186-coupe | coura-gamba | gamel-peino | peint-taure | te-zou
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1004 4| bon et continuait de virer courageusement sur sa butte, à la barbe 1005 24| restait éveillé. Des flammes couraient au ras du sol d’un bout 1006 10| trois ans de cela.~ ~ ~ ~Je courais la mer de Sardaigne en compagnie 1007 10| la flamme du bivouac se courbait sous la rafale ; et j’entendais 1008 26| agrandir le paysage. Tout se courbe devant lui. Les moindres 1009 26| tamaris l’arête de leurs dos courbés, et leurs petites cornes 1010 5| belles dents. Notre petite coureuse en robe blanche fit sensation. 1011 10| cachées par l’herbe... Pas une couronne d’immortelles, pas un souvenir ! 1012 21| Atlas, verte à sa base, couronnée de neige comme d’une fourrure 1013 26| hommes et de chevaux aux courses d’Arles, de Nîmes, de Tarascon. 1014 26| reportent au temps de Guillaume Court-Nez et des Sarrasins. A cette 1015 23| tour à tour avocat, avoué, courtier, expert, interprète, teneur 1016 15| sont pleines de pages et de courtisans en habits de soie qui vont 1017 4| Sans perdre une minute, je courus chez les voisins, je leur 1018 25| un murmure d’étonnement courut dans les trois nefs. On 1019 23| retraite. D’ailleurs, les coussinets d’or de SidOmar dansent 1020 23| de s’expliquer à coups de couteau...~ ~ ~Je reviens à l’hôtel, 1021 3| plus que de voir luire les couteaux, et ma foi, je crois bien 1022 11| que la viande et le vin coûtent cher et qu’ils ne gagnent 1023 23| gorge de sa mère sous le couvercle d’un grand coffre... La 1024 20| forge, la buée qui monte des couvercles entrouverts, et dans cette 1025 4| village, les collines étaient couvertes de moulins à vent. De droite 1026 23| entièrement nus sous de longues couvertures crasseuses, et racontant 1027 12| à sa ceinture, écrivait, cra-cra, dans un grand livre plus 1028 23| Barbarie.~ ~ ~ ~Le Nègre crache en signe de mépris et s’ 1029 23| venge le peuple juif. Ne crains rien ; tu as la loi pour 1030 21| discrètement, comme s’il eût craint de réveiller quelqu’un. 1031 7| elle, avait toujours des craintes et plus que jamais surveillait 1032 18| ses mains, soupçonneux et craintif comme un avare, fuyant les 1033 10| île, s’approcha de nous craintivement.~ ~ ~ ~C’était un vieux 1034 10| terre, par groupes, en se cramponnant aux bancs ; il faut crier 1035 13| hisse, les petites bleues cramponnées à sa chaise, Mamette derrière 1036 10| tendus, des mains qui se cramponnent, des regards effarés où 1037 3| faut dire aussi qu’elle est crânement jolie, la petite rémouleuse... 1038 20| dit que leur peau allait craquer en rôtissant, tellement 1039 23| sous de longues couvertures crasseuses, et racontant d’une mimique 1040 16| comices agricoles, et, le crayon levé, commence à déclamer 1041 8| latin sur les places, les crécelles des frères quêteurs, puis, 1042 20| Evangile, passe devant le Credo sans entrer, saute le Pater, 1043 24| et de lentisques. Tout à créer, tout à construire. A chaque 1044 26| Arles ; des remparts bas et crénelés, comme on en voit sur les 1045 26| le long des grands murs crépis, blanchis à la chaux, des 1046 9| étincelante et chaude, rien que le crépitement de la flamme, le bruit de 1047 24| de Staouëli, les vins de Crescia, des goyaves, des bananes, 1048 24| Partout des laboureurs creusaient la terre pour tuer les œufs 1049 21| inscription que je voyais de loin creusée dans la pierre, sans en 1050 25| Figurez-vous qu’à force de creuser ma pauvre tête déjà si creuse, 1051 26| blanche des roubines se crevasse à la grande chaleur, l’île 1052 9| barbus, le même visage tanné, crevassé, le même pelone (caban) 1053 22| figure de paysanne, ridée, crevassée, couleur de terre, encadrée 1054 4| coin trois ou quatre sacs crevés d’où coulaient des gravats 1055 10| Attention, Nardi ! cria-t-il, le feu s’éteint. »~ ~ ~ 1056 12| et, les mains jointes, je criais miséricorde. Alors, saint 1057 8| fallut la descendre avec un cric, des cordes, une civière. 1058 15| avec colère : « Mais alors, crie-t-il, d’être Dauphin, ce n’est 1059 26| porte saute, les roseaux crient, et toutes ces secousses 1060 13| ouverte – et, en entrant tu crieras bien fort :~ ~ ~« Bonjour, 1061 8| moutardier... Mes cardinaux crieront, mais tant pis ! j’y suis 1062 21| odeur du gaz, au bruit des crin-crins, à la poussière des banquettes 1063 17| fillette, deux ou trois crins jaunes tout frisés ; et 1064 20| casseroles, le choc des cristaux et de l’argenterie remués 1065 23| œil fixé sur les doubles croches, ivres de rythme et de tapage, 1066 12| frères, dit-il, vous me croirez si vous voulez ; l’autre 1067 13| embrassant, les pauvres gens croiront m’embrasser un peu moi-même... 1068 20| dans l’embrasure des hautes croisées dont les vitraux coloriés 1069 26| les ruines. Pourtant nous croisons déjà, le long des fossés, 1070 26| leurs petites cornes en croissant qui se dressent. La plupart 1071 5| groupe de chamois en train de croquer une lambrusque à belles 1072 17| en habit râpé, cagneux, crotté, l’échine basse, grelottant 1073 25| fendaient, les saints de pierre croulaient dans leurs niches. Pas un 1074 17| des maladies d’enfants : croup, convulsions, scarlatine, 1075 8| sûr, le poil luisant, la croupe large et pleine, portant 1076 13| Grand Dieu ! »~ ~ ~Je croyais qu’il s’agissait encore 1077 11| notre approche. Peut-être croyait-il que nous avions des gendarmes 1078 17| ma chambre avec fureur, croyant toujours entendre le ricanement 1079 12| Alors, saint Pierre :~ ~ – Croyez-moi, monsieur Martin, il ne 1080 3| toujours il la reprend... Croyez-vous qu’il a de la patience, 1081 8| mettait des ailes, on avait la cruauté de le lui apporter, là, 1082 23| pluie, chassée par un vent cruel, inonde parfois les jambes 1083 8| vilains tours ! Il avait de si cruelles inventions après boire !... ~ ~ 1084 25| bord tout effrangé de sa cuculle... Puis chacun revint à 1085 5| une minute, la gourmande cueillait en hâte encore un brin de 1086 21| des Parisiens, ce fruit cueilli au loin, banal dans sa rondeur, 1087 25| simples que nous allions cueillir ensemble dans les Alpilles. 1088 8| insignes de son grade : la cuiller de buis jaune et l’habit 1089 20| réveillon. Il se figure les cuisiniers en rumeur, les fourneaux 1090 24| nuage venant à l’horizon, cuivré, compact, comme un nuage 1091 9| entrant j’étais ébloui. Ces cuivres, ces étains, ces réflecteurs 1092 7| veste trop courte et des culottes en lambeaux... Je m’arrêtai. 1093 20| ps... ps... ps...~ ~« Mea culpa... pa... pa... » ~ ~Pareils 1094 18| j’ai des orchestres de culs-blancs, des orphéons de mésanges ; 1095 26| le pays.~ ~ ~ ~Les terres cultivées dépassées, nous voici en 1096 24| Mauvais temps pour la culture, me dit-il... voilà le sirocco. »~ ~ ~ 1097 6| Stéphanette se mit à regarder curieusement autour d’elle. Relevant 1098 20| foulant le raison de la cuve, tous deux barbotent dans 1099 26| soleil comme d’immenses cuves, gardant tout au fond un 1100 8| petits bibliothécaires à cymbales qui vous font de la musique 1101 5| un plateau, une fleur de cytise aux dents, elle aperçut 1102 25| et l’esprit fin comme une dague de plomb. Fervent chrétien 1103 19| main, chapes, ostensoirs, dais de velours vert, crucifix 1104 20| les soies voyantes et les damas brochés. Puis viennent les 1105 20| précipite ainsi dans la damnation éternelle, toujours suivi 1106 20| Garrigou ; et tout le temps la damnée petite sonnette est là qui 1107 23| dames en raffolent. Comme dandysme, il n’a qu’un rival : le 1108 11| nous dit-elle. Pas de danger que celui-là se perde dans 1109 11| louvoyer sur ces côtes si dangereuses. Pour se nourrir, ils n’ 1110 23| coussinets d’or de SidOmar dansent autour de moi des farandoles 1111 17| faveur, n’étant ni mère de danseuse, ni veuve d’officier-sperrior. 1112 13| deux doigts de lait, des dattes et une barquette, quelque 1113 12| de sa brouette.~ ~ ~« Et Dauphine, qui vendait si cher l’eau 1114 15| suis le Dauphin, et que les Dauphins ne peuvent pas mourir ainsi... » 1115 12| Sainte-Croix ! Jésus, fils de David ! ! ai ! est-il possible ?... 1116 13| SUR... LUI...ET...LE... ... VO...RÈ...RENT... C’est 1117 4| Pourtant, au milieu de la débâcle, un moulin avait tenu bon 1118 11| pelone en poils de chèvre. En débarquant je l’avais déjà remarqué, 1119 10| contentâmes.~ ~ ~ ~A peine débarqués, tandis que les matelots 1120 25| cette grave question se débattait dans le chapitre on vint 1121 25| petite porte du chœur, se débattant comme un exorcisé et continuant 1122 8| ne voulait rien faire et débauchait les apprentis. Pendant six 1123 18| jour, enfin, au matin d’une débauche folle, le malheureux, resté 1124 20| méprises, le digne homme débite son office très consciencieusement, 1125 5| forêt de fleurs sauvages débordant de sucs capiteux !... ~ ~ 1126 6| égouttement des feuilles et le débordement des ruisseaux gonflés, les 1127 8| souches, alors il faisait déboucher un flacon de vin du cru – 1128 16| le ventre, dans l’herbe, débraillé comme un bohème. Il avait 1129 23| Milianah, toutes jeunes, qui débutent au théâtre... Les parents 1130 26| dépouillée, par ce matin de décembre où la verdure pâle des oliviers 1131 26| trouve assis devant sa porte, déchiffrant lentement, avec une application 1132 3| avec une expression de voix déchirante.