Partie

  1        1|               moulin abandonné depuis plus de vingt années et hors
  2        2|               habite le moulin depuis plus de vingt ans. Je l’ai trouvé
  3        2|              souvenirs... Tenez ! pas plus tard qu’hier soir, j’ai
  4        2|             étonnement.~ ~ ~ ~Mais le plus touchant encore, ce sont
  5        3|             de Naples, il ne manquait plus que de voir luire les couteaux,
  6        3|             se taire, et il reprit de plus belle :~ ~ ~« Viédase !
  7        3|              et si doux... Ni lui non plus, le pauvre homme ! il ne
  8        4|         lutter, mais la vapeur fut la plus forte, et l’un après l’autre,
  9        4|        obligés de fermer... On ne vit plus venir les petits ânes...
 10        4|         vendirent leurs croix d’or... Plus de muscat ! Plus de farandole !...
 11        4|              d’or... Plus de muscat ! Plus de farandole !... Le mistral
 12        4|               de ses parents, n’avait plus que son grand au monde.
 13        4|         sentait si bien qu’il n’osait plus venir s’asseoir sur le banc
 14        4|               village, ne lui portait plus de blé, et pourtant les
 15        4|              dans ce moulin-là encore plus de sacs d’écus que de sacs
 16        4|        disait-il. Maintenant, je n’ai plus qu’à mourir... Le moulin
 17        5|             Il l’attacha à un pieu au plus bel endroit du pré, en ayant
 18        5|               chèvre était heureuse ! Plus de corde, plus de pieu...
 19        5|             heureuse ! Plus de corde, plus de pieu... rien qui l’empêchât
 20        5|              maisonnette on ne voyait plus que le toit avec un peu
 21        5|            maintenant elle ne pouvait plus se faire à cette vie, et
 22        5|                  La trompe ne sonnait plus...~ ~ ~La chèvre entendit
 23        5|           elle y allait de bon cœur ! Plus de dix fois, je ne mens
 24        5|          pauvre bête, qui n’attendait plus que le jour pour mourir ;
 25        6|            demoiselle Stéphanette, la plus jolie qu’il y eût à dix
 26        6|            était ce que j’avais vu de plus beau dans ma vie.~ ~ ~ ~
 27        6|        paraître notre demoiselle, non plus rieuse ainsi que tout à
 28        6|           heure de nuit il ne fallait plus songer à retourner à la
 29        6|            tout à fait. Il ne restait plus sur la crête des montagnes
 30        6|            maîtres – comme une brebis plus précieuse et plus blanche
 31        6|              brebis plus précieuse et plus blanche que toutes les autres –
 32        6|             les sources chantent bien plus clair, les étangs allument
 33        6|          parti de l’étang qui luisait plus bas, monta vers nous en
 34        6|      demoiselle. Mais ici nous vivons plus près des étoiles, et nous
 35        6|              la guerre aux Sarrasins. Plus loin, vous avez le Char
 36        6|           veut pas chez lui... Un peu plus bas, voici le Râteau ou
 37        6|              est minuit passé. Un peu plus bas, toujours vers le midi,
 38        6|             leurs amies. Poussinière, plus pressée, partit, dit-on,
 39        6|              Les Trois Rois coupèrent plus bas et la rattrapèrent ;
 40        6|              Jean de Milan... Mais la plus belle de toutes les étoiles,
 41        6|             qu’une de ces étoiles, la plus fine, la plus brillante
 42        6|             étoiles, la plus fine, la plus brillante ayant perdu sa
 43        7|            Moi, qui voulais en savoir plus long, je demandai au voiturier
 44        7|            eux ni la belle ne veulent plus de moi... J’aurais cru pourtant
 45        7|               répond : « Merci ! j’ai plus de chagrin que de soif. »~ ~ ~
 46        7|       malheureux... » ~ ~Jan ne parla plus de l’Arlésienne. Il l’aimait
 47        7|           toujours cependant, et même plus que jamais depuis qu’on
 48        7|           revenait. Jamais, il n’alla plus loin.~ ~ ~ ~De le voir ainsi,
 49        7|               gens du mas ne savaient plus que faire. On redoutait
 50        7|              toujours des craintes et plus que jamais surveillait son
 51        8|         discours, je n’en sais pas un plus pittoresque ni plus singulier
 52        8|            pas un plus pittoresque ni plus singulier que celui-ci.
 53        8|              ce que le pape aimait le plus au monde, c’était sa mule.
