Partie

 1        1|             transition banale de la rue.~ ~ ~ ~Elle avait la tête
 2        1|           le moindre incident de la rue, tout les réjouissait.~ ~ ~–
 3        1|            relation directe avec la rue, débordaient du linge étendu,
 4        1|      rétrécit encore pour gagner la rue Marbœuf entre deux hautes
 5        1|         ambitieux, dévorent dans la rue par petites bouchées un
 6        1|             voit remonter la longue rue de Chaillot, longeant les
 7        1|             elle est belle. Dans la rue tout le monde la regarde…
 8        1|       allions nous promener dans la rue Royale, où il y a d’excellents
 9        1|            en chapeau, vêtu pour la rue et non pour l’Olympe ; mais
10        1|        garni que sa tante dirigeait rue de Fourcy, parmi cet enchevêtrement
11        1|     dépaysées dans la lumière de la rue. Une glace enguirlandée
12        1|    solitaire, jeté lui-même dans la rue par le dispersement de ce
13        1|          fut engagé dans une longue rue où clignotaient des réverbères
14        1|          pas encore la campagne. La rue se bordait de maisons des
15        1|        presque à fleur de terre. La rue semblait mourir aussi n’
16        1|       village et se fait « la grand’rue » pendant quelques mètres.~ ~ ~ ~
17        1|             à l’entrée de la longue rue de Charenton.~ ~ ~ ~Il retrouvait
18        1|             marchands de drap de la rue des Bourdonnais qui chaque
19        1|             famille. Ils habitaient rue des Juifs, à Paris, lui,
20        1|         lequel elle évitait dans la rue le frôlement salissant de
21        1|            jours ! » La porte de la rue était ouverte. Il s’élança
22        2|           bientôt se changea en une rue de petite ville bordée de
23        2|           en caserne, sur une large rue derrière le château. Une
24        2|             rond, entonna en pleine rue d’une voix retentissante :~ ~ ~ ~
25        2|             elle tout le long de la rue en pente ; mais au lieu
26        2|       Bélisaire, qui redescendit la rue en clopinant.~ ~ ~ ~À l’
27        2|        chaise.~ ~ ~ ~Dans la petite rue ouvrière, une ombre venait
28        2|          avait déjà précédé dans la rue. Elle rentrait comme il
29        2|             au soir, debout dans la rue, à causer ; mais Bélisaire
30        2|       Clarisse descendait la grande rue jusqu’au quai, à l’heure
31        2|            on disait dans la grande rue d’Indret. Elle ne voyait,
32        2|           blêmie par le froid de la rue, et si préoccupée que, même
33        2|            aventurer dans la grande rue d’Indret toute noire, cette
34        2|             cabaret, le froid de la rue l’avait saisi, arrivant
35        2|             les rend au froid de la rue. À présent ils errent par
36        2|             le cabaret de la grande rue d’Indret jusqu’à la gare
37        2|            haut et ferme, la grande rue d’Indret déserte à cette
38        2|              sa jetée continuant la rue jusqu’au large. Entre les
39        3|            au midi sur la fin d’une rue de village et l’horizon
40        3|              la grande maison de la rue Oberkampf. On demande des
41        3|           la journée, il suivait la rue du Faubourg-du-Temple, l’
42        3|        fabrique. Le soir venait, la rue était très animée par le
43        3| Ménilmontant où Bélisaire habitait, rue des Panoyaux. Dans le trajet,
44        3|            Son nouvel atelier de la rue Oberkampf lui rappela Indret
45        3|            fabriques, aligné sur la rue, fenêtre à fenêtre, avec
46        3|            voilée à l’atelier de la rue Oberkampf, demander Jack,
47        3|           Puis, au grand jour de la rue, il remarqua ce qu’il n’
48        3|             le petit logement de la rue des Panoyaux. Le camelot
49        3|        encore vide des bruits de la rue, cette phrase toujours semblable
50        3|         tendre, vers une tranquille rue de village, vers la petite
51        3|           tandis qu’il remontait la rue Oberkampf, une peur le prit.
52        3|          aux petites voitures de la rue se dressaient partout dans
53        3| personnifiées par les nomades de la rue, comme pour les gens de
54        3|            et tous les oisifs de la rue en rumeur. Madame Weber,
55        3|    délicieuses soirées on passerait rue des Panoyaux ! En attendant,
56        3|        bonnement, de le rendre à la rue, au tas de balayures où
57        3|           étourdi et navré. Dans la rue des Panoyaux plus déserte,
58        3|          nous vivons tous ensemble, rue des Lilas, à Charonne, une
59        3|              à Charonne, une petite rue où il n’y a que des jardins,
60        3|                     La maison de la rue des Panoyaux, le couloir,
61        3|          cour ; si elle sortait, la rue lui apportait dans ses bouffées
62        3|        autre, tourner le coin de la rue des Panoyaux. Que pouvaient-ils
63        3|          aller porter un exemplaire rue des Panoyaux. Cet appeau
64        3|            la porte, et se présenta rue des Panoyaux à deux heures
65        3|            la voiture au coin de la rue comme pour un enlèvement,
66        3|          les ruses possibles. Notre rue, notre maison, lui déplaisaient.
67        3|           Je louai donc à Charonne, rue des Lilas, au fond d’un
68        3|        Zénaïde établie dans la même rue avec son père, et sur qui
69        3|      faubourg, tranquille comme une rue de village, les arbres dépassant
70        3|             guetter son pas dans la rue silencieuse, parcourir les
71        3|          toujours au pavillon de la rue des Lilas, espérant le trouver
72        3|            la petite mansarde de la rue des Panoyaux en était positivement
73        3|            que l’argent était rare, rue des Panoyaux. Toutes les
74        3|           transition du froid de la rue dans cette étuve, aux employés
75        3|             encore une fois dans la rue, désespéré. Tout à coup,
76        3|             de l’hôpital. Depuis la rue, depuis le bas de l’escalier,
77        3|        famille, une rencontre de la rue. Souvent, les voix sont
78        3|        lointains roulements vers la rue. Il tendit l’oreille un