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1003 V| murmura l’inconnu qui la considéra plus attentivement.~ ~ ~– 1004 V| Il était peu d’événements considérables de l’histoire contemporaine 1005 XXIII| Cependant, et en considération des peines que tu t’es données, 1006 XXXVIII| cède à je ne sais quelles considérations, il en est d’autres qui 1007 XV| dès son entrée, il avait considéré avec une sorte de tendresse, 1008 VIII| semblaient le regarder :~ ~ ~– Considère le toit qui t’a vu naître, 1009 VI| poursuivit Renaud ; mais considérez que si d’un côté vous perdez 1010 XXIV| Soldat, il obéissait à la consigne donnée au soldat.~ ~ ~– 1011 XXXVIII| cet emploi un homme sans consistance que le moindre orage peut 1012 V| Comment ! voilà quelles consolations tu m’offres ? Je te raconte 1013 XII| mais le bien qu’on a ne console pas du bien qu’on a perdu. 1014 XXIV| basanées du vieux soldat.~ ~ ~– Console-toi, Magnus, et va en paix ! 1015 XXI| tristesses n’avez-vous pas consolées !… Près de vous je respirais, 1016 XXVII| courage chevaleresque, sa constance dans la foi jurée, l’habileté 1017 XXIV| Le flagrant délit était constaté ; de plus, M. de la Guerche 1018 XV| patience, M. de la Guerche consulta son voisin du regard en 1019 XXV| mais son regard inquiet consultait la hauteur du soleil au-dessus 1020 IV| parents des morts se sont consultés : il y en avait qui opinaient 1021 XVI| hospitalité qui lui est due, consultez votre cœur, il vous dira 1022 XXVI| comprenait qu’une fièvre ardente consumait la victime. Ces richesses, 1023 XXVIII| porte du calviniste et lui conta son embarras.~ ~ ~– Il s’ 1024 XVIII| qui restaient de sa troupe contemplaient l’effrayante horreur de 1025 XXIX| yeux remplis de pleurs, contemplait ce spectacle.~ ~ ~– Et cependant 1026 VI| maître Hans, plongé dans la contemplation d’une cruche de grès, méditait 1027 XIX| le fourreau après l’avoir contemplée :~ ~ ~– Allons, Baliverne, 1028 V| considérables de l’histoire contemporaine sur lesquels il n’eût des 1029 XVI| Et connaissez-vous le contenu de ces dépêches ?~ ~ ~– 1030 XI| aura.~ ~ ~ ~Les fugitifs continuèrent leur route jusqu’au soir 1031 XXIII| avec force saluts et force contorsions.~ ~ ~– Je passais, dit-il 1032 XV| mais bien que la dette contractée envers lui ne me paraisse 1033 XXXII| sur vos lèvres ! quelle contraction sur votre visage ! Allez ! 1034 XVI| surplus, et puisque vous m’y contraignez, un mot coupera court à 1035 VI| nous le refuser, je serais contraint de te le demander avec l’ 1036 XVI| pas de rigueur et pas de contrainte qui me fassent céder !~ ~ ~– 1037 XX| que les personnes qui le contrariaient se faisaient mal venir de 1038 V| À Dieu ne plaise que je contrarie tes dévotions ! Mais en 1039 IV| espoir que cet animal était contrarié ; de fait, il avait un gros 1040 V| et par qui ?~ ~ ~– Sans contredit, je ne fais mystère de rien, 1041 IX| chétif et maigre, pâle et contrefait, qui tremblait de tous ses 1042 XVIII| se réunirent derrière la contrescarpe qui défendait les approches 1043 XXIX| Une nouvelle cependant contribuait à le maintenir en joie. 1044 IX| Renaud.~ ~ ~ ~Cet incident contrista les voyageurs ; on ne pouvait 1045 XXXI| longue épée à lame plate qui convenait à sa robuste main. Le marché 1046 XXXVI| seront les arrhes de notre convention.~ ~ ~– Partez vite ! s’écria 1047 VI| Messieurs, en vertu de nos conventions, je marche le premier, dit 1048 VI| pour le lendemain. Est-ce convenu ?~ ~ ~– C’est dit.~ ~ ~– 1049 IX| bienfaits.~ ~ ~ ~À l’heure convenue, don Gaspard arriva accompagné 1050 VIII| la réformation ; je les convertirai. Carquefou, qui est un grand 1051 IX| ombre de Calvin, ils la convertiraient : voilà ce qui vous offusque.~ ~ ~ ~ 1052 VIII| Carquefou, qui est un grand convertisseur, m’y aidera. En avant !~ ~ ~– 1053 XXXV| figure des séraphins, j’en conviens, répondait Mlle de Pardaillan ; 1054 XXXIX| Pardaillan. Les dernières convulsions de l’agonie agitaient son 1055 XXXI| ceinture.~ ~ ~ ~Il la tira convulsivement de sa cachette et l’ouvrit. 1056 XIX| envoient deux boulets dans la coque, à fleur d’eau, et le navire 1057 XIX| brillant, avec un mélange de coquetterie et d’attendrissement, la 1058 VI| Il y a la butte aux Corbeaux.~ ~ ~– Bon. Tous les jours, 1059 VI| muscles à les briser, les cordes ne cédèrent pas.~ ~ ~– Je 1060 XIII| Mais, au lieu de l’accueil cordial auquel il se croyait quelque 1061 XV| Guerche un coffret lié par un cordon auquel pendait une petite 1062 XXX| apporta des cartes, des cornets et des dés. Le comte Éberart 1063 XXIX| de courir après tous les cornettes que nous envoie la Suède ? 1064 I| chêne heurtant un bâton de cornouiller, les bergers du canton savaient 1065 XXXIX| les chefs des différentes corporations parcouraient la ville, animant 1066 IV| tuez plus, je suis à demi corrigé.~ ~ ~ ~Renaud, attendri, 1067 XXII| d’hommes méticuleux qui corrigent les caprices du hasard et 1068 IV| dit Renaud, je prétends te corriger de ce défaut et te rendre 1069 XXXIII| arbres, sur le penchant d’un coteau ; il avait l’apparence honnête : 1070 IX| dorée de la Champagne et des coteaux du Rhin ; il était tout 1071 III| Mets-la dans une boîte à coton, ton Adrienne, ça n’empêchera 1072 VI| Quelques nuages blancs et cotonneux passaient devant la lune ; 1073 XXIII| de maître Frantz, et ce cou-là, maître Frantz Kreuss l’ 1074 XII| signal de Mathéus.~ ~ ~– Couchez-vous ! cria Armand-Louis à Mlle 1075 XII| le marquis, dit-il, j’ai coudoyé un homme, tout à l’heure, 1076 XXIII| au bout.~ ~ ~ ~Frantz se coula donc hors du taillis, gagna 1077 X| pour franchir la sallecoulaient deux ruisseaux de sang.~ ~ ~ ~ 1078 VI| néanmoins à faire un nœud coulant.~ ~ ~ ~Maître Hans, saisi 1079 XXIII| vêtements en lambeaux… mon sang coule par trois blessures… c’est 1080 VII| clameurs.~ ~ ~– Le sang coulera peut-être, ajouta Renaud, 1081 IX| y est retourné comme une couleuvre qui se faufile vers un nid.~ ~ ~– 1082 XVIII| lui-même le feu à quelque coulevrine. C’est l’âme qui soutient 1083 XXXVI| les aiment, et qui ont de coupables désirs d’indépendance.~ ~ ~– 1084 XII| Mathéus, dont les grands bras coupaient l’eau à temps réguliers. 1085 XXXIX| complet et toute communication coupée avec les campagnes voisines.~ ~ ~« 1086 XI| fortes mains ouvertes et coupées. Ils étaient à Anvers.~ ~ ~– 1087 XVI| m’y contraignez, un mot coupera court à tout ceci : Sachez, 1088 XXVIII| guérison ?~ ~ ~– Les âmes courageuses n’hésitent pas. Aurore – 1089 IV| de ce défaut et te rendre courageux, bon gré mal gré.~ ~ ~– 1090 XXXIX| mousquet ou la pertuisane, couraient çà et là en appelant tout 1091 XIV| disque aminci de la lune courbait son croissant dans le ciel.~ ~ ~ ~ 1092 XV| lui, son bonnet à la main, courbant l’échine et saluant à chaque 1093 XVII| harmonieuse de sa taille. Quelle courbe élégante dans tout son corps, 1094 XII| avaient saisi les avirons, et courbés sur les vagues, ils imprimèrent 1095 IV| sentence. Jugez des dangers que courent ceux qui s’exposent !~ ~ ~ ~ 1096 XXXV| Mme d’Igomer a besoin de coureurs adroits pour s’assurer des 1097 VI| somme ronde, de l’autre vous couriez le risque de perdre la vie : 1098 VI| plaît-il donc aussi que nous courions à la mort ? dit-il en s’ 1099 XVIII| officiers, l’épée haute, en couronna les travaux démantelés.~ ~ ~– 1100 XI| murs d’une grande ville que couronnait la flèche d’une cathédrale.~ ~ ~ ~ 1101 II| bois. Deux méchantes tours couronnées de créneaux lui donnaient 1102 XXVII| provinces ravagées, des couronnes perdues et conquises, des 1103 XXIII| l’intérieur un G et un A couronnés, gravés sur un saphir. C’ 1104 VI| courir au-devant du danger, courons vite.~ ~ ~– Carquefou, mon 1105 XX| vingt-six ans ; pourquoi courrait-on le monde à cet âge, si l’ 1106 XXI| nouvelles. Il avait expédié des courriers dans toutes les directions 1107 III| faire excitera-t-il votre courroux… disposez de moi alors : 1108 VIII| enjambées. Un vigoureux courtaud l’attendait ; l’épée, la 1109 XXII| retournait sans cesse après de courtes absences. Le vieux gentilhomme 1110 XXVII| cependant ce monarque que les courtisans de Vienne appelaient, en 1111 V| émoussés.~ ~ ~– Un duel à armes courtoises, j’y consens, répondit-il.~ ~ ~ ~ 1112 XIV| lui rendit son salut avec courtoisie et précipita sa course.~ ~ ~– 1113 XXX| soyeuse et noire, les cheveux courts et frisés, la taille élégante, 1114 XXXIX| souvenir des périls qu’il avait courus.~ ~ ~ ~La sentinelle avait 1115 XIII| les plus désastreuses ne coûtaient pas plus d’un petit écu. 1116 V| mieux affilées que des couteaux de chasse ; s’il vous convient 1117 XXIV| voir, et que rien ne lui coûterait pour y parvenir.~ ~ ~ ~En 1118 VI| avancée de la nuit, j’ai pour coutume de dormir après avoir fait 1119 IX| Le capitaine Gaspard la couvait des yeux ; pendant qu’elle 1120 XI| de barques et de navires couvraient le fleuve. D’autres le montaient 1121 XXI| répétait-elle toujours en le couvrant de ses regards. Ah ! quand 1122 XXXIX| faut plus rôder, l’heure du couvre-feu passée.~ ~ ~ ~Le sang bouillonnait 1123 XXIV| maudissez pas ! vous ne me crachez pas au visage ! vous ne 1124 XXII| et de bonnes épées qui ne craignent personnepoussons sur les 1125 V| monsieur le comte, ne craignez rien ! répliqua le gentilhomme 1126 XXIX| et cela m’inquiète.