Partie

  1        1|           froid. Tu sais ce que M. Rivals a dit : pour te remettre,
  2        1|               Tiens ! on dirait M. Rivals. Je reconnais son cheval
  3        1|        visiteur assidu, le docteur Rivals, que l’on guettait au passage
  4        1|         phrases ; et puis le vieux Rivals n’était pas observateur.~ ~ ~ ~
  5        1|           Ce malheur, que le vieux Rivals rappelait souvent, était
  6        1|        foncé, carabiné, que madame Rivals, si elle l’eût vu, se serait
  7        1|          sais ce que je t’ai dit : Rivals ne connaît rien à ton affaire.
  8        1|            L’apparition du docteur Rivals acheva d’animer la séance.
  9        1|           bataille.~ ~ ~ ~Le vieux Rivals regarda non sans quelque
 10        1|         docteur Hirsch… Le docteur Rivals… dit-il en les présentant
 11        1|        croiser leurs épées. Le bon Rivals croyant avoir à faire à
 12        1|            une part que le docteur Rivals le traitait trop en malade
 13        1|         vous autres ! fit le vieux Rivals en éclatant… Mais c’est
 14        1|          exactitude ; mais le père Rivals triomphait avec son formidable
 15        1|            petite fille du docteur Rivals, une jolie enfant assise
 16        1|    bariolage des toilettes, madame Rivals s’approcha de d’Argenton
 17        1|            sûr : « Il est chez les Rivals. »~ ~ ~Le médecin habitait
 18        1|          des choses. Depuis madame Rivals qui, au bout de huit ans
 19        1|             Tandis que pour madame Rivals la présence continuelle
 20        1|   silencieux que lui jetait madame Rivals en rentrant, devant ce regard
 21        1|            la distraire, disait M. Rivals à sa femme… Il y a le petit
 22        1|         connaît…, répondait madame Rivals toujours méfiante.~ ~ ~–
 23        1|           en réponds.~ ~ ~ ~Madame Rivals remuait la tête. Elle n’
 24        1|          reproches.~ ~ ~ ~Le vieux Rivals baissait le front comme
 25        1|     ensuite tous les jours. Madame Rivals prit bien vite en affection
 26        1|          incroyable, disait madame Rivals à son mari, ils laissent
 27        1|   montaient à la pharmacie. Madame Rivals était toujours là. Comme
 28        1|         vrai, tu as raison, disait Rivals.~ ~ ~ ~Alors ils revenaient
 29        1|          route :~ ~ ~– Allons ! M. Rivals aura eu encore quelque bisbille
 30        1|           ferme où, pendant que M. Rivals grimpait l’escalier de bois
 31        1|          du départ.~ ~ ~– Monsieur Rivals, qu’est-ce qu’il faut que
 32        1|         mon pauvre homme, monsieur Rivals, n’y a donc rien à faire
 33        1|        commun il résultait pour M. Rivals que le petit d’Argenton
 34        1|       calme laborieux de la maison Rivals. Cécile assistait presque
 35        1|           aplomb. Aussi le docteur Rivals avait-il perdu beaucoup
 36        1|            lui en un an, disait M. Rivals aux d’Argenton avec fierté.
 37        1|     entendait d’Argenton dire à M. Rivals avec un sourire amer qui
 38        1|      ouvrir les yeux.~ ~ ~ ~Madame Rivals secouait la tête :~ ~ ~–
 39        1|        cimes vertes, la maison des Rivals, sa mère enfin, sa mère
 40        1|      venait de se passer.~ ~ ~ ~M. Rivals fut indigné.~ ~ ~– Un ouvrier !
 41        1|           d’Argenton, dit le vieux Rivals, les lèvres frémissantes.~ ~ ~ ~
 42        1|            Prenez garde, reprit M. Rivals en se contenant, cet enfant-là
 43        1|           docteur Hirsch.~ ~ ~ ~M. Rivals haussa les épaules et continua,
 44        1|          la fin de la phrase de M. Rivals ; un geste de d’Argenton
 45        1|          voix de tonnerre du vieux Rivals retentit sur le seuil :~ ~ ~–
 46        1|          ne pouvoir aller chez les Rivals faire ses adieux à Cécile.~ ~ ~–
 47        1|    bouteille d’eau-de-vie ; car M. Rivals profitait de l’absence de
 48        1|        petit ?~ ~ ~– Non, monsieur Rivals.~ ~ ~– Je choisis des livres
 49        1|          vous le promets, monsieur Rivals.~ ~ ~– Là… maintenant la
 50        2|           un des livres du docteur Rivals, et s’en allait le lire
 51        2|           souvent les livres de M. Rivals étaient trop forts pour
 52        2|           les « bouquins » dont M. Rivals avait bourré la caisse de
 53        2|            eu près de nous, car M. Rivals continue à nous bouder.
