Partie

 1        I|        reconnaître.~ ~ ~« Bonjour, André… dit le docteur tendant
 2        I|               Tu le sais, mon cher André… Du jour où j’ai épousé
 3        I|       issue et sans dignité… »~ ~ ~André ne répondit rien ; mais
 4        V|      réfugiait chez le photographe André Maranne qui, au courant
 5        V|           en resta là. Au retour d’André Maranne, il eut l’explication
 6        V|    fréquentaient presque personne. André Maranne, quand il descendait
 7       IX|         monde.~ ~ ~« Ah ! voilà M. André… Élise, vite une tasse…
 8       IX|       autre : M. Paul de Géry – M. André Maranne, non sans une certaine
 9       IX|                 Oh ! oui, monsieur André… Oh ! oui… » dirent en chœur
10       IX|   dérouiller son appareil neuf, M. André recommençait tous les dimanches
11       IX|           bord d’un toit. Du reste André Maranne, avec les ressources
12       IX|            C’était pour moi », dit André, un peu gêné.~ ~ ~« Un moment,
13       IX|            le palier le voisin, M. André, qui l’attendait et prit
14       IX|           de Géry l’abord exalté d’André Maranne, ses longs cheveux
15       IX|         connaissait ce sentiment d’André et l’avait autorisé de quelque
16       IX| explication ayant calmé l’esprit d’André Maranne, il présenta ses
17       IX|               C’est comme moi, dit André. Bonne-Maman a toutes mes
18       IX|            sans doute ?… Oh ! non, André n’avait pas encore le droit
19       IX|           Vous la connaissez ? fit André Maranne.~ ~ ~– Mais oui…
20       IX|     photographie… »~ ~ ~Pendant qu’André lui racontait avec cette
21       IX|         cœur touché qu’il écoutait André Maranne lui parler d’Élise,
22     XVII|          reçue. »~ ~ ~Depuis hier, André sait la nouvelle. Cardailhac,
23     XVII|            Mais le plus ému, c’est André Maranne, car vous savez
24     XVII|         jour qu’il était seul chez André. « Comment vont les affaires,
25     XVII|      jamais consenti à ce mariage. André Maranne n’est pas riche,
26     XVII|          Joyeuse : « Les parents d’André consentiront-ils à ce mariage ?
27     XVII|      parlons pas de cet homme, dit André en pâlissant, c’est un misérable
28     XVII|          on se figure la stupeur d’André Maranne absolument étranger
29     XVII|              Ah ! pardon, mon cher André… Je me croyais dans le cabinet
30     XVII|            Révolte était cela pour André, cette première œuvre toujours
31     XXII|           cette comédie, à cause d’André qui d’un jour à l’autre
32     XXII|           entrait dans l’atelier d’André où l’amenait un instinct
33     XXII|            pu mener là près de son André ! Et en une minute, avec
34     XXII|        rappelant les confidences d’André, sa dernière lettre où il
35     XXII|        ouvre précipitamment, c’est André. Il chante, il est content,
36     XXII|         changée, font comprendre à André qu’elle ne dit pas la vérité.
37     XXII|            pour la séparation mais André ne la laissera pas partir
38     XXII|            inquiets de ne pas voir André descendre, montent le chercher
39      XXV|     superstitions du joueur.~ ~ ~ ~André Maranne n’est pas aussi
40      XXV|         celle-là, et qui se cache. André se met auprès d’elle, et
41      XXV|        excitants comme des bravos. André, près de sa mère, frissonnait
42      XXV|          accident en scène ?~ ~ ~ ~André, se penchant épouvanté vers