~ ~ ~– Crains-tu que le désespoir ne l’ait 1127 XXI| enfant beau comme le jour, craintif et souriant, se glissa dans 1128 XX| feutre à un demi-pouce du crâne, qu’elle a peut-être égratigné 1129 XXIII| seule fois une branche sèche craqua sous le poids de son corps. 1130 XXX| nos épées et prendre des cravaches !~ ~ ~ ~Il sembla à M. de 1131 XXXVI| lequel il semblait avoir été créé. Pas un homme alors, pas 1132 XIX| de la Guerche.~ ~ ~ ~Il creusa dans le sable un trou profond, 1133 XVIII| poussé dans l’excavation creusée en grande hâte contre l’ 1134 XVIII| une pioche, il se mit à creuser la terre au pied de l’épaulement.~ ~ ~ ~ 1135 VIII| je cours après toi ! J’ai crevé trois chevaux, et celui 1136 XVIII| sifflant, heurte un toit, crève un mur, perce une tour et 1137 I| les huguenots tes cousins crèvent de dépit en voyant ta confusion !~ ~ ~ ~ 1138 XXV| Majesté le roi ! » nous crèverons trois ou quatre chevaux, 1139 XXVII| vôtres ?~ ~ ~– Oui ! oui ! cria-t-on de tous côtés.~ ~ ~– Alors, 1140 IV| ma chambre ! Les coquins criaient sous mes fenêtres ; la mort 1141 XXIII| Bas les armes ! leur criait-il hors d’haleine.~ ~ ~ ~Mais 1142 VI| surtout qui geignent et vont criant misère… cela m’attendrit !… 1143 XXV| laissez-moi courir en avant. Je crierai partout : « Service de Sa 1144 IX| À nous les reîtres ! crièrent-ils.~ ~ ~– Frappez toujours ! 1145 XXIV| de justice à laquelle les crimes de lèse-majesté étaient 1146 XXIII| conduisait.~ ~ ~– La prison des criminels d’État, répondit l’officier.~ ~ ~– 1147 XIV| apparence, au fond d’une crique, et s’enfermer dans un cabinet 1148 XXXIV| terre et levant un poing crispé vers le ciel, Carquefou 1149 XXXI| rugissait, tandis que ses mains crispées cherchaient, aux places 1150 XXX| étions pas dans un moment critique ; mais j’oublie tout pour 1151 XVI| les coups d’un cavalier croate, lorsque Jean de Werth, 1152 XXVIII| Hessois, des Saxons, des Croates, des Autrichiens, des Polonais, 1153 XIV| avait des moustaches en croc.~ ~ ~– Imbécile ! Si je 1154 IX| toujours baissé, et sous un nez crochu une bouche mince à lèvres 1155 XXIII| choses, il était de ceux qui croient résolument qu’il vaut mieux 1156 IX| marchait à leur tête.~ ~ ~– Crois-moi, disait Carquefou à Dominique, 1157 XV| carrefourplusieurs routes se croisaientpersonne n’était là pour 1158 V| Une seconde après, le fer croisait le fer. Malgré sa jactance, 1159 XXI| le père leva le front, et croisant ses bras en face de Gustave-Adolphe :~ ~ ~– 1160 VII| voir les deux lames rouges croisées sur son front livide :~ ~ ~– 1161 V| avez vu ces deux épées qui croisent leurs lames rouges sur mon 1162 XXX| celui de M. de la Guerche se croisèrent. De nouveau M. de Pappenheim 1163 XIV| de la lune courbait son croissant dans le ciel.~ ~ ~ ~En observant 1164 II| quitter un pays où l’on croquait de si belles pommes dans 1165 IV| peur que les béliers ne me croquent ! répondit-il en pressant 1166 XXXIX| Jean de Werth brisa la crosse du mousquet contre le mur.~ ~ ~ ~ 1167 XVIII| autour de ses murailles croulantes, La Rochelle est arrivée 1168 XXX| Brandebourg et le Palatinat, ils croyaient tous que c’était un capitaine 1169 XXVII| l’ambition des uns, les croyances religieuses des autres, 1170 XXIV| jamais ! Dites que je suis cruel, féroce, plus dur que le 1171 XXXVII| percerait pas le cœur plus cruellement. Je me connais en hommes, 1172 XIII| lui ? Combien de pensées cruelles ne lui traversèrent pas 1173 XXIX| confiant, ne les aurait pas crues. À vous, qui êtes son ami, 1174 III| le bouquet qu’elle avait cueilli.~ ~ ~ ~Que la campagne lui 1175 XIII| fruits mûrs, il faut les cueillir et les croquer sur-le-champ.~ ~ ~ ~ 1176 III| charmant d’Adrienne ; elle cueillit des fleurs d’une main tremblante, 1177 XXX| régiment saxon.~ ~ ~ ~Les cuirassiers prétendaient à leur tour 1178 XIII| mille sentiments confus et cuisants qu’il avait éprouvés lors 1179 XVI| connaissance, aucun n’avait de cuisines si larges et si béantes, 1180 V| il avait le poing sur la cuisse, la mine hautaine. Vingt 1181 XXII| force dagues à pommeaux de cuivre ou de fer, force casques 1182 XXXIV| rousses, balafré, le teint cuivré, la chevelure en brosse, 1183 XXVII| quelle terrible façon il a culbuté la batterie qui battait 1184 XXXV| est une personne qui a le culte de la précaution ; elle 1185 VIII| un air de commisération, Cupidon a forgé des chaînes autour 1186 XXVIII| noir. Au plus fort de la cure, voilà qu’un jour, inspiré 1187 XXX| singulier d’attention ; la curiosité dominait chez Armand-Louis, 1188 XIII| différence près que si la cuve mythologique ne pouvait 1189 XXII| moustaches retroussées, force dagues à pommeaux de cuivre ou 1190 XIII| Armand-Louis, cette fois, daigna regarder Mlle de Pardaillan. 1191 IX| dispense du Saint-Père. Il a daigné me l’accorder pour ces sortes 1192 IX| de Chaufontaine.~ ~ ~– Daignerez-vous m’y suivre ? reprit l’homme 1193 IX| Malines ?~ ~ ~– Faites mieux ! daignez me suivre jusqu’à ce bourg 1194 IX| voyez, la lame en est damasquinée.~ ~ ~ ~Mathéus Ortscopp 1195 V| beau jeune homme fût un dameret comme on en voit dans les 1196 XXVIII| employer à me guérir.~ ~ ~– Ces dames de la Cour ont des préjugés !~ ~ ~– 1197 I| voir que tu es un misérable damné, prédestiné à la cuisine 1198 XXXIV| au bout cette adorable et damnée parpaillote ! s’écria Renaud.~ ~ ~ ~ 1199 XIII| rappelaient le tonneau des Danaïdes, à cette différence près 1200 XII| pour eux, mais à coup sûr dangereuse ; le côté de la mer était 1201 XIX| qu’elle soit anglaise ou danoise, ne vous inspire qu’une 1202 XXXV| connaissait l’écuyer de longue date et le savait un homme résolu 1203 XXIX| son Dieu et son pays. Elle débarqua en poussant le cri de guerre 1204 XXXIII| temps que l’armée suédoise débarquait sur les côtes de la Poméranie. 1205 XXXVII| maître tirait de son côté. Débarqué seul sur la terre d’Allemagne, 1206 XIV| prompte que la foudre le débarrassa d’un laquais qui s’abattit 1207 XXXIX| occasion et je m’en suis débarrassé.~ ~ ~ ~Un râle déchira la 1208 XIX| servante, cause innocente de ce débat, se mit en prières dans 1209 XXIII| Évitons qu’il ne crie et ne se débatte. Il ne faut pas que le sommeil 1210 XXIII| par quatre loups, il se débattit et tomba.~ ~ ~– Tenez ferme ! 1211 VIII| Charnailles ? Pourquoi au débotté s’était-il enfermé avec 1212 XXIV| atteindre avant qu’il eût débouché sur la campagne. Un équipage 1213 XIV| Le plus grand des trois déboucla son ceinturon, et frappant 1214 V| Une heure après un page débouclait le ceinturon de l’étranger 1215 XIX| moustache grisonnante ; il avait débouclé sa rapière et posé devant 1216 VIII| cent cinquante lieues sans débrider !~ ~ ~– Or çà, lui dis-je, 1217 I| consacraient à se quereller. On débutait par des paroles affectueuses, 1218 VIII| est là une preuve de la décadence de ce pauvre vieil univers ; 1219 XVIII| épargnerez la peine de faire décapiter le coupable.~ ~ ~ ~Carquefou 1220 XXI| toutes les ambitions sont déchaînées, les provinces et les royaumes 1221 XVIII| les sentinelles eussent déchargé leurs mousquets, la distance 1222 I| sera bien fait !~ ~ ~ ~Il déchargeait un coup de bâton sur le 1223 II| arquebuses qu’on n’avait point déchargées depuis M. de Mayenne.~ ~ ~ ~ 1224 XXIII| son épée en homme qui veut décharger sa colère sur quelqu’un.~ ~ ~ ~ 1225 XXII| rapières, force plumets déchiquetés, force moustaches retroussées, 1226 XXXI| murmura-t-il.~ ~ ~ ~Ses ongles déchiraient le bois de la table. On 1227 XXXVII| Frantz ; la pointe d’une épée déchirant les chairs ne lui percerait 1228 XVI| si la dépêche te dérange déchire-la en mille morceaux. J’ai 1229 XIX| en lambeaux, les manches déchirées, deux fois désarmé, deux 1230 XVI| pli qu’en votre présence. Déchirez vous-même l’enveloppe.~ ~ ~ ~ 1231 XXVI| amoureux, n’était-ce pas déchoir ?… Jusqu’alors il avait 1232 V| Cet étranger déplaisait décidément à M. de la Guerche.~ ~ ~ ~ 1233 XVII| pense. Cette heure peut décider de ma vie tout entière. 1234 XXVII| renom de la patrie. Ils décidèrent en même temps que le commandement 1235 XXIV| elles sont. Après, vous déciderez.~ ~ ~ ~Il présenta un siège 1236 XVIII| la garnison, affamée et décimée, défend bien plus son honneur 1237 XXVII| on ne prenait point de décision.~ ~ ~ ~Le cavalier aux vêtements 1238 IV| attente, aucun horion, il déclarait la guerre à un certain grand 1239 IX| brillait pas, bien qu’il se déclarât le plus humble des serviteurs 1240 XXXII| XXXII~ ~ DÉCLARATION DE GUERRE~ ~ ~ ~Au bout 1241 XXVI| de Suède ! La guerre est déclarée, monsieur, retournez donc 1242 XXII| un de ces mécréants qui déclarent la guerre à la sainte Église ?~ ~ ~– 1243 XIX| qu’on voyait blanchir au déclin du soleil couchant s’approcha 1244 IX| de vous revoir.~ ~ ~ ~Il décocha une œillade du côté d’Adrienne 1245 XXXI| sourire éclaira ses traits décomposés.~ ~ ~– Ah ! je puis avoir 1246 XIX| adresse qu’aucun péril ne déconcertait, il parvint à s’engager 1247 XXVIII| du Danemark ; j’étais si découragé que je ne le retins pas. 1248 XXIII| Kreuss ne se laissa point décourager, et, averti par un courrier 1249 XXVIII| délivrées, de malandrins décousus, d’aventures menées à bonne 1250 XXXIV| prévenir les autres de sa découverte. On y laissera un homme 1251 XXXVI| routes voisines.