Partie

 1        1|          Quand j’étais chez les Saïd, chez mes Égyptiens, c’est
 2        1|     avez pas ici un élève nommé Saïd ?~ ~ ~– Si… si… parfaitement…
 3        1|    penchant dehors pour appeler Saïd d’une voix de tonnerre.~ ~ ~ ~
 4        1|     répondit simplement l’élève Saïd.~ ~ ~– Et vos parents, comment
 5        1|                C’était le grand Saïd qui, pour le consoler, lui
 6        1|    bouts de cigare ; et l’élève Saïd, dont l’éloquence était
 7        1|      décida à demander au grand Saïd :~ ~ ~– Est-ce que Son Altesse
 8        1|     venaient. Un jour, le grand Saïd l’ayant appelé « enfant
 9        1|    étrangler. Aux hurlements de Saïd, Moronval accourut, et,
10        1|       pour entrer avec le grand Saïd dans cette infirmerie improvisée.~ ~ ~ ~
11        1|      tout doucement, tandis que Saïd, plus âgé, s’éloignait vers
12        1|       crois qu’il dortmurmura Saïd très pâle.~ ~ ~ ~Jack, très
13        1|    coiffé d’un fez, – notre ami Saïd, – portait sur un coussin
14        1|        Allons ! » vers le grand Saïd, qui dirigeait une seconde
15        1|      entrée des Champs-Élysées, Saïd se retourna une dernière
16        2|      qui reconnut son vieil ami Saïd à certains bouts de cigares
17        2| lui-même, il envoyait sa femme, Saïd, le prince japonais. D’Argenton
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