 54        2|         cela d’un très bon œil. M. Rivals peut être un excellent homme,
 55        2|  philosophes, dans la caisse de M. Rivals, qu’il cloua de peur des
 56        2|       justifiées les paroles de M. Rivals : « Ce sont les différences
 57        2|           Jack, le souvenir de ces Rivals. Malgré les observations
 58        2|        Bayonnaise racontées par M. Rivals, bien des raisons achevèrent
 59        3|      livret.~ ~ ~– Voilà, monsieur Rivals.~ ~ ~– C’est superbe. On
 60        3|         maison du forestier que M. Rivals venait de retrouver son
 61        3|        tout ébouriffée. C’était M. Rivals.~ ~ ~ ~L’entrevue fut embarrassée
 62        3|    sinistres prédictions.~ ~ ~ ~M. Rivals, attribuant cette gêne à
 63        3|            du malentendu.~ ~ ~ ~M. Rivals triomphait, ne se lassait
 64        3|          eût compris sa pensée, M. Rivals ajouta en riant :~ ~ ~–
 65        3|        soir-là, la rencontre de M. Rivals, le nom de Cécile plusieurs
 66        3|          il sonnait à la porte des Rivals.~ ~ ~ ~Ainsi que le bonhomme
 67        3|          au vieux bureau où madame Rivals écrivait autrefois, elle
 68        3|      disions dans les temps que M. Rivals chauffait le petit Ragenton
 69        3|            en jour, » observait M. Rivals mélancoliquement.~ ~ ~ ~
 70        3|           Jack revenir de chez les Rivals ce jour-là dans l’après-midi
 71        3|            les parfums, comment M. Rivals vint le délivrer, l’emporta
 72        3|            Certainement, si madame Rivals avait vécu, les choses ne
 73        3|      installation de Jack chez les Rivals, avait pris cela pour une
 74        3|            par son « artiste. » M. Rivals la reçut au rez-de-chaussée,
 75        3|       défaire.~ ~ ~– Oh ! monsieur Rivals, que me dites-vous là ?…
 76        3|         vouliez, disait un soir M. Rivals aux deux enfants, nous irions
 77        3|          tranquille ménagère de M. Rivals : elle redevenait l’enfant
 78        3|      manteau, et que le brave père Rivals, en la voyant toute prête,
 79        3|            matin, il entra chez M. Rivals pour le remercier et lui
 80        3|         attention avec laquelle M. Rivals le regardait.~ ~ ~– Tu n’
 81        3|                 Mais non, monsieur Rivals.~ ~ ~– Ah !… Je croyais
 82        3|         parle.~ ~ ~– Oh ! monsieur Rivals, est-ce possible ? Un misérable
 83        3|              III~ ~ LE MALHEUR DES RIVALS~ ~Ils étaient dans le cabinet
 84        3|       jamais entré là-bas ? dit M. Rivals, montrant de loin à Jack
 85        3|       femme me dit :~ ~ ~– Écoute, Rivals ! il faut que M. Nadine
 86        3|                  Ma foi ! mon cher Rivals, me dit-il, je ne connais
 87        3|      appelait tout court Madeleine Rivals. » Ah ! le gueux, il en
 88        3|                 Eh bien ! monsieur Rivals, nos voyageurs sont donc
 89        3|            lui expliquer ce nom de Rivals qu’elle porte, que sa mère
 90        3|           Dam ! mon garçon, dit M. Rivals gaiement, ce sont là des
 91        3|           lui était arrivé avec M. Rivals. Celui-là aussi le croyait
 92        3|     empilait les livres du docteur Rivals dans un coin du buffet en
 93        3|            aidait à comprendre. M. Rivals corrigeait les devoirs de
 94        3| empoisonneur est arrivé, disait M. Rivals aux enfants… La sentez-vous,
 95        3|         Jack, il sait que le vieux Rivals a le poignet encore solide.~ ~ ~ ~
 96        3|         parlait des parents que M. Rivals avait dans les Pyrénées.~ ~ ~–
 97        3|          scène, Jack écrivait à M. Rivals la lettre suivante :~ ~ ~«
 98        3|          les désignant. Mais si M. Rivals était ravi des progrès de
 99        3|     partons pour huit jours.~ ~ ~ ~RIVALS.~ ~ ~ ~Jack reçut cette
100        3|          étaient partis, et que M. Rivals avait éloigné l’amoureux
101        3|                   À tout ce que M. Rivals put lui dire, à tout ce
102        3|        combien elle était émue. M. Rivals lui prit la main :~ ~ ~–
103        3|           samedi suivant, quand M. Rivals dit à sa petite-fille :~ ~ ~–
104        3|         veut plus de moi, monsieur Rivals ?~ ~ ~ ~Le docteur ne répondit
105        3|       caprice.~ ~ ~– Non, monsieur Rivals, vous le savez bien, Cécile
106        3|            se leva péniblement. M. Rivals lui prit les mains :~ ~ ~–
107        3|       heureux.~ ~ ~– Non, monsieur Rivals, ne vous accusez pas. Ce
108        3|               Non, merci, monsieur Rivals !… Je ferais un trop triste
109        3|       furent bien tristes chez les Rivals. La petite maison, égayée
110        3|          décidions à querver. » M. Rivals, que son chagrin et son
111        3|            terrier. En entrant, M. Rivals fut suffoqué par une odeur
112        3|            empoisonneur ?~ ~ ~ ~M. Rivals ne se trompait pas. Hirsch,
113        3|       sommes.~ ~ ~ ~Pendant que M. Rivals, penché vers le mourant,
114        3|             dis-y, femme…~ ~ ~ ~M. Rivals regarda la Salé, dont le
115        3|            c’est, mon bon monsieur Rivals : ce guerdin-là m’a donné
116        3|           Coquine !… cria le vieux Rivals avec une colère qui lui
117        3|           l’histoire de Cécile, M. Rivals raconta à Cécile l’histoire
118        3|          Quelques heures après, M. Rivals et sa petite-fille étaient
119        3|            aurait voulu avertir M. Rivals ; mais Jack s’y était formellement
120        3|            s’était passé entre les Rivals et lui ; il a dit seulement
121        3|            mourir ? disait le père Rivals de sa plus grosse voix…
122        3|          hommes penchés, et Cécile Rivals debout, aussi pâle qu’une
123        3|              mon enfant !~ ~ ~ ~M. Rivals se retourna.~ ~ ~– Chut !
124        3|                  Non… dit le vieux Rivals d’une voix farouche… non…