Épître

  1     I|           pas craindre des périls plus grands que la réalité ?
  2     I|       cœur de ton amante devenait plus froid que la glace.~ ~ ~ ~
  3     I|         fils d'Éaque, ici Ulysse. Plus loin Hector défiguré effraya
  4     I|        assiègent. Viens, viens au plus tôt, toi, notre port de
  5    II|          asile. Ce devait être le plus grand de mes bienfaits.
  6    II|        été. Mon palais ne te voit plus, et l'onde bistonienne ne
  7    II|           souvenir, tu ne connais plus Phyllis, sans doute. Hélas !
  8    II|      oppose ses premières vagues. Plus la voile approche et moins
  9    II|      offrir à tes yeux. Fusses-tu plus dur que le fer et que le
 10    II|         le fer et que le diamant, plus dur que toi-même.~ ~ ~«
 11   III|          les malheureux ? Un vent plus favorable ne soufflera-t-il
 12   III|          laine. Choisie parmi les plus belles femmes achéennes,
 13   III|          put le fléchir. Elle fut plus heureuse, elle ! Mais moi,
 14   III|           esclave que j'ai été le plus souvent appelée à partager
 15   III|          mille charmes, qu'il est plus sûr de rester étendu sur
 16   III|     baisers sans nombre, je ferai plus que Phénix, plus que l'éloquent
 17   III|         je ferai plus que Phénix, plus que l'éloquent Ulysse, plus
 18   III|       plus que l'éloquent Ulysse, plus aussi, croyez-moi, que le
 19   III|        sont pas sans pouvoir, non plus que le sein que j'offrirai
 20   III|       charmés. Quoique barbare et plus cruel que les ondes de ta
 21   III|         ton courroux des victimes plus dignes de le satisfaire.
 22    IV|           L'amour exerce d'autant plus d'empire qu'on le connaît
 23    IV|           empire qu'on le connaît plus tard. Je brûle intérieurement,
 24    IV|           qui aime tard aime avec plus de violence. Tu raviras
 25    IV|           Je t'aimais déjà. Tu me plus alors bien davantage. Un
 26    IV|            Ces lieux me sont déjà plus chers que ma patrie.~ ~ ~ ~
 27    IV|          t'être funeste, à toi le plus beau des mortels, pourquoi
 28    IV|          la dignité. Je ne rougis plus, la pudeur une fois bannie
 29    IV|      séduire un taureau. Seras-tu plus cruel qu'un taureau farouche ?
 30     V|        divinité ennemie ? Pour ne plus être à toi, quel crime ai-je
 31     V|       âgées et les vieillards les plus avancés dans la vie. Mon
 32     V|         palais qui me touche, non plus que l'honneur d'être appelée
 33     V|           dans tes bras. Comme le plus jeune des Atrides, crie
 34     V|            Elle périt et ne revit plus. Cette femme brûle d'amour
 35     V|           mien. Ah ! ton cœur est plus léger que la feuille qui,
 36     V|        des vents mobiles ; il est plus léger que l'extrémité du
 37     V|          ont laissé sur ses joues plus d'une meurtrissure. Pour
 38     V|       avec toi que j'ai passé mes plus jeunes années. Ah ! Que
 39    VI|          hyménée ? Où ce flambeau plus digne d'embraser un bûcher ?
 40    VI|              Fils volage d'Aeson, plus inconstant que la brise
 41    VI|    quittant ces bords, tu ne l'es plus en les revoyant. Que je
 42    VI|          redouté Médée. Médée est plus qu'une marâtre. Les mains
 43    VI|        soit abandonnée, et que de plus grands malheurs la poursuivent !
 44   VII|            Le vent et l'onde sont plus justes que ton cœur.~ ~ ~ ~
 45   VII|        faible : « Élise, viens. » Plus de retard, je viens, je
 46   VII|         foi donnée, et je n'aurai plus à rougir de rien.~ ~ ~ ~
 47   VII|    emportées. Transporte, sous de plus heureux auspices, Ilion
 48  VIII|         frère et son époux, n'est plus aujourd'hui que son frère :
 49  VIII|      Pyrrhus, a son maître. »~ ~ ~Plus sourd que la mer, ce ravisseur,
 50  VIII|         des vainqueurs, quel sort plus cruel eussé-je éprouvé,
 51  VIII|          a traité Andromaque avec plus de ménagement, lorsque des
