Partie

 1        1|          par petites bouchées un pain d’un sou caché dans leur
 2        1| humanitaires, qui l’avait mis au pain et à l’eau pendant six mois
 3        1|          prétexte, un morceau de pain qui tombait, la tournure
 4        1|    tendus vers la bonne odeur de pain frais qu’ils rapportaient
 5        1|  baissait la tête, regardait son pain, son assiette, n’osait même
 6        1|         nuit ; il avait mangé le pain des voleurs, car les voleurs
 7        1|          le regardait couper son pain en longues tranches énormes
 8        1|          dans lequel tu dors, le pain que tu manges, c’est à ma
 9        1|      couper de larges croûtes de pain tendre, qu’il enduisait
10        1|       aujourdhui que j’offre le pain bénit. D’Argenton ne vous
11        1|       rustique, les couronnes du pain bénit s’élevaient en colonnes
12        1|         fine. Une bonne odeur de pain bénit, mêlée au parfum de
13        1|          couvées, voir sortir le pain du four, traire les vaches
14        1|        pour vivre, de gagner ton pain, d’être ton maître ?~ ~ ~ ~
15        1|      étriqué dans son costume du pain bénit, avec cette fatalité
16        2|      taillait pas une bouchée de pain sans la mirer, la scruter,
17        2|       sortaient le chanteau d’un pain et les goulots de bouteilles…
18        3|        La femme lui achetait son pain, ses provisions, et souvent,
19        3|    journée. Elle est porteuse de pain de son métier. Un métier
20        3|         à cinq heures, porte son pain jusqu’à midi, revient manger
21        3|      étain, un autre en bois, du pain, du vin, une botte de radis,
22        3|      bulletin politique entre le pain et les radis. « Ah ! dam,
23        3|    mignon, criait la porteuse de pain consolant son enfant du
24        3|        lesquels les porteuses de pain se préservent de la farine.
25        3|         à côté de la porteuse de pain, il avait des attitudes
26        3|           ma’me Mathieu, v’là le pain ! »~ ~ ~C’est la voisine
27        3|       lait sont pendues, pose le pain tout debout en appelant
28        3|        le faubourg.~ ~ « V’là le pain ! »~ ~ ~C’est le cri de
29        3|      réconfort de la journée, le pain terrible à gagner, qui fait
30        3|      soupe du soir.~ ~ « V’là le pain ! v’là le pain ! »~ ~ ~Les
31        3|           V’là le pain ! v’là le pain ! »~ ~ ~Les tailles de bois
32        3|      idée de ce que c’est que le pain.~ ~ ~ ~Bientôt tout le monde
33        3|         se penche pour couper le pain de son mince déjeuner, de
34        3|       nous l’a assez reproché le pain que tu mangeais chez lui.
35        3|      interpellée, la porteuse de pain répondit bien tranquillement
36        3|        table, où la corbeille au pain était surtout très demandée.
37        3|      dimanche n’existait pas. Le pain est aussi demandé ce jour-là
38        3|       son retentissant « V’là le pain ! » à toutes les portes
39        3|       dents. Mais la porteuse de pain était douée d’une sagacité
40        3|          souffle, des miettes de pain ou des taches de graisse
41        3|       occupait avec son fils, le pain qu’elle mangeait, tout lui
42        3|           Du coup la porteuse de pain, dans son enthousiasme,
43        3|      pour envoyer la porteuse de pain vendre sa montre et une
44        3|      comme disait la porteuse de pain d’une voix indignée. C’est
45        3|           demanda la porteuse de pain.~ ~ ~ ~Il raconta à voix
46        3|      émouvant que la porteuse de pain en devint toute rouge, et
47        3|       Jack, quand la porteuse de pain, en revenant de sa tournée,
48        3|        Bélisaire. La porteuse de pain, elle, connaît la timidité
49        3|        vient pas. La porteuse de pain est à bout d’éloquence.
50        3|         moment où la porteuse de pain avait quitté l’hôpital,
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