~ ~ ~– Que je découvre une fois seulement la piste 1252 XIX| horizon pour voir s’il ne découvrirait pas, au fond de la plaine 1253 XXII| et l’esprit allègre, ils découvrirent les remparts de Carlscrona, 1254 XXII| et certainement vous y découvrirez une bourse de soie verte 1255 XIX| fer en trouve.~ ~ ~ ~Et décrochant un sabre qu’on voyait à 1256 XXXV| que, la veille, on aurait décroché de la potence.~ ~ ~– Pourquoi 1257 XXXVIII| de ces esprits hardis qui dédaignent les vains scrupules dont 1258 XXXIV| n’était cependant pas à dédaigner. Renaud expédia Carquefou, 1259 XXX| fièrement, et, d’une voix dédaigneuse :~ ~ ~– Vous m’avez reconnu, 1260 XXVI| Ville perdue ! répondit-il dédaigneusement.~ ~ ~– Ainsi, madame, poursuivit 1261 IX| était hardi, le sourire dédaigneux, le geste provocateur.~ ~ ~– 1262 XXVI| même coup Adrienne de ses dédains ! Jean de Werth était de 1263 XXIII| et de s’enfoncer dans un dédale de bosquets, où Mlle de 1264 XXVII| est clair, et je ne m’en dédis pas, s’écria Renaud ; oui, 1265 XXI| succombaient dans une suprême défaillance. Elle resta un instant immobile, 1266 XXV| travailler ; le lit n’était pas défait ; on comprenait que Gustave-Adolphe 1267 XXVII| au même drapeau après la défaite comme pendant la victoire. 1268 XXXI| d’épaisses broussailles défendaient contre tout regard indiscret. 1269 XVIII| le corps de ceux qui la défendent ; et, si nous pouvons pénétrer 1270 XXI| Haut l’épée, Sire, et défendez-la ! C’est à la Suède que je 1271 XIX| fille par le bras ; elle se défendit, il se leva et la retint 1272 XXVII| quelle que fût la cause qu’il défendît, il était assuré de trouver 1273 VIII| servirez de guide et de défenseur dans ce long voyage qu’elle 1274 XXIV| redresseurs de torts et les défenseurs de l’opprimé. Quand je prête, 1275 XXVII| ses camarades.~ ~ ~ ~Par déférence pour le nom et les malheurs 1276 XXIV| de lèse-majesté étaient déférés instruisait le procès d’ 1277 XXXIX| barbe et la coiffure qui le défiguraient.~ ~ ~ ~Une expression de 1278 XXXV| attroupaient pour en voir le défilé comme au passage d’une princesse.~ ~ ~ ~ 1279 II| les chemins se trouvèrent défoncés ; on n’avait jamais entendu 1280 XXIV| Mais Adrienne se dégagea des bras de Mlle de Pardaillan.~ ~ ~– 1281 XXI| baisers, puis Marguerite, se dégageant, leva sur Abraham des yeux 1282 IX| Gaspard et le seigneur Mathéus dégainèrent.~ ~ ~– À nous les reîtres ! 1283 XVII| garde de son épée. Sa main dégantée en caressait les franges 1284 XVIII| ministre avait ordonné que le dégât fût réparé avant la nuit.~ ~ ~ ~ 1285 XIII| raillerie. Il avait à un haut degré l’habitude du commandement, 1286 XXV| poserait le pied sur les degrés de l’échafaud. Un silence 1287 I| apercevait au bord d’un ruisseau, déjeunant d’un morceau de pain qu’ 1288 IV| Un mathématicien qui déjeune d’équations et soupe de 1289 XXXVI| parviendrait plus aisément à les déjouer ; mais sans dépêche, comment 1290 XIX| engager dans un canal au delà duquel la mer était plus 1291 IX| accommoderait fort de ce délabrement ! répondit Renaud émerveillé.~ ~ ~ ~ 1292 XXIV| qu’il voie le roi sans délai, qu’il lui parle de M. de 1293 XXIX| aurait peut-être pas tardé à délaisser Marguerite, si un coup de 1294 XVI| le soir, après un souper délectable, il versait dans son verre 1295 XXXIV| passait.~ ~ ~– À présent, délibérons, ajouta M. de la Guerche.~ ~ ~ ~ 1296 XXXVII| relation dans des circonstances délicates, et à qui j’ai eu le bonheur 1297 XXX| autour de la table ; rien ne délie les langues comme le vin, 1298 XXXVI| donné à l’homme pour lui délier la langue. » En conséquence, 1299 XXVI| tout espoir. Armand-Louis délivré, c’était Adrienne perdue 1300 XXVI| incommensurable douleur.~ ~ ~ ~Mais, délivrée de ce cauchemar qui la tuait, 1301 XXVIII| géants occis, de princesses délivrées, de malandrins décousus, 1302 XXVII| Mais qui alors ? demanda-t-on de tous côtés.~ ~ ~– Un 1303 XXVII| légion de capitaines qui ne demandaient qu’à suivre la fortune du 1304 XIX| C’est pourquoi je vous demandais tout à l’heure si vous saviez 1305 XXVII| et M. de Bérail à qui je demanderai tout à l’heure le secret 1306 XVI| chose que son sauveur lui demanderait.~ ~ ~– Je me nommai et mis 1307 XXXIII| bientôt attendrie, lui demandèrent la cause de cette solitude 1308 XIV| Saumon couronné », et vous demanderez M. le comte de la Guerche.~ ~ ~ ~ 1309 V| coup le comte Henri, ne me demandiez-vous pas tout à l’heure en quel 1310 II| Bourbonnais, un petit castel démantelé par les guerres de religion. 1311 XVIII| en couronna les travaux démantelés.~ ~ ~– Ah ! qu’ils sont 1312 XXXVIII| mais quelque chose dans la démarche, que Magnus reconnut du 1313 XXXII| je les connaîtrai ; ses démarches, je les épierai ; ses entreprises, 1314 VII| changées. Le comte allemand démasquait ses forces. Si les gens 1315 XI| appelle cet homme noir qui se démène là-bas sur la route ?~ ~ ~ ~ 1316 II| une apparence féodale que démentaient promptement les fossés à 1317 II| ce qu’on voyait après ne démentait pas cette première et bonne 1318 XXVII| la Suède. Que mon ami me démente s’il l’ose !~ ~ ~ ~Tous 1319 IV| Et pour n’en pas avoir le démenti, et à défaut d’Armand-Louis, 1320 II| de la Grande-Fortelle, y demeura jusqu’à quinze ans.~ ~ ~ ~ 1321 III| brisés, moulus, exténués, ils demeuraient en face l’un de l’autre 1322 VIII| assez peuplée, Adrienne y demeurant. Il ne voulait perdre aucun 1323 IV| le Montaigu était las de demeurer en paix, étonné de n’avoir 1324 XXXVI| Trois Mages » ; elle y demeurera jusqu’à demain soir.~ ~ ~– 1325 VI| porte rouge s’ouvre à une demi-lieue de l’auberge. Là roucoule 1326 XXVIII| femmes qui se comprennent à demi-mot ont le secret.~ ~ ~ ~Ce 1327 XX| a troué son feutre à un demi-pouce du crâne, qu’elle a peut-être 1328 IX| se battre, je donnerai ma démission. C’est l’heure où mes douze 1329 VIII| laissée, personne ne l’ayant démolie ; quant aux oiseaux de nuit 1330 I| éloquence. Il répondait aux démonstrations du prédicateur imberbe par 1331 XIX| entêtement à nous poursuivre me démontre que je ne commets point 1332 XXIII| gorge, voulut intervenir et démontrer l’invraisemblance du guet-apens 1333 XXXIV| tiendra en échec les bandes démoralisées de Torquato Conti, et le 1334 IV| Cela dit, Carquefou n’en démordait plus. Poltron il était, 1335 XXXV| charmante tête, ni qu’une dentelle s’échappe de mon ajustement.~ ~ ~– 1336 XIX| laissant à nu leurs menaçantes dentelures. Tout l’équipage comprenait 1337 XI| ligne de peupliers… il la dépasse.~ ~ ~– Oui, je l’aperçois… 1338 XX| murmura-t-il.~ ~ ~ ~Il allait dépasser la lisière du petit bois 1339 XIX| chaque assaut de la mer dépeçait : autour de lui le silence 1340 XIX| Presque en face de lui, et dépeçant une langue de bœuf fumée, 1341 X| entendu ?~ ~ ~– Justement. « Dépêchons, dis-je à Dominique, on 1342 XXII| établissement où bon nombre de gens dépenaillés cassaient des pots en battant 1343 XIII| mécontenter un homme sous la dépendance de qui vivait Mlle de Souvigny.~ ~ ~– 1344 V| agrandirons nos domaines aux dépens de ces mécréants !~ ~ ~– 1345 XX| consciencieux entre la recette et la dépense, il se trouva qu’en sortant 1346 I| huguenots tes cousins crèvent de dépit en voyant ta confusion !~ ~ ~ ~ 1347 XXII| le plus vif.~ ~ ~– Vous déplairait-il d’armer votre bras du glaive 1348 V| sourit.~ ~ ~ ~Cet étranger déplaisait décidément à M. de la Guerche.~ ~ ~ ~ 1349 XXV| été rassuré par le grand déploiement de forces qui gardaient 1350 XXVII| l’habileté qu’il savait déployer dans l’administration de 1351 XXVIII| un homme si brave ne lui déplurent pas ; de plus, il avait 1352 XX| le Bon Samaritain l’avait déposé sain et sauf sur une terre 1353 XXVII| aux rives du Pô, ne voulût déposer les armes.~ ~ ~ ~Depuis 1354 XIX| Deux cadavres y avaient été déposés par la vague. Armand-Louis 1355 XXXI| et sur un signe du roi le dépouillaient de son poignard et des insignes 1356 I| dans le but glorieux de dépouiller de ses fruits le verger 1357 IV| dans le ventre, et ça le dérangeait. Un quatrième, un bon fils 1358 XXXVII| ne faut qu’un hasard pour déranger mes plans… À la santé de 1359 XXXVI| et par bonté d’âme je me dérangerai de mon chemin, et celle 1360 IX| de bâton, mes genoux se dérobaient sous moi. Les coquins n’ 1361 XXI| front, un pli de collines dérobait les maisons de Gothembourg, 1362 IX| de vivre simplement, j’y dérogerai, puisqu’il vous est agréable 1363 XXX| cartes, des cornets et des dés. Le comte Éberart jeta quelques 1364 XXVIII| Consciencieux et désagréable. Une pénitence perpétuelle, 1365 XVI| moins compendieuses que désagréables.~ ~ ~ ~Mais déjà Armand-Louis 1366 VI| occuper le château et d’en désarmer la garnison ; mes gens escorteront 1367 XIII| pensait-il, la bataille sera désastreuse ! »~ ~ ~Et il multipliait 1368 XI| autres le montaient ou le descendaient. On ne voyait partout, sur 1369 XII| Renaud un homme noir qui descendait la rue, le front nu, faisant 1370 XII| que le courant et la marée descendante avaient la veille fait chasser 1371 XXVI| fourberies dans lesquelles ne descendent jamais les âmes loyales.~ ~ ~ ~ 1372 XXV| larmes suspendues à ses cils descendirent lentement sur ses joues.~ ~ ~ ~ 1373 XXVI| dans la sienne… ; mais, descendue de l’autel, je vous le jure, 1374 XXX| sur laquelle nous sommes descendus ! dit un dragon.