 54        8|            mule du pape en avait mené plus d’un à la fortune, à preuve
 55        8|       cardinaux.~ ~ ~ ~Ni la mule non plus, cela ne la faisait pas
 56        8|              l’Etoile polaire et même plus loin... Mais non ! On n’
 57        8|            les baraques du marché pas plus grosses que des noisettes,
 58        8|              ses allures d’autrefois. Plus de Quiquet, plus de Béluguet
 59        8|           autrefois. Plus de Quiquet, plus de Béluguet à l’écurie.
 60        8|            bon. pape lui-même n’avait plus autant confiance en son
 61        8|               vous ne me reconnaissez plus ?... C’est moi, Tistet Védène !... ~–
 62        8|            pontife, juste cinq ans de plus que votre mule... Ah ! palme
 63        8|          cette brave bête, je ne veux plus que tu vives loin d’elle.
 64        8|           dans le palais quelqu’un de plus heureux encore et de plus
 65        8|             plus heureux encore et de plus impatient que lui : c’était
 66        8|           sept ans... Il n’y a pas de plus bel exemple de rancune ecclésiastique.~ ~ ~ ~
 67        9|               pas, on ne rêve pas non plus. Tout votre être vous échappe,
 68        9|              les gros temps, il n’y a plus de règlement qui tienne.
 69        9|         malades, en congé, je ne sais plus... Nous finissions de dîner,
 70        9|             quelle émotion. Je restai plus d’une heure stupide et tremblant
 71        9|               mer, le vent, n’avaient plus leurs voix naturelles. A
 72        9|             de trois jours ce n’était plus possible... Comment faire ?
 73        9|              descendait vers l’eau de plus en plus vite, entraînant
 74        9|      descendait vers l’eau de plus en plus vite, entraînant tout l’
 75        9|         montait. Bientôt on ne voyait plus que l’ourlet blanc de l’
 76       10|                       Ce qu’il y a de plus triste dans cette histoire,
 77       10|            éteignirent... On ne parla plus... Le vieux berger s’en
 78       10|         brigadier ; mais cela ne fait plus rire personne.~ ~ ~ ~Grand
 79       10|       viennent, effrayés, à tâtons... Plus de gouvernail ! La manœuvre
 80       10|                  C’est fini, il n’y a plus d’espoir, on va droit à
 81       10|             le petit brigadier ne rit plus... C’est alors que la porte
 82       11|          plaignait. Par les temps les plus rudes, je leur ai toujours
 83       11|              attendrissante.~ ~ ~ ~Le plus gai, le plus satisfait de
 84       11| attendrissante.~ ~ ~ ~Le plus gai, le plus satisfait de tous, était
 85       11|            que chanter, même dans les plus gros temps. Quand la lame
 86       11|             trop fort, on n’entendait plus les paroles ; mais, entre
 87       11|            Palombo, on ne chante donc plus ? »~ ~ ~Palombo ne répondit
 88       11|             je n’ai jamais rien vu de plus lugubre. Bientôt, le froid,
 89       11|               matelots n’en pouvaient plus ; c’était trop loin pour
 90       11|         grèves. Un soupir, et rien de plus !... Si, pourtant, je me
 91       12|           blanche. Pas une âme... Pas plus de Cucugnanais que d’arêtes
 92       12|          cra-cra, dans un grand livre plus gros que celui de saint
 93       12|            parlez pas, que je ne puis plus tenir sur mes jambes...
 94       12|                en glanant, pour avoir plus vite noué sa gerbe, puisait
 95       12|              me mets à l’ouvrage, pas plus tard que demain. Et l’ouvrage
 96       13|                j’en aperçus une autre plus petite. Des volets gris,
 97       13|            saint Irénée dans un livre plus gros qu’elle... Cette lecture
 98       13|              n’y auraient pas produit plus de stupeur que moi. Un vrai
 99       13|             vie, et elle était encore plus ridée que l’autre. Comme
100       13|             ce qu’on peut imaginer de plus touchant.~ ~ ~ ~En entrant,
101       13|            rouge, toute rouge, encore plus rouge que lui... Ces vieux !
102       13|            pour me dire.~ ~ ~« Parlez plus fort... Elle a l’oreille
103       13|               son côté :~ ~ ~« Un peu plus haut, je vous prie !...
104       13|             enfant n’attendait jamais plus tard que midi pour se mettre
105       15|                les cloches ne sonnent plus, les voitures vont au pas...
