Partie

 1        I|       crois, appelle « la grande pensée philanthropique du siècle. »~ ~ ~
 2       II|    égarement et le trouble d’une pensée fixe, une fièvre anxieuse
 3       II|    voyageur qu’il y a là-bas, la pensée nous vint de partir, d’aller
 4      III|     fournir sur moi-même, que la pensée ne me vint pas de leur en
 5       IV| prunelles, éteinte aussitôt à la pensée qu’on les regardait.~ ~ ~ ~
 6       IV|         dit qu’il répondait à la pensée secrète de son jeune compagnon –
 7        V|         franchi le seuil sans la pensée de ses filles. Cela seul
 8      VII|         jusqu’à l’âme même et la pensée.~ ~ ~ ~Celle-ci était fille
 9     VIII|     parut renoncer à exprimer sa pensée, et jeta sur la table une
10       IX|          et elle s’étonne que la pensée de recevoir le high-life
11       IX|       chômages artistiques où la pensée absente laisse la main lourde
12       IX|         femmes. Il régularise la pensée, fixe par un point la minute
13       XI|         à l’heure !… » Ce fut la pensée qui leur vint à tous ; mais
14      XII|          visage au passage de la pensée importune, ou quand il feuilletait
15     XIII|   circonstance solennelle. Cette pensée le troublait, lui gâtait
16      XIV|    préoccupé d’un absent dont la pensée vous tient au cœur, d’être
17      XIV|      exerçaient tous deux sur sa pensée.~ ~ ~« Aline !~ ~ ~– Félicia ! »~ ~ ~
18      XVI|          cherchant le fond de sa pensée bien plus que le fond de
19     XVII|     semblait écarter d’eux toute pensée d’amour.~ ~ ~ ~Tout à coup,
20    XVIII|    semblables. Jansoulet eut une pensée rapide :~ ~ ~« Est-ce que
21    XVIII|          lequel il semble que la pensée remonte pour fuir, et Monpavon
22      XIX|        leur réconciliation, à la pensée de la scène conjugale qu’
23      XIX|       Hemerlingue poursuivant sa pensée, montra le monument ailé
24        X|     Afchin !~ ~ ~ ~Soudain, à la pensée que son sort était entre
25        X|         que Hemerlingue, par une pensée bien profonde chez ce gros
26      XXI|       sans laisser voir toute sa pensée :~ ~ ~« Prenez garde. Ses
27     XXII|         serait douté qu’une même pensée sinistre guidait ces deux
28     XXII|      atmosphère embaumée ; et la pensée que ses yeux allaient se
29     XXII|          jamais connaître. Cette pensée, qui achève de déshériter
30     XXIV|      Félicia Ruys, ramenèrent sa pensée vers le beau visage aux
31     XXIV| aidait-elle au vagabondage de sa pensée. Sous les orangers, les
32     XXIV|       contre lequel l’esprit, la pensée, les rêves de la jeune fille
33      XXV|         voix, l’hésitation de la pensée absente, cette appréhension
34      XXV|          faire pour approcher sa pensée de ces milliers d’êtres,