~ ~ ~– L’ 1375 XIX| par la hanche le bâtiment désemparé et le porta rapidement vers 1376 XXI| aurais-je un seul jour déserté cet asile où je vous avais 1377 I| de Renaud. On l’avait vu déserter les leçons d’escrime d’un 1378 XXVI| était de ces hommes qui ne désespèrent pas même lorsque tout semble 1379 XVII| baronne Thécla d’Igomer, en déshabillé de nuit, est couchée dans 1380 XXI| soins que celui de porter le déshonneur au foyer de l’un de ses 1381 XII| gentilshommes français seraient déshonorés ! dit Renaud.~ ~ ~ ~Adrienne 1382 IX| fait voir l’écurie en me désignant du doigt les meilleurs chevaux, 1383 XXIX| Le roi les avait désignées l’une et l’autre pour suivre, 1384 XXVII| le nombre de ses exploits désignerait au suffrage de ses camarades.~ ~ ~ ~ 1385 V| Adrienne, Armand-Louis aurait désiré que la terre s’entrouvrît 1386 XVIII| cardinal attend l’heure désirée qui, en lui livrant La Rochelle, 1387 VI| épouvantable, ces messieurs désirent savoir quel est le personnage 1388 III| regarderai plus et, si tu le désires, personne même ne l’épousera 1389 XXVII| tout entière dans sa main, désireuse de nouvelles batailles et 1390 XXXVI| et qui ont de coupables désirs d’indépendance.~ ~ ~– Je 1391 XIV| galop d’un cheval.~ ~ ~ ~Par désœuvrement il se mit à sa fenêtre.~ ~ ~ ~ 1392 XII| au milieu d’un groupe de désœuvrés, le vieillard à cheveux 1393 XXIII| de lui. Les vêtements en désordre et l’air affairé de son 1394 XXII| protestant, les lois ou le despotisme de l’opinion publique. Si 1395 IX| dans les cruches au goulot desquelles ces messieurs étanchent 1396 XXIII| mais, sur ton âme, ne t’en dessaisis pas ; perdue, je serais 1397 II| fait disparaître, comme se dessèche et meurt un jeune épi brûlé 1398 XXXVI| pénétrerait ainsi les secrets desseins de Jean de Werth, et parviendrait 1399 VIII| éloignant au galop, sans desserrer les dents, il fit de la 1400 IX| tenaient à ces colifichets ; au dessert, il s’oublia quelque peu, 1401 VI| tout à coup. Deux ombres dessinaient leur silhouette noire dans 1402 IX| blanche de l’ordre de Malte dessinait ses huit pointes sur une 1403 XVII| rimer un sonnet que je vous destinais ; mais Phœbus m’a tenu rigueur ; 1404 XXXIX| comprit que le coup lui était destiné ; il serra violemment la 1405 XXIX| capitaine sur qui reposaient les destins d’un royaume. Il était grave 1406 XXIV| veille ; il connaissait les détails de l’interrogatoire et prévoyait 1407 XXIII| poignard, ses muscles se détendirent et sa tête retomba sur le 1408 IV| moment où j’ai lâché la détente, j’ai fermé les yeux, j’ 1409 XIV| Souvigny !~ ~ ~ ~Ce souvenir le détermina à ne pas quitter la place 1410 XXXIX| émues, tremblantes, mais déterminées à imiter leurs aînées, préparaient 1411 XXIII| en frais d’éloquence pour déterminer trois des plus malheureux 1412 IX| trompe fort, ou Péters doit détester don Gaspard de toute son 1413 XXXVIII| l’aimerais-je pas que je détesterais assez M. de la Guerche pour 1414 V| le hais autant que tu le détestes ! dit-elle.~ ~ ~ ~C’était 1415 III| dit Adrienne.~ ~ ~– Ne le détestez plus ! il ne vous épousera 1416 XXVI| Adrienne dont les yeux se détournaient avec horreur de Jean de 1417 XX| affliction. Le Seigneur a détourné Son visage de ma fille, 1418 XXIV| conduisit Magnus, par de longs détours, devant une porte de fer 1419 XXIII| service de Votre Seigneurie détruira ma santé ! dit-il, je ne 1420 XXVI| passaient à Carlscrona et détruisaient la savante stratégie de 1421 XXXIX| anéanti, de la sécurité détruite. Si quelques-uns frissonnèrent 1422 XXIII| du soin d’acquitter les dettes de l’amour-propre. Toutes 1423 | deuxième 1424 XX| prenez garde, je ne le devance pas d’une heure peut-être.~ ~ ~ ~ 1425 XXVIII| plus maigre, plus sec, plus dévasté, plus long et plus blême 1426 XXI| savoir ce que Marguerite deviendra ? s’écria Gustave-Adolphe.~ ~ ~ ~ 1427 XVII| a parcouru ses joues qui deviennent blanches tout à coup. Les 1428 XXXIII| hasard m’a appris que vous deviez passer dans mon voisinage ; 1429 V| mettaient en lumière. On devinait bien vite qu’il avait vu 1430 XXVIII| Mlle de Pardaillan avait deviné quel sentiment elle inspirait 1431 XXIII| ne cherchez pas ! vous ne devineriez point.~ ~ ~ ~Et, d’un air 1432 XV| vous, Marguerite, vous ne devinez rien, vous ne savez rien ? 1433 XXXI| Les lèvres du capitaine devinrent blanches. Arnold de Brahé 1434 XII| disait-il, qu’une si bonne âme devînt la proie de Satan !~ ~ ~ ~ 1435 III| cœur qui l’étouffaient. Que devint-il quand il entendit Renaud 1436 XXXV| approchions du bourg, où nous devions prendre gîte hier au soir, 1437 XXII| le connais.~ ~ ~ ~Ainsi devisant, ils traversaient les bois 1438 XX| ses étendards cette fière devise : Tout pour Dieu et pour 1439 X| salle dans laquelle vous devisiez. « Voilà des indiscrets », 1440 V| plaise que je contrarie tes dévotions ! Mais en quoi, s’il te 1441 XXI| À cette grande œuvre dévouera-t-il sa vie ?~ ~ ~– Ah ! je le 1442 XXXIV| écria Renaud ; dites qu’il devra mettre flamberge au vent 1443 XIV| cette réponse, où et à qui devrai-je m’adresser ?~ ~ ~– Je suis 1444 VI| heures ! reprit-il ; ils devraient être ici. Cet Armand-Louis 1445 XXXVIII| d’Igomer.~ ~ ~– Je vous devrais bien des choses, madame 1446 IX| pourchassés par une légion de diables.~ ~ ~– Qu’est-ce donc ? 1447 XIX| nos eaux ?~ ~ ~– Alors le dialogue de la poudre commence. J’ 1448 XXVI| victime. Ces richesses, ces diamants, ces joyaux de prix, ces 1449 XXIX| en lui tendant une main diaphane qu’il baisa avec respect ; 1450 XXIII| du roi Gustave-Adolphe a dicté pour mettre un frein à la 1451 VIII| Énée s’oubliait auprès de DidonReste donc au colombier, 1452 XIX| la Normandie, atteignit Dieppe et s’embarqua sur un navire 1453 XXVII| tout entière à l’élu de la diète, la Suède avait un voisin 1454 XXXIV| la campagne par un chemin différent. Armand-Louis et Renaud 1455 XII| chevaux d’une robe tout à fait différente. En se divisant en deux 1456 XXXIX| échevins et les chefs des différentes corporations parcouraient 1457 XXII| commettre en personne dans les difficultés d’une aventure scabreuse, 1458 IX| eue de rencontrer de si dignes seigneurs à un cavalier 1459 XVIII| torrent vainqueur d’une digue, le flot des assaillants 1460 XXXIV| une fois par semaine, le dimanche, par exemple, et à l’aide 1461 VI| entendent la messe tous les dimanches.~ ~ ~– Et qui volent tous 1462 XVII| restais enchaîné par vous, que diraient mes frères d’armes ?~ ~ ~– 1463 XXI| fenêtre.~ ~ ~– Ah ! je vous le dirais que vous ne le croiriez 1464 XXXIV| En route à présent ! dirent-ils.~ ~ ~ ~Une heure après, 1465 XVII| j’irai jusqu’au bout. Me direz-vous à moi que vous n’aimez pas 1466 VI| est pas en affaires, il dirige sa course vers une petite 1467 XII| souleva la tête. Mieux dirigé cette fois, le boulet atteignit 1468 XXXIX| Pardaillan et Mlle de Souvigny se dirigeaient vers la porte, toute grande 1469 XXXIII| ville la princesse s’est dirigée ?~ ~ ~– On m’a parlé de 1470 XXVII| outre en outre, vous le diront.~ ~ ~ ~Quelques gentilshommes, 1471 XXXV| bien reconnaissants ! Mais, dis-moi, si mes études géographiques 1472 X| je comptais. Celui-là, me disais-je, sera volontiers mon allié. 1473 XIII| sa discrétion en ne lui disant rien.~ ~ ~– C’est un moyen 1474 II| splendeur effacée par les discordes civiles, mais il employa 1475 XXXVII| trouverons un réduit propre et discret où des estomacs qui n’ont 1476 VI| personne emmitouflée et discrète ; ses coiffes blanches sont 1477 XXXIV| Ce point est acquis à la discussion, répondit Renaud ; la question 1478 XXIV| conditions, reprit-il, je ne discute pas. Voulez-vous être la 1479 XXIII| n’était pas le moment de discuter avec M. de la Guerche.~ ~ ~– 1480 XXIX| fantôme !~ ~ ~– Ceux-là disent qu’elle s’est faite religieuse 1481 XXXII| m’avez crié : « Va-t’en, disparais ! Cet homme est le plus 1482 XXII| pas aux mérites des saints disparaisse promptement ; l’homme mort 1483 XXXII| armée qu’il a réunie soit dispersée, pour que lui-même, errant 1484 V| de la sainte Vierge, nous disperserons leurs armées, nous saperons 1485 VII| pourpoint.~ ~ ~ ~Armand-Louis disposa sa petite armée dans les 1486 XXXVII| flanquaient ce menu qui disposait Frantz à la joie.~ ~ ~– 1487 XXXVII| Frantz se sentait attendri et disposé aux épanchements. Il voulut 1488 XXVII| dévouement, sa noblesse disposée à tous les sacrifices, Gustave-Adolphe 1489 III| excitera-t-il votre courroux… disposez de moi alors : quoi que 1490 XXI| qui des milliers d’ennemis disputaient sa patrie, un roi sans couronne, 1491 III| sans toi ?… Avec qui me disputerai-je ?… Contre qui me battrai-je ?… 1492 I| pas davantage amoureux de disputes théologiques ou friand d’ 1493 XIV| prêtaient leurs clartés. Le disque aminci de la lune courbait 1494 XXXIII| audace de Mlle de Pardaillan dissipait bientôt les inquiétudes 1495 XXXIII| mélancolie l’auraient entièrement dissipé.~ ~ ~– Nous allons à Berlin, 1496 XXVII| nouveau qui en précipitait la dissolution. Pour quelques souverains, 1497 II| pied, il franchissait des distances qui eussent épuisé la patience 1498 XXIII| conversation. Il entendit distinctement ceux de salut et de roi. 1499 XXXI| Je ne fais pas de distinction.