~ ~ ~ ~A ce moment, la diligence 1133 24| seconde un effrangement, une déchirure. Comme les premiers grains 1134 25| tour... Aussi je suis bien décidé désormais à ne plus me servir 1135 15| la porte, attendant les décisions de la Faculté. Des marmitons 1136 16| crayon levé, commence à déclamer de sa voix de cérémonie : « 1137 1| pousse dans les briques, déclare le sieur Daudet trouver 1138 23| vient seul, sans témoins, déclarer qu’il aime mieux s’en rapporter 1139 26| à l’heure où le soleil décline, ces trois lieues d’eau 1140 10| après nous, et la mer ne décolérait pas.~ ~ ~ ~Un soir que nous 1141 23| scène, poudrées, fardées, décolletées et toutes raides. Elles 1142 19| pluie, et enfin, parmi ces décombres, deux ou trois familles 1143 4| annoncer aux enfants ma déconvenue... Ces pauvres agneaux ne 1144 19| Des lanternes de papier découpé s’allumaient partout dans 1145 2| l’horizon, les Alpilles découpent leurs crêtes fines... Pas 1146 11| entrer un grand gars bien découplé, vrai type de braconnier 1147 26| des fermes ; et dans les découpures de pierre de l’abbaye de 1148 26| et s’étire d’un air las, découragé, et insolent...~ ~ ~Eh bien ! 1149 5| Cependant, il ne se découragea pas, et, après avoir perdu 1150 26| appelé le Romain, qui a décousu je ne sais combien d’hommes 1151 23| la gorge et les jambes découvertes, de gros bracelets de fer 1152 23| romans de Paul de Kock, je découvre un volume dépareillé de 1153 8| le dos –, j’ai fini par découvrir ce que je voulais, c’est-à-dire 1154 4| longue pourtant tout se découvrit ; voici comment :~ ~ ~« 1155 19| voir avec quel amour sont décrites ces belles faïences ; une 1156 25| montrer au soleil sa crosse dédorée et sa mitre de laine blanche 1157 19| or, grands saints de bois dédorés portés à quatre épaules, 1158 23| l’œil éteint, le visage défait ; ne marchant pas, se traînant... 1159 10| aux hommes, presque tous défigurés, mutilés affreusement... 1160 25| chanoines habillés de frais qui défilaient deux par deux avec des mines 1161 25| procession de la Fête-Dieu, défilant tristement dans leurs capes 1162 2| chapes.~ ~ ~ ~Tout cela défile devant nous joyeusement 1163 19| une heure un interminable défilé de pénitents en cagoule, 1164 27| éloigne, tout mon Paris défiler entre les pins...~ ~ ~Ah ! 1165 24| d’un moment les ouvriers défilèrent sur la route. Des vignerons 1166 10| pensée le pauvre navire défunt et l’histoire de cette agonie 1167 22| groupe de maisons blanches se dégagea de la poussière de la route. 1168 27| hoquets, les briquets qu’on dégaine, la romance sentimentale 1169 16| Il s’accoude sur l’herbe, dégrafe son bel habit, balbutie 1170 25| rosace du portail, il en dégringolait bien vite, effaré d’avoir 1171 27| lavande, et les pins qui dégringolent jusqu’en bas sur la route... 1172 14| ma chère Provence s’était déguisée en pays du Nord ; et c’est 1173 5| petite chèvre blanche et la dégustant par avance. Comme il savait 1174 17| eau-de-vie. Il commença à la déguster par petites fois, d’un air 1175 17| chez moi – pendant que je déjeunais – un vieil homme en habit 1176 19| rentrer de la messe ; nous déjeunons, et puis, zou ! nous allons 1177 17| oraison funèbre de M. le délégué, toujours la même : « Cher 1178 25| revint à sa chaire pour délibérer ; et, séance tenante, le 1179 20| prête pour le festin. Ô délices ! voilà l’immense table 1180 8| passé là quelques journées délicieuses, et, après une semaine de 1181 11| aggravèrent son mal. Le délire le prit ; il fallut aborder.~ ~ ~ ~ 1182 22| est-ce que vous voulez ? me demanda-t-elle en essuyant ses yeux.~ ~ ~– 1183 7| en savoir plus long, je demandai au voiturier de monter à 1184 10| chose s’est-elle passée ? demandai-je au patron qui, la tête dans 1185 26| rencontrer. Un jour que je demandais au roudeïroù la raison de 1186 8| elle n’aurait pas mieux demandé, elle, que de descendre... 1187 23| charge de l’affaire : il demandera au tribunal deux mille francs 1188 13| promenade. En arrivant, tu demanderas le couvent des Orphelines. 1189 6| galants ; et à ceux qui me demanderont ce que ces choses-là pouvaient 1190 12| que voulez-vous et que demandez-vous ? dit l’ange.~ ~ – Bel ange 1191 8| derrière elle, son sabot lui démangeait, et vraiment il y avait 1192 25| crosse de monseigneur se démène... Mais le père Gaucher 1193 18| était lourde et son crâne démesuré. Il vécut cependant et grandit 1194 9| monotone psalmodiant la vie de Démétrius de Phalère...~ ~ ~A minuit, 1195 5| elle s’habituât mieux à demeurer chez lui.~ ~ ~ ~Ah ! Gringoire, 1196 18| de la couleur un peu trop demi-deuil de mes historiettes, et 1197 23| bras du juge de paix. Une demi-douzaine de petits Arabes à moitié 1198 10| Sémillante, puisque une demi-heure après le berger des îles 1199 13| Dans le calme et le demi-jour d’une petite chambre, un 1200 26| temps l’un à l’autre des demi-mots à la façon des paysans, 1201 9| de ces belles heures de demi-sommeil et d’éparpillement !... ~ ~ 1202 10| matelots causèrent entre eux à demi-voix... Puis, l’une après l’autre, 1203 23| général paraît, entouré de ses demoiselles ; sur la place, le sous-préfet 1204 5| herbe ! Savoureuse, fine, dentelée, faite de mille plantes... 1205 25| Provence, fines, grises, dentelées, brûlées de parfums et de 1206 20| chapelle pour lui répondre un « Deo gratias » si joyeux, si 1207 17| tous les jours, dans les départements, une locomotive qui chauffe 1208 26| Les terres cultivées dépassées, nous voici en pleine Camargue 1209 24| goyaves, des bananes, tout un dépaysement de mets qui ressemblaient 1210 24| leurs fleurs et leurs fruits dépaysés. Entre les champs de blé 1211 13| Je crois bien qu’elles se dépêchaient. A peine le temps de casser 1212 25| qui n’eût au fond de sa dépense, entre les bouteilles de 1213 3| en train, avait besoin de dépenser le restant de sa verve, 1214 23| Omar a soixante ans. En dépit de l’âge et de la petite 1215 8| activité qu’il venait de déployer pendant la journée de sauvetage.~ ~ ~ ~ 1216 17| jambes comme un échassier déplumé. C’était Bixiou. Oui, Parisiens, 1217 1| Daudet, poète, a mis et déposé sur le bureau en espèces 1218 26| Arles, un peu sèche, un peu dépouillée, par ce matin de décembre 1219 24| allure de leurs branches dépouillées, sans le charme, le flottant 1220 26| se montrer à la moindre dépression du sol. Ici, l’impression 1221 22| bouteilles, essuyant des verres, dérangeant les mouches... On sentait 1222 17| huissiers n’y sont pas faciles à dérider. C’est tous d’anciens professeurs. »~ ~ ~ 1223 10| impossible... La Sémillante en dérive, file comme le vent... C’ 1224 26| vite éteintes comme les dernières étincelles des sarments 1225 26| mistral, les deux rivages se déroulent. D’un côté c’est la Crau, 1226 2| déroute, et tous ces petits derrières blancs qui détalent, la 1227 8| C’est la mule qui fut désappointée le lendemain !~ ~ ~« Ah ! 1228 24| homme à qui on annonce un désastre, et nous sortîmes précipitamment. 1229 9| œil à ses mèches, et nous descendions. Dans l’escalier on rencontrait 1230 11| sinistre. C’est là qu’on descendit le malheureux Palombo. Triste 1231 26| du Mas-de-Giraud où nous descendons, il n’y a presque plus personne 1232 9| encore aujourdhui, quand je descends ce côté de l’île par un 1233 20| déjà troublé par toutes ces descriptions gastronomiques, ils se répétait 1234 22| prenait la tête comme si elle désespérait d’en venir à bout.~ ~ ~ ~ 1235 20| milieu du chœur, agitait désespérément une sonnette sans grelot 1236 23| boutons de nacre – fait le désespoir et l’envie de toute la garnison. 1237 25| étaient des larmes, des désespoirs, et le jeûne, et le cilice, 1238 4| mourir... Le moulin est déshonoré. »~ ~« Et il sanglotait 1239 26| espère quel joli nom pour désigner l’affût, l’attente du chasseur 1240 18| portait dans la tête, fou de désirs, ivre de sa puissance, il 1241 8| Et la pauvre mule se désolait, et, tout en rôdant sur 1242 7| Ah ! monsieur, quelle désolation !... Le père porte encore 1243 19| bois de cyprès au milieu desquels le pays de Maillane s’abrite 1244 26| captivité même. Au lieu de ce dessèchement, de cette aridité qui attristent 1245 26| roseaux, des murs de roseaux desséchés et jaunes, c’est la cabane. 1246 19| dans les verres...~ ~ ~Au dessert, je vais chercher le cahier 1247 8| poètes jour et nuit, et desservie par de petits bibliothécaires 1248 17| fais des calembours, ou je dessine d’un trait sur un coin de 1249 17| maison. Je ne peux plus dessiner, je ne peux plus écrire... 