Partie

 1        I|         le médecin à la mode de l’année 1864, l’homme le plus occupé
 2      III|           faim tout le reste de l’année. Il n’y a que notre caissier
 3      III|        tout dit… Encore jusqu’à l’année dernière, nous avions des
 4        V|              Tous les matins de l’année, à huit heures très précises,
 5        V|       romans intimes. La fin de l’année toute proche, peut-être
 6        V|         homme se figura que cette année la gratification allait
 7        V|         rares à cette époque de l’année.~ ~ ~ ~La misère lui apparut,
 8        V|           Chacun tâche de finir l’année dans le calme, remettant
 9        V|   arrivant compliquée d’une fin d’année.~ ~ ~ ~Paris prenait déjà
10        V|         que Paris met à finir son année.~ ~ ~ ~D’ordinaire M. Joyeuse
11        V| occupation du moment.~ ~ ~ ~Cette année, hélas ! rien de semblable.
12       VI|        elle avait ensuite toute l’année pour se remettre. Les terreurs
13     VIII|   Pondevèz, étudiant de vingtième année bien connu dans tous les
14     XIII|      Votre ami ira au Salon cette année. »~ ~ ~À ce moment, un parfum
15      XIV|   changeante, à cette époque de l’année, confond toutes les parures,
16      XIV|     remous autour des succès de l’année, rassasiée, un peu lasse,
17      XIV|      comme ce plus long jour de l’année où le soleil a fourni tout
18       XV|       jamais venu à Paris avant l’année dernière. De Tunis à Marseille,
19      XIX|       dépensait pendant toute une année. Ils s’aperçurent alors
20      XXI|       toujours en projet, remis d’année en année, demandant des
21      XXI|          projet, remis d’année en année, demandant des millions
22     XXII|         jour, à cette saison de l’année, autour de la Madeleine
23     XXIV|         Mais, à cette époque de l’année, il n’y avait à la Marine