Partie

 1        1|        à fait, tellement on se sent inutile et inopportun !
 2        1|      le frôle, le bouscule. Il sent le souffle humide des naseaux,
 3        1|        tout. Autour de lui, il sent l’immensité des champs.
 4        1|    voit la figure de Mâdou, il sent ce petit corps glacé contre
 5        1|  portion qu’on vous sert, tout sent l’étuve, la vapeur, le chaud.~ ~ ~–
 6        2|    impassibilité inerte. On la sent vivante et armée. Debout
 7        2|   crépuscule où la solitude se sent dans toute son amertume.
 8        2|       sa vie souillée qu’il se sent incapable de recommencer
 9        2|        l’être en mouvement qui sent et exerce sa force.~ ~ ~–
10        2|       est bien en veine, il se sent d’haleine à dicter toute
11        2|          Il est furieux, il se sent ridicule :~ ~ ~– Aussi,
12        3|        et garde la lumière. On sent que tout ce qui entre dans
13        3|      ces trois mots :~ ~ ~– Ça sent l’ouvrier !~ ~ ~ ~La maison
14        3| parties des grandes villes. Ça sent l’ouvrier ! Si elle ouvrait
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