 52  VIII|    précédé le sien, pouvait aussi plus que lui. Lorsque je t'épousai,
 53  VIII|                  Ce n'est pas non plus le courage qui te manque.
 54  VIII|         ta valeur eût eu un objet plus noble. Tu n'as pas choisi
 55  VIII|          devinai, en te voyant la plus belle, que tu étais Hélène.
 56  VIII|            mes yeux, que ne ferme plus le sommeil, se remplissent
 57    IX|      héros tel que toi. Vénus t'a plus nui que Junon. Celle-ci,
 58    IX|    toujours loin de moi. Il m'est plus connu comme hôte que comme
 59    IX|          un homme. Tu es d'autant plus au-dessous d'elle, ô le
 60    IX|           au-dessous d'elle, ô le plus grand des mortels ! qu'il
 61    IX|         mortels ! qu'il lui était plus glorieux de te vaincre que
 62    IX|           mes yeux, et je ne puis plus dissimuler ce que je souffre.
 63     X|          race entière des animaux plus douce que toi, et je n'avais
 64     X|           à redouter d'aucun être plus de maux que tu m'en causes.
 65     X|        crusse les voir, je devins plus froide que la glace, et
 66     X|           tous deux, et ne devait plus nous voir réunis. Je touche,
 67     X|          berceau, je ne te verrai plus, car j'ai trahi mon père,
 68     X|      diamant, et tu es là Thésée, plus dur que le caillou.~ ~ ~ ~
 69     X|  Maintenant encore, vois-moi, non plus des yeux, mais en idée,
 70     X|      rendu, mais aucune peine non plus. Si je n'ai pas été la cause
 71    XI|        Barbare comme il l'est, et plus cruel que les vents qu'il
 72    XI|          l’un à l’autre fût venue plus tard que celle de ma mort !
 73    XI|      frère ! m'as-tu jamais aimée plus qu'un frère ? Pourquoi ai-je
 74    XI|           bûcher. Que les Parques plus propices rendent, ô mes
 75   XII|       Phase ? Pourquoi ai-je été, plus que je ne devais l'être,
 76   XII|         mais me sauver te donnera plus de gloire. Je t'en conjure
 77   XII|          votre union par des sons plus lamentables pour moi que
 78   XII|             répète-t-on à l'envi. Plus les voix approchent, plus
 79   XII|         Plus les voix approchent, plus mon mal est cruel. Mes serviteurs
 80   XII|         était attristée. Alors le plus jeune de mes fils, s'arrêtant,
 81   XII|    puissante Hécate ! Le jour n'a plus d'attraits pour moi ; mes
 82   XII|           âme infortunée ne goûte plus les douceurs du repos. Je
 83  XIII|         des ondes. J'aurais donné plus de baisers, fait plus de
 84  XIII|       donné plus de baisers, fait plus de prières à mon époux ;
 85  XIII|          les tiens. Je ne pouvais plus t'apercevoir, et je pouvais
 86  XIII|      elles. Mais, quand je ne vis plus ni toi ni tes voiles fugitives ;
 87  XIII|        fugitives ; quand je n'eus plus rien à contempler que la
 88  XIII|          chaste cœur. Je ne donne plus aucun soin aux apprêts de
 89  XIII|          ma chevelure ; je n'aime plus à me couvrir d'un vêtement
 90  XIII|        douleur ; il est toutefois plus grand la nuit que le jour.
 91  XIII|        Crois-moi, cette image est plus que ce qu'elle paraît :
 92   XIV|          des peupliers, ainsi, et plus encore, je tremblais moi-même.
 93   XIV|     commis, pour qu'il ne me soit plus permis d'être vertueuse ?
 94   XIV|           naguère, elle ne puisse plus charmer Jupiter. La génisse
 95    XV|     mesure inégale, quand je suis plus propre aux accents de la
 96    XV|       aussi ; Atthis ne me paraît plus belle comme auparavant ;
 97    XV|          inspirent les chants les plus suaves ; déjà mon nom est
 98    XV|          moi sur la lyre, n'a pas plus de gloire, quoiqu'il prenne
 99    XV|           quoiqu'il prenne un ton plus sublime. Si la nature rigoureuse
100    XV|      Alors, tu trouvais un charme plus qu'ordinaire dans mes jeux
101    XV|         et poursuit-elle, pour ne plus l'interrompre, le cours
102    XV|        pierre brillante ne presse plus mes doigts : un vêtement
