentilhomme sans fortune, à circonvenir le père d’une des plus riches 832 IX| comme de l’eau sur une toile cirée.~ ~ ~– Faut-il agir ? reprit-il, 833 XVIII| occasion de bien tomber. La cité tout entière est en deuil.~ ~ ~ ~ 834 VI| branches et de les ajuster en civière. On étendit le capitaine 835 II| effacée par les discordes civiles, mais il employa toutes 836 IX| personnage plein d’honneur et de civilité.~ ~ ~ ~C’était un cavalier 837 XIV| La nuit était venue, nuit claire et limpide à laquelle des 838 IV| suivant l’autre par les clairières, ils s’en allaient blancs, 839 XXII| mourir le retentissement des clairons sonnant la charge. Jean 840 XIII| bleu sombre, expressifs, clairs, lumineux, tout à fait parlants ; 841 VII| poussèrent de formidables clameurs.~ ~ ~– Le sang coulera peut-être, 842 XII| cette brume. On entendait le clapotis de l’eau contre les rives 843 VIII| entend que fusillades et cliquetis d’épées ! Sainte Estocade, 844 XII| genoux ! lui dit-il.~ ~ ~ ~La clochette qui précède le Saint-Sacrement 845 XXXI| taille, et derrière une cloison un amas d’armes de toute 846 III| faire pénitence au fond d’un cloître jusqu’à la fin de mes jours.~ ~ ~ ~ 847 XXXVII| emmener ?~ ~ ~– Naturellement. Cloîtrée, Mlle de Souvigny pourrait 848 XXXIV| brûler tous les châteaux et à cloîtrer toutes les baronnes ; Armand-Louis, 849 X| dire cependant, et pour clore mon récit, que si vous ne 850 VI| vers la porte, elle était close, et la mère Frisotte chantait 851 VI| toutes les fenêtres étaient closes. Carquefou appliqua son 852 XVIII| baisa le mort au front, cloua la planche, et d’un pas 853 XXVII| Armand-Louis, que l’étonnement clouait à sa place et qui, jusqu’ 854 XVI| était ici le vrai pays de Cocagne, nous allons rentrer dans 855 XXVII| on cherchait moins la cocarde que le profit. Si un général 856 XXI| était assigné. Il vidait ses coffres, il achetait des armes, 857 XXXIV| dévouement ; il avait beau se cogner la tête, il ne trouvait 858 VII| ascendant sur leurs anciennes cohortes, et leur éloquence, excitée 859 XIX| dont son adversaire était coiffé.~ ~ ~– D’abord, soyons polis, 860 VI| emmitouflée et discrète ; ses coiffes blanches sont toujours pudiquement 861 XXXIX| arrachant la fausse barbe et la coiffure qui le défiguraient.~ ~ ~ ~ 862 X| fantômes qui se tenaient cois, l’un sous la fenêtre, l’ 863 IX| que tu es de la vache à Colas, abominable parpaillot, 864 IX| personnes qui tenaient à ces colifichets ; au dessert, il s’oublia 865 I| découvrait au nom de feu l’amiral Coligny ; l’autre tenait M. de Guise 866 IX| mes douze malandrins font collation pour se préparer à bien 867 X| malheureusement pas tous collé leurs lèvres aux goulots 868 XII| votre nom sur une pancarte collée aux murs de l’Hôtel de Ville ? 869 XXXIV| le mal, et dût le sacré collège en mourir, j’aimerai jusqu’ 870 XIV| mais, retenus par leurs colliers seulement, ils imprimèrent 871 VI| auberge. Là roucoule une colombe…~ ~ ~– Je la connais ! dit 872 VIII| de Didon… Reste donc au colombier, tourtereau ! Carquefou 873 XVIII| on voyait se dessiner les colonnes d’attaque.