1250 18| monstrueux qu’il tenait du Destin ; et, comme ils l’avaient 1251 8| Et elle vous lui détacha un coup de sabot si terrible, 1252 23| envie de toute la garnison. Détaché au bureau arabe, il est 1253 21| temps, une orange mûre, détachée tout à coup, tombait près 1254 24| giboulée, quelques-unes se détachèrent, distinctes, roussâtres ; 1255 17| figurez-vous tout cela, raconté, détaillé, gesticulé par un grimacier 1256 23| entre une histoire très détaillée de l’enregistrement et quelques 1257 2| petits derrières blancs qui détalent, la queue en l’air, dans 1258 22| les chevaux fumants qu’on dételait, les voyageurs descendus 1259 22| Jonquières. Les rouliers font un détour pour passer par chez elle... 1260 26| grande plaine où rien ne le détourne, ne l’arrête, il faut voir 1261 10| sa cervelle en est restée détraquée. Le fait est qu’il y avait 1262 17| on s’étripe, où l’on se détrousse, où l’on parle intérêts 1263 1| et en franchise de toutes dettes, privilèges et hypothèques,~ ~ 1264 18| mon moulin en est tout en deuil. Adieu les courlis et les 1265 12| chœur qui chantaient Te Deum, le chemin éclairé de la 1266 4| chargés de sacs, montant et dévalant le long des chemins ; et 1267 25| fit le malheureux père en devenant tout rouge... Voilà deux 1268 26| enfermé dans les terres et devenu familier par sa captivité 1269 8| yeux... Mais elle est donc devenue folle ! Mais elle va se 1270 17| suicidés, et ceux qui sont devenus fous ; figurez-vous tout 1271 9| égoutte, de la chaîne qui se dévide ; et une voix monotone psalmodiant 1272 23| revient à chaque instant, je devine tout ce beau discours :~ ~ ~« 1273 10| soldats du train, m’aidaient à deviner toutes les péripéties du 1274 20| se rue sur le missel et dévore les pages avec l’avidité 1275 17| Pourtant les protections ne devraient pas me manquer. J’étais 1276 18| pour broyer du noir ; je devrais plutôt expédier aux dames 1277 23| sang, le fils d’un ancien dey d’Alger qui mourut étranglé 1278 25| qu’au fond de cet élixir diabolique, il retrouvait, par je ne 1279 12| le jour, avec une clef de diamant pendue à sa ceinture, écrivait, 1280 27| oreiller de planche, la diane froide par les matins pluvieux, 1281 17| je ne peux plus écrire... Dicter ?... Mais quoi ?... Je n’ 1282 19| de vieux bouquins et de dictionnaires. Au milieu de ce bureau, 1283 8| pape~ ~De tous les jolis dictons, proverbes ou adages, dont 1284 9| sentait tout de suite la différence des deux races. Le Marseillais, 1285 23| sont convenues de porter le différend devant SidOmar et de s’ 1286 22| seuls dans le pays, c’était différent : nous avions le relais, 1287 23| donnant le sein.~ ~ ~ ~L’orage diminue. Profitant d’une embellie, 1288 26| heure qui tombe, la lumière diminuée, réfugiée dans l’eau, les 1289 17| très lancé autrefois. Je dînais chez le maréchal, chez le 1290 12| Cucugnanais que d’arêtes dans une dinde.~ ~ – Comment ! Personne 1291 2| pied : pigeons, canards, dindons, pintades. La basse-cour 1292 23| de sonner les vêpres ?... Ding ! Dong ! voilà les cloches 1293 9| Bartoli, pendant que nous dînions –, voici ce qui m’est arrivé 1294 8| Jeanne pour s’exercer à la diplomatie et aux belles manières. 1295 21| que le fruit nous arrive directement du Midi à pleines caisses, 1296 6| par-dessus nos têtes dans la même direction, comme si cette plainte 1297 23| cour des miracles et je me dirige vers le dîner de SidOmar ; 1298 8| salua d’un air galant et se dirigea vers le haut perron, où 1299 6| très tard. Le matin je me disais : « C’est la faute de la 1300 18| sommes donc bien riches ? » disait-elle.~ ~ ~ ~Le pauvre homme répondait :~ ~ ~« 1301 24| faisait un vacarme effrayant, discordant, que dominaient d’une note 1302 21| splendide, un rayonnement discret comme de l’or voilé de claires 1303 25| encore un peu que je vous dise... Quand vous goûtez ainsi 1304 8| à rafraîchir. Jamais de disettes ; jamais de guerre... Voilà 1305 3| tambour à grelots. Nous lui disions tous :~ ~ – Cache-toi ; 1306 20| vent fait battre sa porte disjointe, l’herbe encombre le seuil ; 1307 12| Voyons un peu : Cucugnan, disons-nous. Cu... Cu... Cucugnan. Nous 1308 24| Lucquois ; tout un peuple disparate, difficile à conduire. A 1309 20| les vitraux coloriés ont disparu depuis longtemps. Cependant 1310 6| vides.~ ~ ~ ~Lorsqu’elle disparut dans le sentier en pente, 1311 25| prévenir tout accident, je vous dispense dorénavant de venir à l’ 1312 23| au bureau arabe, il est dispensé des corvées, et toujours 1313 12| au bercail son troupeau dispersé.~ ~ ~ ~Or, vous aller voir 1314 26| long du rivage, de façon à disposer leurs teintes diverses en 1315 23| cigarettes... On a mis à ma disposition toute la bibliothèque de 1316 21| les milliers d’oranges disséminées par les rues, toutes ces 1317 21| atmosphère à de grandes distances, ce murmure cadencé, la 1318 26| Déjà un premier rayon est distinct près de moi, puis un autre 1319 24| quelques-unes se détachèrent, distinctes, roussâtres ; ensuite toute 1320 26| pauvre diable n’a pas d’autre distraction que la lecture, ni d’autres 1321 20| barrettes blanches qui donne des distractions à l’officiant ? Ne serait-ce 1322 23| remparts arabes, j’essaie de me distraire en allumant des cigarettes... 1323 22| Elle disait cela d’une voix distraite, indifférente, le front 1324 24| fermier, devant la porte, distribuait sa tâche de la journée d’ 1325 6| Poussinière, plus pressée, partit, dit-on, la première, et prit le 1326 23| A une des fenêtres de la division, le général paraît, entouré 1327 25| Dix-sept... dix-huit... dix-neuf... vingt !... ~ ~Les gouttes 1328 25| homme commençait.~ ~ .. Dix-sept... dix-huit... dix-neuf... 1329 5| Gringoire ? – et puis, docile, caressante, se laissant 1330 6| leur marche silencieuse, dociles comme un grand troupeau ; 1331 15| manches noires et incliner doctoralement leurs perruques à marteaux... 1332 12| dit.~ ~ ~« Je vis Pascal Doigt-de-Poix, qui faisait son huile avec 1333 6| pauvre berger ? Comme tu dois t’ennuyer d’être toujours 1334 21| minaret d’une mosquée, le dôme d’un marabout, et au-dessus 1335 24| effrayant, discordant, que dominaient d’une note suraiguë les « 1336 21| jardinet assez bizarre que je dominais de la hauteur où je me trouvais. 1337 22| limonade qui sautaient, et dominant tout ce tumulte, une voix 1338 25| la communauté... Oremus, Domine... » ~ ~Et pendant que sur 1339 20| ou trois fois, au lieu de Dominus vobiscum il se surprend 1340 18| parents lui révélèrent le don monstrueux qu’il tenait 1341 23| sonner les vêpres ?... Ding ! Dong ! voilà les cloches parties !... 1342 20| aime tant les truffes !... Donne-moi vite mon surplis, Garrigou... 1343 23| leurs consultations – les donnent-ils ? – entre l’absinthe et 1344 5| il viendra ? :~ ~– Je lui donnerai des coups de cornes, monsieur 1345 2| et je vous jure que je ne donnerais pas ce spectacle pour toutes 1346 23| coup de deux heures, il donnerait aux églises de Milianah 1347 7| tout de même, nous te la donnerons... » ~ ~Le père, rouge de 1348 8| récompenser des soins qu’il avait donnés à sa bête, et principalement 1349 8| juges, tous, tous, jusqu’aux donneurs d’eau bénite, et celui qui 1350 17| faire à vous ?... Allons, donnez-moi encore un peu de cette eau-de-vie. 1351 21| de verres de couleur, et doraient l’air environnant avec cette 1352 25| doigts d’une liqueur verte, dorée, chaude, étincelante, exquise... 1353 6| Jean de Milan, qui avait dormi trop tard, resta tout à 1354 6| savez qu’à l’heure où nous dormons, un monde mystérieux s’éveille 1355 13| se réveillent :~ ~ ~« Tu dors, Mamette ?~ ~ ~– Non, mon 1356 11| nous. Quand il entra, la douanière rougit un peu.~ ~ ~« C’est 1357 24| une ombre gigantesque qui doublait leur laideur. Et toujours 1358 23| 3e ! L’œil fixé sur les doubles croches, ivres de rythme 1359 25| communauté de s’enrichir doucettement, comme ont fait nos frères 1360 18| comptoir et la regardait douloureusement d’un air hébété. Il tenait 1361 23| vont gagner des milliers de douros a ce commerce-là. La légende 1362 18| pauvre petit lui-même ne se douta de rien. De temps en temps, 1363 25| demanda le prieur, qui se doutait bien un peu de ce qu’il 1364 8| Ah ! le bandit ! il s’est douté de quelque chose pensait-elle 1365 23| discours :~ ~ ~« Nous ne doutons pas de SidOmar, SidOmar 1366 23| assistance est nombreuse. Une douzaine de chefs sont accroupis, 1367 23| Milianah, on les compte par douzaines. En général, pour éviter 1368 23| haute taille, pâle, fier, drapé dans un burnous noir. Cet 1369 23| chapeau d’ardoises et le drapeau français qui flotte dessus, 1370 2| grands coquins de bergers drapés dans des manteaux de cadis 1371 15| devant tous, comme ferait une drapière.~ ~ ~ ~Dans sa couchette 1372 19| tour de main la table est dressée : un beau linge blanc et 1373 21| petites chapelles mortuaires, dressées au milieu de jardins à elles 1374 26| cornes en croissant qui se dressent. La plupart de ces bœufs 1375 13| deux petits lits de vieux, dressés l’un à côté de l’autre...~ ~ ~ 1376 24| dressaient silencieux et droits, en panaches réguliers.