Partie

 1        1|       lui faire un crime de son malheur et le rendre responsable
 2        1|        se douter que c’était le malheur de sa vie, de toute sa lugubre
 3        1|       tout de suite qu’un grand malheur lui arrivait, et ses yeux
 4        1|        factotum, c’est un grand malheur que nous ayons mis le pied
 5        1|         sentiment de son propre malheur. Maintenant que le nègre
 6        1|         n’était pas là un grand malheur, l’institution étant en
 7        1|        nulle part, depuis notre malheur.~ ~ ~ ~Ce malheur, que le
 8        1|         notre malheur.~ ~ ~ ~Ce malheur, que le vieux Rivals rappelait
 9        1|       ces mots : « Depuis notre malheur… » et la mère Archambauld,
10        1|        trous carrés.~ ~ ~ ~Le « malheur » de ces pauvres gens leur
11        1|         partie du poids de leur malheur, tout le monde vivait avec
12        1|     faute, à lui, dans le grand malheur dont ils étaient frappés.~ ~ ~ ~
13        1|      sans mes bouquins, avec le malheur que j’ai eu, il y a beau
14        2|       sur un coup douteux. Quel malheur pourtant de mourir ainsi,
15        2|       pas l’accabler d’un autre malheur plus grand encore et irréparable.~ ~ ~–
16        3| découragement, car depuis notre malheur elle ne s’était jamais bien
17        3|                       III~ ~ LE MALHEUR DES RIVALS~ ~Ils étaient
18        3|        étourderie a causé notre malheur.~ ~ ~ ~Un jour, il y a dix-huit
19        3|         nous arriverait quelque malheur de ce mariage. » Elle avait
20        3|      pas encore entièrement mon malheur. Ma fille ne m’avait pas
21        3|         lui laissant ignorer le malheur de sa naissance. Terrible
22        3|         ceux qui savaient notre malheur ; il ne s’est trouvé personne
23        3|        pas toujours ignorer son malheur et le nôtre. Il y a des
24        3|   prologue des « Ruptures. » Le malheur, c’est que la composition
25        3|        air fâché.~ ~ ~– Le beau malheur !… Ce n’est ni votre frère,
26        3|        en lettres de flamme : « Malheur complet… désespoir sans