Partie

 1        2|     pleines de rosée jusqu’au bord.~ ~ ~ ~
 2        5|       Une fois, s’avançant au bord d’un plateau, une fleur
 3        9|  logeait un aigle. En bas, au bord de l’eau, un lazaret en
 4        9|       jours de grand vent, le bord de l’eau n’étant pas tenable,
 5       10|     train qui se trouvaient à bord... Ces pauvres tringlots
 6       10|     le monde est tranquille à bord...~ ~ ~Le matin, la brume
 7       11|   Emilie, de Porto-Vecchio, à bord duquel j’ai fait ce lugubre
 8       11|  pouvait pas allumer de feu à bord, et la rive était souvent
 9       11|       silence et l’anxiété du bord, la voix tranquille de Palombo
10       11|       sans raison. En bas, au bord de l’eau, une petite maison
11       13|   remplit de cerises jusqu’au bord ; Maurice les aimait tant,
12       16|         et sur les ormeaux du bord du chemin, tout couverts
13       24|     la baie des cheminées. Au bord des boiseries, dans les
14       25|       baisait avec respect le bord tout effrangé de sa cuculle...
15       25|    son gobelet plein jusqu’au bord. Alors, à bout de forces,
16       26|       presque plus personne à bord.~ ~ ~ ~Le Mas-de-Giraud
17       26| chasse, je viens m’asseoir au bord de ce lac salé, une petite
18       26|      chevaux dispersés sur le bord. Ils ont tous des noms retentissants : «