~ ~ ~ ~ 1377 12| Il vous en souvient, mes drôles !... Mais passons, j’en 1378 24| cette grêle d’insectes tomba drue et bruyante. A perte de 1379 22| pain de Beaucaire aussi dur que du grès, et une bouteille 1380 19| que l’argent des poètes a duré, ceux qui ont frappé chez 1381 17| comment les huissiers de M. Duruy se trouvèrent de sa visite 1382 9| hôte, quoique au fond il dût leur paraître un monsieur 1383 13| SAINT... I... RÉ... NÉE S’É... CRI... A JE... SUIS... 1384 22| déserte et morne, que le jour éblouissant de trois grandes fenêtres 1385 8| coup sur une plate-forme éblouissante de lumière, et qu’à mille 1386 21| mettait des espaces bleus éblouissants comme des morceaux de verre 1387 26| leurs glaces, donnent l’éblouissement du palais des Ptolémées, 1388 26| froissement des plumes, l’ébouriffement du duvet dans l’air vif, 1389 7| bête ! »~ ~ ~La charrette s’ébranla pour partir. Moi, qui voulais 1390 22| mouvement. La diligence s’ébranlait dans la poussière. On entendait 1391 26| reviennent chanter sous la porte ébranlée avec le charme d’un refrain... 1392 26| bien petit écho du grand ébranlement de la nature autour de moi. 1393 20| sur un lit de fenouil, l’écaille nacrée comme s’ils sortaient 1394 18| d’or s’en alla vivre à l’écart, du travail de ses mains, 1395 20| leurs plumes, les faisans écartant leurs ailes mordorées, les 1396 8| plus bel exemple de rancune ecclésiastique.~ ~ ~ ~ 1397 9| plus. Tout votre être vous échappe, s’envole, s’éparpille. 1398 17| pauvre petite n’en avait pas échappé une !)~ ~ ~Enfin une grande 1399 17| longues jambes comme un échassier déplumé. C’était Bixiou. 1400 13| quelque chose comme un échaudé ; de quoi la nourrir elle 1401 4| partant, avait laissé son échelle dehors, et tout de suite 1402 17| râpé, cagneux, crotté, l’échine basse, grelottant sur ses 1403 23| grand bruit. Personne aux échoppes. Brodeurs, tailleurs, bourreliers – 1404 27| voitures de gala qui vous éclaboussent en passant !... Oh ! la 1405 10| de la mort passe comme un éclair...~ ~ ~Miséricorde !... ~ ~ 1406 11| subite de la flamme qui éclairait tout à coup les visages 1407 21| éclatantes. Çà et là des éclaircies laissaient voir à travers 1408 6| Etoile du Berger, qui nous éclaire à l’aube quand nous sortons 1409 23| éclate. Pluie, tonnerre, éclairs, sirocco... Vite, abritons-nous. 1410 19| les vêpres, les pétards éclataient sur la place, les fifres 1411 21| splendeur qui entoure les fleurs éclatantes. Çà et là des éclaircies 1412 24| pétillement des gousses qui éclatent à la grande chaleur. Cette 1413 17| terrible aveugle. Mon encrier m’écœurait, ma plume me faisait horreur. 1414 24| Fatigué de tuer, écœuré par l’odeur infecte, je 1415 27| Oh ! la barrière de l’Ecole, les filles à soldats, le 1416 19| la langue provençale des écoles ! La Provence vivra éternellement 1417 21| par les rues, toutes ces écorces traînant dans la boue du 1418 5| cette maudite longe qui vous écorche le cou !... C’est bon pour 1419 5| avec un peu de fumée. Elle écouta les clochettes d’un troupeau 1420 25| que les bons chanoines l’écoutaient les yeux brillants et le 1421 19| larmes dans les yeux, j’écoutais l’histoire du petit pêcheur 1422 4| vent, mais personne ne les écoutait.~ ~ ~« Alors, de male rage, 1423 13| raconteront mille folies que tu écouteras sans rire. . Tu ne riras 1424 25| Ah ? très bien... Mais écoutez encore un peu que je vous 1425 4| meule, tandis que le grain s’écrasait et que la fine poussière 1426 4| odeur chaude de froment écrasé qui embaume dans les moulins... 1427 24| commença. Hideux murmure d’écrasement, de paille broyée. Avec 1428 8| est-ce qu’on lui fait ? » s’écria le bon pape en se précipitant 1429 17| Un paquet de lettres écrites sur du papier à fleurs, 1430 25| étiqueteurs, d’autres pour les écritures, d’autres pour le camionnage ; 1431 23| livres, commissionnaire, écrivain public, c’est le maître 1432 24| apparaissaient dans cet écroulement de terre fertile...~ ~ 1433 2| là, tout en lapant leur écuellée de soupe, ils racontent 1434 10| cimetière... Pourtant, quand les écuelles furent vidées, on alluma 1435 23| salle. Retenir ce trait de l’éducation arabe. – L’auditoire est 1436 20| faute est assez grande pour effacer toute une vie de vertu... 1437 6| astres du ciel pâlirent, effacés par le jour qui montait. 1438 26| tourne sur elle-même, s’effare, se disperse, et les bœufs 1439 10| cramponnent, des regards effarés où la vision de la mort 1440 27| Des vols de perdreaux effarouchés partent à ses pieds sans 1441 25| léger qu’une alouette.~ ~ ~ ~Effectivement, à partir de ce moment-là, 1442 3| deux médailles romaines à l’effigie de Vitellius. Enfin, sur 1443 20| longue, il ne la finit pas, effleure l’Evangile, passe devant 1444 5| Seguin qui tentait un dernier effort.~ ~ ~« Hou ! hou !... faisait 1445 25| avec respect le bord tout effrangé de sa cuculle... Puis chacun 1446 24| vit pendant une seconde un effrangement, une déchirure. Comme les 1447 24| Cela faisait un vacarme effrayant, discordant, que dominaient 1448 15| petit Dauphin commence à s’effrayer : « Holà ! dit-il, je ne 1449 10| matelots vont et viennent, effrayés, à tâtons... Plus de gouvernail ! 1450 13| sur une chaise un grand effroi de sa femme, il essayait 1451 8| était, dans le principe, un effronté galopin, que son père, Guy 1452 16| chassant d’un geste cette bête effrontée, il reprend de plus belle : « 1453 13| que je savais, inventant effrontément ceux que je ne savais pas, 1454 26| petite avec un joli grain d’effronterie, une envie de se dresser 1455 26| diverses en une longue bande égale ; et puis des ibis, de vrais 1456 20| en agitant sa coiffe avec égarement.~ ~ ~ ~Maître Arnoton, ses 1457 5| Blanquette. Les deux amoureux s’égarèrent parmi le bois une heure 1458 25| lai dont les rusticités égayaient tant le chapitre, il n’en 1459 17| sans grandeur, où l’on s’égorge, où l’on s’étripe, où l’ 1460 3| Beaucairois ne voulaient pas s’égorger à propos de la Sainte Vierge ? 1461 11| ruissellement de l’eau qui s’égouttait, le petit refrain revenait 1462 9| le bruit de l’huile qui s’égoutte, de la chaîne qui se dévide ; 1463 6| soleil, j’entendis parmi l’égouttement des feuilles et le débordement 1464 26| des ibis, de vrais ibis d’Egypte, bien chez eux dans ce soleil 1465 8| bonne... La mule prit son élan :~ ~ ~« Tiens, attrape, 1466 24| endormis, les serviteurs s’élancèrent dehors en faisant résonner 1467 20| préface, et par bonds et par élans se précipite ainsi dans 1468 9| de lumière qui semblait s’élargir à mesure que je montais.~ ~ ~ ~ 1469 19| superbe, avec un bon sourire, élégant comme un pâtre grec, et 1470 25| entre les colonnettes élégantes et fleuries –, les chanoines 1471 20| Ventoux, en haut duquel s’élevaient les vieilles tours de Trinquelage. 1472 13| très bien... » ~ ~Alors j’élevais la voix – et tous deux me 1473 18| et, comme ils l’avaient élevé et nourri jusque-là, ils 1474 23| Quand une discussion s’élève, on le prend volontiers 1475 26| les bêtes se gouvernent elles-mêmes, groupées autour d’un vieux 1476 24| frémissement sonore de l’air, pour éloigner les sauterelles, les empêcher 1477 12| dans notre Cucugnan quand Eloy, le maréchal, brûle pour 1478 24| meubles, et ce craquement d’élytres semblable au pétillement 1479 19| dessiné en bleu dans l’émail, il y a un sujet provençal ; 1480 25| manufacture. Il y avait des frères emballeurs, des frères étiqueteurs, 1481 11| Lavezzi, était une vieille embarcation de la douane, à demi pontée, 1482 10| quelque temps après, on les embarqua de nouveau pour la Crimée... 1483 6| plaisir à redoubler mon embarras avec ses malices :~ ~ ~« 1484 12| d’un nuage d’encens qui embaumait et des enfants de chœur 1485 9| cour mélancolique, tout embaumée de romarin et d’absinthe 1486 20| Les plats fument, les vins embaument ; et, secouant son grelot 1487 16| courir, les violettes à embaumer, comme si le monsieur n’ 1488 23| diminue. Profitant d’une embellie, je me hâte de quitter cette 1489 22| de vue, la route blanche, embrasée, poudroyait entre les jardins 1490 13| mon cher meunier, et, en t’embrassant, les pauvres gens croiront 1491 7| en lui amenant son fils, embrasse-le ! Il est malheureux... » ~ ~ 1492 13| grands fauteuils, et tu les embrasseras de ma part, avec tout ton 1493 9| des œufs de gouailles, s’embusquant dans le maquis pour traire 1494 26| affût, l’attente du chasseur embusqué, et ces heures indécises 1495 5| se battégué touto la niue emé lou loup, e piei lou matin 1496 25| étincelantes que roulait le flot d’émeraude, il lui semblait voir les 1497 23| autrefois ; aujourdhui elle m’émeut jusqu’aux larmes.~ ~ ~ ~ 1498 11| douaniers~ ~Le bateau l’Emilie, de Porto-Vecchio, à bord 1499 24| par quelque souffle qui emmêle leur fine chevelure si légère, 1500 23| voyage~ ~Cette fois, je vous emmène passer la journée dans une 1501 13| chacun par une main, ils m’emmenèrent en trottinant jusqu’à la 1502 18| tendus de noir, chevaux empanachés, larmes d’argent dans le 1503 13| Mamette... Mais cela ne m’empêcha pas de les manger jusqu’ 1504 5| plus de pieu... rien qui l’empêchât de gambader, de brouter 1505 15| répondre. Les sanglots l’empêchent de parler.