Partie

 1        I| fonctionnaire de l’Empire, rien ne sentait ici l’administration ni
 2        I|          fatigué, paresseux, où se sentait un mépris profond pour l’
 3        I|     discrète, élégante, où rien ne sentait cette main brutale qui jette
 4        I|           regard admiratif qu’elle sentait posé sur elle, Félicia reprit :~ ~ ~«
 5       II|    important du déjeuner ; cela se sentait à la façon dont les domestiques
 6       IV|         avait serré le cœur. Il se sentait atteint, sali par cette
 7       IV|      triomphe. Le jeune de Géry se sentait réconforté par la vue de
 8       IV|        généreux, pour lequel il se sentait au cœur tant de reconnaissance,
 9       IV|          le Nabab parlait, de Géry sentait fuir ses soupçons et toute
10       IV|         embuscades nocturnes qu’il sentait rôder férocement autour
11        V|        Paris connaissait ; mais il sentait de la froideur, de la méfiance,
12        V|           moment approchait, il le sentait bien, où le mystère serait
13       VI|         élève de son père, Félicia sentait déjà sa personnalité rebelle
14       IX|         homme en parlant ainsi, on sentait que pour lui c’était la
15       IX|        sourire particulier où l’on sentait la bienveillance d’un œil
16       IX|         inutilité de son amour. Il sentait bien qu’il n’entrerait pas
17       IX|         les destins brûlants. Paul sentait ce néant voulait s’y soustraire ;
18       IX|            de camarades jaloux, se sentait relevé, rendu à la fierté
19       XI|           et en coup de foudre, se sentait rattachée à la réalité par
20       XI|          rails silencieuse où l’on sentait que tout, à perte de vue,
21      XII|         gros matelot en bordée. On sentait l’homme qui se surmène pour
22     XIII|            main, et vraiment, l’on sentait une étrange disproportion
23     XIII|        complet. Malgré tout, il le sentait présent, offensant pour
24      XIV|          le sol sans effort, on le sentait vraiment fée, et sa tête
25      XIV|        complète.~ ~ ~ ~Chaland, il sentait s’apaiser cette joie délirante,
26      XIV|      bonheur ; au contraire, il se sentait réconforté par l’exécution
27      XVI|          méfiance hésitante. Il se sentait surveillé. S’il entrait
28     XVII|      paisible d’habitude ; mais on sentait en elle, dans son empressement
29     XVII|            simplement, comme il le sentait, s’il n’avait craint d’effaroucher
30    XVIII|     visiteuse était pressée, et il sentait sur sa figure le souffle
31    XVIII|        peine intelligible, où l’on sentait l’effort du malade obligé
32    XVIII|       ruine, la fin de tout. Il le sentait si bien qu’en apprenant,
33      XIX|          de ces funérailles. On la sentait partout, sur les visages
34        X|        modes d’exportation où l’on sentait comme un regret de climat
35        X|            mutisme, ce front où il sentait la barre d’un entêtement
36      XXI|       tribune. On eût dit qu’il la sentait hostile, qu’il craignait
37      XXI|            tranchant, dont elle se sentait déchirée de quelque côté
38     XXIV|            déshabillé du matin qui sentait bon la violette et les dentelles
39     XXIV|           d’écouter ce débat qu’il sentait gros de révélations terribles.
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