106       15|          dentelles, le petit Dauphin, plus blanc que les coussins sur
107       15|              La reine sanglote encore plus fort, et le petit Dauphin
108       15|              petit Dauphin a l’air de plus en plus étonné.~ ~ ~ ~Quand
109       15|            Dauphin a l’air de plus en plus étonné.~ ~ ~ ~Quand l’aumônier
110       15|                   Qu’on m’apporte mes plus beaux habits, mon pourpoint
111       15|             tout ! » Et, sans vouloir plus rien entendre, le petit
112       16|            chanter, les sources n’ont plus osé faire de bruit, et les
113       16|              effrontée, il reprend de plus belle : « Messieurs et chers
114       16|              repris le sous-préfet de plus belle ; mais alors, voilà
115       16|            viennent lui chanter leurs plus jolis airs ; et tout le
116       16|             des comices agricoles n’a plus qu’à se voiler la face.~ ~ ~ ~
117       17|               calcinées où ne restait plus l’ombre d’un cil.~ ~ ~ ~
118       17|           longtemps que je ne déjeune plus ! Un pain d’un sou tous
119       17|               à la maison. Je ne peux plus dessiner, je ne peux plus
120       17|             plus dessiner, je ne peux plus écrire... Dicter ?... Mais
121       17|            faire ; à présent il n’y a plus moyen... Alors j’ai pensé
122       17|             et je me consolerai de ne plus écrire en faisant des cornets
123       17|            moi. A présent, je ne fais plus peur à personne. O mes yeux,
124       17|     Savez-vous ce qu’il y a encore de plus horrible pour moi ? C’est
125       17|       horrible pour moi ? C’est de ne plus pouvoir lire mes journaux.
126       17|            fois mariées, il n’y a pas plus bégueules qu’elles. Depuis
127       17|                Et triste ! et laide ! plus laide que moi, si c’est
128       17|              toast de dix minutes, la plus folle et la plus merveilleuse
129       17|          minutes, la plus folle et la plus merveilleuse improvisation
130       17|            intérêts et gros sous bien plus que chez les bourgeois,
131       17|             pas qu’on y meure de faim plus qu’ailleurs ; toutes nos
132       18|              et les cigales ! Je n’ai plus le cœur à rien de gai...
133       18|            pourquoi on ne le laissait plus courir devant la porte avec
134       18|             éteindre, la joue devenir plus creuse. Un jour, enfin,
135       18|              auxquelles il ne voulait plus toucher... Par malheur,
136       18|             il ne lui restait presque plus rien de cette cervelle merveilleuse,
137       18|              et, ne se souvenant déjà plus que la petite femme était
138       19|             strophe à polir, une rime plus sonore à trouver... Mistral
139       19|       Calendal redescend, il ne reste plus un cèdre sur la montagne.~ ~ ~ ~
140       19|              belle langue provençale, plus qu’aux trois quarts latine,
141       19|              voit dans les Alpilles : plus de toits, plus de balustres
142       19|             Alpilles : plus de toits, plus de balustres aux perrons,
143       19|             de balustres aux perrons, plus de vitraux aux fenêtres,
144       20|            mode de la cour de France. Plus bas on voit, vêtus de noir
145       20|     Dépêchons-nous, dépêchons-nous... Plus tôt nous aurons fini, plus
146       20|            Plus tôt nous aurons fini, plus tôt nous serons à table. »~ ~ ~
147       20|           oublie sa messe et ne pense plus qu’au réveillon. Il se figure
148       20|            tous ses gestes pour avoir plus tôt fini. A peine s’il étend
149       20|             est à qui bredouillera le plus vite. Versets et répons
150       20|          messe qui commence. Il n’y a plus que quelques pas à faire
151       20|                    Vite, vite, encore plus vite »~ ~ ~ ~Mais comment
152       20|             comment pourrait-il aller plus vite ? Ses lèvres remuent
153       20|               à peine. Il ne prononce plus les mots... A moins de tricher
154       20|          secoue la petite sonnette de plus en plus fort, de plus en
155       20|            petite sonnette de plus en plus fort, de plus en plus vite.~ ~ ~ ~
156       20|              de plus en plus fort, de plus en plus vite.~ ~ ~ ~Il faut
157       20|              en plus fort, de plus en plus vite.~ ~ ~ ~Il faut voir
158       20|               de Trinquelage n’existe plus, mais la chapelle se tient
159       21|              plumes de paon blanc. Le plus beau, c’était le bois d’
160       21|            chaleur. Ici les orangers, plus hauts, plus espacés qu’à
161       21|             les orangers, plus hauts, plus espacés qu’à Blidah, descendaient
162       21|        Seulement la mer en paraissait plus immense, le ciel plus haut,
163       21|      paraissait plus immense, le ciel plus haut, et cette sieste sans
164       22|            fenêtres sans rideaux fait plus morne et plus déserte encore.