~ ~ ~« Ne pleurez 1506 27| ce n’est pas moi qui t’en empêcherai... tape hardiment sur ta 1507 23| farandoles fantastiques qui m’empêcheraient de dormir... Me voici devant 1508 8| la belle mule !... ~ ~L’empereur d’Allemagne n’en a pas une 1509 25| ses jolis rideaux clairs empesés comme des surplis, l’abbé 1510 20| oiseaux se tenait droit tout empêtré en battant silencieusement 1511 23| une nichée de bohémiens, empilés sous les arceaux d’une cour 1512 8| de caramel et d’aromates emplissait l’écurie, et Tistet Védène 1513 23| en Turquie les peintres n’emploient qu’une couleur par tableau : 1514 4| ses forces qu’on voulait empoisonner la Provence avec la farine 1515 18| peu de cervelle qu’on lui emportait !... ~ ~A quelque temps 1516 19| bourse ouverte...~ ~ ~J’avais emporté le cahier de Calendal dans 1517 10| il avait eu sa casquette emportée d’un coup de vent, et qu’ 1518 26| les autres derrière lui s’emportent plus haut avec des cris 1519 4| voleurs. »~ ~« Nous voulions l’emporter en triomphe au village :~ ~ – 1520 25| se lève. On crie :~ ~ ~« Emportez-le... il est possédé ! »~ ~ ~ 1521 26| moindres arbustes gardent l’empreinte de son passage, en restent 1522 3| gros papillon.~ ~ ~ ~Je m’empressai de descendre. En passant 1523 23| fait dans la foule. On s’empresse, on se précipite... Appuyé 1524 2| un autre, et je me suis empressé de lui renouveler son bail. 1525 12| Pierre, et Toni... » ~ ~Emu, blême de peur, l’auditoire 1526 25| le frère Gaucher ne s’en émut pas.~ ~ ~« Mes révérends, 1527 22| crevassée, couleur de terre, encadrée dans de longues barbes de 1528 19| de velours vert, crucifix encadrés de soie blanche, tout cela 1529 10| pas peur. »~ ~ ~Un homme encapuchonné, que je voyais rôder depuis 1530 19| ruisselante, une vieille encapuchonnée dans sa mante feuille-morte, 1531 12| cierges allumés, d’un nuage d’encens qui embaumait et des enfants 1532 9| C’était dans cette île enchantée qu’avant d’avoir un moulin 1533 23| dans la salle et paraissent enchantés. Ils ont la conviction que 1534 24| couches, leurs hautes pattes enchevêtrées ; celles du dessus faisant 1535 10| et, me montrant un petit enclos de maçonnerie blanche perdu 1536 13| accroupie et filant dans l’encoignure de sa porte ; je lui dis 1537 20| porte disjointe, l’herbe encombre le seuil ; il y a des nids 1538 10| porte il avait vu le rivage encombré de débris et de cadavres 1539 25| serpentins de cristal, tout un encombrement bizarre qui flamboyait ensorcelé 1540 5| mangé des biques autrement encornées que toi... Tu sais bien, 1541 17| monde excentrique, fumier d’encre, enfer sans grandeur, où 1542 17| ce terrible aveugle. Mon encrier m’écœurait, ma plume me 1543 6| mais à la voir si bien endimanchée, avec son ruban à fleurs, 1544 2| trompette. Le poulailler, qui s’endormait, se réveille en sursaut. 1545 10| au milieu de l’équipage endormi.~ ~ ~ ~Encore sous l’impression 1546 21| hiver se secoua sur la ville endormie, et Blidah se réveilla transformée, 1547 24| vestibules où ils s’étaient endormis, les serviteurs s’élancèrent 1548 23| juif est interrompu par un énergique caramba ! qui l’arrête net ; 1549 24| chacals, puis une chaleur énervante, oppressante, un étouffement 1550 4| air de bien l’aimer, cette enfant-là. Il lui arrivait souvent 1551 9| haute, me regardant d’un œil enfantin...~ ~ ~Vers cinq heures, 1552 4| de male rage, le vieux s’enferma dans son moulin et vécut 1553 9| étant pas tenable, je m’enfermais dans la cour du lazaret, 1554 25| multiples du cloître, et s’enfermait tout le jour dans sa distillerie, 1555 23| Vite, abritons-nous. J’enfile une porte au hasard, et 1556 10| planches goudronnées qui s’enflammèrent, et Lionetti continua :~ ~ ~« 1557 26| bruit, le continue en l’enflant, on se croirait couché dans 1558 19| sa hache qui sonne en s’enfonçant dans les troncs. La forêt 1559 26| abattus. Tout en causant, on s’enfonce dans le pays.~ ~ ~ ~Les 1560 13| jour, quand ils sont encore enfouis sous leurs grands rideaux 1561 7| aboyaient pas, les pintades s’enfuyaient sans crier... A l’intérieur, 1562 10| Leur aspect n’avait rien d’engageant : grands rocs pelés, couverts 1563 19| a inventé de formidables engins de pêche, et ramène au port 1564 2| devant nous joyeusement et s’engouffre sous le portail, en piétinant 1565 26| Montmajour, des orfraies comme engourdies de sommeil battent de l’ 1566 22| diligence. Avec ça, un tas d’enjôleuses pour chambrières... Aussi, 1567 21| arbres, bêchait, arrosait, enlevait les fleurs fanées avec un 1568 3| console. Et toujours on la lui enlève, et toujours il la reprend... 1569 23| SidOmar, d’abord notre ennemi et l’allié d’Abd-el-Kader, 1570 5| du clos lui parut fade. L’ennui lui vint. Elle maigrit, 1571 5| est fini ; les chèvres s’ennuient chez moi, je n’en garderai 1572 5| homme, en voilà une qui ne s’ennuiera pas chez moi ! »~ ~ ~M. 1573 5| se trompait, sa chèvre s’ennuya.~ ~ ~ ~Un jour, elle se 1574 23| fenêtres. Cette mazurka m’ennuyait autrefois ; aujourdhui 1575 5| C’était le loup.~ ~ ~ ~Enorme, immobile, assis sur son 1576 20| comme ça, mon révérend... Enormes !... ~– Oh ! Dieu ! il me 1577 8| musique, et toujours ces enragés de tambourins qui menaient 1578 25| permettrait à la communauté de s’enrichir doucettement, comme ont 1579 25| maison des prémontrés s’enrichit très rapidement. On releva 1580 5| horizon... Le chant du coq enroué monta d’une métairie.~ ~ ~« 1581 25| J’en eus l’estomac tout ensoleillé.~ ~ ~« C’est l’élixir du 1582 6| du jour je restai comme ensommeillé, n’osant bouger, de peur 1583 25| encombrement bizarre qui flamboyait ensorcelé dans la lueur rouge des 1584 19| ses vers avec la main, il entame le premier chant :~ ~ ~ ~ 1585 27| crête fine des Alpilles, s’entasse une poussière d’or d’où 1586 23| étoile dans la poussière entassée là depuis les pluies de 1587 21| tristement les trottoirs, entassées dans leurs petites charrettes 1588 4| Et voilà les sacs qui s’entassent devant la porte et le beau 1589 25| Miséricorde ! si mes paroissiens m’entendaient ! »~ ~ ~ 1590 20| prêtre cette messe dont ils n’entendent pas un mot, les uns se lèvent 1591 22| tournant vers moi :~ ~ ~« Entendez-vous, me dit-elle tout bas, c’ 1592 26| sonnailles des troupeaux entendues tout à coup, puis oubliées, 1593 13| clignements d’yeux, des airs entendus, ou bien encore le vieux 1594 20| seconde avec une merveilleuse entente, lui relève sa chasuble, 1595 18| à sa chère morte un bel enterrement. Cloches à toute volée, 1596 17| nos morts de l’année, les enterrements à réclames, l’oraison funèbre 1597 9| faire ? le porter dehors ? l’enterrer ? La roche était trop dure, 1598 10| monsieur. C’est ici que sont enterrés les six cents hommes de 1599 13| reprenait l’autre avec enthousiasme.~ ~ ~ ~Et, tout le temps 1600 3| comique, car l’impériale tout entière partit d’un gros éclat de 1601 10| navire dont les débris m’entouraient... Au loin, dans le détroit, 1602 6| tête appuyée dans la main, entourée de la peau de mouton comme 1603 24| complexe dont nous étions entourés... On allait se lever de 1604 23| remplit d’huile pendant l’entracte, font l’office de lustres. 1605 18| seulement sa grosse tête l’entraînait toujours, et c’était pitié 1606 26| Aveuglée par la pluie, entraînée par l’ouragan, la manado 1607 25| vigoureux sont obligés de l’entraîner par la petite porte du chœur, 1608 22| frémissement d’ailes comme si j’entrais dans une ruche.~ ~ ~ ~Au 1609 11| temps et d’efforts, nous entrâmes vers le soir dans un petit 1610 6| voulus que notre demoiselle entrât se reposer dans le parc. 1611 20| en miniature aux arceaux entrecroisés, aux boiseries de chêne, 1612 24| que dehors. Elles étaient entrées par les ouvertures des portes, 1613 19| la belle Estérelle –, il entreprend des choses miraculeuses, 1614 19| leur parlant...~ ~ ~Des entreprises surhumaines !... Il y avait 1615 16| inquiets de leur maître, sont entrés dans le petit bois, ils 1616 21| grand silence radieux, l’entretien de ce petit jardin ne troublait 1617 9| de gagner nos lits, nous entrions un moment dans la chambre 1618 13| la gauche, par une porte entrouverte on entendait le tic-tac 1619 20| qui monte des couvercles entrouverts, et dans cette buée deux 1620 20| tout contre la porte qu’ils entrouvrent et referment discrètement, 1621 2| rayon de lune... Le temps d’entrouvrir une lucarne, frrt ! voilà 1622 9| vieux mur, je me laissais envahir doucement par le vague parfum 1623 2| les murs et la plate-forme envahis par les herbes, ils avaient 1624 16| au nouveau charme qui l’envahit. Il s’accoude sur l’herbe, 1625 26| prudemment, de peur de m’envaser. J’écarte les roseaux pleins 1626 11| glisser dans la baie et enveloppait notre maison. On le sentait 1627 23| crêtes du mont Zaccar s’enveloppent de brume. Dimanche triste... 