~ ~ ~ ~Une expression de 1500 X| qui le seigneur Mathéus distribuait plus de coups de pied que 1501 XXXIX| concitoyens à se bien conduire, et distribuant des éloges à ceux qu’ils 1502 XXXI| encan, pour le prix en être distribué à leurs victimes ! Et toi, 1503 XXX| garnisons, et qu’il faisait distribuer partout des proclamations 1504 VII| les plus déterminés, leur distribuèrent des armes prises dans les 1505 XXXVII| hautes fonctions… J’avais, dit-on, ramé six ans sur les galères 1506 XXXVIII| liberté !~ ~ ~ ~La chose dite, Magnus remonta en selle ; 1507 XXIV| verrez, je vous le jure. Dites-lui alors que le fils du comte 1508 XXIV| pas… il se trompe ! Oh ! dites-moi qu’il se trompe !~ ~ ~ ~ 1509 XXI| sacrifice. Quelques mots dits la veille lui avaient fait 1510 IX| un petit brigand qui fît diversion, lorsqu’en arrivant en Flandre 1511 IX| trop les voyageurs que la divine providence lui envoie… Ma 1512 XV| Telle il n’eût pas rêvé la divinité de ce temple : pâle dans 1513 XII| à fait différente. En se divisant en deux groupes et en confiant 1514 XXXIV| traquer une bête fauve, on se divise, et c’est ainsi qu’on arrive 1515 XXVII| magnifique de Charles-Quint, les divisions nées de la réforme, les 1516 XXXIV| inaperçu. Séparés, nous divisons la surveillance de l’ennemi, 1517 XXXI| banc, grondant comme un dogue.~ ~ ~– Et il ne m’a pas 1518 V| et nous agrandirons nos domaines aux dépens de ces mécréants !~ ~ ~– 1519 XXX| attention ; la curiosité dominait chez Armand-Louis, la colère 1520 XXVI| grondant comme un ours à demi dompté, Jean de Werth s’éloigna 1521 IX| protection ; demain vous serez doña Adrienne d’Albacète y Buitrago !~ ~ ~ ~ 1522 XXIII| considération des peines que tu t’es données, je veux bien t’en offrir 1523 IX| il faudra se battre, je donnerai ma démission. C’est l’heure 1524 XVIII| Armand-Louis :~ ~ ~– Que ne donnerais-je pas, ajouta-t-il, pour que 1525 XXIII| affairé de son complice donnèrent à penser au baron que quelque 1526 XXXVI| il faut s’entraider ; que donneriez-vous à l’honnête homme qui se 1527 XXXVI| écus d’or que vous aurait donnés le baron Jean de Werth, 1528 XXXVI| Dix écus d’or.~ ~ ~– Donnez-m’en vingt, et par bonté d’ 1529 XXVI| Adrienne chancela.~ ~ ~– Donnez-moi deux jours, monsieur, et 1530 II| soupirait.~ ~ ~– Si nous leur donnions encore vingt-quatre heures ? 1531 XV| pleins d’un vin d’Espagne doré et des corbeilles qui plient 1532 IX| ses lèvres dans la liqueur dorée de la Champagne et des coteaux 1533 XXXIX| Les deux cousines étaient dorénavant sous la protection de Gustave-Adolphe.~ ~ ~ ~ 1534 XIII| une déesse, des cheveux dorés par un rayon de soleil et 1535 V| ne prends pas garde. Tu dormais à la Grande-Fortelle et 1536 IX| Frappez toujours ! les reîtres dorment ! répondit Carquefou.~ ~ ~ ~ 1537 XXXVIII| Bien ! Alors, ne dormez que d’un œil cette nuit, 1538 VI| reprit maître Hans, il ne dormirait pas tranquille s’il ne l’ 1539 XIV| répondit le plus grand, nous y dormirons ; une nuit est bientôt passée 1540 IX| ayant soin de doubler la dose.~ ~ ~– Ah ! si l’empereur 1541 IX| qui lui seront remis en dot ; donc M. le comte de Pappenheim 1542 XXIV| le nombre des sentinelles doublé. Arnold se promenait lentement 1543 IX| consciencieusement, en ayant soin de doubler la dose.~ ~ ~– Ah ! si l’ 1544 XIII| sentant sous ses doigts la doublure de ses hauts-de-chausses, 1545 XIII| la jeunesse en sa fleur, douces conversations qui semblent 1546 X| Péters le suit, et tout doucettement il fait retomber la trappe 1547 IX| eu la délicatesse de me douer d’une figure si niaise, 1548 XXIX| terrible ! Puissent les douleurs du sacrifice m’avoir épurée ! 1549 XXXIII| consoler… Mais laissons là ces douloureux souvenirs : parlez-moi de 1550 XXIII| forme lui échappa. Il ne douta plus que ce ne fût une mission 1551 XXVIII| que M. de Pardaillan se doutât que M. de Chaufontaine aimât 1552 XXX| Par hasard, monsieur, douteriez-vous de la victoire ? dit-il.~ ~ ~ ~ 1553 XX| y est-il encore ?… c’est douteux.~ ~ ~– Vous l’appelez ?~ ~ ~– 1554 XX| oui !~ ~ ~– Alors, n’en doutons plus, c’est lui qui a dépêché 1555 VI| Pappenheim des bords de la douve à demi comblée, où à toute 1556 V| arbres ombrageaient les douves du château. Un mouvement 1557 XXIV| tête tranchée avant que le douzième coup ait sonné ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– 1558 XXX| sommes descendus ! dit un dragon.~ ~ ~– L’île d’Usedom a 1559 XX| Gothembourg un honnête marchand drapier, mais il me souvient que 1560 XXIII| lorsqu’il vit tout à coup se dresser devant lui quatre fantômes 1561 X| raisonnement, et vida ses drogues dans un petit sac de toile 1562 VIII| parent qui a sur vous plus de droits que moi ; mais, riche, l’ 1563 XXXVII| sérieusement des choses les plus drôles !~ ~ ~– C’est que je me 1564 XIII| dissimuler. S’il jetait un ducat d’or à un palefrenier qui 1565 XXXII| faire porter la couronne de duchesse à celle-là ! Sa naissance 1566 XVI| hospitalité qui lui est due, consultez votre cœur, il 1567 XXIII| un frein à la fureur des duels. Si cependant quelque maladroit 1568 XXVIII| Cette nouvelle épreuve dura bien quinze jours. Mais 1569 XXXIV| endurcir dans le mal, et dût le sacré collège en mourir, 1570 XVIII| armée, des pierreries à éblouir un conclave ; et moi, je 1571 VII| valetaille. Cette magnificence éblouissait les laquais.~ ~ ~« Ma garnison 1572 V| auprès de ce grand seigneur, éblouissant, plus brillant qu’une châsse 1573 XXVI| morte, on la vit tout à coup éblouissante de jeunesse et de vie. Elle 1574 XXV| élan.~ ~ ~ ~Une sorte d’éblouissement venait de saisir M. de la 1575 XXXIX| détonations successives ébranlaient les vieilles maisons de 1576 XVIII| où les troupes royales, ébranlées un instant par une attaque 1577 VI| encore ! je n’aime pas à ébrécher les épées inutilement. Si 1578 VIII| narines, de tarasques armées d’écailles et de griffes, et c’est 1579 V| Les deux glaives écarlates qui prolongeaient leurs 1580 XVIII| imbécile, et réponds au lieu d’écarquiller tes yeux ! Ah ! le coquin !… 1581 IX| Merci, dit Adrienne en écartant le bijou.~ ~ ~– Gardez vos 1582 XVII| main impétueuse qui les écarte ; Renaud a posé le pied 1583 XXIII| puis vous l’accorder sans m’écarter des règles de la discipline, 1584 XVIII| Guerche et sa bande fidèle s’écartèrent.~ ~ ~– Feu ! dit-il.~ ~ ~ ~ 1585 XIX| suivait le conduisit par une échancrure de la falaise à un cabaret 1586 VIII| désir de mordre au gâteau. J’échange une demi-douzaine de coups 1587 XXXIX| est avis que nous avons échangé notre souricière contre 1588 XVII| Adrienne et Armand-Louis échangeaient un dernier adieu. Vingt 1589 XXVIII| dit.~ ~ ~ ~Ces confidences échangées mirent M. de la Guerche 1590 XXXVIII| avec lequel il venait d’échanger un léger signe de tête, 1591 XXXI| plaine les fumées qui s’échappaient du camp suédois.~ ~ ~ ~Un 1592 XII| autres encore accoururent, s’échappant des ruelles voisines.~ ~ ~ ~ 1593 XX| fallait qu’un jour ce secret m’échappât !… J’attendrai mon père… 1594 XIV| se trouvait, et par une échappée, on distinguait la porte 1595 XI| officiers wallons tout récemment échappés de l’armée de Tilly. Carquefou 1596 XXVII| vaincre ! s’écria Renaud qui s’échauffait et qui n’entendait pas raillerie 1597 IX| salle.~ ~ ~– La terreur échauffe mon cerveau, dit-il, permettez-moi 1598 XXV| poussière et de boue, pâle, échevelé, le front sanglant, cet 1599 XV| bonnet à la main, courbant l’échine et saluant à chaque pas.~ ~ ~– 1600 XV| bougies de cire parfumée éclairaient cette chambre toute remplie 1601 XVII| attitude ! Mais le sourire n’éclaire pas sa bouche et son visage, 1602 XXVIII| nuit des incendies pour éclairer le paysage. Ma foi, quand 1603 VIII| heures, envoya Carquefou en éclaireur pour s’assurer que M. de 1604 XXXI| apprendre qu’un parti d’éclaireurs, commandé par un capitaine 1605 VII| colère qui le travaillait éclata.~ ~ ~– Maître Hans, cria-t-il, 1606 IX| poignets, jamais bijoux plus éclatants n’avaient mêlé leurs feux 1607 XX| difficiles que la Providence fait éclater sa toute-puissance.~ ~ ~– 1608 XXII| l’homme mort ou l’homme éclipsé, il y aura mille pistoles 1609 V| tout ce qu’on apprend aux écoles, dit-il ; il vous manque 1610 XXXI| glané seulement.~ ~ ~ ~L’économe tavernier et le capitaine 1611 XXVIII| service de la bonne cause, n’économisez pas.~ ~ ~ ~De retour au 1612 I| graver deux lettres sur l’écorce fragile d’un bouleau, comme 1613 IX| un honnête chrétien qui n’écorche point trop les voyageurs 1614 XXX| jour ; le lendemain je l’ai écorché et lui ai pris cent pistoles.~ ~ ~ ~ 1615 XXVII| Livoniens, des Anglais, des Écossais, des Hollandais, des Allemands, 1616 XXX| chevau-léger des bandes écossaises.~ ~ ~ ~Les chevau-légers 1617 XIII| généraux ; le torrent ne s’écoulait jamais. Parmi ces visiteurs, 1618 XXIV| d’elle, comme le sang s’écoule d’une blessure, goutte à 1619 XXXV| nombre de jours pouvaient s’écouler avant qu’il fût mis au courant 1620 XXIX| occupations et quelles fêtes s’écoulèrent les derniers jours qui précédaient 1621 XVII| murmura-t-il.~ ~ ~ ~Mme d’Igomer écouta immobile et muette, la main 1622 XXIV| terrible ; mais si je l’écoutais, que deviendrait l’armée 1623 XXVI| savoir ce qui se passait. En écoutant M. de la Guerche, il se 1624 XIII| que Mlle de Souvigny avait écouté. Le lendemain, il brûlait 1625 XVIII| la voix de l’honneur est écoutée la première. Si je ne dois 1626 XXIV| pouvait à peine se soutenir, j’écouterais peut-être la pitié si je 1627 XXIV| et de trois cents chevaux écrasant les pierres du chemin.