Partie

 1        I|         maison, Félicia Ruys, la fille du célèbre sculpteur, connue
 2        I|        amuse pas », dit la jeune fille en regardant d’un air de
 3        I|       grâce triomphante de cette fille, que sa beauté semblait
 4       IV|      attrait rare de cette jeune fille, continuatrice du génie
 5       IV| important de la soirée. La jeune fille en fit, en riant, l’observation
 6       IV|         amené. Il salua la jeune fille et revint à Monpavon, qui
 7        V|          faible pour défendre sa fille, M. Joyeuse, écumant de
 8       VI|       venus plutôt pour la belle fille que pour sa sculpture, pour
 9       VI|       continuait à venir chez la fille de son vieux Ruys, de celui
10       VI|              C’était une étrange fille, cette Félicia. Une vraie
11       VI|         cette Félicia. Une vraie fille d’artiste, d’un artiste
12       VI|        fois qu’il venait voir sa fille, de la trouver plus demoiselle,
13       VI|         Alors il voulu ravoir sa fille ; et du pensionnat ombragé
14       VI|          impression sur la jeune fille. Tout de suite Jenkins fut
15       VI|    laissait.~ ~ ~ ~Mais la jeune fille avait, pour la défendre,
16       VI|   collaboration du père et de la fille, dans le même atelier, autour
17       VI|      dompté par la logique de sa fille, étonné de tout le chemin
18       VI|    adresser la parole à la jeune fille, comptant sur les jours
19       VI|          Ce singulier état de sa fille constitua un vrai chagrin
20       VI|   Jenkins, je vous recommande ma fille. »~ ~ ~Il était si ironiquement
21       VI|            Ne les écoute pas, ma fille, ne vends rien. Ta vieille
22       VI|        en français, que la jeune fille en fut profondément émue.
23       VI|         le père, continué par la fille, deux artistes dédaigneux
24       VI|    hochement de tête de la jeune fille.~ ~ ~ ~En effet, il revenait
25       VI|      inouïe de laisser une jeune fille s’enfermer ainsi avec un
26       VI|          Félicia était une jeune fille pareille aux autres ! Et
27       VI|    silhouette hardie de la jeune fille penchée sur cet étrange
28       VI|    guetteur, il aperçut la jeune fille debout devant lui, indignée,
29       VI|       Que peut-on supposer d’une fille élevée comme je l’ai été,
30       VI|       oui, parbleu ! Je suis une fille d’aventure, et cet aventurier
31      VII|     pensée.~ ~ ~ ~Celle-ci était fille d’un Belge immensément riche
32      VII|       était changé en une grosse fille, lourde et blanche. Son
33       IX|          quand elle était petite fille. Avec son bonnet à ruches,
34       IX|          monde appelait la jeune fille « Bonne-Maman… » sans qu’
35       IX|        Géry trouva à cette jeune fille une séduction inexprimable.
36       IX|          Non, devant cette jeune fille debout, surveillant la table
37       IX|        légère. Ce n’était pas la fille courageuse, qui travaille
38       IX|        du déjeuner ; mais, jeune fille déjà et fort jolie, elle
39       IX|   pouvait-il y avoir entre cette fille d’artiste, lancée dans les
40       IX|        même jardin. Quelle bonne fille, belle, intelligente… »~ ~ ~
41       IX|        son travail, la vaillante fille se dépêchait de compter
42       XI|          la légèreté d’une jeune fille, malgré ses soixante-dix
43     XIII|         des silences de la jeune fille, et qui subitement éclatent
44     XIII|      table.~ ~ ~« Quelle étrange fille, mon Dieu, mon Dieu !… »
45     XIII|      raisonnables.~ ~ ~– Oh ! ma fille, est-ce que tu vas faire
46     XIII|  tendresse la beauté de la jeune fille prit une expression que
47     XIII|      dans mon jugement de petite fille du permis et du défendu,
48     XIII|       est que si jamais j’ai une fille, je tâcherai d’en faire
49      XIV|      modeste de quelque femme ou fille d’artiste, tandis que le
50      XIV|   pendant ce temps avec la jeune fille. Pauvre Mme Jenkins ! On
51      XIV|    redresse tout fier de voir sa fille accueillie ainsi par une
52      XIV|    famille, allons donc !… Tu es fille de catin, ma chère ; il
53      XVI|          cri.~ ~ ~ ~À côté d’une fille peinte, en cheveux roux,
54      XVI|   Moëssard, le joli Moëssard. La fille et le journaliste, et le
55      XVI|      Quelle poigne ! »~ ~ ~Et la fille regardait l’hercule avec
56     XVII|       majestueux et vexé en vrai fille des Saint-Amand, l’autre,
57     XVII|         demande de la main de sa fille :~ ~ ~« Est-ce possible ?
58     XVII|         déjà Mlle Élise comme sa fille. Vous verrez, mademoiselle,
59     XVII|   chapeau.~ ~ ~– Bonne-Maman, ma fille, je n’ai donc plus de cravate
60     XVII|      fêtant le jeune amour de sa fille en souvenir d’un bonheur
61     XVII|        pâleur subite de la jeune fille, n’entendit pas le cri douloureux
62     XVII|          Il l’eût dit à la jeune fille, simplement, comme il le
63      XIX|     terrible pour l’orgueilleuse fille ! L’ennui, le dépit, l’avaient
64      XIX|       nuages ; et l’orgueilleuse fille se révoltait contre cet
65        X|        sent le roussi, ma petite fille », disait en riant la vieille
66        X|         tout son respect pour la fille des Afchin. « Comment !
67        X|      assistant à une querelle de fille et de nervi, ou encore à
68        X|        un air si terrible que la fille Afchin, épouvantée, se précipita
69      XXI|          d’un grand jupon qu’une fille de chambre avait jeté, le
70     XXII|  limpides et neuves, celle de sa fille Élise, cette fiancée de
71     XXIV|          devenue, la malheureuse fille, quand cet appui lui avait
72     XXIV|       côté du guéridon, la jolie fille était assise en blanc déshabillé
73     XXIV|    pensée, les rêves de la jeune fille avaient eu si longtemps
74     XXIV|     égout, le trottoir comme une fille, votre masque à vous, O
75     XXIV|         femme ? s’écria la jeune fille pendant que Paul s’adressait
76     XXIV|         Mlle Strang, une vieille fille couperosée et goutteuse,
77     XXIV|         de son mantelet de jeune fille, toutes les violettes de
78      XXV|          une mère qui a marié sa fille selon son propre cœur et