~ ~ ~ ~D’un geste 874 IX| le repas, mangea comme un colosse et but comme un Titan. Renaud, 875 XVIII| redoutait les profondes combinaisons. Il s’inclina respectueusement, 876 XXXII| roi vous embrassa et vous combla de cajoleries ; mais cette 877 XVIII| maisons, renversées de fond en comble, fument, à demi rongées 878 XXXVII| les bienfaits dont il m’a comblé sous forme de pièces blanches 879 XXXIII| quitta qu’après les avoir comblées de caresses.~ ~ ~ ~La porte 880 II| promptement les fossés à demi comblés, les étables adossées contre 881 XXXIX| combattants. Les matières combustibles auxquelles un projectile 882 XXXI| qu’un parti d’éclaireurs, commandé par un capitaine des compagnies 883 XXXII| maréchal.~ ~ ~– Les places qui commandent le cours de l’Oder emportées, 884 XXXVI| direction du midi résolument, et commença ce métier de batteur d’estrade 885 VI| trois minutes tu n’as pas commencé ta confession, on te la 886 XXX| Et, en manière de commentaire philosophique :~ ~ ~– Je 887 I| dans le texte latin les Commentaires de César, M. de Chaufontaine, 888 VI| à la mère Frisotte, une commère à l’œil encore vif. J’ai 889 XXIII| amour-propre. Toutes les fois qu’il commettait une peccadille, et ces sortes 890 XXIII| compte du crime qu’il avait commis. Il lui expliqua d’une voix 891 VIII| l’aventurier d’un air de commisération, Cupidon a forgé des chaînes 892 XVI| marquis, dit-il en riant, deux commissions comme celle-là, et j’aurai 893 XXXVI| de s’engager n’était pas commode, mais il en avait tenté 894 XXVIII| protection.~ ~ ~ ~Seuls et commodément assis en face de la mer, 895 XXXIX| éprouvèrent une sorte de commotion électrique. Pâles et les 896 XXVIII| Le soin de parer au mal commun incombait à M. de la Guerche. 897 XXXIII| ville voisine ; vous nous communiquerez demain ce que vous aurez 898 IX| rôdais donc du côté des communs, au fond d’une cour intérieure 899 XXVII| aujourdhui, un corps uni, compact, formé d’éléments homogènes 900 XXXIX| les suivait de rue en rue, compacte, serrée, tumultueuse, puis 901 XIII| esprit de Diane. Rien n’était comparable à cette ravissante personne. 902 I| airs, et, modestement, se comparait à l’archange.~ ~ ~– Un moine 903 VI| supériorité du vin d’Anjou comparé à la bière d’Allemagne. 904 XXVIII| France.~ ~ ~– Encore des compatriotes, et non pas les moins aimables ! 905 XVI| d’objurgations non moins compendieuses que désagréables.~ ~ ~ ~ 906 VI| de perdre la vie : il y a compensation.~ ~ ~ ~Le capitaine Jacobus 907 XXXVI| Mme d’Igomer, Magnus posa complaisamment la main sur le pommeau de 908 XXVIII| était peut-être le meilleur compliment qu’il pût lui adresser. 909 XVI| vous ne vous ruinez pas en compliments.~ ~ ~ ~M. de Pardaillan 910 XXIV| être ni bien long ni bien compliqué. Le flagrant délit était 911 V| portrait, les accidents se compliquent. Comprends-moi bien : riche, 912 XXVII| les gentilshommes qui le composaient avaient une patrie à conquérir.~ ~ ~ ~ 913 XXXI| camp suédois.~ ~ ~ ~Si bien composée que fût l’armée royale, 914 XXIX| régiments bleu et jaune, composés l’un et l’autre des meilleures 915 XVIII| Très-Chrétienne et mets en compote ses canons !~ ~ ~ ~Mais 916 V| accidents se compliquent. Comprends-moi bien : riche, étranger, 917 XXXVI| Magnus est ici !… Comprends-tu, dit-elle, Armand-Louis 918 XXIX| voile :~ ~ ~– Il m’a aiméecomprenez-vous ?