~ ~ ~ ~ 1628 XXVII| à travers les provinces écrasées, des chefs d’armées comme 1629 XXVII| religieux. Les souverains écrasés et l’Allemagne soumise tout 1630 XVIII| Ta volonté soit faite ! s’écrie-t-il.~ ~ ~ ~Puis, assurant son 1631 XXXIII| Quinze jours ! s’écrièrent à la fois Adrienne et Mlle 1632 XVI| sont une mauvaise affaire ; écrites par des amis, ce sont des 1633 XXV| appuyait son doigt sur les mots écrits par Marguerite.~ ~ ~– Ah ! 1634 XI| caisses et ballots. Un homme écrivait sur ses genoux, à l’ombre 1635 III| Adrienne.~ ~ ~ ~Armand-Louis écumait de colère. Il saisit au 1636 XIX| font tous ses confrères les écumeurs de mer ; il hisserait un 1637 XI| au-dessus de la porte, un large écusson sur lequel on voyait, taillées 1638 II| vie avec le poids des deux écussons des la Guerche et des Charnailles 1639 I| paraissaient d’une éloquence édifiante, et il les récitait aux 1640 XXIII| à mort, dit-il. C’est un édit que la sagesse du roi Gustave-Adolphe 1641 XVII| château de Saint-Wast s’effaçaient derrière un rideau de sapins.~ ~ ~ ~ 1642 XXVII| que la griffe du diable n’effacerait pas en cent ans, ajouta 1643 XIII| ai maintes fois éprouvé l’efficacité.~ ~ ~– Si cet homme sûr 1644 XX| à lame d’acier, courte, effilée et tranchante.~ ~ ~« Voici 1645 IX| leurs feux sur ses doigts effilés ; il en faisait nonchalamment 1646 X| homme.~ ~ ~ ~Un pâle sourire effleura les lèvres de Mathéus, il 1647 VII| Adrienne et que sa main effleurait tous les jours.~ ~ ~– Qu’ 1648 VI| Une chouette dont l’aile a effleuré la vitre ! murmura-t-il, 1649 XIX| vous demande la faveur d’effleurer de ses lèvres vos joues 1650 XXXIX| murs écroulés, ces toits effondrés étaient pour eux l’image 1651 XVII| qui jusqu’alors s’était efforcé de garder une attitude calme 1652 XXV| de l’échafaud. Un silence effrayant régnait partout.~ ~ ~ ~En 1653 XXIV| galerie la tête haute, Diane, effrayée de l’air de triomphe répandu 1654 XIII| Hercule-coupe-tête a fait ce que l’effroyable Calvin, ton ami, n’aurait 1655 XIII| Mlle de Souvigny tous les égards qu’elle mérite, celui-là 1656 XIV| un gentilhomme et me suis égaré, répondit Armand-Louis ; 1657 I| un maître italien pour s’égarer dans un bois ; et si quelqu’ 1658 VI| châteaux ; cela réchauffe et égaye le soldat.~ ~ ~– C’est mon 1659 XVIII| un reste d’incendie ; les églises, toutes portes ouvertes, 1660 XIII| font sourire dans leurs églogues ; sérieuse, c’était une 1661 VIII| ces réjouissances ; mais l’égoïsme n’est point mon fait : j’ 1662 XXXIX| porte et fit feu ; la balle égratigna la terre derrière les fugitifs 1663 XI| de moins en moins vite, élargissant toujours davantage l’espace 1664 XVIII| chancelle ; les brèches s’élargissent, le travail d’une nuit suffit 1665 XIX| Le repos avait rendu l’élasticité à ses membres, la chaleur 1666 XXXVI| frappait la terre d’un pied élastique et régulier, Magnus réfléchissait. 1667 XX| force margraves et force électeurs sans sou ni maille et sans 1668 XXXII| pas qu’il soit maître de l’Électorat comme de la Poméranie ; 1669 XXXIX| éprouvèrent une sorte de commotion électrique. Pâles et les yeux, humides, 1670 XV| miroirs de Venise, toutes les élégances mariées à tous les luxes. 1671 XXVII| murmure d’approbation s’éleva du milieu de l’assemblée.~ ~ ~– 1672 XXXIX| bruyantes acclamations s’élevaient sur leur passage. La foule 1673 XXXIX| Sudemburg ; quelques nuages s’élevant aux endroits où les blocs 1674 XXX| nouvelle de dignité et d’élévation.~ ~ ~ ~Une heure après, 1675 XXII| arrêtent les petites gens. Élevé à l’école du terrible comte 1676 XXVIII| Suédoise par une Hollandaise élevée dans l’erreur. Hélas ! le 1677 XXV| ouvriers qui travaillaient à élever un échafaud devant la prison 1678 I| peuvent être deux braves gars élevés dans la pleine liberté des 1679 IX| faisait un si magnifique éloge avait un grand visage maigre 1680 XXXIX| conduire, et distribuant des éloges à ceux qu’ils voyaient déjà 1681 XIV| sortirent de leur cachette et s’éloignèrent à grands pas.~ ~ ~« Ce sont 1682 XIII| besoin de s’ouvrir pour être éloquente, le cou d’une déesse, des 1683 V| Hercule-coupe-tête sont des élus que j’ai inventés ces temps 1684 XIX| Normandie, atteignit Dieppe et s’embarqua sur un navire hollandais 1685 XXVIII| étonner Diane ; mais rien n’embarrassait Renaud.~ ~ ~– J’ai lu dans 1686 XII| nageurs ; deux ou trois, embarrassés dans leurs armes et les 1687 XXII| force visages balafrés embellissaient ce séjour où des servantes 1688 XVII| silencieux, sa poitrine embrasée se gonfla :~ ~ ~– Oh ! oui, 1689 XV| embrassez-moi donc comme un frère embrasse sa sœur… je veux emporter 1690 X| présente mes deux épées ; ils m’embrassent, et, pour fêter ma bienvenue, 1691 XVIII| contre épée, ils se sont embrassés.~ ~ ~– N’épargne pas plus 1692 XXXIII| Et vous, dit-elle, ne m’embrassez-vous pas ?~ ~ ~ ~Ses yeux avaient 1693 VI| Tu pourrais donc nous embusquer, si besoin était, dans le 1694 XXXVII| de Werth se propose de l’emmener ?~ ~ ~– Naturellement. Cloîtrée, 1695 XXII| dans toute la salle.~ ~ ~– Emmenez ce drôle ! dit le sergent.~ ~ ~– 1696 VI| Carquefou, c’est une personne emmitouflée et discrète ; ses coiffes 1697 IV| Renaud combattait à armes émoulues contre Carquefou qu’il assommait 1698 V| la pointe et le tranchant émoussés.~ ~ ~– Un duel à armes courtoises, 1699 XXVI| on ne parvenait pas à l’émouvoir indifférent, qu’était-ce 1700 XIX| esprit du mal semble s’être emparé de toutes les âmes, poursuivit 1701 III| une terreur folle s’est emparée de moi. Un mot de M. de 1702 XII| sont promis à quiconque s’emparera des assassins, morts ou 1703 IX| sont pas sur leurs gardes, emparons-nous de leurs chevaux, et ouvrons-nous 1704 XVI| Cette réflexion ne l’empêcha pas de choisir un excellent 1705 IV| de ces bêtes enragées m’empêchaient de fermer l’œil ; je tremblais 1706 XXXIX| grignoter.~ ~ ~– Et qui vous empêche de chercher le repos en 1707 XX| qu’on croyait habiles, s’empêtraient ; et, chose curieuse, ce 1708 II| Une métairie occupait l’emplacement du donjon. Telle quelle 1709 X| avec Dominique pour faire emplette de deux épées chez un armurier, 1710 XXXII| des grands seigneurs qui l’emploient ? J’interroge, j’écoute 1711 XXIV| moi, et je vous jure que j’emploierai toutes mes forces à sauver 1712 XXXVI| si bien réussir, vous les emploierez également à l’égard de quatre 1713 XXXVII| mérite, m’ont retenu dans les emplois subalternes, alors que mon 1714 II| discordes civiles, mais il employa toutes ses ressources à 1715 I| singuliers. Le temps qu’ils n’employaient pas à se rendre de petits 1716 XIV| occupait.~ ~ ~ ~Pétrus, qui s’employait à réparer les traits coupés 1717 II| engraissait guère, bien qu’elle employât toutes les heures et toutes 1718 XXVIII| négligea désormais de s’employer à me guérir.~ ~ ~– Ces dames 1719 I| perversité de ton âme est telle, empoisonnée qu’elle est par le souffle 1720 XXIV| plus ; Gustave-Adolphe n’emportait-il pas la vie de M. de la Guerche 1721 XXIX| fleur, et livré à tous les emportements de la jeunesse et de l’amour. 1722 XXVI| votre flanc ce nœud que vous emportez ?~ ~ ~– Je le jure, et j’ 1723 XXV| du coup qui vous frappe, emportez-la tout entière. J’ai entendu 1724 XXXIII| Je veux que vous emportiez un bon souvenir de ma bicoque, 1725 XXIV| attentivement ; le désespoir empreint sur ce visage mâle et balafré 1726 XV| méditation grave y laissa son empreinte.~ ~ ~ ~Marguerite, la tête 1727 XIII| la Guerche. Ses manières, empreintes d’insolence et d’ostentation, 1728 XVII| sa bouche et son visage, empreints alors d’un caractère singulier 1729 IX| cavalier se montra galant et empressé pour Adrienne, beau causeur 1730 XXX| comte de Mansfeld qui s’empressent d’accourir dans nos rangs. 1731 XXXIV| morion d’acier, les jambes emprisonnées dans de longues bottes de 1732 XXIII| perdre du doux spectacle de l’emprisonnement, et, se couchant à plat 1733 IX| sont vos épées que j’ai empruntées pour leur être agréable. 1734 XXXIX| les plus jeunes, pâles, émues, tremblantes, mais déterminées 1735 XXIV| vue de Mlle de Souvigny l’émut ; il la releva.~ ~ ~– Rien 1736 VI| capitaine Jacobus en est énamouré, reprit maître Hans, il 1737 XIX| était plus qu’à quelques encablures du vaisseau ; la houle, 1738 VI| silhouette noire dans cet encadrement de feu ; l’une d’elles jeta 1739 XXXI| bagages soient vendus à l’encan, pour le prix en être distribué 1740 XIII| semblait-elle pas à lui et comme enchaînée à sa vie par des liens indestructibles ? 1741 V| manquait de logique. Il y a l’enchaînement des choses auquel tu ne 1742 XVII| jamais ! le mot qui doit m’enchaîner pour la vie, nulle autre 1743 XXVII| jusqu’alors les avaient enchaînés à la cour de Rome, et de 1744 XXVIII| la musique. Puisque aucun enchanteur ne me vient en aide, je 1745 XI| chevaux chargés de légumes encombraient la route et s’enfonçaient 1746 XXVII| au droit d’examen et un encouragement à la révolte. Le même effort 1747 XVI| je croyais qu’un danger encouru par vous pouvait seul remplir 1748 XIII| odyssée qui, malgré les périls encourus, avait laissé dans son cœur 1749 XXXIX| et la barbe noire comme l’encre.~ ~ ~– Ah ! le traître !~ ~ ~ ~ 1750 XXVII| reprenait un autre.~ ~ ~– Un endiablé ligueur !