1628 12| vous mettre le cœur à l’envers, car vous pourriez en avoir 1629 18| le prenait, il avait des envies d’être avare ; mais alors 1630 21| couleur, et doraient l’air environnant avec cette auréole de splendeur 1631 26| rouge avivée par l’ombre environnante. Dans ce qui reste de jour, 1632 23| milieu de l’ombre qui m’environne, j’entends des cris dans 1633 9| moulin craquait. Des tuiles s’envolaient de sa toiture en déroute. 1634 4| fine poussière de froment s’envolait au plafond.~ ~ ~« C’est 1635 9| votre être vous échappe, s’envole, s’éparpille. On est la 1636 27| deux ou trois courlis s’envolent en secouant leurs ailes... 1637 20| le latin de la messe, en envoyant des éclaboussures de tous 1638 26| méfiance de paysan sous d’épais sourcils en broussailles. 1639 26| lourdement flottante qu’épaississaient encore d’innombrables tourbillons 1640 14| les touffes de lavandes épanouies en bouquets de cristal, 1641 27| sa grosse face niaise s’épanouit de plaisir à chaque roulement.~ ~ ~ ~ 1642 20| de la nuit soufflait en éparpillant la musique des cloches, 1643 9| heures de demi-sommeil et d’éparpillement !... ~ ~Les jours de grand 1644 16| à bandes d’argent et son épée de gala à poignée de nacre... 1645 18| effroyable douleur ; il se dressa éperdu, et vit, dans un rayon de 1646 26| se disperse, et les bœufs éperdus, courant devant eux pour 1647 19| pêcheur debout qui lance son épervier...~ ~ ~Pas moyen de lire 1648 19| endormir. Mistral choisit l’épisode des faïences. Le voici en 1649 20| verset, puis deux. Puis l’Epître est trop longue, il ne la 1650 15| perrons, les dames d’honneur éplorées se font de grandes révérences 1651 23| un gros Nègre en train d’éplucher une figure de Barbarie.~ ~ ~ ~ 1652 25| le père s’en allait en s’épongeant le front, son tricorne aux 1653 22| huche au pain, souffler, épousseter, laver des assiettes. De 1654 18| lustres qui pâlissaient, s’épouvanta de l’énorme brèche qu’il 1655 10| cadavres laissés là par la mer. Epouvanté, il s’était enfui en courant 1656 1| Le sieur Gaspard Mitifio, époux de Vivette Cornille, ménager 1657 19| fils d’un de ces paysans s’éprend de ces grandes ruines et 1658 26| eau...~ ~ ~Tout à coup j’éprouve un tressaillement, une espèce 1659 18| était inépuisable... Elle s’épuisait cependant, et à mesure on 1660 25| à la façon d’un conte d’Erasme ou de d’Assoucy,...~ ~ ~ 1661 17| Hans ou Zébédé, comme dans Erckmann-Chatrian, et je me consolerai de 1662 6| ouailles. De temps en temps, l’ermite du Mont-de-l’Ure passait 1663 8| confréries de pénitents, les ermites du mont Ventoux avec leurs 1664 20| une lumière surnaturelle erre parmi ces ruines, et qu’ 1665 25| église en coup de vent, errer dans le chœur pendant cinq 1666 26| pieds de tamaris taillés en escabeaux, jusqu’à la serrure et la 1667 15| descendent en courant les escaliers de marbre... Les galeries 1668 20| fait le bon Dieu et de lui escamoter sa messe... Et c’est ce 1669 12| sentier, plein de ronces, d’escarboucles qui luisaient et de serpents 1670 11| montaient de hautes roches escarpées, des maquis inextricables 1671 15| d’hermine blanche et mes escarpins de velours ! Je veux me 1672 21| cri monotone et grêle les escorte, perdu dans le roulement 1673 5| charmant que le cabri d’Esméralda – tu te rappelles, Gringoire ? – 1674 26| amoindris qu’ils sont par cet espace infini d’horizons bleus 1675 24| sous les yeux, les vignes espacées sur les pentes, au grand 1676 21| feuilles, la mer mettait des espaces bleus éblouissants comme 1677 21| orangers, plus hauts, plus espacés qu’à Blidah, descendaient 1678 3| dans le pays, habillée en Espagnole avec un petit tambour à 1679 9| pour combien de temps... J’espérais pouvoir le garder près de 1680 25| hum !... Enfin il faut espérer que les novices ne l’auront 1681 6| petites flammes. Tous les esprits de la montagne vont et viennent 1682 20| il se baisse, se relève, esquisse les signes de croix, les 1683 10| rien dire... Les malades essaient de se redresser... le petit 1684 25| est arrivée... C’est en essayant l’élixir, n’est-ce pas ? 1685 16| parfums, ivre de musique, essaye vainement de résister au 1686 4| Pendant quelque temps ils essayèrent de lutter, mais la vapeur 1687 25| bien nécessaire que vous l’essayiez sur vous-même ce terrible 1688 21| brûlaient leurs parfums d’essences. De temps en temps, une 1689 6| Grande Ourse) avec ses quatre essieux resplendissants. Les trois 1690 10| enfin, comment la chose s’est-elle passée ? demandai-je au 1691 26| en voit sur les anciennes estampes où des guerriers armés de 1692 26| Cifer !... (Lucifer)... L’Estello !... L’Estournello !... » 1693 25| étincelante, exquise... J’en eus l’estomac tout ensoleillé.~ ~ ~« C’ 1694 26| Lucifer)... L’Estello !... L’Estournello !... » Chaque bête, en s’ 1695 26| hivernale et factice. Les étables se remuent. Il y a des réveils 1696 19| Saint-Rémy – une maisonnette à un étage, avec un jardin devant... 1697 24| descendre.~ ~ ~ ~Mais où étaient-elles donc ces terribles bêtes ? 1698 9| gros poids, de réservoirs d’étain, de cordages, et là, à la 1699 9| ébloui. Ces cuivres, ces étains, ces réflecteurs de métal 1700 6| moi, rien que pour moi ; n’était-ce pas à en perdre la tête ?~ ~ ~ ~ 1701 21| A la vitrine claire des étalages, choisies et parées ; à 1702 26| d’herbe fine, veloutée, étale une flore originale et charmante : 1703 20| bien oui, Garrigou !) étalés sur un lit de fenouil, l’ 1704 10| était toujours dans tous ses états, et avec cela une sacrée 1705 25| soufflait comme en Camargue, éteignant les cierges, cassant le 1706 18| pouvait voir les yeux s’éteindre, la joue devenir plus creuse. 1707 26| indiennes, courtes et vite éteintes comme les dernières étincelles 1708 20| plus tôt fini. A peine s’il étend ses bras à l’Evangile, s’ 1709 24| fraîcheur des dalles, s’étendaient dans des poses accablées. 1710 25| Mes révérends, dit-il en étendant sa belle main blanche où 1711 26| loin, des parcs de bestiaux étendent leurs toits bas presque 1712 5| ruisselante, elle allait s’étendre sur quelque roche plate 1713 26| limiter, transformer leur étendue, ont un aspect admirable. 1714 8| ses cardinaux tout autour étendus aux pieds des souches, alors 1715 20| ainsi dans la damnation éternelle, toujours suivi de l’infâme 1716 19| écoles ! La Provence vivra éternellement dans Mireille et dans Calendal.~ ~ ~« 1717 25| de me préparer une belle éternité de flammes et de coup de 1718 19| Hébert, sa photographie par Etienne Carjat, et, dans un coin, 1719 2| Un joli bois de pins tout étincelant de lumière dégringole devant 1720 25| dans les petites paillettes étincelantes que roulait le flot d’émeraude, 1721 25| poussant devant lui deux vaches étiques qui cherchaient l’herbe 1722 25| frères emballeurs, des frères étiqueteurs, d’autres pour les écritures, 1723 25| moine en extase sur une étiquette d’argent. Grâce à la vogue 1724 26| son corps, il bâille et s’étire d’un air las, découragé, 1725 6| astres (Sirius). Sur cette étoile-là, voici ce que les bergers 1726 23| à cet endroit et qu’il s’étonne de ne plus trouver... « 1727 2| sont les lapins qui ont été étonnés... Depuis si longtemps qu’ 1728 23| voilà mon homme, et ne vous étonnez pas que les dames en raffolent. 1729 24| à voir par cette matinée étouffante ; et tout en admirant le 1730 22| gros soupir, un sanglot mal étouffé...~ ~ ~Après un quart d’ 1731 24| énervante, oppressante, un étouffement complet, comme si les mailles 1732 26| on est plus las. C’est un étourdissement d’heureuse fatigue, les 1733 25| pauvres moines :~ ~ ~« Les étourneaux vont maigres quand ils vont 1734 26| pour chef ; car, dans ces étranges troupeaux, les bêtes se 1735 23| ancien dey d’Alger qui mourut étranglé par les janissaires... A 1736 19| hommes, les trois sauts, l’étrangle-chat, le jeu de l’outre, et tout 1737 17| l’on s’égorge, où l’on s’étripe, où l’on se détrousse, où 1738 26| petit bateau sans quille, étroit, roulant au moindre mouvement. 1739 1| fait à Pampérigouste, et l’étude Honorat, en présence de 1740 11| fumaient comme du linge à l’étuve, et en plein hiver les malheureux 1741 19| la bonne idée que tu as eue de venir !... Tout juste 1742 2| premières que vous avez eues à Paris cette semaine. Jugez 1743 4| Malheureusement, des Français de Paris eurent l’idée d’établir une minoterie 1744 24| vins sucrés, les fruits d’Europe abrités dans un coin d’ombre, 1745 5| oublié la fenêtre, et à peine eut-il le dos tourné, que la petite 1746 6| dormons, un monde mystérieux s’éveille dans la solitude et le silence. 1747 6| au-dessus de la côte, la tête éveillée du petit miarro (garçon 1748 22| voyageur à servir était tout un événement. Par moments la malheureuse 1749 4| de droite et de gauche, éventrant les sacs, surveillant la 1750 22| contre la vitre. Il y avait évidemment dans l’auberge d’en face 1751 26| lui ne se voient pas. Ils évitent même de se rencontrer. Un 1752 10| passai toute la nuit à rêver, évoquant, à dix ans de distance, 1753 23| viennent y suspendre des ex-voto, fragments de haïks et de 1754 23| entrer de plain-pied, sans examens, ni cautionnement, ni stage. 