165       22|            rideaux fait plus morne et plus déserte encore. Quelques
166       22|               les autres ? C’est bien plus gai...~ ~– C’est trop gai
167       22|           voix de tantôt reprenant de plus belle :~ ~ ~ ~A pris son
168       22|               qui la faisaient encore plus laide, elle était là comme
169       23|              de La Boétie... Me voilà plus rêveur et plus sombre que
170       23|               Me voilà plus rêveur et plus sombre que jamais... Quelques
171       23|               et qu’il s’étonne de ne plus trouver... « Une, deux,
172       23|           eûmes pas de meilleur ni de plus féroce soldat que lui tant
173       23|             envoie à ma rencontre son plus charmant sourire et m’invite
174       23|              Soudain, au milieu de sa plus belle période, le juif est
175       23|             peur, mais gazouillant de plus belle son éternel zouge
176       23|              vu... Il n’a rien vu non plus, ce petit Maltais dont les
177       23|              pauvre Iscariote a l’air plus mort que vif. Il passe devant
178       23|           Jacques, et la colonie en a plus qu’il ne lui en faut. Rien
179       23|                 un peu lourde mais du plus haut goût – et des biscuits
180       23|              de cette chambre est des plus simples : un divan, quelques
181       24|           remuait ce sol mouvant ; et plus on en tuait, plus il y en
182       24|        mouvant ; et plus on en tuait, plus il y en avait. Elles grouillaient
183       24|            chaleur. Cette nuit-là non plus je ne pus pas dormir. D’
184       24|               laissée derrière elle ! Plus une fleur, plus un brin
185       24|       derrière elle ! Plus une fleur, plus un brin d’herbe : tout était
186       25|            eau des bénitiers. Mais le plus triste de tout, c’était
187       25|     mystérieux élixir. Nous n’aurions plus alors qu’à le mettre en
188       25|            mains. L’argentier, encore plus ému que tous les autres,
189       25|              le chapitre, il n’en fut plus question dans le couvent.
190       25|              le couvent. On ne connut plus désormais que le révérend
191       25|             exorcisé et continuant de plus belle ses palatin et ses
192       25|            bien décidé désormais à ne plus me servir que de l’éprouvette.
193       25|             le tenait, et ne le lâcha plus.~ ~ ~ ~C’est la distillerie
194       25|                je me damne... » ~ ~Le plus terrible, c’est qu’au fond
195       25|              est fini... Je n’en fais plus... Rendez-moi mes vaches.~ ~ ~–
196       25|              le chapitre qui ne riait plus.~ ~ ~« Mais, malheureux,
197       26|              les oiseaux de prime non plus ne manquaient pas.~ ~ ~«
198       26|    merveilleuse petite ville, une des plus pittoresques de France,
199       26|           lancer le rire ou la malice plus loin... La cloche sonne ;
200       26|              De l’autre, la Camargue, plus verte, qui prolonge jusqu’
201       26|          descendons, il n’y a presque plus personne à bord.~ ~ ~ ~Le
202       26|              derrière lui s’emportent plus haut avec des cris sauvages.~ ~ ~ ~
203       26|             flambent. On rit d’autant plus qu’on est plus las. C’est
204       26|               d’autant plus qu’on est plus las. C’est un étourdissement
205       26|     clignotant lui aussi, il ne reste plus que le garde et moi. Nous
206       26|               inexpérience. Aussi, le plus souvent, je vais à l’espère
207       26|              armature surmenée. Puis, plus rien. C’est la nuit, la
208       26|             moi, puis un autre un peu plus loin... Maintenant tout
209       26|               qui lui ressemble, mais plus rustique. C’est là que notre
210       26|          vannes) des étangs. Les deux plus jeunes sont à Arles, chez
211       26|              lui : mais à deux lieues plus loin, dans le marécage,
212       26|            Vaccarès~ ~Ce qu’il y a de plus beau en Camargue, c’est
213       26|            aspect admirable. Ce n’est plus le charme intime des clairs,
214       26|             la main du gardien...~ ~ ~Plus loin, toujours sur la même
215       27|                    Il ne voit pas non plus les fines toiles d’araignée
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