~ ~ ~– Il était 1751 II| hameau au moment où une bête endiablée s’était ruée sur les troupeaux 1752 XXVIII| qui faisaient rage ! On s’endormait au bruit de la fusillade, 1753 XXXVI| qui ne permet pas qu’on s’endorme en route ! dit Magnus.~ ~ ~ ~ 1754 VI| un regard sur la campagne endormie ; parfois aussi ses yeux 1755 X| un désert ! La moitié s’endort, un quart ronfle, le reste 1756 III| une hache, un poignard ; j’endosserai une cuirasse, et tel que 1757 XXXIV| Ah ! je jure bien de m’endurcir dans le mal, et dût le sacré 1758 I| la Guerche, pareil à cet Endymion pour lequel une déesse descendit 1759 VIII| ton cœurTel, autrefois, Énée s’oubliait auprès de Didon… 1760 XVI| À toi l’ami de mon enfance, le compagnon de ma jeunesse, 1761 XIV| fond d’une crique, et s’enfermer dans un cabinet qui n’avait 1762 V| Un mouvement d’orgueil enfla ses narines :~ ~ ~– Ah ! 1763 XVIII| petit-fils, hâve, le regard enflammé, noir de poudre, le vieux 1764 XXIX| bouche en bouche, elles enflammèrent quiconque tenait une épée, 1765 XVII| Par moments, sa poitrine s’enfle et des rougeurs subites 1766 XIII| de quitter une oasis et s’enfonce dans les sables arides du 1767 XIV| Armand-Louis d’un coup d’épée enfoncée en plein corps, fit rouler 1768 IX| cette fenêtre, un autre enfoncera bientôt cette porte ; comment 1769 XXIII| de sa main avant de les enfouir dans les profondeurs ténébreuses 1770 XXX| faire du mal ! ce qui l’engage à s’en aller, poursuivit 1771 X| moment où les deux fers s’engageaient, Mathéus, évitant la rencontre, 1772 IX| meilleurs chevaux, comme s’il m’engageait à les prendre. Ah ! les 1773 V| réformée lèvent des troupes, engagent des capitaines, fortifient 1774 XXXIX| conçu des soupçons, et l’engagèrent à redoubler de surveillance. 1775 XXIII| déjà les deux fers étaient engagés.~ ~ ~– Tu vas voir comme 1776 XX| caractère d’intimité que n’engendrent pas toujours les plus longs 1777 V| là une belle collection d’engins de bataille, reprit-il froidement.~ ~ ~« 1778 XIX| poussé par les lames qui l’engloutissaient sous leurs volutes écumantes, 1779 XIX| nous tue pas, l’eau nous engloutit.~ ~ ~– Précisément. C’est 1780 XXIV| roi, avec son escorte, s’engouffra sous la voûte où les cavaliers 1781 V| ramassant l’épée que la main engourdie de son antagoniste n’avait 1782 VI| pour rafraîchir ses idées engourdies par le sommeil ; le soir, 1783 II| pour le moins ; la mule n’engraissait guère, bien qu’elle employât 1784 XXVIII| Carquefou, qui avait presque engraissé, je m’acheminai vers Paris. 1785 III| le parfum des fleurs plus enivrant, le souffle de la brise 1786 XXIX| calviniste en présence des enivrantes promesses de la gloire et 1787 XXXIX| depuis si longtemps attendue. Enivrée d’une joie fiévreuse, elle 1788 XXXIX| un hurlement sauvage et enjamba la fenêtre.~ ~ ~ ~Magnus 1789 XXVII| Armand-Louis, qui se mit à enjamber les bancs pour venir en 1790 XIV| endroit où le cheval s’était enlevé, un objet brillant qu’un 1791 XIII| clin d’œil elles furent enlevées.~ ~ ~– Mon cher de la Guerche, 1792 XXXIX| Werth.~ ~ ~ ~Les soldats s’enlevèrent, mais les sangles se brisèrent 1793 XI| royaume de France, des mains ennemies l’entraînassent loin de 1794 XXXIII| essaierai d’en adoucir les ennuis, reprit Thécla.~ ~ ~ ~Et 1795 VIII| un matin, Renaud, qui s’ennuyait, n’ayant plus personne à 1796 XXVI| Chaque heure, chaque minute l’enracinait davantage dans ce désir.~ ~ ~– 1797 XVIII| bon catholique qu’il est enragé huguenot ! Si tu sais où 1798 II| encore rencontré de bête enragée ou de bandit en armes capables 1799 IV| hurlements de ces bêtes enragées m’empêchaient de fermer 1800 II| au métier des armes qu’il enrégimenta plus tard les petits huguenots 1801 II| Mlle de Souvigny pouvait s’enrhumer.~ ~ ~– Restons, puisque 1802 XXIII| Voilà donc pourquoi tu t’enrouais à crier : « Bas les armes ! » 1803 VIII| large pan de forêt, une voix enrouée retentit au loin. Il semblait 1804 VI| Il saisit la corde et l’enroula autour d’une poutre qui 1805 XXI| Les bras de l’enfant s’enroulèrent autour du cou du vieillard.~ ~ ~– 1806 XXXVI| dont la figure était tout ensanglantée. L’homme jurait comme un 1807 II| lui était confié, et lui enseigna, plus encore par son exemple 1808 II| offert de bon cœur, ils enseignaient volontiers ce qu’ils savaient 1809 XXXIII| voulu renoncer au monde, m’ensevelir vivante dans un tombeau1810 XIV| être pas le plus fort, s’ensuivrait nécessairement. Il fallait 1811 XXXVII| coquin ! marmotta Magnus qui entaillait la table avec la lame de 1812 XVIII| poudre sur lesquels il avait entassé des madriers, des débris 1813 XXXIX| communiquer le feu étaient entassées au fond des caves dont on 1814 VI| d’honnêtes soldats qui entendent la messe tous les dimanches.~ ~ ~– 1815 XV| première fois que vous l’entendez ? demanda Marguerite.~ ~ ~ ~ 1816 XXXII| cœur battait quand vous entendiez son pas léger. Que d’efforts, 1817 XIII| Suède…~ ~ ~– Nous ne nous entendons pas. Le roi maître est suédois 1818 XVII| oreille que la vôtre ne l’entendra, je vous le jure. Partez 1819 XXXVIII| sonnent, ni toi ni moi n’en entendrons le bourdonnement ! grommela 1820 XXVIII| avait comme une sorte d’entente silencieuse entre Diane 1821 IV| gentilhomme ; mais il s’entêtait, et, chaque jour vaincu, 1822 XXXVI| poursuivit-elle, un vieil écuyer qui s’entête à ne pas les quitter malgré 1823 XXIX| la saluait de ses adieux enthousiastes. Il semblait que la victoire 1824 XXII| enfonçait tout à coup dans l’entonnoir d’une poche ouverte au flanc 1825 VI| glisse, on y attrape des entorses.~ ~ ~– C’est une méprise, 1826 XIV| le fil de sa dague et s’entourant de sa cape comme d’un bouclier, 1827 II| Guerche, aimée, choyée, entourée de ces mille tendresses 1828 II| incertains : on ne pouvait s’entourer de trop de précautions pour 1829 XXXVI| entre camarades, il faut s’entraider ; que donneriez-vous à l’ 1830 XXIII| entouraient Armand-Louis et l’entraînaient.~ ~ ~ ~Frantz Kreuss profita 1831 XXXIX| vers lequel Mme d’Igomer entraînait Mlle de Souvigny et Mlle 1832 XI| France, des mains ennemies l’entraînassent loin de lui ? Certainement 1833 XXIV| que M. de Pardaillan eut entraîné Mlle de Souvigny qui pouvait 1834 XXIV| Souvigny ? dit Arnold en entrant.~ ~ ~– C’est moi, monsieur, 1835 XV| jambon appétissant qu’on entremêlerait de conserves, on pourrait 1836 XXIII| pas.~ ~ ~– Ainsi ceux qui entrent dans cette prison n’en sortent 1837 XVIII| plus forte que toi ? Je n’entreprendrai pas de vaincre votre résistance, 1838 XII| Voilà un huguenot que j’entreprendrais de convertir si j’en avais 1839 XXIV| pas de ces chevaliers qui entreprennent de courir les aventures 1840 XVIII| signa.~ ~ ~ ~Deux soldats entrèrent, dépouillés de leurs armes, 1841 VIII| d’Armand-Louis.~ ~ ~– Tu entres dans la vie aujourdhui, 1842 VI| rappelant :~ ~ ~– Vous êtes entrés tous deux, je crois, par 1843 XIII| abandonnaient à ces charmants entretiens, musique enchantée de la 1844 XV| la maison blanche qu’on entrevoyait vaguement à travers les 1845 VI| ceux qu’Armand-Louis avait entrevus se glissant sous les futaies.~ ~ ~– 1846 XVII| Chaufontaine, votre femme, que vous entriez !~ ~ ~ ~Renaud tressaillit. 1847 III| Si la terre s’était entrouverte devant Armand-Louis, il 1848 XXXIII| du ciel ; un bon sourire entrouvrait ses lèvres roses.~ ~ ~– 1849 V| aurait désiré que la terre s’entrouvrît sous ses pieds ; mais déjà 1850 XXX| îles prises, une province envahie, une ville qui se rend, 1851 III| sentait les flots de la haine envahir son cœur. Pour la première 1852 XXV| de la ville, et la foule envahit les abords de la petite 1853 XXIX| regardait en silence, et, s’enveloppant dans son voile :~ ~ ~– Adieu, 1854 XVI| présence. Déchirez vous-même l’enveloppe.~ ~ ~ ~Jean de Werth prit 1855 XV| dit-il.~ ~ ~ ~Une femme tout enveloppée de voiles blancs et à demi 1856 XIV| il aperçut trois hommes enveloppés de grands manteaux qui se 1857 XXXIV| plus favorisé du hasard enverra prévenir les autres de sa 1858 XIX| couleur n’y fait rien, et nous enverrait un coup de canon, un premier, 1859 XXIX| avec moi ! répétaient à l’envi trente mille voix toutes 1860 XXXII| que tant de personnes vous enviaient, la main du roi tomba sur 1861 XIX| cale. Après ?~ ~ ~– Ils lui envoient deux boulets dans la coque, 1862 XII| profonde du brouillard qui s’envolait.~ ~ ~ ~Mlle de Souvigny 1863 XXIX| baronne d’Igomer ne s’est pas envolée comme un fantôme !~ ~ ~– 1864 XXIX| bandes que la Suède eût envoyées autour du roi, elle se tourna 1865 XVIII| pointées contre le mur, elles envoyèrent leurs boulets par-dessus 1866 XXXI| une allée en pente que d’épaisses broussailles défendaient 1867 VI| sembla distinguer, dans l’épaisseur des futaies, le bruit d’ 1868 XIX| hollandais. Si l’ombre ne s’épaississait pas à vue d’œil, il nous 1869 XXXVII| attendri et disposé aux épanchements. Il voulut par un aveu obtenir 1870 V| Grande-Fortelle. Renaud s’épanouissait d’aise.~ ~ ~– Et tu dis 1871 XI| serpent !~ ~ ~– Vous m’avez épargné ; un avis, à présent : ne 1872 XVIII| étourderie, imitez-le ; vous m’épargnerez la peine de faire décapiter 1873 XXXIII| blessure saigne encore… épargnez-moi. J’ai voulu renoncer au 1874 XVIII| dort la moitié du jour ou s’éparpille en maraude. À midi, nous 1875 XXXIX| Magdebourg, quelques bandes éparses d’Impériaux se faisaient 1876 XXXIX| s’empara d’un mousquet, épaula et fit feu, comme Jean de 1877 XXIV| sommet du perron, botté et éperonné.