103    XV|       parfums de l'Arabie ne sont plus répandus en rosée sur ma
104    XV|           jeune homme et qui n'es plus enfant, âge précieux ! Ô
105    XV|    offrent mes songes, mes songes plus beaux qu'un beau jour. Là
106    XV|           le mien : ce lieu n'est plus que de la vile terre ; c'
107    XV|         Il est une source sacrée, plus limpide que le cristal le
108    XV|         limpide que le cristal le plus pur ; on pense qu'une divinité
109    XV|           quoi qu'il arrive, sera plus doux que maintenant. Air,
110    XV|          Tu peux, pour me guérir, plus que les ondes de Leucade ;
111    XV|         pour moi Phébus. Veux-tu, plus cruel que tes rochers et
112    XV|       autrefois ne me soutiennent plus dans mes poétiques chants ;
113   XVI|           s'est-il déjà manifesté plus que je ne voudrais ? J'aimerais
114   XVI|    possède !) Je ne viens pas non plus, comme observateur, visiter
115   XVI|          celles de ma patrie sont plus opulentes. C'est toi que
116   XVI|           fille de la belle Léda, plus belle encore que sa mère,
117   XVI|      ville aurais-je à admirer un plus beau visage que celui d'
118   XVI|      aurait pas eu de belle-fille plus digne de lui. Mais je n'
119   XVI|                 Je n'ai pu garder plus longtemps l'espoir d'un
120   XVI|         et mes yeux ne trouvaient plus rien qui les pût captiver.
121   XVI|          ta beauté. Je trouve ici plus qu'elle n'avait promis,
122   XVI|       servir à tes charmes et les plus magnifiques parures renouvelées
123   XVI|               Je ne pense pas non plus que Ménélas, si tu compares
124   XVI|       tourment ; mais un tourment plus grand encore serait d'être
125   XVI|           l’amant véritable. Bien plus, afin de pouvoir employer
126   XVI|       pouvoir employer des termes plus passionnés, j'ai plus d'
127   XVI|      termes plus passionnés, j'ai plus d'une fois simulé l'ivresse.
128   XVI|          vers ce sein nu, ce sein plus blanc que la neige éclatante,
129   XVI|         difficile. Il ne me reste plus maintenant, belle Hélène,
130   XVI|           que notre bouche en ait plus à dire, reçois-moi dans
131   XVI|          insensés, nous le serons plus que lui, si nous laissons
132   XVI|        autre : cette nuit-là sera plus belle que le jour à son
133   XVI|          exemple qui te touche de plus près. Tu fus enlevée par
134   XVI|          avenir : tu recueilleras plus d'hommages que ne t'en prédit
135   XVI|    circonstances, est d'ordinaire plus grande que le péril ; et
136   XVI|          fils d'Atrée, n'aura pas plus de valeur que Pâris, et
137  XVII|              J'en admire d'autant plus ta confiance en ton entreprise,
138  XVII|             il n'a de moi rien de plus. L'audace que tu montres
139  XVII|      rendre coupable, m'offrir de plus sûr attrait que toi-même.
140  XVII|    davantage : ton cœur n'est pas plus tendre, mais ta bouche est
141  XVII|           d'une déesse, le don le plus précieux. Il me suffit que
142  XVII|       dernière de t'avoir paru la plus belle des récompenses, et
143  XVII|      Ménélas me donne une liberté plus grande, mais non pas entière.~ ~ ~ ~
144  XVII|        aussi m'est à charge ; car plus ta bouche persiste à me
145  XVII|           me donner des louanges, plus il est fondé à craindre.
146  XVII|           lorsque vous comptez le plus sur sa constance, il n'est
147  XVII|          constance, il n'est déjà plus. Témoin Hypsipyle, témoin
148  XVII| abandonnas. Tu ne le nies pas non plus, et je me suis, si tu l'
149  XVII|          ignores, enquise avec le plus grand soin de tout ce qui
150  XVII|          bonheur ; je recevrai de plus riches présents qu'il ne
151  XVII|          Déshonorée, il n'y avait plus d'asile pour elle auprès
152  XVII|           Æétès ; il n'y en avait plus auprès d'Ipséa, sa mère,
153  XVII|        cause. Je ne doute pas non plus que, si je te suis, l'on
