Épître

 1     I|           les périls que recèle la mer, tous ceux que recèle la
 2    II|       favorables au ciel et sur la mer, je me suis dit à moi-même :
 3    II|           union ? Tu jurais par la mer, jouet des vents et des
 4     V|           se briser les eaux de la mer. De là je reconnus la première
 5     V|        dieux, engloutissez dans la mer ce fatal vaisseau ! Hélas !
 6   VII|           le jour ou bien c'est la mer que maintenant même tu vois
 7   VII|        unies, Triton sillonnera la mer, emporté par ses coursiers
 8   VII|          séduit par l'aspect de la mer, tu lèves l'ancre qui te
 9   VII|          crains que les eaux de la mer n'engloutissent mon ennemi
10   VII|         Accorde aux rigueurs de la mer et aux tiennes un instant
11   VII|       longue suite de jours sur la mer impétueuse ? À peine autant
12   VII|         que ce soit. Je connais la mer qui se brise contre la plage
13  VIII|                  Plus sourd que la mer, ce ravisseur, pendant que
14     X|            regards attachés sur la mer, je m'assis sur un rocher,
15     X|       hommes ni ceux des bœufs. La mer baigne dans toutes leurs
16     X|      féroces ? On dit aussi que la mer y vomit d'énormes phoques.
17     X|        Pitthée ; les rochers et la mer sont les auteurs de tes
18     X|            dont me sépare la vaste mer, ces mains fatiguées à meurtrir
19    XI|       clameurs insensées. Comme la mer devient tremblante, quand
20   XII|       Éphyre que baigne une double mer ; l'autre, sur toute la
21   XII|       sépare les eaux d'une double mer ? Moi qui, à tes yeux, suis
22   XII|         cela ?) de me confier à la mer, moi femme et déjà coupable.
23  XIII|          vent ? C’est alors que la mer aurait  résister à vos
24  XIII|           rien à contempler que la mer, et que la lumière se fut
25  XIII|            aussi aux vents et à la mer : et l'espérance, bientôt
26  XIII|           les vents interdisent la mer aux vaisseaux ; et vous
27  XIII|           malgré les menaces de la mer, vous faites voile loin
28   XIV|           fleuves tes parents ; la mer, les fleuves, la terre te
29   XIV|   embouchures, va se jeter dans la mer, rend à la génisse furieuse
30    XV|          les plaines azurées de la mer, et ses richesses perdues
31    XV|           de son temple, y voit la mer dans toute son étendue ;
32    XV|             les peuples la nomment mer d'Actium et de Leucade :
33    XV|        rivage : Vénus, fille de la mer, ouvre la mer aux amants ;
34    XV|          fille de la mer, ouvre la mer aux amants ; les vents favoriseront
35   XVI|            des vents propices : la mer est son empire, comme elle
36   XVI|           seconde comme ceux de la mer, les mouvements de mon cœur ;
37   XVI|        demeures superbes et sur la mer. Tout à coup il me sembla
38  XVII|         vus sortir du port sur une mer sans orage.~ ~ ~ ~Ce qui
39 XVIII|           noir que la poix ; et la mer, bouleversée par les vents,
40 XVIII|           mugissent les eaux de la mer agitée. Si, pendant toutes
41 XVIII|           ce périlleux trajet ; la mer opposa son courroux à ma
42 XVIII|       tandis que les vents, que la mer, que tout s'oppose à mes
43 XVIII|      empêcher de descendre vers la mer ; car je l'ai vue, tu ne
44 XVIII|          chevelure que l'eau de la mer a trempée.~ ~ ~ ~Le reste
45 XVIII|         nuit, que les algues de la mer Hellespontique. Plus était
46 XVIII|         pleurant, et je regagne la mer de la vierge, les regards
47 XVIII|             toutes les fois que la mer est agitée ? Pourquoi le
48 XVIII|            inconnu aux hôtes de la mer. Déjà le sentier que je
49 XVIII|      furieux des flots blanchit la mer de la fille d'Athamas, et
50 XVIII|           où ils séjournent. Cette mer quand elle prit son nom
51 XVIII|         des dangers, porté sur une mer périlleuse par le bélier
52 XVIII|          pas séparé de toi par une mer étendue ? Un si court trajet
53 XVIII|        gage de ma promesse. Que la mer garde son courroux quelques
54 XVIII|        plainte ; mais, pour que la mer mette un terme à son courroux,
55 XVIII|              je n'accuserai pas la mer d'être impraticable pour
56   XIX|       promenant mes regards sur la mer, je gourmande, presque dans
57   XIX|           souvent loin de moi ? La mer, j'en conviens, ne veut
58   XIX|        Mais l'aspect orageux de la mer avait subitement changé.
59   XIX|          redoutes maintenant cette mer qu'autrefois tu bravais ?
60   XIX|           traverse sans danger une mer paisible. Seulement, reste
61   XIX|        ondes, soulève-t-elle cette mer qui porte le nom de sa belle-fille,
62   XIX|          tes combats sur une vaste mer. Le liquide espace qui sépare
63   XIX|           audace ; et, fille de la mer, elle t'en aplanira les
64   XIX| réunissons-nous au milieu de cette mer ; donnons-nous, au-dessus
65   XIX|           et quand il n'y a sur la mer que des dangers pour les
66   XIX|              ne te confie qu'à une mer calme. Si tu n'épargnes
67   XIX|           peux encore traverser la mer, qu'une lettre vienne calmer
68    XX|            Nymphes de Corycie ; la mer Égée l'entoure ; elle se
69   XXI|       vaisseau que lance en pleine mer le souffle impétueux de
70   XXI|       lança que difficilement à la mer le vaisseau qui me portait,
71   XXI|       jadis, errante sur une vaste mer ? »~ ~ ~J'avais touché la
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