~ ~ ~ ~Magnus voulut fendre 1878 I| qui, armés de lignes et d’éperviers, livraient bataille aux 1879 II| dessèche et meurt un jeune épi brûlé par le soleil.~ ~ ~ ~ 1880 XVIII| une eussent été en pain d’épice et les canons de l’autre 1881 XXXV| préoccupation, s’étonnait de cette épidémie qui sévissait sur les Suédois 1882 XXIX| petits frémissements sous l’épiderme.~ ~ ~– Cependant la baronne 1883 XXXII| ses démarches, je les épierai ; ses entreprises, j’en 1884 III| marquis toujours prompt à l’épigramme ; parce qu’il a une cousine 1885 II| en raconter les lointains épisodes, et cette histoire glorieuse 1886 I| Galaor et les chevaleresques épopées d’Amadis des Gaules.~ ~ ~ ~ 1887 XXIV| tu le connais bien ! je l’épouse ! s’écria-t-elle.~ ~ ~– 1888 III| se mit à sangloter.~ ~ ~– Épouseras-tu toujours Mlle de Souvigny ? 1889 XXXVIII| violentes, cet excès de haine l’épouvanta. Qu’était devenue alors 1890 XXXII| sincèrement ou non, vous étiez épris de la princesse Eléonore, 1891 XXVIII| Pays-Bas pour assainir mon âme éprise d’une hérétique. J’essayai 1892 XXVIII| force coups.~ ~ ~ ~Diane éprouva un rapide frisson ; mais 1893 XXXIX| leur courage et la solidité éprouvée de leurs remparts, s’apprêtèrent 1894 XXXIX| Ces deux cœurs robustes éprouvèrent une sorte de commotion électrique. 1895 XIII| et cuisants qu’il avait éprouvés lors de la visite de M. 1896 XXIV| prisonnier. Mlle de Souvigny s’épuisa en vaines supplications. 1897 XIX| coups de griffes, écume et s’épuise en efforts inutiles.~ ~ ~ ~ 1898 XXIX| douleurs du sacrifice m’avoir épurée ! Puissé-je avoir mérité 1899 IV| mathématicien qui déjeune d’équations et soupe de logarithmes 1900 XXI| animerez de votre exemple les équipages choisis par vous ; je prierai 1901 XXIX| armée, admirablement bien équipée et pourvue d’une nombreuse 1902 XXVIII| besoin de chevaux, d’armes, d’équipements, de munitions, tout ce qu’ 1903 XXI| les Danois, dit-il ; j’en équiperai plus encore pour la défense 1904 XXI| plus agiles et les mieux équipés de la flotte.~ ~ ~ ~Sans 1905 I| escrime, à la chasse, à l’équitation. On disait de Renaud que 1906 XXII| chargé de passementeries éraillées. Il avait le regard louche, 1907 IX| prenais don Gaspard pour un ermite déguisé en capitaine ! moi 1908 III| alors qu’on vit Armand-Louis errer autour de la Grande-Fortelle 1909 XII| de l’amener à abjurer ses erreurs.~ ~ ~– Ce serait dommage, 1910 XVIII| cercueil reposait sur deux escabeaux. La planche n’était pas 1911 VI| fille, forcer une porte, escalader un mur ; peut-être un étourdi 1912 XXXVII| Igomer avait assez lestement escamoté les deux demoiselles, mais 1913 IX| mon coup d’essai, je dois escamoter vos épées et les remplacer 1914 XIII| contre une armée.~ ~ ~« L’escarmouche est jolie, pensait-il, la 1915 I| montrait pas si prompt aux escarmouches que son adversaire M. de 1916 XVI| amis, ce sont des coups d’escopettes dirigés contre notre argent, 1917 XVIII| officier courait par la ville escorté d’un grand cavalier qui 1918 VI| désarmer la garnison ; mes gens escorteront la demoiselle.~ ~ ~– Après 1919 XXIV| dans ces alternatives d’espérances vagues et de crainte menaçante. 1920 VIII| honneur. Avait-il jamais espéré une mission si haute ? N’ 1921 XXIV| le sauve, lui ? Oh ! ne l’espérez pas ! l’amour que vous avez 1922 IX| insisté, et, pour mon coup d’essai, je dois escamoter vos épées 1923 XXXIII| s’écria Diane.~ ~ ~– J’essaierai d’en adoucir les ennuis, 1924 XVIII| la batterie. Bientôt un essaim d’officiers, l’épée haute, 1925 XXVIII| éprise d’une hérétique. J’essayai même de combattre l’hérésie 1926 XVIII| Pardaillan, reprit-il ; essaye de savoir si elle se souvient, 1927 XXXVI| entreprendre cette course, essayez. Je ne tiens nullement à 1928 XXIII| Cependant Magnus tout essoufflé accourait du bout de l’avenue.~ ~ ~– 1929 II| l’écuyer.~ ~ ~ ~L’écuyer essuya le coin de ses yeux.~ ~ ~– 1930 XXXVI| en face le blessé qui s’essuyait le front :~ ~ ~– Vingt écus 1931 XIV| étais-tu ? disait-il en essuyant son épée dans des touffes 1932 VII| pouvait sortir du château sans essuyer le feu de cinquante mousquets. 1933 III| antagoniste un coup si furieux d’estoc que M. de Chaufontaine en 1934 XX| lesquels je n’aie marché, pas d’estocades que je ne puisse rendre.~ ~ ~– 1935 XXXVII| propre et discret où des estomacs qui n’ont rien sur la conscience 1936 II| fossés à demi comblés, les étables adossées contre les remparts, 1937 XIII| ce qu’on lui tînt tête. Établi en Suède depuis un grand 1938 XXII| sans être remarqué, dans un établissementbon nombre de gens dépenaillés 1939 XXVIII| c’est par là que toutes établissent qu’elles sont issues de 1940 XIV| Ah ! pauvre Renaud, où étais-tu ? disait-il en essuyant 1941 XIII| châteauJean de Werth étalait sa magnificence aux yeux 1942 XXIV| de temps !~ ~ ~ ~Magnus étancha avec un mouchoir le sang 1943 IX| desquelles ces messieurs étanchent leur soif. Ces cruches vides, 1944 I| bataille aux brochets d’un étang et l’invitaient à partager 1945 II| seule pensée des longues étapes qu’il avait à fournir.~ ~ ~ ~ 1946 XXV| serraient comme dans un étau.~ ~ ~ ~Le roi fit un signe 1947 IX| gisaient sur la paille, l’œil éteint, les flancs agités.~ ~ ~– 1948 XIX| eau ! dit-il. Si Dieu n’étend pas Sa main, priez !~ ~ ~ ~ 1949 XI| Les ombres de la mort s’étendirent sur son visage.~ ~ ~ ~Armand-Louis 1950 XXVII| voir l’empire d’Allemagne étendre ses possessions jusque sur 1951 XXVI| donnée, si la main que j’étends vers vous arrache de votre 1952 I| la fois Oreste et Pylade, Étéocle et Polynice. Ils seraient 1953 IX| terreur, qui est ma compagne éternelle, immobile et livide, je 1954 XXIX| mâts des navires, les armes étincelaient au soleil : c’était un magnifique 1955 XII| déchira, l’Escaut parut tout étincelant et, dans la clarté brillante 1956 XVI| dit-elle les yeux tout étincelants de fierté, que je suis pour 1957 XVI| tête menacée par le fer qui étincelle, par le plomb qui vole… 1958 V| habits toujours nouveaux, des étoffes les plus belles, les velours, 1959 XVII| unirent, et sous le ciel étoilé ils prirent Dieu à témoin 1960 I| plongeait avec délices dans les étonnantes aventures de don Galaor 1961 XXIV| des champs s’arrêtaient étonnées de voir un soldat à barbe 1962 XIV| Oh ! oh ! fit-il, cela m’étonnerait bien si on n’avait quelque 1963 VIII| Les guerres de religion, étouffées un temps, semblaient de 1964 XIX| buvait plus.~ ~ ~– ! bel étourneau, tu vas voir ce qu’il en 1965 XVI| dirai que vous vous trompez étrangement. Au surplus, et puisque 1966 XIII| de langage qui semblaient étranges chez un homme d’une bravoure 1967 III| je m’assomme ou que je m’étrangle ?… Ordonne, j’obéirai… Te 1968 XXIV| ont terrassé, ils m’ont étranglé, ils m’ont frappé ! J’ai 1969 VI| que j’ai dit, mon maître m’étranglerait.~ ~ ~ ~L’écuyer fit un effort 1970 XXXV| Mais, dis-moi, si mes études géographiques ne me trompent 1971 IX| la bonne fortune que j’ai eue de rencontrer de si dignes 1972 VIII| préventions qu’elle avait eues contre lui, ne sachant rien 1973 I| côte.~ ~ ~– C’est Nisus et Euryale ! disaient les savants du 1974 XX| demandé mille je les aurais eus.~ ~ ~– Je le sais.~ ~ ~– 1975 XIII| étrange eût été que tu ne l’eusses point remarquée.~ ~ ~– Parle 1976 XIV| trois inconnus, peut-être eût-il changé d’opinion ; il les 1977 XXXIV| mourir.~ ~ ~ ~Magnus s’était évadé à petit bruit.~ ~ ~– Voilà 1978 XXXVII| Mlle de Souvigny pourrait s’évader ; mariée, le diable et Luther 1979 XVIII| ministre lisait un passage de l’Évangile.~ ~ ~ ~Armand-Louis leva 1980 XIX| porta, et il tomba à demi évanoui sur le sable.~ ~ ~ ~Ainsi 1981 IX| Monsieur le marquis, je m’évanouirais pour sûr avant d’être au 1982 VI| Hercule… Messieurs, je m’évanouis !~ ~ ~ ~Carquefou se laissa 1983 XXIV| sortir Magnus de son long évanouissement, il était encore couché 1984 XXXVII| une fille qui crie et s’évanouit !… À d’autres ! Et les circonstances 1985 XXVIII| issues de notre commune mère Ève. C’est pourquoi Mlle de 1986 XVIII| petit bonhomme à la mine éveillée et triste, qui, depuis un 1987 XIX| renard et cherchant à l’éventrer du premier élan, mais le 1988 XXXVII| il y a une cathédrale, un évêque !~ ~ ~– Magdebourg ? une 1989 XXVII| abbayes, aux couvents, aux évêques, menacés partout d’une immense 1990 XXIII| au troisième les jambes. Évitons qu’il ne crie et ne se débatte. 1991 I| inflexible, rapide dans ses évolutions, et n’oubliant jamais, au 1992 V| pluie t’a envoyé ; sache exactement ce qu’il fait, aie les yeux 1993 XXVIII| perpétuelle, cela me parut exagéré. Je tirai ma révérence aux 1994 XV| élégance et ce luxe fussent exagérés. Telle il n’eût pas rêvé 1995 VIII| un sentiment de fierté exalta l’âme de M. de la Guerche. 1996 XVIII| répondirent deux cents voix exaltées par la fièvre du triomphe.~ ~ ~– 1997 V| en fit ployer la lame, en examina la pointe et le tranchant 1998 IX| apercevoir Adrienne et l’avait examinée en dessous, s’approcha de 1999 XIX| et le fer rapide ; mais l’exaspération ne lui permettait pas de 2000 VI| Renaud.~ ~ ~ ~Sainte Estocade exauça-t-elle le vœu du gentilhomme ou 2001 XVIII| pioche et poussé dans l’excavation creusée en grande hâte contre 2002 XVI| maison si pleine de choses excellentes aux mains de tels mécréants !~ ~ ~ ~


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