1755 17| tour aux chevaux de Son Excellence sur le sable de la cour ; 1756 23| deux ou trois fontaines... Excellent repas turc, recommandé au 1757 17| les cocasseries d’un monde excentrique, fumier d’encre, enfer sans 1758 9| ce flocon de brume, tout excepté soi-même... Oh ! que j’en 1759 23| casquettes sous une pluie d’exhortations :~ ~ ~« Venge-toi, frère ; 1760 20| comme si les anciens bancs existaient encore. De belles dames 1761 20| château de Trinquelage n’existe plus, mais la chapelle se 1762 25| chœur, se débattant comme un exorcisé et continuant de plus belle 1763 20| une messe basse est vite expédiée.~ ~ ~« Et de deux ! » dit 1764 18| noir ; je devrais plutôt expédier aux dames des poèmes couleur 1765 23| avocat, avoué, courtier, expert, interprète, teneur de livres, 1766 10| horribles à voir. On lui expliqua à grand-peine de quoi il 1767 4| ouvrir sa porte. Je lui expliquai mes raisons tant bien que 1768 4| beaucoup jaser le monde. Chacun expliquait à sa façon le secret de 1769 3| Il y eut une nouvelle explosion de rires. Dans son coin, 1770 4| Motus ! je travaille pour l’exportation... » Jamais on n’en put 1771 15| Saint-Sacrement demeure exposé nuit et jour et de grands 1772 4| traîner d’une ferme à l’autre, exposée aux brutalités des baïles 1773 25| vivacité. Il ne faut pas s’exposer à mécontenter la clientèle... 1774 19| Le logis du poète est à l’extrémité du pays ; c’est la dernière 1775 12| et j’y trouve un adorable fabliau que je vais essayer de vous 1776 25| un air triomphant ; on le fabrique au couvent des prémontrés, 1777 7| tuiles rouges, sa large façade brune irrégulièrement percée, 1778 9| au-dessus la grosse lanterne à facettes qui flambe au soleil et 1779 8| avaient beau faire, elle ne se fâchait pas ; et ce n’était qu’à 1780 4| Au fond je n’en fus pas fâché, parce qu’après tout le 1781 20| réveillonner, ne sont pas fâchés que la messe aille ce train 1782 17| les huissiers n’y sont pas faciles à dérider. C’est tous d’ 1783 26| un peu trop hivernale et factice. Les étables se remuent. 1784 21| branches chargées de fruits factices. Pas un coin où on ne les 1785 27| Oh ! les longues nuits de faction à la porte des ministères, 1786 15| attendant les décisions de la Faculté. Des marmitons passent à 1787 5| herbe du clos lui parut fade. L’ennui lui vint. Elle 1788 3| haine, c’est la colère des faibles... Si j’étais rémouleuse, 1789 17| prétend qu’on trouve dans les faits divers des choses qui ne 1790 16| fameux discours qu’il va falloir prononcer tout à l’heure 1791 11| le père, allumant son falot, alla inspecter la côte, 1792 20| sonnailles, et, à la lueur des falots enveloppés de brume, les 1793 25| seulette... et toujours la fameuse des pères blancs : Patatin 1794 26| dans les terres et devenu familier par sa captivité même. Au 1795 10| diable à ne pas distinguer un fanal à quatre pas... Ces brumes-là, 1796 20| grands-pères, tous l’air vieux, fané, poussiéreux, fatigué. De 1797 22| les larmes l’avaient toute fanée.~ ~ ~« Qu’est-ce que vous 1798 21| arrosait, enlevait les fleurs fanées avec un soin minutieux ; 1799 22| des coups de fouet, les fanfares du postillon, les filles 1800 14| ces deux ballades d’une fantaisies un peu germanique, pendant 1801 23| autour de moi des farandoles fantastiques qui m’empêcheraient de dormir... 1802 23| chemin, se dresse un vieux fantôme de muraille, débris de quelque 1803 7| Vive saint Eloi ? On farandola à mort. Cadet brûla sa blouse 1804 23| coin de la scène, poudrées, fardées, décolletées et toutes raides. 1805 8| Ventoux avec leurs mines farouches et le petit clerc qui va 1806 18| tâchant d’oublier lui-même ces fatales richesses auxquelles il 1807 26| étourdissement d’heureuse fatigue, les fusils dans un coin, 1808 24| Que d’efforts ! Que de fatigues ! Quelle surveillance incessante !~ ~ ~ ~ 1809 19| cru me réveiller rue du Faubourg-Montmartre. Il pleuvait, le ciel était 1810 23| parmi ses lévriers, ses faucons, ses chevaux et ses femmes, 1811 15| mort veut me prendre, il faudra la tuer, n’est-ce pas ? » 1812 25| c’est par gobelets qu’il faudrait compter maintenant... Oui, 1813 19| est là. Il travaille... Faut-il attendre que la strophe 1814 3| trapu, poilu, sentant le fauve, avec de gros yeux pleins 1815 16| est un artiste ! dit la fauvette. – Non, dit le bouvreuil, 1816 16| au-dessus de sa tête, des tas de fauvettes viennent lui chanter leurs 1817 17| Je n’ai pas droit à cette faveur, n’étant ni mère de danseuse, 1818 16| tortiller la soie blonde de ses favoris et répéter vingt fois de 1819 19| cour d’honneur ; et, les fées lui venant en aide, à lui 1820 23| et toujours cet éternel féminin des petits théâtres de province, 1821 25| herbes, les colonnettes se fendaient, les saints de pierre croulaient 1822 4| Et il sanglotait à fendre l’âme, appelant son moulin 1823 26| carriole. Vrai type à la Fenimore, trappeur de terre et d’ 1824 20| étalés sur un lit de fenouil, l’écaille nacrée comme 1825 25| cherchaient l’herbe aux fentes des pavés. Nourri jusqu’ 1826 23| Toutefois le zouge de paix fera bien mieux notre affaire. »~ ~ ~ 1827 15| haut devant tous, comme ferait une drapière.~ ~ ~ ~Dans 1828 5| dans la montagne... Que feras-tu quand il viendra ? :~ ~– 1829 27| qu’il s’en aperçoive. La férigoule embaume autour de lui, il 1830 13| que voulez-vous faire ? Je fermai le moulin en maugréant, 1831 13| remarqué si ses fenêtres fermaient bien ou de quel couleur 1832 9| fallait rentrer. A tâtons, je fermais la grosse porte, j’assurais 1833 7| frappé ? Pourquoi ce portail fermé me serrait-il le cœur ? 1834 15| étendu, repose, les yeux fermés. On croit qu’il dort ; mais 1835 24| conduire. A chacun d’eux le fermier, devant la porte, distribuait 1836 12| maréchal, brûle pour la ferrer la botte d’un vieil âne. 1837 24| cet écroulement de terre fertile...~ ~ 1838 25| comme une dague de plomb. Fervent chrétien du reste, quoique 1839 25| encore, à la procession de la Fête-Dieu, défilant tristement dans 1840 21| étaient belles ! Dans le feuillage sombres lustré, vernissé, 1841 19| encapuchonnée dans sa mante feuille-morte, des mules en tenue de gala, 1842 16| A voix basse, sous la feuillée, on se demande quel est 1843 12| doigt de salive pour que le feuillet glisse mieux...~ – Cucugnan, 1844 19| entre mes mains, et je le feuilletais, plein d’émotion... Tout 1845 20| sa chasuble, tourne les feuillets deux par deux, bouscule 1846 12| Et l’ange ouvre et feuillette son grand livre, mouillant 1847 19| village, le chaperon de feutre sur l’oreille, sans gilet, 1848 2| Lieues des journaux, des fiacres, du brouillard !... Et que 1849 7| presque un repas de noces. La fiancée n’y assistait pas, mais 1850 4| comme des reines, avec leurs fichus de dentelles et leurs croix 1851 20| sans les mouiller, gardait fidèlement la tradition des Noëls blancs 1852 25| fini, le velouté, je ne me fie guère qu’à ma langue...~ ~– 1853 17| haine, grand Dieu ! que de fiel ! quel besoin de baver sur 1854 23| Les galeries sont très fières parce qu’elles ont des chaises 1855 6| vint ; rien qu’une grande fierté de songer que dans un coin 1856 19| la confiture de moût, des figues, des raisins muscat. Le 1857 22| sans eau dans un bouquet de figuiers maigres, et, tout au bout 1858 11| matelots par le gros temps. Les figures ruisselaient, les vareuses 1859 12| Mais, hélas ! les araignées filaient dans son confessionnal, 1860 12| rencontrait portant le bon Dieu, filait son chemin, la barrette 1861 13| tout à coup, accroupie et filant dans l’encoignure de sa 1862 6| instant une belle étoile filante glissa par-dessus nos têtes 1863 10| La Sémillante en dérive, file comme le vent... C’est à 1864 26| rrrououou ! Des vols de grues filent sur ma tête. J’entends le 1865 26| des hommes, raccommode les filets de pêche ; le garçon, qui 1866 12| retourne, prenez ce sentier, filez en courant, si vous savez 1867 23| dans un fin coquetier de filigrane. J’entre, personne ne bouge... 1868 26| sous lequel on sent l’eau filtrer partout, prête à se montrer 1869 12| celui de saint Pierre...~ – Finalement, que voulez-vous et que 1870 23| cigarette en cigarette, je finirai bien par le tuer, ce dimanche 1871 23| avec ses femmes.~ ~ ~ ~Où finirai-je ma soirée ? Il est trop 1872 24| malgré les mauvais temps finis et la fortune si chèrement 1873 11| inspecteur semblait terrifier, finissaient vite leur dîner de châtaignes 1874 25| goutte en goutte, l’infortuné finissait par avoir son gobelet plein 1875 9| je ne sais plus... Nous finissions de dîner, bien tranquilles... 