154  XVII|         si j'étais sage et un peu plus hardie ; c'est celui que
155 XVIII|          Le ciel, tu le vois, est plus noir que la poix ; et la
156 XVIII|          Voilà sept nuits, espace plus long pour moi qu'une année,
157 XVIII|    inondèrent.~ ~ ~ ~Mais toi, le plus redoutable des vents impétueux,
158 XVIII|         sa beauté elle efface les plus belles. Si tu en doutes,
159 XVIII|       forces, et l'onde me paraît plus molle qu'auparavant. Je
160 XVIII|     embrase mon ardente poitrine. Plus j'avance, plus le rivage
161 XVIII|          poitrine. Plus j'avance, plus le rivage est proche, moins
162 XVIII|        qui m'en sépare encore, et plus je me hâte de le franchir.
163 XVIII|           les ondes. Il n'est pas plus possible de compter les
164 XVIII|         de la mer Hellespontique. Plus était borné le temps accordé
165 XVIII|      accordé à nos secrets ébats, plus nous avons pris soin qu'
166 XVIII|        forme arrondie, n'ignorent plus nos amours, et je crois
167 XVIII|           un autre flambeau, bien plus sûr pour moi, que ces astres ;
168 XVIII|          et mon espoir avec elle. Plus tu es proche maintenant,
169 XVIII|          tu es proche maintenant, plus est proche aussi la flamme
170   XIX|          doués, je le vois, d'une plus grande fermeté d’âme. Les
171   XIX|         moins vif, il ne me reste plus qu’à aimer. Je fais ce qui
172   XIX|        toi, ô mon unique volupté, plus d'amour même que tu ne pourrais
173   XIX|       passé dans ces illusions la plus grande partie de la nuit,
174   XIX|       unissons-nous par des liens plus solides, et que le charme
175   XIX|           dernière, le vent était plus doux. Pourquoi n'en as-tu
176   XIX|          arrivé, pour que tu sois plus en garde contre les ondes,
177   XIX|      détruit, tes dangers estimés plus grands que le prix que tu
178   XIX|            je puis tout supporter plus patiemment que l'idée qu'
179   XIX|          où tu vis rend l'absence plus dangereuse aux amants. Heureuses
180   XIX|         je le vois, ne favorisent plus les jeunes filles. Ils ont
181   XIX|         furent, ô Neptune ! et en plus grand nombre encore, chantées
182   XIX|       dit-elle, nous serons un de plus. »~ ~ ~Et elle a bu. Fais
183   XIX|        Fais que nous soyons un de plus, en glissant sur les ondes
184   XIX|       ondes ; mais ce détroit est plus sûr pour les hommes. Car,
185   XIX|          ville. Ce sera peu, mais plus que rien. Que ne puis-je
186   XIX|          donc que tes bras soient plus puissants que des rames ?
187    XX|         crainte, mais elle a pris plus de force et d'empire, et
188    XX|       tous : l'amour t'en a tendu plus que tu ne crois.~ ~ ~ ~Si
189    XX|       réaliser ! Il n'est rien de plus violent que sa colère, lorsque,
190    XX|          savons, une mère qui fut plus que lui cruelle envers son
191    XX|        mais certainement elle est plus que son père pour elle-même.
192    XX|       quel côté est la crainte la plus sérieuse ? Enfin, pour pouvoir
193    XX|           périls ; un refus m'est plus affreux que la mort ; et
194    XX|         agit pas de moi ; un soin plus important m'occupe : mon
195   XXI|           perdre. Ou tu n'as déjà plus aucun souci de la jeune
196   XXI|         était devant mes yeux. Du plus loin que je la vis :~ ~ ~«
197   XXI|     est-il un asile qui doit être plus sûr ? À mes pieds vient
198   XXI|           es, crois-moi, beaucoup plus puissant que Diane elle-même,
199   XXI|        pouvais parler, si j'étais plus juste, tu serais digne de
200   XXI|           de mon front ne se mêle plus l'incarnat ; tel est l'aspect
201   XXI|    Quoique ton cœur, Aconce, soit plus dur que le fer, ta bouche
202   XXI|         dépend de tes soins. J'ai plus fait que ne doit une jeune
203   XXI|          ma main malade me refuse plus longtemps son ministère.
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