Partie

 1        1| existence en est bien la preuve… Voici : M. le comte de Barancy
 2        1|         il en fut bientôt privé. Voici pourquoi :~ ~ ~ ~Sitôt que «
 3        1|        orgueil en souffrance, et voici qu’encore une fois il se
 4        1|         causant à haute voix, et voici ce qu’il entendit :~ ~ ~–
 5        1|       qui lui répond.~ ~ ~ ~Mais voici que bientôt un autre voyageur
 6        1|     pourtant on ne dort pas, car voici une voix de femme, fraîche
 7        1|    heureux tous les trois. Donc, voici ce que j’ai à vous proposer :
 8        1|         ses ardoises sonores, et voici qu’un nouveau printemps
 9        2|       éclat primitif.~ ~ ~– Nous voici à la direction, dit Roudic.~ ~ ~ ~
10        2|          volonté de l’apprendre, voici ce que je te propose. Je
11        2|          service lui-même, et le voici qui sonne à la porte enguirlandée
12        2|        qui s’était passé ?~ ~ ~ ~Voici :~ ~ ~ ~Le lendemain du
13        2|       répéta le directeur.~ ~ ~– Voici !… Je l’apportais.~ ~ ~ ~
14        2|        directeur continua :~ ~ … Voici l’argent… Je ne puis pas
15        2|         longue lettre. Eh bien ! voici deux fois que ses lettres
16        3|  ensemble tous les jours… Là, te voici chez toi, rentre vite… Demain,
17        3|        sa confusion et sa peine, voici que toutes ses débauches,
18        3|          à me le demander.~ ~ ~ ~Voici qu’un jour ma femme me dit :~ ~ ~–
19        3|         physique vont bien. Donc voici ce qu’il faut faire : travaille
20        3|   explication était finie.~ ~ ~– Voici ce qui m’arrive, Bélisaire.
21        3|         il ne fit que rire. Mais voici qu’après le travail, tandis
22        3|       trouvant l’oiseau déniché. Voici le plan qu’il avait fait :
23        3|         même personnel immuable. Voici Labassindre en velours vert-bouteille
24        3|         homme qui a lu Proudhon. Voici tout le défilé grotesque,
25        3|         qu’on vienne de sa part… Voici trois semaines qu’il est
26        3|        cette route maudite !… Et voici que, sous la fraîcheur des