~ ~ ~– Eh bien ! dit M. 919 XXVIII| les jeunes femmes qui se comprennent à demi-mot ont le secret.~ ~ ~ ~ 920 XXIII| choses qui n’étaient pas comprises dans notre marché.~ ~ ~ ~ 921 III| militante n’admettant pas de compromis de ce côté-là ; il est vrai 922 XVIII| nos murs, mais on n’a pas compté sur le secours du désespoir. 923 IV| mouton ; les blessés ne comptent pas.~ ~ ~ ~On en retrouva 924 XXV| Sauvez-le, Sire, et votre armée comptera un brave officier de plus !~ ~ ~ ~ 925 XVIII| mépris.~ ~ ~– À ta guise. Tu compteras ceux qui reviendront, dit-il.~ ~ ~ ~ 926 XXIV| toutes mes heures !~ ~ ~– Que comptes-tu faire ?~ ~ ~– Et le sais-je ? 927 X| écu d’or qui tomba sur le comptoir de l’apothicaire, et d’une 928 IX| Avant d’engager l’affaire, comptons bien : vous êtes deux, nous 929 XXVII| L’armée était alors concentrée à Elfsnabe. Mille acclamations, 930 XXXIV| que la terrible nouvelle concernait M. de la Guerche pour le 931 XIII| Quant aux choses qui nous concernent personnellement, dit-il, 932 IV| tombé au beau milieu du conciliabule, le pistolet d’une main, 933 XXXIX| la ville, animant leurs concitoyens à se bien conduire, et distribuant 934 XVIII| pierreries à éblouir un conclave ; et moi, je n’ai que la 935 XXII| amena bien vite à cette conclusion que le comte de la Guerche 936 XXII| encore.~ ~ ~ ~Jean de Werth conclut de ce fait qu’il ne tarderait 937 XXVII| Il avait l’âge où l’on conçoit les grandes entreprises 938 XXVII| administration de son royaume, tout concourait à en faire le souverain 939 VI| messire Pappenheim. Ton concours en cette occurrence nous 940 VI| serait heureux de l’avoir conçue. Il veut vous mettre à l’ 941 XXXVII| confirmant les craintes conçues par Adrienne depuis longtemps, 942 XV| vieux capitaine calviniste condamnait.~ ~ ~ ~Quelle pureté, quelle 943 XVIII| voudrait faire un exemple en condamnant à mort, non pas celui d’ 944 XVIII| veut, la résignation m’y condamnePlaise à Dieu que j’y trouve 945 XXXIII| solitude où elle s’était condamnée. Pourquoi tout d’un coup 946 XXIV| un assassinat !… On ne le condamnera pas… il se trompe ! Oh ! 947 XIV| chevaux auprès du bois, Pétrus conduira la voiture. Et s’il plaît 948 XXXVIII| Demain, alors, nous conduirons Mlle de Souvigny au couvent 949 XVIII| Si tu sais où il est, conduis-moi vers lui sans plus tarder : 950 XVIII| Embrasse-moi et que Dieu te conduise. Si Clotilde ne me guérit 951 XVIII| Elles verraient comment se conduisent deux bons gentilshommes. 952 XXXVIII| Mme d’Igomer se leva ; la conférence était terminée.~ ~ ~ ~ 953 XVI| gens, l’épée au poing, en confessant notre foi. Si Mlle de Souvigny, 954 III| Fais ta prière et confesse-toi, dit Renaud.~ ~ ~– Recommande 955 XXII| catholique, la maîtresse ou le confesseur du roi ; en pays protestant, 956 XXVIII| XXVIII~ ~ CONFESSIONS ET PETITS PROJETS~ ~ ~ ~ 957 XXVII| sacrifices, Gustave-Adolphe confia sa fille Christine et l’ 958 XXIII| mission que le prisonnier confiait à Magnus. « Le misérable ! 959 XXXIX| commencer, le plus grand nombre, confiants dans leur courage et la 960 XXVIII| avait-elle dit.