Partie

 1      III|     veau, que m’avait descendu Mlle Séraphine, la cuisinière
 2      III|      je tiens les écritures de Mlle Séraphine et d’une autre
 3       IV|      vous pensez que le duc et Mlle Ruys…~ ~ ~– D’où sortez-vous ?…
 4      VII| employé pendant quelques mois. Mlle Afchin, alors une délicieuse
 5      VII| essayait de faire comprendre à Mlle Afchin, qui ne lui répondait
 6      VII|   retrouvait la supériorité de Mlle Afchin.~ ~ ~« Elle avait
 7       IX|               Pendant ce temps Mlle Henriette, la troisième
 8       IX|       tant, est l’idée fixe de Mlle Henriette ; et elle s’étonne
 9       IX|       des méthodes, tandis que Mlle Henriette, toujours hantée
10       IX|       de Géry appréciait mieux Mlle Aline – il était seul à
11       IX|        J’aime depuis longtemps Mlle Joyeuse… Cet amour est le
12       IX|      vivement qu’il demanda si Mlle Joyeuse connaissait ce sentiment
13       IX|   droits.~ ~ ~« Oui, monsieur, Mlle Élise sait que je l’aime,
14        X|     avec les restes montés par Mlle Séraphine et les autres
15      XIV|   discret et tendre bonjour de Mlle Joyeuse.~ ~ ~« Vous vous
16      XIV|   homme oserait jamais épouser Mlle Ruys ? Elle, un foyer, une
17     XVII|     pour se donner du courage, Mlle Élise telle comme une fleur,
18     XVII|        sait ce dont il s’agit. Mlle Élise doit aussi s’en douter.
19     XVII|    sont seulement les enfants… Mlle Henriette et sa sœur sont
20     XVII|              Je crois bien que Mlle Élise se doute en effet
21     XVII|     grande pour deux, et quand Mlle Élise s’y réfugie à son
22     XVII|       la saison… », tandis que Mlle Élise, toute confuse à l’
23     XVII|        projets. Elle aime déjà Mlle Élise comme sa fille. Vous
24     XVII|       vous pensez que, lorsque Mlle Élise frappait trois coups
25     XVII|    vœux tout de blanc vêtus de Mlle Élise, les hallucinations
26      XIX|     long sur ce qui manquait à Mlle Afchin. Puis, après un silence,
27      XIX|     cela rien de fait… Lorsque Mlle Afchin nous a refusé sa
28        X|    Elle ne ressemblait guère à Mlle Afchin, cette grande blonde
29    XXIII|       la cuisinière du second, Mlle Séraphine, dont j’accepte
30     XXIV|       la prison pour dettes ou Mlle Strang, une vieille fille
31     XXIV|      mon courage, et j’épousai Mlle Strang qui m’apporta en