1876 13| de tête de petits rires fins, des clignements d’yeux, 1877 23| musiciens du 3e ! L’œil fixé sur les doubles croches, 1878 20| leurs ailes mordorées, les flacons couleur de rubis, les pyramides 1879 8| la clochette, les frères flagellants nus jusqu’à la ceinture, 1880 17| servait, le pauvre diable flairait la table avec un petit rire :~ ~ ~« 1881 26| fusil et la tête du chien flairant le vent, happant les moustiques, 1882 20| révérend !... Rien que d’avoir flairé ces belles dindes, l’odeur 1883 26| hérons, des butors, des flamants au ventre blanc, aux ailes 1884 24| sauterelles, les soldats les flambaient en répandant de longues 1885 10| Nous trouvâmes un grand feu flambant à l’abri d’une roche, et 1886 9| lanterne à facettes qui flambe au soleil et fait de la 1887 6| brille Jean de Milan, le flambeau des astres (Sirius). Sur 1888 20| feu des torches et de la flambée des cuisines. On entendait 1889 25| encombrement bizarre qui flamboyait ensorcelé dans la lueur 1890 20| immense table toute chargée et flamboyante, les paons habillés de leurs 1891 3| rendue chez elle, mais qui flâne tout le long de la route, 1892 23| lit très haut sur lequel flânent de petits coussins rouges 1893 23| digne Iscariote s’achemine, flanqué de ses deux témoins. Ne 1894 26| artiste, deux longues oreilles flasques qui lui pendent dans les 1895 24| bâtons, des fourches, des fléaux, tous les ustensiles de 1896 8| ceinture, les sacristains fleuris en robes de juges, tous, 1897 9| rouge, cette perle d’eau, ce flocon de brume, tout excepté soi-même... 1898 21| moutonnements, un flou de flocons tombés.~ ~ ~ ~Une nuit, 1899 26| atmosphère, et dans une floraison ininterrompue manquent les 1900 26| fine, veloutée, étale une flore originale et charmante : 1901 21| avec des moutonnements, un flou de flocons tombés.~ ~ ~ ~ 1902 4| malhonnêtement de retourner à ma flûte ; que, si j’étais pressé 1903 10| endroit ; seulement, cette fois-là, nous étions parvenus à 1904 20| Balaguère se sent pris d’une folie d’impatience et de gourmandise. 1905 13| ils te raconteront mille folies que tu écouteras sans rire. . 1906 18| quelque chose de joyeux, de follement joyeux.~ ~ ~ ~Pourquoi serais-je 1907 8| bout et une petite barbe follette qui semblait prise aux copeaux 1908 9| considéraient comme des fonctionnaires, et passaient toutes leurs 1909 23| tempérament du métier.~ ~ ~ ~Les fonctions de l’agent sont très variées : 1910 18| poupée – les piécettes d’or fondaient que c’était un plaisir. 1911 13| un vol de pigeons sur la fontaine de l’église, mais personne 1912 23| toujours un code dans ses fontes, et sur toute chose le tempérament 1913 7| les ferrades. A la vote de Fontvieille, c’est lui qui mena la farandole.~ ~ ~ ~ 1914 5| mens pas, Gringoire, elle força le loup à reculer pour reprendre 1915 20| fourneauxbrûle un feu de forge, la buée qui monte des couvercles 1916 19| être riche, il a inventé de formidables engins de pêche, et ramène 1917 20| chairs rôties et les herbes fortes des sauces compliquées, 1918 27| les promenades sur les fortifications... Oh ! la barrière de l’ 1919 15| quarante lansquenets très forts pour monter la garde autour 1920 26| croisons déjà, le long des fossés, de vieilles paysannes qui 1921 8| de mule ne sont pas aussi foudroyants d’ordinaire ; mais celle-ci 1922 4| la hauteur le bruit des fouets, le craquement de la toile 1923 26| de moi. Le soleil d’hiver fouetté par l’énorme courant s’éparpille, 1924 22| tourmenter des serrures, fouiller dans la huche au pain, souffler, 1925 18| vitrine dans laquelle tout un fouillis d’étoffes et de parures 1926 20| des vendangeurs pressés foulant le raison de la cuve, tous 1927 24| résonner avec des bâtons, des fourches, des fléaux, tous les ustensiles 1928 8| devant leur caserne comme des fourmis rouges, et là-bas, sur un 1929 24| la chaleur du jardin en fournaise, de grands cris retentirent :~ ~ ~« 1930 12| point de registre. Par fournées et à pleine porte, on entre 1931 10| sur laquelle le hasard m’a fourni des renseignements fort 1932 17| Là-dessus, il se fourra le nez dans son assiette 1933 23| est un ancien magasin de fourrages, tant bien que mal déguisé 1934 8| clercs de maîtrise qui se fourraient vite dans la paille avec 1935 23| fragments de haïks et de foutas, longues tresses de cheveux 1936 26| pierres noires assemblées en foyer, les pieds de tamaris taillés 1937 23| y suspendre des ex-voto, fragments de haïks et de foutas, longues 1938 17| papier humide et de nouvelles fraîches... C’est si bon ! et personne 1939 5| Tout à coup le vent fraîchit. La montagne devint violette ; 1940 12| Bon comme le pain, franc comme l’or, il aimait paternellement 1941 1| droit et de fait, et en franchise de toutes dettes, privilèges 1942 5| la Blanquette.~ ~ ~ ~Elle franchissait d’un saut de grands torrents 1943 27| Puck.~ ~ ~ ~C’était Gouget François, dit Pistolet, tambour au 1944 24| lourde, lentement remuée, frangée aux bords de noir et de 1945 13| sous leurs grands rideaux à franges. Trois heures sonnent. C’ 1946 14| et c’est parmi les pins frangés de givre, les touffes de 1947 12| porte du paradis.~ ~ ~« Je frappai : saint Pierre m’ouvrit !~ ~ – 1948 12| Moi, pécaïre, je frappais des pieds, et, les mains 1949 25| surpris », disait-il en se frappant la poitrine.~ ~ ~ ~Et de 1950 12| main droite...~ ~« Vous frapperez, on vous ouvrira... Adessias ! 1951 8| elle, ses longues oreilles frémissaient, et elle aiguisait avec 1952 25| nefs, l’oraison courait en frémissant comme une petite bise sur 1953 20| appétit en surexcitation. Frénétiquement, il se baisse, se relève, 1954 10| donc ! les naufrages sont fréquents dans ces parages-ci ; les 1955 26| des poses à l’arrêt, des frétillements de queue, toute une mimique 1956 17| ne voulait pas me faire frictionner les yeux avec l’eau de la 1957 27| lentement... Un premier rayon frise déjà le toit du moulin. 1958 26| ce tourbillon de laines frisées, de bêlements ; une houle 1959 22| A cette voix l’hôtesse frissonna de tout son corps, et se 1960 6| notre demoiselle était toute frissonnante et se serrait contre moi 1961 26| des longues feuilles qui frissonnent. De temps en temps, une 1962 3| voyais ses grosses épaules frissonner, et sa main – une longue 1963 13| A JE... SUIS... LE... FRO... MENT... DU... SEIGNEUR... 1964 17| de rire. Mais lui, très froidement :~ ~ ~« Vous croyez que 1965 8| marquait toujours un peu de froideur dans la ville. Il y avait 1966 5| gerfaut, qui rentrait, la frôla de ses ailes en passant. 1967 26| chaleur. La nuit tombe, vous frôle en passant de son aile noire 1968 26| indisciplinés. Je suis envahi, frôlé, confondu dans ce tourbillon 1969 26| aime cette odeur d’eau, ce frôlement mystérieux des insectes 1970 6| et il y a dans l’air des frôlements, des bruits imperceptibles, 1971 6| devant elle du lait, des fromageons ; mais la pauvre petite 1972 26| côté du vent ces larges fronts où la force du bœuf se condense. 1973 9| quart qui montait en se frottant les yeux ; on lui passait 1974 2| entrouvrir une lucarne, frrt ! voilà le bivouac en déroute, 1975 26| sud dans l’attitude d’une fuite perpétuelle...~ ~ ~ 1976 10| roche, et la marmite qui fumait. On s’assit en rond, les 1977 9| chêne, la bouillabaisse fumant au milieu, la porte grande 1978 22| arrêtée devant, les chevaux fumants qu’on dételait, les voyageurs 1979 23| Le café pris, les pipes fumées, je souhaite la bonne nuit 1980 23| connais l’interprète, entrons fumer une cigarette avec lui. 1981 17| d’un monde excentrique, fumier d’encre, enfer sans grandeur, 1982 17| enterrements à réclames, l’oraison funèbre de M. le délégué, toujours 1983 4| l’autre. Au fond je n’en fus pas fâché, parce qu’après 1984 8| vous passiez près de lui – fussiez-vous un pauvre petit tireur de 1985 18| craintif comme un avare, fuyant les tentations, tâchant 1986 10| Un soir que nous fuyions devant la tempête, notre 1987 20| présentement chapelain gagé des sires de Trinquelage, 1988 24| la fortune si chèrement gagnée, tous deux, l’homme et la 1989 11| coûtent cher et qu’ils ne gagnent que cinq cents francs par 1990 5| fais-toi chroniqueur ! Tu gagneras de beaux écus à la rose, 1991 7| table et le repas s’achève gaiement...~ ~ ~Ce soir-là, maître 1992 8| papes, n’a rien vu. Pour la gaieté, la vie, l’animation, le 1993 4| répondait le vieux d’un air gaillard. Dieu merci, ce n’est pas 1994 12| Adessias ! Tenez-vous sain et gaillardet. »~ ~« Et je cheminai... 1995 8| moutardier salua d’un air galant et se dirigea vers le haut 1996 26| trois beaux passages de Galéjons, de Charlottines, et que 1997 8| Rhône en chantant sur une galère papale et s’en allait à 1998 8| Rhône, bannières au vent, galères pavoisées, les soldats du 1999 11| nous faisions chauffer des galets, des briques qu’on lui posait 2000 6| C’est saint Jacques de Galice qui l’a tracé pour montrer 2001 20| de poste pour les faire galoper à la grande vitesse. Pensez 2002 8| le principe, un effronté galopin, que son père, Guy Védène, 2003 9| de petits chevaux corses gambadant la crinière au vent ; enfin 2004 23| une bande de petits juifs gambade à l’entour... Tous les visages


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