~ ~ ~ ~Ces confidences échangées mirent M. de la 961 XX| prendre soi-même pour ami et confident : j’ai appris à savoir ainsi 962 XXXIII| faire campagne, les avait confiées à un vieil écuyer qui avait 963 II| Adrienne habitaient, sur les confins de la Marche et du Bourbonnais, 964 XXXVII| déguisement surtout, en confirmant les craintes conçues par 965 VI| capitaine n’aperçut-il rien qui confirmât cette alarme subite ? Toujours 966 XXIV| esprit : tout semblait les confirmer.~ ~ ~ ~En prenant la lettre 967 IX| chapeau à la main, et tout confit en sourires béats. De sa 968 VI| traçait dans l’ombre se confondait avec la poussière du chemin.~ ~ ~ ~ 969 XXI| enfant.~ ~ ~ ~Un instant ils confondirent leurs larmes et leurs baisers, 970 IX| Malte ». Don Gaspard se confondit en remerciements ; et bientôt 971 XXXVIII| l’empereur Ferdinand se confondront dans une alliance étroite ; 972 XIV| milieu de mille autres pas confondus dans une prairie.~ ~ ~ ~ 973 XIX| Ce que font tous ses confrères les écumeurs de mer ; il 974 XXII| blafarde appartenait à cette confrérie d’hommes méticuleux qui 975 XIX| servante s’échappa, irritée et confuse.~ ~ ~ ~Alors M. de la Guerche, 976 XII| les navires. Des ombres confuses se mouvaient dans cette 977 XXIII| Tandis que le baron congédiait ainsi son auxiliaire, Armand-Louis, 978 XVIII| ou cinq dépêches ; puis, congédiant le secrétaire d’un geste, 979 XXXVI| permettaient d’asseoir quelques conjectures sur la direction des deux 980 XVIII| avez, m’a-t-on dit, des connaissances dans La Rochelle, pourriez-vous 981 XXVIII| et de la Hollande qui ne connaisse ce nom et ce signe. Avec 982 XX| Ciel ! c’est comme si vous connaissiez un galion ! Voici que le 983 XXI| verra de loin celui qu’il ne connaîtra plus…~ ~ ~ ~Elle se soutenait 984 XXXII| conquérant ! Ses plans, je les connaîtrai ; ses démarches, je les 985 XXXII| Sans doute alors il vous connaîtrait mieux !~ ~ ~ ~La sueur perlait 986 XVIII| nos implacables ennemis connaîtront ce que peut amonceler de 987 XXXIV| audace à l’exécuter étaient connus de M. de la Guerche ; quelques 988 I| pas un manant qui ne les connussent, pas de hobereau qui ne 989 XIX| La fureur de Magnus ne connut plus de bornes, et, tête 990 XXXV| flibustiers partant pour la conquête d’un royaume.~ ~ ~– Cela 991 VII| traiter les Français en peuple conquis.~ ~ ~ ~À ces derniers mots, 992 XXVII| des couronnes perdues et conquises, des souverains errants 993 XIV| lisière.~ ~ ~– Est-ce toi, Conrad ? lui cria le cocher.~ ~ ~ ~ 994 I| petits services, ils le consacraient à se quereller. On débutait 995 XXII| vieux gentilhomme voulait consacrer un reste de force au service 996 XIII| Ah ! voilà ce que te conseille sainte Estocade ? Saint 997 XIII| pitié de mon martyre, elle consent à m’entendre…~ ~ ~– Ce soir ?~ ~ ~– 998 XVI| fille à me marier sans le consentement de celui qui représente 999 XXIV| Werth par le bras.~ ~ ~– Consentez-vous ?~ ~ ~– Serait-il sauvé, 1000 XXV| issues, les plus hardis ne conservaient aucun espoir. Mais tous 1001 XXIX| de la Guerche qu’il avait conservé près de lui.~ ~ ~– Oui, 1002 XV| appétissant qu’on entremêlerait de conserves, on pourrait s’asseoir dix


Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2009. Content in this page is licensed under a Creative Commons License