Partie

 1        1|      aimait qu’un seul être sur la terre, sa mère. Il la trouvait
 2        1|            de tous les coins de la terre, avaient apporté là une
 3        1|          reposez sous cette froide terre…~ ~ ~ ~Les vitres du parloir
 4        1|           d’étoiles, montait de la terre par les fentes des cloisons
 5        1|            hautes branches jusqu’à terre, y brillaient de tous leurs
 6        1|    semblaient la continuer sous la terre, dans une profondeur de
 7        1|        palais remplis de jarres en terre rouge où froidissait l’huile
 8        1|            vues de tremblements de terre ou à des intérieurs de paquebots
 9        1|          Moronval inclinés jusqu’à terre, ni tous ces regards curieux
10        1|    abaissait, redescendait vers la terre, mais sans daigner se fixer.
11        1|            pointées de vert, et la terre inculte du petit jardin
12        1|           parmi les cailloux cette terre neuve, remuée, rapportée,
13        1|            sur des matelas jetés à terre, c’est là que l’héritier
14        1|       était couché reposait sur la terre battue. On voyait dans les
15        1|         dans les coins des pots de terre jaune empilés les uns dans
16        1|           petit roi jusque dans la terre où il allait dormir. Hélas !
17        1|        Hélas ! oui, jusque dans la terre ; car une fois la bière
18        1|     lamentables presque à fleur de terre. La rue semblait mourir
19        1|       marchaient sans bruit sur la terre détrempée, couverte de flaques
20        1|        bourgeons s’entrouvrir, la terre se fendre pour les éclosions.
21        1|          chemin. Il fait froid, la terre est humide. N’importe !
22        1|       parcourt les grands espaces, terre ou mer, et peu à peu tous
23        1|           encore de ce froid de la terre : un froid lourd, sans air.
24        1|            les bruits actifs de la terre.~ ~ ~ ~L’enfant ne marche
25        1|       aplatissent, les allongent à terre, toutes craintives et frémissantes.
26        1|          de l’attente que prend la terre aux changements de l’atmosphère.~ ~ ~ ~
27        1|      disparaître a cent pieds sous terre avec son étrange convive
28        1|            vibrer. Mais, même sous terre, elle sonnait encore. Alors
29        1|       inquiéter, de se désoler. La terre n’attend pas, ni les bêtes
30        1|         tout ce brave peuple de la terre qui s’essuyait un œil attendri
31        1|             de plus fier sur cette terre de servitude. Dans quatre
32        2|          des odeurs de houille, de terre glaise brûlée, de fer en
33        2|            limailles luisaient par terre, craquaient sous chaque
34        2|        Loire sans qu’aucun vent de terre ou de mer ait le pouvoir
35        2| participait du silence morne de la terre encore endormie et de l’
36        2|        sueur se penchaient vers la terre ; et par moments, quand
37        2|           et battant des ailes par terre en piaillant. Devant leur
38        2|      langages, tous les pays de la terre se donnant rendez-vous sur
39        2|              et chauffez ferme. La terre n’est pas loin. Nous pouvons
40        2|           aspect d’une figurine de terre jaune tombée d’une étagère
41        3|            tous les paysans que la terre tire à elle dans leur labeur
42        3|         par ces soulèvements de la terre de sépulture, plus tourmentée
43        3|      devant lui, taper du pied par terre, le camelot tira péniblement
44        3|        superbe salade de pommes de terre assaisonnée de harengs saurs,
45        3|           flatterie, les pommes de terre étaient excellentes aussi,
46        3|        enviés et des heureux de la terre !~ ~ ~ ~Le camelot et sa
47        3|            de Dieu, créateur de la terre,~ ~Accomplissons chacun
48        3|           quatre chevaux, ventre à terre tout le temps, et du Champagne
49        3|         autre, élevée au-dessus de terre de toute la hauteur de son
50        3|    environnants. Pour plancher, la terre battue ; pour meubles un
51        3|     marécages, de courses ventre à terre devant les chevaux des gendarmes.
52        3|          immobiles tombant jusqu’à terre du lit voisin.~ ~ ~– Eh
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