Partie

 1        1|            monde !~ ~ ~– Ah ! vous êtes veuve ?~ ~ ~– Hélas ! oui,
 2        1|           frappé juste.~ ~ ~– Vous êtes cruel avec moi, monsieur
 3        1|      Comment ! monsieur Jack… vous êtes revenu ?… C’est très mal,
 4        1|         vous le connaissez !… Vous êtes peut-être venu en France
 5        1|           c’est superbe ! que vous êtes heureux d’avoir un tel talent !~ ~ ~ ~
 6        1| Taisez-vous… Je vous connais… Vous êtes des pourris… Vous avez tous
 7        1|              monsieur Jack, vous n’êtes donc plus à la pension ?~ ~ ~ ~
 8        1|         descendre.~ ~ ~– Ah ! vous êtes bien heureux d’être rendu…
 9        1|        votre repentir ; et si vous êtes raisonnable, je vous aimerai
10        1|              mes enfants, que vous êtes bien ici ! fit Labassindre
11        1|         docteur, docteur, que vous êtes bon !… s’écriait Charlotte
12        2|             Vous, mon garçon, vous êtes là-haut, juste au-dessus
13        2|          Si, ce soir, vous ne vous êtes pas décidé à opérer la restitution
14        2|        dans la vie, parce que vous êtes un méchant cœur.~ ~ ~ ~Elle
15        2|          on lui avait dit : « vous êtes libre… » le camelot était
16        3|          sept ans que vous ne vous êtes vus ? Allons, vite à table !
17        3|            avez grandi… Comme vous êtes belle !~ ~ ~ ~Elle faisait
18        3|          petits réprouvés que vous êtes… car dans la vie vous serez
19        3|          Jack, savez-vous que vous êtes monté de tout ! C’est un
20        3|         Voyons ! est-ce que vous n’êtes pas plus heureux maintenant
21        3|              oh ! je vois que vous êtes déjà de grands amis.~ ~ ~–
22        3|     sortant du théâtre.~ ~ ~– Vous êtes ici, vous, maintenant ?…
23        3|          table dans l’état où vous êtes ?… car vous êtes encore
24        3|           où vous êtes ?… car vous êtes encore en ribote, allez !
25        3|      pourrais-je vous donner ? Qui êtes vous pour moi ? Devrais-je
26        3|            à tous deux.~ ~ ~– Vous êtes devenu bien fier, mon cher
27        3|          rien, mes bons amis… Vous êtes deux cœurs généreux et dévoués.
28        3|        camarade, faible comme vous êtes ?~ ~ ~– Oh ! je suis un
29        3|            les jours de paye… Vous êtes maçon, payé tous les huit
30        3|          tous les huit jours, vous êtes ivre à rouler au moins quatre
31        3|      malade pour l’ausculter… Vous êtes donc venu à pied ?~ ~ ~–
32        3|        marcher dans l’état où vous êtes… Il vous a fallu une fière
33        3|     Argenton.~ ~ ~– C’est vous qui êtes venu hier soir ?~ ~ ~– Parfaitement,
34        3|            hospice.~ ~ ~– Que vous êtes bonne d’être venue, Cécile !